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Marilyn, Au retour de la fac...

Chapitre 1

Percuter un BG dans la rue et se laisser tenter

SM / Fétichisme
Marilyn, vingt ans, brune avec quelques mèches blondes et des grands yeux gris, était sur le chemin du retour de la fac. Sa poitrine, voluptueuse et sans soutien-gorge pour la comprimer, et ses fesses rondes, moulées par un de ces nouveaux jeans sexy et tendance, lui donnaient une belle silhouette. Elle n’avait pratiquement pas de ventre.Pendant son retour à la maison, elle percuta un jeune un peu plus âgé qu’elle et il en profita pour lui toucher les fesses. Tout en oubliant ce geste, Marilyn s’excusa auprès du garçon. Il lui plaisait bien, avec ses cheveux blond cendré et ses yeux noirs.
— T’inquiète, ce n’est pas grave, ma belle.
Elle rougit lorsque son cerveau comprit ces paroles. Le garçon rigola et lui tendit la main :
— Shun. Et toi ?
Son sourire ! Oh la la ! Ce sourire de Dieu !!! pensa-t-elle.
— Euh, moi, c’est Marilyn, balbutia-t-elle. Mais, tu n’es pas dans la même fac que moi... ?— Haha, non, je suis en apprentissage ! Shun sourit de plus belle, ce qui fit fondre le cœur de Marilyn.
Shun tenait toujours la main de Marilyn et s’amusait avec. Il la caressait, croisa ses doigts avec ceux de sa belle prise au piège. Il voyait bien qu’elle n’attendait que ça, qu’il l’invite. C’est ce qu’il fit :
— Ça te dit un petit tour chez moi ?
Toujours le sourire. Il en avait marre de sourire comme ça. Shun n’attendait qu’une chose, la sauter. Il l’avait repérée depuis un bon bout de temps et avait prévu ce moment depuis deux jours déjà. Son ami l’attend impatiemment chez lui. Shun attendait encore la réponse de Marilyn. Elle hésitait. Marilyn savait ce que signifiait ce « viens chez moi juste pour trois minutes » et ça la tentait bien. Elle ignora son intuition qui lui déconseillait d’y aller et dit oui à Shun. La brune, loin de s’imaginer ce qui lui attend, suivit Shun qui lui tenait toujours la main. Il avait peur qu’elle s’échappe.
Plus ils avançaient vers la maison du beau garçon, plus Shun se collait à Marilyn, pour la tester. Il finit par entourer les épaules de sa proie avec son bras droit et posa sa main sur son sein droit. Elle ne tressaillit pas, mais fut trahie par ses seins qui devenaient durs et qui pointaient. Shun fut satisfait lorsqu’il sentit celui qu’il effleurait se durcir et pointer.
Ils entrèrent enfin dans la maison et Shun demanda à sa future soumise de se déchausser et de laisser ses affaires à l’entrée. Elle s’exécuta. Il l’amena dans le salon et la fit asseoir en face d’un autre garçon qu’elle dévisagea. Il avait les cheveux noirs et cours et des yeux bleu clair comme elle n’a jamais vu. Il devait être aussi grand que Shun (qui mesurait dans les 1m80). Shun fit les présentations :
— Marilyn, voici Léon !
— Enchanté, Marilyn ! Tu es vraiment très belle ! cria alors Léon.
Marilyn rougit et un timide « merci » sortit de sa bouche. Elle fut rassurée de voir un autre garçon, car son imagination débordante allait trop loin selon elle, et grâce à Léon, tout ce qu’elle pensait n’arrivera pas. Mais elle se trompait.
Shun se leva et alla chercher des verres et de quoi boire. Pendant ce temps-là, elle inspecta les lieux et vit sous la table basse des sex-toys, un bandeau, des menottes, une ficelle et autres engins. Elle sentait le lourd regard que lui envoyait Léon. Quand son beau garçon aux cheveux blonds s’installa aux côtés de Léon, elle remarqua qu’il n’avait ramené que de l’alcool. Shun demanda à Marilyn :
— Tu veux boire quoi, ma belle ?— Si possible, un cocktail, s’il te plaît. — Tes désirs sont des ordres ! répondit Shun avec un clin d’œil.
Marilyn regardait avec fascination l’élaboration du cocktail. Après l’avoir versé dans un verre, Shun le tendit à sa future soumise. Elle le remercia et le goûta.
— Il est très bon !
