Nous sommes à présent mercredi, j’ai pris le temps de prendre rendez-vous avec mes deux amis routiers. Nous allons déjeuner en ville afin de mettre en place un plan de vengeance assez bien précis. Il est presque midi, je retrouve Claire buvant un café devant le fast-food, nous parlons, échangeons quelques sourires, puis elle retourne travailler. C’est à ce moment précis que Robert et Serge arrivent. Nous passons nos commandes et nous nous installons dans un coin. J’explique mon plan pour le réveillon du jour de l’an.Ce que je veux en réalité, c’est montré le côté très coquin de Chantal, la mère d’un des cousins incestueux. Sauf que ces deux-là, seront attachés à une chaise pour admirer ce spectacle. Dans tous les cas, je suppose qu’ils seront épuisés puisqu’ils auront échangé un plaisir charnel avec Marina. Concernant cette dernière, je n’ai rien prévu, car le mépris est la meilleure des réponses que je peux lui apporter avec ce que j’ai vécu et subis au cours du réveillon de Noël. Mes deux amis routiers ne trouvent aucune objection à dire sur cette vengeance. En récompense, ils auront tout de même un week-end à la montagne, avec le gîte, le couvert, et même Chantal en guise de dessert.Nous nous séparons sur ces dernières paroles, puis je rentre chez moi. A présent, nous sommes jeudi, le fameux jour de l’an. Il est huit-heure, Serge et Robert attendent sur le seuil de ma porte. Avant de partir mes parents m’encouragent par de longues accolades. La tante de Marina m’a déjà envoyé un sms avec l’adresse de l’appartement. Nous montons dans la voiture, une berline allemande, puis nous partons en direction des montagnes. Il est maintenant midi, nous sommes arrivés à la station de ski, nous cherchons un coin pour nous restaurer, puis disons-le pour nous reposer aussi avant de participer à ce fameux nouvel an.Nous entrons donc dans un restaurant, nous mangeons tranquillement, puis Serge se gare derrière une sorte de hangar afin de faire la sieste. Je mets un réveil à dix-huit heures. Tic, tac, tic, tac,tic,tac, dring, ça y est la sonnerie nous sort d’un repos bien mérité. C’est le moment d’aller à l’adresse de l’appartement, nous sonnons, puis nous entrons. Chantal nous accueille avec de longues et chaleureuses accolades, embrassades. Marina qui devait être dans le salon fait de même, mais je lui tends que la main pour la saluer. Quand subitement, la sonnette raisonne, ce sont les fameux cousins qui entrent dans l’appartement.Immédiatement, ils s’excusent auprès de moi suite à leur comportement, pour faire bonne figure, j’accepte ceci, puis en regardant Serge et Robert, j’esquisse un sourire qui en dit long. Ces derniers se présentent comme mes amis proches. La tante de Marina nous propose de faire comme chez nous, le logement est très spacieux, donc je me dirige en direction de ma chambre, je pose ma valise, réponds aux messages de Claire, en espérant la revoir après cette fête du nouvel an, je trouve cette fille très sympathique, et j’espère que je pourrais connaître une nouvelle histoire d’amour. Bref, je sors de mes pensées, je vais prendre ma douche, et me préparer pour le réveillon. Je mets une petite chemise, un jean et des chaussures de ville. Je pars dans le couloir en direction du salon, quand soudain, je suis interpellé par Robert et Serge. Ils sont très chics tous les deux. De vrais playboy, si je peux me permettre. Me mettent la main devant la bouche, pour que je ne fasse pas de bruits puis m’invite à regarder par le trou de la serrure de la porte qui est attenante à leurs chambres. Je me mets à genou, puis comme pour Noël, je vois les deux cousins en train de se faire clairement sucer par une femme. Décidément, leurs excuses et les larmes de Marina n’étaient que pures fictions. Sauf, qu’en changeant d’angle lors de leur petit moment de plaisir, il ne s’agissait en aucun cas de mon ex, mais bel et bien de Chantal. Je tombe clairement sur le cul, et je me demande comment je vais pouvoir mettre en place mon plan si les deux comparses préfèrent échanger un moment charnel avec elle plutôt qu’avec Marina.
