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Mariés pour le meilleur

Chapitre 3

De braise à brasier

Voyeur / Exhibition
Avant de débuter mon histoire, je m’excuse pour l’erreur de prénom Marine devenant Marie en cours d’écriture dans le chapitre précédent. Et finalement je préfère bien le prénom Marie. Excusez-moi encore et bonne lecture ! N’hésitez pas à me partager vos impressions, sensations et critiques.
Chapitre 3 : De la braise au brasier
Mes garçons me voient débarquer comme une furie dans l’appartement. L’espace tourbillonne autour de moi. Je me sens aussi honteuse qu’excitée. Les questions des garçons fusent accentuant mon malaise, je suis incapable de leur répondre.
« Alors tu as pu parler aux voisins ?— Ils sont comment ?— Terribles, ils sont terribles. Tous les deux, filez à l’école immédiatement. »
Timothé et Jonathan me regardent surpris dans l’incompréhension devant mon énervement, alors que Manuel lève les yeux au ciel et se replonge dans son bouquin. Mes deux petits partent sagement pour le collège, tandis que Manuel traîne.
« Tu n’as pas de cours de prévu ?— Rien avant 2 heures, tu vas devoir encore supporter ma présence. »
Je crois que nous nous exaspérons autant l’un que l’autre. Pour me changer les idées, je me décide à me mettre au repassage. Le geste est routinier, répétitif et me permet de divaguer tout en reprenant de l’aplomb.
Toute la nuit et ce matin, notre appartement avait raisonné des ébats et de la jouissance de nos voisins. Les quatre hommes qui partagent ma vie avaient ressenti une excitation, tout comme moi, la leur était simplement plus visible.
Les blagues graveleuses ont fusé entre Manuel et Valentin. Timothée et Jonathan étaient plus timides, ils essayaient pourtant de ressembler à leur père. Je ne me sentais pas à ma place ne sachant pas quoi dire ni comment réagir. J’enviais tellement mes voisins.
Le pire pour moi, ce fut que malgré son excitation, mon époux a préféré se branler seul plutôt que de me prendre. Plutôt que de reconnaître mon désir, la colère s’est emparée de moi et au milieu de la nuit j’ai écrit un message « Apprendre à faire l’amour en silence est un mal nécessaire en appartement. » Ce n’était que de la jalousie.
Quand je suis rentrée, j’eus envie de voir ce que pouvaient bien faire mes enfants. Je voulais me rassurer en les regardant dormir. Ce sont de véritables petits anges. Encore une fois, ils préfèrent dormir dans le même lit plutôt que d’être séparé. Avec Valentin nous faisons tout pour les dissuader de le faire, mais ils en font des cauchemars.

Valentin a été très violent à leur égard. Si Manuel ne les avait pas défendus, il aurait pu leur faire du mal. Depuis Valentin a lâché l’affaire et moi aussi. Je suis certaine que le problème disparaîtra de lui-même avec le temps.
Un bruit venant de la chambre de Manuel m’attire. Il n’a que 19 ans, il est étudiant en science politique. C’est quelqu’un de brillant qui passe le plus clair de son temps à ne rien faire ; chouchouté, comme il l’est par ses deux parents.
Je colle mon oreille à sa porte. Il y a comme des bruits essoufflés. Mon désir qui est déjà bien enflammé par les cris de mes voisins brûle davantage.
Chacun de notre côté nous nous masturbons. Moi allongé sur le sol, la main dans la culotte et lui probablement allongé sur son lit se branlant fort. Il ne devait pas être au début de sa masturbation car il se fit de moins en moins discret et parla de plus en plus fort.
« Elle aime ça la cochonne. Putain qu’est-ce qu’il lui met. Ah qu’est-ce qu’ils m’excitent. J’espère qu’ils baisent comme ça toutes les nuits, c’est encore meilleur que du porno. Il lui met profond dans sa chatte, son cul et sa bouche de pétasse. Je serais lui, j’y éjaculerais des litres et des litres de foutre. Et elle en redemande la salope. Je devrais peut-être les aider, à ce rythme le pauvre gars ne tiendra jamais avec une telle nympho. Si seulement Marie était aussi salope. Ah Marie. Son visage d’ange et son corps de pute. Marie. T’es trop bonne. Toi aussi ils t’ont excité j’en suis sûr. Et Papa qui ne sait pas profiter de toi. Moi je saurais te baiser. »
Je gémis, je n’eus pas d’orgasme mais l’entendre me désirer me fit beaucoup de bien. Ne l’entendant plus parler je me précipite dans ma chambre grainant qu’il me surprenne.