Et Shun répliqua avec un clin d’œil :
— Toujours !
Alors qu’ils commencèrent à boire, Shun demande à Marilyn :
— Est-ce que ça te parle, la soumission ?— Euh, oui. Répondit-elle, un peu gênée.— Tu as déjà essayé ?— Non, jamais...— Ca te dirait d’essayer avec nous ? s’enquit Léon.
Marilyn les regarda, entre excitation et peur, puis but cul sec son cocktail et répondit d’un faible «Oui».Shun, sourire satisfait au coin de ses lèvres, lui expliqua :
— Bien, alors, à partir de maintenant, il faudra que tu nous obéisses et que tu nous appelles "Maître".
Marilyn lui demanda alors
— D’accord... Qu’est-ce que je dois faire à présent... Maître ?
Shun dit à Léon :
— Commence, Léon.
Et Léon se tourna vers la jeune fille et lui ordonna :
— Déshabille-toi entièrement, debout et devant nous, le temps qu’on finisse nos verres, ma belle...
Surprise, Marilyn ne savait pas trop si c’était une blague, mais en voyant leurs deux paires d’yeux en train d’attendre, elle répondit :
— Oui, Maître.
Et elle commença à se déshabiller. D’abord ses chaussettes, puis son jean, son t-shirt puis sa culotte, elle attendait ensuite les prochains ordres. Mais ils ne venaient pas, les deux hommes la regardant avec gourmandise. Puis, dans un élan de malaise, elle leur demanda enfin :
— Qu’est-ce que je dois faire ensuite, Maître ?
Shun lui fit signe de se taire et Léon, après avoir fini son verre, lui dit :
— Tu vas t’allonger à plat ventre sur le carrelage, à côté de moi.
Elle s’exécuta. Marilyn se trouvait maintenant par terre, sur le carrelage froid, ce qui n’arrangeait pas l’allure de ses seins. Elle vit les deux garçons se lever du canapé, et Shun attrapa un objet venant de sous la table basse. Il s’approcha de sa soumise et lui prit les bras puis lui menotta les poignets derrière le dos.
Léon et Shun commencèrent à se déshabiller, debout devant elle. Leurs sexes imposants bandaient déjà.
— Bien, passons aux choses sérieuses, poupée !
Dit Léon dans un souffle, après s’être accroupi près de Marilyn.
Shun demanda à Marilyn de se mettre à genoux, elle s’exécuta et le jeune homme lui lança :
— Parfait ! Donc, si tu veux bien, suce-moi, ma belle !
Il la força à prendre son pénis dans sa bouche. Elle le suça tant bien que mal, puis lécha le gland, bava dessus. Elle sentait le sexe de son « Maître » grossir de plus en plus. Léon, voulant lui aussi profiter de leur soumise, se mit derrière Marilyn et commença à masser ses seins. Marilyn, ayant oublié sa présence, gémit de surprise. Il tira sur les tétons, les roula entre ses puissants doigts puis malaxa une nouvelle fois. Les soupirs et gémissements de Marilyn les excitaient encore plus. Le sexe de Shun finit par céder et éjecta beaucoup de sperme dans la bouche de la jeune fille. Il lui ordonna d’avaler et elle le fit.
Shun alla chercher le bandeau noir et susurra à Marilyn tout en lui mettant : « Pour pimenter le jeu, chérie ».
Elle sentit qu’on la transportait puis elle atterrit sur un lit. On lui enleva les menottes, mais fut tout de suite rattachée. Marilyn avait les bras et les jambes tendues de part et d’autre du lit. Elle sentit quelqu’un monter sur celui-ci et s’approchait d’elle. Elle cria :
— Enlevez-moi ce bandeau ! Je vous en supplie.
Elle reconnut la douce voix de Shun qui la rassurait à l’oreille :
— Chut... Calme-toi, ma belle. Tu vas adorer. Jouis autant que tu peux et on te fera autant de bien qu’on puisse.
Marilyn se tut. Elle ne voulait pas contredire Shun, car elle était sous le charme.
Pendant qu’elle se calmait, elle sentit deux mains monter vers ses cuisses, puis elles se dirigèrent dans l’entrecuisse. Marilyn mouillait déjà. Un bruit de tondeuse fit place et elle sentit qu’il se dirigeait vers son entrejambe. Elle fut prise de gémissement lorsque l’objet découvrit son clito et jouit très vite. Marilyn fut prise de spasmes. Shun éteignit l’objet et sortit du lit pour laisser place à Léon, qui commença à doigter Marilyn.