Est-ce que le piège va se retourner contre moi ou pas ? Je ne le sais pas du tout, toujours est-il que mes deux amis ne changeront pas, ils sont venus ici pour moi et surtout pour m’aider. Il est presque vingt-heure. Nous partons en direction du salon, les divers plats sont positionnés sur la table, les coupes de champagnes aussi, manque plus que les bouteilles d’alcool. Marina se donne à fond pour nous satisfaire, d’ailleurs, c’est la seule à ne pas être encore prête pour la soirée. Elle profite du retour de sa tante pour partir à la salle de bains. Chantal nous propose de prendre une bière pour patienter. Robert qui est le plus taquin de mes deux amis, n’hésite pas à la frôler à chaque passage, voir à lui mettre une petite claque sur les fesses, ce genre de chose fait tressaillir la charmante femme. Et ce mot n’est pas de trop pour la décrire. Une robe de soirée qui lui arrive au-dessus du genou, un maquillage de goût sans exagération, un vrai petit canon de beauté, si je puis me permettre de parler ainsi. Serge me fait remarquer, que Marina n’est pas revenue depuis environ trente minutes, et que les cousins ne sont pas là aussi. Il se propose pour jouer le rôle de l’espion. Il fait un clin d’œil à son ami, celui-ci se rapproche de Chantal, l’embrasse a pleine bouche, elle ne le repousse pas, puis ils s’installent dans le canapé. Pendant ce moment de dispersion, nous partons à la recherche des trois amants. Nous essayons de nous repérer en fonction d’éventuels bruits de jouissance, mais rien. La douche semble fonctionner puisque l’on entend l’eau coulée. Mais comme chaque chambre possède sa douche, il est difficile de savoir laquelle. Serge étant nouveau, il entre dans une première chambre, celle de Chantal visiblement et rien aucun son, dans la deuxième, il s’agit de la mienne, la troisième semble aussi calme, puis la quatrième apporte son lot de réponses. En effet, mon ami me signale que Jean l’un des cousins se câline avec Marina, alors qu’elle est en sous-vêtement. Il m’invite à me cacher dans la penderie, il va faire semblant de se tromper et de les surprendre par surprise. Ayant presque cinquante ans, il aurait presque le rôle du père. Donc, il n’y a aucun risque particulier. Je valide ce choix, il me prévient tout de même que ce moment peut éventuellement déraper, je lui dis qu’il n’y a aucun souci, ce n’est franchement pas un problème à partir du moment où le piège tendu fonctionne. Alors que je suis caché, j’entends Serge entrer dans la salle de bains, les deux amants poussent un cri d’étonnement. Et mon ami s’excuse et prétend les chercher pour le début de la soirée. Jean se rebelle un peu, et mon ami lui fait une remarque bien placée. En lui disant qu’en toute logique, on n’est pas en érection lorsque l’on est avec sa cousine dans la salle de bains. Celui-ci se tait rapidement, Marina propose même à mon ami une petite gâterie pour qu’il garde le silence. Son cousin proteste, râle, mais n’a visiblement pas le choix d’accepter cette situation. Il semble pourtant amoureux de celle-ci. Je vais donc assister à mon premier acte de vengeance, et ce n’est pas pour me déplaire. Serge revient donc dans la chambre avec Marina qui je le précise est en sous-vêtement. Et invite Jean à s’asseoir sur une chaise, en lui disant sur le ton de l’humour qu’il va pouvoir apprendre des choses de la vie, et notamment faire jouir sa partenaire. Mon ancienne compagne pouffe de rire, puis reçoit une grosse claque sur les fesses. Elle est alors électrisée par cet acte. Mon ami s’assoit sur le lit, laisse la jeune femme debout, puis commence son jeu de séduction. Il lui caresse les jambes, le ventre, le dos, le haut de la poitrine. À ce moment-là, un tremblement de plaisir parcourt son corps. Serge glisse ses doigts dans les bretelles du soutien-gorge, puis il les fait descendre le long des épaules, le haut de ses seins apparaissent, puis rapidement les tétons s’érigent comme la tour Eiffel. Elle est en topless, il lui dévore les seins, mordille ses tétons, Marina se contorsionne de plaisir. Puis, il la tourne, regarde ses fesses, et lui enlève le string. Il la penche en avant, et plonge sa bouche sur la vulve imberbe. Il se délecte du jus, puis lui lèche à présent le petit trou. Elle réagit assez vite en giclant de la cyprine sur la bouche de mon ami. Serge retourne Marina, il lui demande de lui nettoyer la bouche, ce qu’elle fait. Elle lèche chaque centilitre de mouille. Il la retourne à nouveau, cette fois-ci pour un autre plaisir. Il lui enfonce un doigt, puis deux doigts dans le vagin. Il agite la main avec une fréquence incroyable et la jeune femme part dans une sorte de jouissance extrême. Elle est prise de convulsions, ses yeux se retournent presque. A présent, il la couche sur le lit, enlève son pantalon, s’érige alors un sexe énorme. Jean le cousin, se lève d’un bond pour arrêter cette action, et prend une magistrale gifle de la part de Serge. Il retourne s’asseoir sur la chaise. Et mon ami peut se concentrer de nouveau sur son échange charnel avec Marina. Il lui écarte les jambes, et enfonce son pieu dans ses entrailles. Son sexe énorme doit certainement remplir plus que de raison ce sexe qui en demande toujours plus. Après quelques allers-retours en missionnaire, le couple se met en levrette. Marina crie de plaisir, et Serge prennent un pied d’enfer. Celle-ci se positionne à califourchon sur son membre, elle monte, descend, ses seins bougent dans tous les sens, et moi dans ce placard, je bande comme un taureau. Je me masturbe devant ce spectacle. Le couple se positionne maintenant en cuillère, on entend bien le bas du ventre de mon ami claquer contre les fesses de Marina, celle-ci prend d’ailleurs un pied d’enfer, elle en est à sa troisième ou quatrième jouissance. Puis après quelques gestes saccadés, Serge se vide dans les entrailles de la jeune femme. Dans un cri commun de plaisir. C’est à ce moment-là, que Louis l’autre cousin entre dans la pièce, la bouche bée. Jean en profite pour partir. De mon côté, j’ai arrosé la porte du placard avec mon sperme. Je ne pouvais pas tenir plus longtemps. Pendant que Marina retourne à la douche, j’en profite pour sortir. Je claque la main de Serge pour le remercier. Il se rhabille, puis attend Marina pour descendre. De mon côté, je tente de calmer mon souffle dans la cuisine. Je retourne dans le salon, je croise le regard noir des deux cousins, leur esquisse un sourire mesquin, puisque Chantal est toujours là avec Robert en train de s’embrasser et de se toucher à travers les tissus. Je racle un peu ma gorge, le couple arrête son activité. Et Marina arrive bras dessus bras dessous avec Serge. Leurs sourires ravageurs ne font aucun doute sur les activités qu’ils ont eues. L’heure de la vengeance a commencé, et de la plus belle des manières.
