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Marine, Belle-maman

Chapitre 1

Erotique
— Monsieur ! Monsieur ! Votre épouse au téléphone ! — Je prends ! Passez-moi la communication dans mon bureau, s’il vous plait !
C’est étrange, habituellement Claude ne m’appelle pas ainsi en pleine journée à mon bureau. — Allo ! Oui ma chérie ! Tu as un problème ? — Ah ! Michel ! Non pas de problème, mais maman vient de m’appeler et nous allons faire des courses ensemble. Tu peux venir nous retrouver à l’heure du déjeuner à la maison, elle veut acheter un de ces meubles en kit et nous aurons besoin de toi pour le sortir de la voiture. Enfin si c’est possible que tu te libères pour le déjeuner !— Pas de souci, alors je serai là vers douze heures trente, si la circulation entre Gérardmer et Remiremont le permet. À tout à l’heure mon cœur !— Michel ! Je t’aime !
Notre conversation a été brève. Depuis qu’elle a perdu son mari, ma belle-mère, femme adorable au demeurant, fait appel à son unique fille pour quelques bricoles dans sa maison. Elle réside dans un quartier calme de ce Remiremont si empreint de doux souvenirs pour moi. D’autres, plus douloureux, sont venus se greffer sur cette vision idyllique, que je tiens cependant à conserver. Le matin se termine, mon bureau est rempli d’une paperasserie administrative qui nous submerge tous.
Sur la petite route tourmentée qui mène vers la demeure familiale de mon épouse, je revois quelques images. Celle d’Henry, le père de Claude. Il est parti depuis cinq ans déjà, laissant Marine ma belle-maman éplorée, inconsolable. Claude et moi, vingt-deux ans déjà que nous vivons une grande histoire, un amour partagé et presque trop beau. Je traverse les petits hameaux qui mènent à « la coquette », et je visualise ma belle-mère. Elle ressemble, trait pour trait à mon épouse ; avec ses soixante-six ans, elle fait encore tourner bien des têtes à mon avis. C’est une femme charmante qui n’a jamais un mot plus haut que l’autre et j’imagine aisément que Claude puisse lui ressembler quand elle aura son âge. C’est presque un vœu que j’exprime dans ma tête.
Voilà les premières maisons de Remiremont, et je remonte la grande rue, tourne au bout de celle-ci au « Volontaire », puis laisse sur ma gauche la place du « Batardeau » pour me diriger vers la route de Plombières. Un petit coup d’œil à la maison de notre sénateur, Président du Sénat, et enfin je bifurque sur la gauche, prend la dernière petite ruelle qui me mène à la maison cossue de ma belle-mère. Sur le perron, elles sont là au soleil, à me regarder garer mon véhicule.
— Bonjour Michel ! J’ai honte de vous avoir dérangé !
Claude et Marine me font un bisou sur la joue, puis c’est mon épouse qui m’ouvre le coffre de sa petite « Ford Fiesta ». Je soulève avec peine le premier des trois colis qui sont logés dans l’automobile. Je comprends pourquoi elles n’ont pas réussi à les sortir. J’empile les paquets dans l’entrée et nous passons au salon. Marine m’offre un apéritif et je lui demande comment elle va faire pour monter ce meuble.
— Je n’y ai pas encore songé ! J’ai juste acheté, il me faut bien loger tous ces livres que je lis avec plaisir ! Je ne voudrais pas abimer les bouquins que j’aime !— Si vous voulez, je passerai ce soir en fin de journée pour vous monter cette bibliothèque ! Ça ne devrait pas être trop compliqué et ce sera peut-être dans mes cordes ! — Je ne voudrais pas abuser de vous, Michel !— Enfin belle maman, puisque je vous le propose c’est que cela ne me dérange pas ! Je viendrai après dix-huit heures !
Nous passons tous trois à table. Le repas servi est comme d’habitude, excellent. Le vin qui l’accompagne vient tout droit de la cave qu’Henry avait aménagée sous la maison ! Je me sens d’humeur plaisante et je regarde du coin de l’œil, ces deux femmes qui transpirent la complicité. Je me surprends aussi à penser que Marine a de beaux restes et que celui qui la rencontrera aura bien de la chance. Elle est radieuse et cette tendresse qui émane d’elle, déteint agréablement sur sa fille. Du reste en les regardant à la dérobée, dans chacune des tâches domestiques qu’elles font en commun je vois tellement de similitudes. Elles sont belles toutes les deux !
En voyant la fille, je devine la mère, et en regardant la mère j’imagine mon épouse dans quelques années. Je pose mes yeux sur ces deux croupes qui vont et viennent devant moi, comme elles sont similaires, toutes pareilles, avec les mêmes cambrures, avec les mêmes tressaillements. Pourquoi me donnent-elles ainsi envie, ces deux-là ? Finalement je me dis que Marine, si elle est aussi bonne au lit que sa fille, doit être une affaire ! Pensée salace d’un homme qui n’est pourtant pas en manque d’amour, de sexe !