Il enfonça deux doigts, puis trois doigts dans le vagin de sa prisonnière. Marilyn gémissait encore et encore, elle ne pouvait s’empêcher de faire des mouvements de va-et-vient avec son bassin. Au bout de quelque temps, Léon enleva ses doigts et sortit du lit. Les deux acolytes se regardèrent, gourmands.
L’un d’eux proposa à l’autre :
— Levrette ?
Et l’autre se lécha les lèvres en guise de réponse. Marilyn demanda :
— Quoi, levrette ?
Et Shun lui répondit :
— Chuuut, ma belle.
Puis il décida de lui bâillonner la bouche pour ne plus l’entendre poser des questions. Ils détachèrent alors Marilyn pour la retourner sur le ventre, lui menottèrent ses mains derrière le dos.
Un des deux se mit derrière Marilyn, agenouillée sur le lit, et lui plaqua la tête avec force sur le matelas. Tenant avec force la tête de la jeune fille de sa main gauche, il prit son pénis de son autre main, et pénétra doucement Marilyn, qui gémissait à chaque nouveau mouvement qui la surprenait. Elle sentit le pénis de l’inconnu entrer dans son vagin, le pénis qui s’enfonçait de plus en plus. Le jeune homme prenait un plaisir fou d’y aller doucement, pour surprendre encore plus Marilyn lorsqu’il la prendra férocement.
Lorsqu’il se sentait au fond de son vagin, il retira un peu son pénis et commença un va-et-vient violent, avec lequel Marilyn répondit avec un gémissement de surprise et de plaisir. Il resta dans cette vive cadence aussi longtemps qu’il le pouvait, plaquait toujours avec force la tête de Marilyn, et enfonçait encore plus son pénis, la bouche ouverte, lâchant des râles de satisfaction.
Le deuxième, on ne peut plus excité par cette scène, s’approcha de la Marilyn gémissante, et se masturba près de sa tête pour lui éjaculer dessus. Le jeune homme qui chevauchait Marilyn éjacula tout son saoul en elle, puis le deuxième, spectateur, éjacula sur la figure de Marilyn.
Shun demanda à Léon :
— Alors, elle est bonne ?
Et Léon répondit en sortant du lit et en donnant une forte claque sur les fesses de Marilyn, qui poussa un gémissement :
— Sa chatte, elle se resserre instantanément, c’est une tuerie !
Marilyn ne pouvait plus parler ni contester leurs dires, elle ne fit donc rien suite à cette conversation.
Shun dit alors :
— A mon tour de la découvrir !
Et il se positionna derrière Marilyn, la tête posée sur le matelas. Elle était encore très mouillée. Cette situation l’excitait beaucoup, tout de même. Shun frotta son pénis entre les deux fesses de Marilyn pour le tendre. Il se retira et giflait les fesses de la jeune fille jusqu’à ce qu’elles rougissent. Chaque gifle était accompagnée d’un gémissement provenant de la bouche de Marilyn, gémissement de plus en plus intense, car il frappait plus fort à chaque fois. Il était à nouveau très excité, et enfonça son pénis plus vivement que Léon ne l’avait fait. Le vagin de Marilyn se serra très vite par cette entrée brusque. Shun poussa un râle de plaisir, tira les cheveux de Marilyn pour la cambrer encore plus et la baisa violemment. Ils gémissaient tous les deux en chœur, et Léon était à nouveau excité, il entreprit donc une masturbation devant le visage de Marilyn. Léon éjacula très vite face à cette scène.
Shun éjacula peu après Léon, il lâcha les cheveux de Marilyn dont la tête de celle-ci tomba brusquement sur le matelas. Puis Shun se sortit de l’intimité de Marilyn.

Shun et Léon admirèrent la jeune fille, offerte à tous les plaisirs sur ce lit. Ils avaient envie de la baiser encore et encore. Shun proposa à Léon :
— Douche, puis jacuzzi ? On peut s’amuser encore un peu, non ?
Léon répondit :
— Avec plaisir, je veux encore profiter de ta belle trouvaille !
Ils enlevèrent les menottes à Marilyn, lui enlevèrent aussi le bandeau des yeux et la baïonnette de sa bouche. Shun lui demanda doucement :
— Alors, ma belle, tu as aimé ?
Et Marilyn lui répondit timidement : — Oui.
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