Je referme délicatement la porte quand la voie grave et douce de Manuel me parvient « Marie ? ». Rien que sa façon de dire mon prénom me donne des frissons. Cependant je préfère l’ignorer et je vais dans mon lit. De notre chambre nous entendons moins bien nos voisins ce qui me permet de me calmer un peu. Ils ne finiront leur galipette qu’aux environs des 3 heures du matin. Moi non plus, je ne pus m’endormir avant.
Maintenant que je suis là, seule en face de Manuel, tous les souvenirs, toute la chaleur remonte, je ne peux plus repasser. Maintenant que j’ai l’image qui va avec le son, imaginer chaque soir des personnes aussi belles et sexy s’adonner au sexe le plus sauvage va être compliqué.Manuel m’observe par-dessus son bouquin mais je l’ignore trop occupée à contenir mon désir. Nous sommes en hiver, et pourtant, à l’instant, la chaleur est telle dans l’appartement que je me sens obligé de baisser le thermostat.
« Manuel tu n’as pas chaud ? Moi je suis toute transpirante.— Tu es en chaleur peut-être ? Papa ne te baise pas beaucoup, sinon je l’entendrais vu comment on entend les voisins.— Cela ne te regarde pas du tout ! Si tu veux savoir après tout, ton père et moi-même savons simplement nous tenir contrairement à ces chiens en chaleur que sont nos voisins.— Perso, je trouve ça bien qu’il se fasse plaisir, il y a tellement de gens frustrés dans ce monde. Nous devrions prendre exemple sur eux. »
La seule pensée que j’ai en tête à cette seconde, c’est à quel point il a raison. Et j’hésite entre retourner voir mes voisins pour me faire baiser par ces deux singes ou rester ici me faire sauter par Manuel.
Heureusement un toc, toc, toc, me sauve de moi-même. Je me précipite pour ouvrir et je me trouve nez à nez avec Dimitri. Certes habillé mais au demeurant toujours magnifique. Il a un sourire à la fois charmeur et d’une douceur envoutante.
« Enchanté Marie, je m’appelle Dimitri.— Enchanté Dimitri !— Je suis heureux que vous m’ouvriez. Sachez qu’avec mon épouse, nous avons discuté et je pense pouvoir la convaincre à plus de calme pour nos prochains ... ébats.— Ahah, Dimitri, tout ceci est si gênant. Voulez-vous entrer prendre un thé ? Oh et il y a mon beau-fils Manuel.— Non je suis juste venue vous rassurer et aussi pour vous demander d’excuser le comportement de Maëlle. Elle peut être si impétueuse ! C’est ce que j’aime chez elle, je ne me plains pas. Oh seriez-vous Manuel le fameux beau-fils ?— Et vous le fameux voisin ? Celui qui mit de l’ambiance toute la nuit ?— Exactement, et bien je trouve effectivement la situation bien gênante. Je vois l’intérêt du thé maintenant. »
Je souris en le faisant entrer volontiers dans l’appartement. Si Maëlle est volcanique, Dimitri est d’une douceur si apaisante. Et pourtant je ne peux oublier la vision que j’ai eu de lui nu. Il n’a peut-être pas les tablettes de superman, mais il a corps entretenu très désirable et un sexe au repos qui ne peut que laisser présager la taille qu’il peut atteindre lorsqu’il est tendu.
« Nous disions donc que tout l’immeuble a pu profiter de nos ébats, semble-t-il !— Non rassurez-vous, nous devons être les seuls car votre chambre est collée à notre appartement.— Merci Marie, mais ... comment dire cela ... avec Maëlle, nous ne nous sommes pas contentés de la chambre à coucher !— Oh ! »
J’étais scié. De toute ma vie, je n’avais jamais fait l’amour que dans un lit.
