Il est presque vingt et une heure. Marina demande à Serge de lui donner un coup de main pour apporter les toasts et l’alcool pour l’apéritif. Ce qui ne manque pas d’énerver les deux cousins qui sont assis sur le canapé du salon. L’ambiance est complètement électrique. Au bout de quelques secondes, le couple revient et dispose les affaires sur la table basse. Nous trinquons au bon repas que nous allons prendre, les discussions vont bon train. Tous les sujets y passent. Il n’y a que Jean et Louis qui sont totalement en retrait. Marina qui n’a d’yeux que pour Serge, et Chantal pour Robert ne prêtent même pas attention à eux. Ils ne sont pas comment dire, les stars de la soirée si je peux me permettre de le dire ainsi. Alors que moi, je n’ai aucun souci. Pour le coup, je me sens beaucoup moins intrus qu’à Noël. Et franchement, ce n’est pas pour me déplaire. Je sens bien que la situation devient de plus en plus favorable.Après cette demi-heure fort sympathique, nous nous retrouvons autour de la table pour consommer le repas du réveillon. L’alcool coule une fois de plus à flot, entre le vin, les digestifs, et le champagne, je sens bien qu’une autre chaleur, une autre ambiance est en train de naître. Il est vingt-trois heures trente, nous nous dirigeons tous dans le salon, Chantal allume la télévision pour savoir précisément quand le décompte de la nouvelle année aura lieu. Un animateur assez célèbre diffuse de la musique. Tout le monde se met à danser, bras dessus bras dessous. Je danse un peu avec Chantal, et même avec Marina quelques fois, mes amis routiers font de même. Tandis que les deux cousins sont assis sur le canapé attendant péniblement que cette soirée se termine.Les corps s’enlacent, se frottent, des bisous furtifs ou bien appuyer font leur apparition. La température ambiante est clairement montée d’un cran supplémentaire. Cinq, quatre, trois, deux, un, zéro, Chantal embrasse à pleine bouche Robert, Serge, Marina et moi-même. Tandis que les deux cousins s’énervent suite à ce comportement. Ils se montrent même assez agressifs. Leur tante essaye de les calmer, mais rien n’y fait, la tension nerveuse est bien trop prononcée. À ce moment-là, Robert et Serge font semblant de leur apporter une accolade, une légère bousculade s’en suis. Jean et Louis sont pris par la taille, je me dépêche de récupérer deux chaises dans la cuisine que je positionne de part et d’autre du radiateur en fonte qui se situe dans le salon. Et ils se retrouvent, en un rien de temps, attachés. Ils ne peuvent plus bouger. Les deux routiers n’ont pas fait dans la demi-mesure. Chantal excédée par le comportement des deux garçons, ricane en les voyants en mauvaise posture. Et leur explique qu’il est inacceptable de voir autant d’agressivité en ce jour de fête. Les deux cousins crient leur colère, ils se retrouvent, en un rien de temps, bâillonnés. Et c’est dans une chaleureuse accolade que Marina et sa tante remercient Robert et Serge. Une musique d’ambiance sort des enceintes de la chaîne hi-fi, tout le monde danse sans aucun complexe. Chantal se frotte à moi, tandis que Marina est prise en sandwich par les deux routiers. Zouk, variété française, rock, tous les styles y passent. Le champagne continue de couler à flots, je crois que c’est la quatrième bouteille qui est vidée. Je me montre alors beaucoup plus entreprenant avec Chantal. Je l’embrasse dans le cou, je glisse ma main le long de son dos, ce qui ne manque pas de la faire frissonner. De son côté, Marina semble toute aussi heureuse, puisque les deux routiers s’amusent à lui faire des chatouilles, à jouer avec les bretelles de sa robe, à lui faire quelques attouchements bien placés. La chaleur devient presque suffocante, comme dans un sauna. Chantal s’éclipse quelques instants, puis revient avec une nouvelle bouteille de champagne qu’elle remue plus que de raison. Au moment de l’ouvrir, elle arrose tout le monde. Marina part en courant dans la cuisine, à son retour, elle a une bouteille d’eau et arrose à son tour les personnes présentes dans la pièce. S’ensuit une bataille d’eau monumentale dans ce qui jusqu’à présent était un salon fort bien agencé. Après une bonne demi-heure de jeu, nous sommes tout trempés. La robe de Chantal devient transparente, les chemises de Robert et Serge aussi. Le trio se déshabille, et se retrouve en sous-vêtement. Je fais de même puisque je n’ai pas été épargné par cette activité. Et Marina dans un élan d’excitation fait de même. Toujours aussi taquin, Serge s’amuse à mettre une fessée à Chantal, tout le monde rit. Pendant ce temps-là, Robert se rapproche des deux cousins, en leur disant qu’on s’éclate très bien, qu’ici, c’est la fête. Ils ruminent, mais ne peuvent pas faire plus. Marina s’est rapprochée de moi, et par réflexe, je l’embrasse sur la bouche. Elle est si savoureuse, je l’invite à s’asseoir sur le canapé. Nous nous enlaçons, câlinons. Les routiers font de même avec sa tante. Je glisse ma main sous ses bretelles que je fais descendre le long de ses bras. Elle ne me repousse pas, et j’oserais