« Vous êtes génial, je n’ai jamais entendu quelqu’un parler de sexe avec autant de décontraction !— Je ne le fais pas dans n’importe quelle circonstance, mais vous et moi avons déjà brisé la glace. »
Dimitri m’adresse un clin d’œil. Le sourire de Manuel s’élargit. Est-ce qu’il peut deviner le baiser entre Maëlle et moi ?
Je les laisse s’installer pendant que je prépare le thé. Je suis rouge de confusion et me rends subitement compte que deux des trois personnes sur lesquels je commence tout juste à fantasmer sont ici. La panique m’envahit un peu. Heureusement depuis le salon, ils ne peuvent pas me voir alors je me passe de l’eau sur le visage. Si nous ne nous voyons pas, je les entends distinctement.
« Dites-moi, j’ai plein de questions ! Vous y répondriez ?— J’aviserai en fonction de la question, lance-toi je t’en prie !— Vous l’avez fait dans quelle pièce ? »Dimitri se la joue un peu et laisse un silence dramatique s’installer avant de répondre à Manuel : « Toutes !— J’hallucine, et comment faites-vous pour être aussi en forme ? Moi après avoir autant ... voilà quoi, je ne peux pas sortir du lit avant des jours.— L’habitude et de petites techniques.— Je vous envie, je n’ai pas autant d’expérience.— Sexuelle tu veux dire ? Tu es encore jeune, tu n’as pas à t’inquiéter.— Je n’ai pas de petite amie sur laquelle expérimenter.— Il y a une fille qui t’intéresse ? »
Je me fige dans la cuisine, attendant la réponse de Manuel. « Oui, elle est à ma fac, elle s’appelle Caroline. »
Je suis déçu, presque jalouse de cette foutue Caroline. J’arrive avec les tasses. Ils sont côtes à côtes alors je m’assois en face de Dimitri. « Excusez-moi mais depuis la cuisine, je vous ai entendu, en parlant de fac, je crois que le temps a filé, Manuel. Il serait temps que tu y ailles ! »
Il hésite agacé par moi et frustré de ne pouvoir pas discuter davantage avec Dimitri.
« Vous voudriez bien qu’on échange nos numéros ?— Si tu me tutoies d’accord. »
Ils échangèrent leur numéro et je me demande vraiment si les conseils ne vont pas être que purement sexuels. Manuel file, tout content. Lorsqu’il claque la porte, Dimitri et moi soupirons un grand coup. Nous nous sourions par-dessus notre tasse de thé.
« Vous savez quand j’ai parlé du comportement de ma femme tout à l’heure, je parlais du baiser.— Est-ce qu’elle le regrette ?— Pas du tout ! Elle aurait souhaité qu’il dure plus longtemps encore ! Et vous vous le regrettez ?— Non et oui.— Un peu plus oui ou un peu plus non ?— Pour l’instant, je suis vraiment heureuse que vous soyez arrivé car jamais je n’aurais pensé à partir sans cela.— Est-ce parce que je vous fais peur ? Ou vous dégoute peut-être ?— Ni l’un ni, l’autre ! Vous êtes très attrayants. Mince que me faites vous dire. Je vous remercie d’être venue. Et j’aimerais que nous reprenions des relations de voisin normal. »Dimitri me surprend en se levant et en s‘asseyant à côté de moi.— Je ne crois pas cela possible. Déjà parce que vous êtes plus séduisante qu’une voisine normale et qu’en supplément, Maëlle m’a parlé de punitions en suspens. C’est pour ces punitions que je suis venue. Elle a été punie pour m’avoir fait attendre maintenant c’est à vous. »
Sa main caresse mon cou, ma joue, il détaille tous les traits de mon visage comme s’il désirait lire la moindre de mes expressions.
« Vous voulez me faire du mal ?— Seulement en vous faisant du bien. »
Tout comme sa femme, il m’agrippe les cheveux pour coller nos bouches l’une à l’autre. Tout comme avec sa femme, le désir dans mon corps déborde et je réponds à son baiser. Tout comme avec sa femme, je suis bien incapable de résister. Il me soulève et il m’allonge sur la table. Les tasses de thé brulantes fument juste à côté de moi. Je n’ai même pas la force de les déplacer. Heureusement Dimitri a cette conscience. Ce geste me met en sécurité et un sentiment de confiance à son égard se crée. S’il me fait du mal, ce ne sera jamais qu’en me faisant du bien.
Ces mains partent à l’aventure sous mes vêtements pour découvrir mon corps. Il découvre mon sous-tif sportif et semble particulièrement contrarié.
« Ce truc ne me fera pas bander. Elle vite vous changer. Pas besoin que ce soit de la dentelle sexy, juste quelque chose de séduisant d’accord ? »
Il me donne une tape sur les fesses et comme une chienne obéissante, je cours jusqu’à ma chambre. Je me saisis de ma plus belle lingerie. Un sous-tif vert qui met en valeur ma poitrine peu volumineuse et une culotte de la même couleur qui souligne bien la courbe de mes fesses.Je me retourne et vois Dimitri dans l’encadrement de la porte. Il est satisfait de ce qu’il voit.
« Voici donc la chambre du petit couple. Ma femme m’a dit que votre mari l’a reluqué ouvertement ce matin et elle n’a pas aimé son regard. Il faudra que je pense à le punir lui aussi. Et si vous me faisiez visiter votre bel appartement ? »
Je suis nerveuse et n’ose pas mettre un vêtement supplémentaire. Alors je commence la visite en espérant qu’il aime les sous-vêtements que j’ai mis.Il ne fait aucune réflexion ni aucun geste particulier jusqu’à ce que je l’amène dans les chambres des garçons. Il est surpris des lits collés.
« Ils dorment ensemble ?— Ils sont jumeaux et inséparable. Nous bataillons pour les séparer.— Et là c’est la chambre de Manuel ?— Oui. »
J’essaie de garder l’air décontracté. Je dois avoir échoué.Dimitri saisit mes tétons qu’il commence à travailler, à tirer au travers du tissu. Quand ils sont durs à souhait, il donne des petits coups rapides avec ces index de haut en base me donnant de petites décharges de plaisir qui traversent tout mon corps.
« C’est tout ce que vous avez à me dire sur cette chambre ?— Oui je vous jure c’est sa chambre.— Elle ne vous inspire rien d’autre sa chambre ?— Si ! Hier je l’ai surpris en train de se masturber. Ce que vous faisiez avec votre femme l’excitait beaucoup !— Et vous comment avez-vous réagi ? — J’étais aussi excité que lui alors quand il a commencé à prononcer mon prénom ...— Alors le petit Manuel se branle en pensant à la sexy Marie. Il disait quelque chose ?— Oui il disait vouloir prendre soin de moi comme vous preniez soin de votre femme, que j’étais sexy et qu’il espérait que je sois une nymphomane.— Il va pouvoir être rassuré ! Et ensuite vous avez fait quoi ?— Je me suis un peu masturbé ! Quand j’ai gémi, il a entendu et j’ai dû fuir pour ne pas être surprise.— Grave erreur. »
Dimitri m’attire tendrement dans la chambre défendue. Elle pue le fauve, il n’a pas dû aérer depuis longtemps. Cette odeur forte me donne le tournis.Dimitri me pousse sur le lit et ouvre la fenêtre.
« Alors je crois avoir décidé de votre punition ! Vous allez vous masturber maintenant en disant à haute et intelligible voix tout ce que vous auriez eu envie que votre beau-fils vous fasse !— Je ne peux pas c’est de l’inceste.— C’est du fantasme, ce ne sera de l’inceste que quand vous passerez à l’étape suivante. Commencez-moi je m’improvise caméraman !— Vous allez me filmer ? Non je ne veux pas !— C’est votre punition ! Et le film restera privé rien que pour ma femme et moi. Je pensai que vous seriez heureuse d’apprendre que vous pourriez exciter ma femme !— Oui, elle est si séduisante.— Alors en piste et ne vous retenez pas. »
Je me sens avoir le choix et ce qui m’excite par-dessus tout, c’est de pouvoir prendre le mauvais, le dangereux. Je saisis un vêtement à Manuel que je sens. Son odeur est présente avec un peu de transpiration et du parfum.