dire que la bosse dans mon caleçon trahit mes sentiments. Chantal s’en aperçoit, et se positionne à genou devant moi. Elle enlève mon sous-vêtement, et mon sexe pointe fièrement. Elle n’hésite pas une seconde et commence à me faire une fellation. Elle m’appelle mon bel amant, je rougis à cette parole. Serge et Robert ont rejoint Marina sur le canapé, ils lui touchent les seins, lui caressent les cuisses, puis remontent à la lisière du string qui visiblement est déjà trempe. Ils en profitent d’ailleurs pour lui enlever entièrement. L’un des deux s’est dirigé vers la vulve, pendant que l’autre profite d’une fellation bien méritée. Quant à moi, je déshabille Chantal, je l’assois sur le canapé, lui soulève un peu les jambes, pour lui faire un cunnilingus. Son goût est légèrement piquant, et franchement, j’adore ça. Je me délecte de son jus, puis avec Serge, on échange les places. Je me retrouve maintenant entre les jambes de Marina, tandis que Robert change aussi de bouche pour profiter d’une délicieuse fellation. De loin, cette vision doit être terriblement excitante. A présent, je positionne ma partenaire contre le dossier du canapé, puis d’un coup la pénètre. Les allers-retours sont saccadés, on prend un plaisir énorme. Les deux routiers quant à eux, sont aussi en train de s’occuper de Chantal. Robert se défoule dans son vagin, tandis que Serge fait une branlette espagnole sur cette poitrine énorme. Les deux hommes échangent régulièrement leur place pour ne perdre aucune miette de ce délice qui se présente à eux. Maintenant, je positionne Marina à genou, ses fesses me sont offertes, je la prends en levrette. Je me délecte de ce plaisir. Je glisse même deux doigts dans son petit trou, ce qui ne manque pas de la faire défaillir. Elle jouit plusieurs fois. Chantal de son côté, vient de se positionner de la même manière, ce qui fait que nous partageons les plaisirs. Les cris de jouissances raisonnent dans l’appartement, les bruits de cyprine, et les claquements de fesses aussi. Avec Serge, nous nous faisons un clin d’œil, je m’assois alors sur le canapé, et la tante de Marina se positionne sur ma verge, elle est désormais prise en double pénétration, et par expérience, je sais qu’elle part dans une sorte de septième ciel stratosphérique lorsqu’elle pratique ce genre d’activité. Ce qui ne manque pas d’arriver au bout d’une petite dizaine de minutes. Robert à côté de nous, s’occupe de l’œillet de la jeune femme qui couine, voir pousse des petits cris à chaque pénétration. Avec Serge, on lui propose d’échanger les rôles. Ce qu’il accepte volontiers. Marina un peu inquiète ne refuse pas pour autant. Après un quart d’heure de va-et-vient, elle pousse un grognement énorme, et je reçois des jets de cyprine sur mon sexe détrempé. Chantal et Marina sont à présent couchées sur le canapé, tremblant de plaisir, de jouissance, collée l’une contre l’autre, s’embrassant à pleine bouche. C’est à ce moment-là, que nous nous masturbons au-dessus d’elle pour jouir à notre tour. Sauf qu’elles n’étaient pas d’accord pour que cela se finisse comme ça, elles voulaient recevoir en elle le fruit de leurs efforts. Robert et Serge se sont vidés à tour de rôle dans le vagin de Marina, pendant que j’ai joui avec force dans celui de Chantal. Celle-ci étant complètement transformée par cet échange corporel, a positionné la jeune femme en soixante-neuf. Elles se sont nettoyé la vulve et ont bu nos semences. Au bout d’un quart d’heure, nous nous sommes relevés, nous avons essayé tant bien que mal de retrouver nos esprits. Nous avons fait une accolade commune, puis chaque participant est retourné dans sa chambre. Pour ma part, j’ai pris une bonne douche puis je me suis couché. Dans la nuit, il m’a semblé percevoir des cris de jouissance, mais je n’ai pas cherché à en savoir plus. Les deux cousins ont vu leur mère et Marina en pleine dépravation, en pleine jouissance et le but de ma vengeance était bien là, les rendre jaloux au plus haut point. Le lendemain, lorsque nous nous sommes réveillés, Chantal nous a remerciés pour ce nouvel an extraordinaire. Marina a fait de même, puis dans une dernière tentative a essayé de me convaincre qu’elle sera plus sage à l’avenir. Je lui ai dit clairement que j’avais sans doute trouvé quelqu’un d’autre, quelqu’un qui me correspondait plus. Elle a compris mon point de vue. Nous nous sommes quittés ainsi sur un feu d’artifice de plaisir et de jouissance. Je suis allé faire un clin d’œil aux cousins, en leur disant avec mépris, que la vengeance est un plat qui se mange froid. Avec Robert et Serge, nous avons pris la route du retour, ils m’ont remercié à leur tour de cette nuit. Quant à moi, j’étais rêveur, espérant retrouver Claire, la serveuse du fast-food. Après une semaine de repos bien mérité et des souvenirs qui seront, désormais, rangés dans mon jardin secret. Je suis retourné au restaurant, j’ai retrouvé Claire, nous avons discuté, nous nous sommes embrassés, nous nous sommes mariés trois ans après, et je suis à présent l’heureux papa d’un petit Théo.