« Manuel est si viril ! Sur bien des plans, il l’est plus que son propre père qui a plus de 50 ans et toujours quelque chose à prouver ! Alors que Manuel non. C’est un garçon brillant, si intelligent. Et son physique n’est pas en reste. Un peu hautain, mais quand la vie vous a donné autant de don c’est difficile de ne pas l’être. Et cet homme veut de moi. Ce n’est peut-être pas la première fois qu’il se masturbe sur moi. Pourtant la première fois que je l’ai rencontré, j’étais déjà enceinte et il était si petit, si mignon. Il est devenu plus grand que moi avec des bras forts. S’il m’attrape, il pourrait faire ce qu’il veut de moi. Il disait vouloir juter des litres. Il pourra le faire en moi ! »
Je garde son vêtement qui se trouve être un t-shirt contre mon nez et ma main dessine des cercles par-dessus ma culotte sur mon sexe. Dimitri est confortablement installé, son téléphone à la main. La bosse dans son pantalon me rassure, il aime ce qu’il voit !
« Quand j’ai entendu qu’il me désirait, j’ai gémi. Rien que de l’entendre prononcer mon nom avec une telle ardeur son sexe à la main, le plaisir m’a envahi. Ce n’était pas un orgasme mais quelques secondes supplémentaires contre cette porte et j’y parvenais. Il est si méchant avec moi le reste du temps. Est-ce ce parce qu’il ne peut retenir son désir pour moi ? Ce matin j’ai bien cru que nous allions nous sauter dessus si vous n’étiez pas arrivé. Comme vous l’avez fait, j’aurais aimé qu’il m’embrasse et me bascule sur la table. Je voudrais qu’il me prenne dans toutes les pièces de cette maison, le plus sauvagement possible. »
Mes propres mots m’excitent et je jette ma culotte qui tombe derrière le lit. Je prends un caleçon qui traîne, à son odeur je sais qu’il a été porté alors je le frotte contre mon sexe. Je mouille tellement que le sous-vêtement se retrouve rapidement imbibé.
« Il doit avoir un sexe d’un bon calibre. Je l’ai déjà vu à la piscine. Impossible de cacher son érection quand il regarde les femmes qui passent en maillot de bain. Il est à l’étroit dans son short. J’aurais dû l’aider à se débarrasser de cette raideur qui le gênait tant. Je l’aurais emmené au bungalow, lui aurait présenté ma chatte et lui aurait dit « serre-toi ». Oh oui et il serait servi de moi.— Il pourrait encore se servir de vous.— Hum oui, je lui apporterai toute l’expérience sexuelle qu’il désire, qu’il lui manque. Plutôt que cette Caroline ! Ses parents ne se douteraient même pas qu’il baise la sage Marie, la pudibonde Marie.— Cette salope de Marie.— Je serais votre salope, celle de votre femme et celle de Manuel. Je serais la salope de tous ceux qui voudraient bien m’apporter du plaisir. »
Je bave, ne parviens plus à parler. Mes doigts pénètrent profondément mon vagin. A chaque va-et-vient je mets un peu plus de cyprine sur le lit. Mes cris restent contenus. Quand enfin je jouis, c’est comme une seconde première fois. Le plaisir est intense et surprenant.
Je suis haletante, les cuisses offertes. Pourtant Dimitri ne fait que m’embrasser sur la bouche en me remerciant pour le spectacle et en me soufflant que ma punition est plus que remplie. Il a le visage rouge, il laisse trainer sa bouche sur ma poitrine qui est visible à cause de mes mouvements ; il tète un téton et rentre chez lui.
Je ne me sens pas humilié car j’ai bien vu le désir dans les yeux de Dimitri. Si j’ignore pourquoi nous n’avons pas couché cela ne signifie pas pour autant que cela n’arrivera jamais.Seule à écouter les bruits de la rue, je reprends mes esprits. Le vent frais de l’hiver vient caresser mon corps chaud, me faisant frissonner de froid et d’excitation.
Doucement, je prends les vêtements sales et les draps pour faire une machine. C’est une habitude chez nous que je m’occupe de tout à la maison et je sais que Manuel ne me dira rien, trop heureux que ces draps soient propres s’en avoir à lever le petit doigt.
Ce couple est démoniaque, sensuel, ils savent ce qu’ils veulent et le prennent. Et ils me veulent ! J’ai un peu peur à imaginer ce qu’ils pourraient me faire. Séparément ils sont torrides, ensemble je les imagine créer un véritable brasier qui va me consumer.
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