Je suis reparti, mon bureau m’attend. Mais il reste cette idée dans ma caboche de la croupe de ces deux femmes qui sont trop semblables. Arrête ! Arrête donc idiot de penser à de pareilles choses ! Tu n’as donc aucune pudeur ? Cette femme c’est la mère de ton épouse ! Tu deviens dingue ou quoi ? Mais quand une idée pareille est dans mon crâne, j’ai bien du mal à l’extirper. Je l’ai vue des milliers de fois Marine et jamais, jamais, je n’ai songé un seul instant que je puisse un jour la désirer. Je l’ai toujours vue comme ma belle-mère ; mais là, je viens d’entrevoir la femme qui se cache en elle.
Je regrette presque de m’être porté volontaire pour lui monter son meuble. Pourvu que Claude soit restée chez elle. Ce serait mieux, mes pensées seraient ainsi détournées. C’est à cela que je songe alors que je fais le trajet qui me ramène vers Remiremont. Mais la « Ford » n’est plus rangée dans la cour. Bon et bien, reste sage ! Nous y voilà, à toi de jouer bricoleur du dimanche.
— Vraiment, Michel, ça me gêne énormément que vous vous soyez dérangé pour moi ! Claude est rentrée, une de ses amies devait passer la voir dans l’après-midi !— Ce n’est pas grave, je vous ai proposé et je vais vous monter cela. Ce ne sera pas bien long !
J’ai dit cela en tentant de détourner mon regard des hanches de cette femme qui se tient debout, droite, face à moi. Pour penser à autre chose, je file à l’atelier chercher tournevis et marteau, il faut bien quelques outils pour monter l’étagère ! J’en profite pour remonter aussi une couverture. Et le montage débute. Marine me propose un verre avant que ne démarre l’ouvrage, mais je refuse. La couverture étendue dans le salon, je dispose les pièces de bois, une à une dans l’ordre du schéma fourni dans les paquets. Sur le fauteuil, à côté de moi, Marine s’est assise, sans se préoccuper de ma présence. La robe qu’elle porte à beau lui tomber sur le dessus des genoux, la position qu’elle adopte me laisse entrevoir un petit morceau de ses cuisses blanches.
Merde ! Voilà qui réveille mes vieux démons ! Je lui dirais bien de croiser les jambes, mais elle n’a pas l’air de s’apercevoir que j’ai une vue remontante sur un peu d’étoffe rouge, là, tout au bout du nylon qui garnit les jambes. C’est vrai qu’elle a de jolies jambes, bien galbées, fuselées à souhait ! Enfin ! Qu’est-ce qui me prend ? Que m’arrive-t-il ? Oh ! Michel ! Calme tes ardeurs, c’est la mère de ta femme qui est là !
Oui ! Mais c’est également une femme désirable et belle ! La petite voix au fond de moi, le démon de midi qui traine dans ma caboche ! Tu vas te calmer ? Allez ! Monte cette saloperie de bibliothèque et file retrouver Claude ! Ah ! Non tu ne vas pas rater une pareille occasion ! Regarde ; elle vient d’écarter les gambettes, tu ne penses pas qu’elle t’aguiche un peu ? Claude ! Pourquoi n’es-tu pas restée, pourquoi n’es-tu plus ici ? Je baisse la tête, les yeux, je ne peux cependant pas les fermer pour travailler !
— Ça va Michel, vous n’avez besoin de rien ? Ce n’est pas trop difficile à lire, ce plan ?
En disant cela elle se baisse pour le prendre ce foutu papier, et j’ai une vision affriolante de ses seins. Ils ont beau être enfermé dans un soutien-gorge serré, je les vois presque à portée de main et bon-sang ! Elle va me faire bander si elle continue ! Ouf ! Elle vient de se redresser sur son fauteuil ! J’ai des gouttes de sueur qui perlent sur mes tempes. Elle va les voir ? J’espère que non ! Elle se coule plus profondément dans son siège moelleux et moi je persiste à visser une à une les planches. Ça commence à prendre forme. Partout même ! Et surtout dans le milieu de mon corps ! Ma braguette est déformée par une bosse qui ne peut pas passer inaperçue.
Elle bouge ses jambes et je sens son regard sur moi. Je n’ose plus lever les yeux ! Je cherche un dérivatif dans les vis, les écrous, les boulons ! Encore une étape de franchie, et la bibliothèque est déjà bien avancée. Marine a encore remué dans son coin ! Et vous mes yeux, restez tranquille ! Non ne vous relevez pas ; pas maintenant, pas vers elle, pas dans cette direction ! Rien à faire, ils ne veulent plus m’obéir ! J’ai une incroyable vue désormais sur deux cuisses fines qui sont ouvertes, mais Marine ne semble même pas s’apercevoir du trouble qu’elle provoque chez moi. C’est au moment où je redescends mon regard sur les dernières planches que je sais qu’elle me suit des yeux elle aussi. Pourquoi ? Pourquoi n’es-tu pas là Claude ?
Il est superbe ce meuble que je termine. Il ne reste plus qu’à le mettre en place, à l’endroit où Marine le veut. Pour cela, elle se lève et se dirige vers moi. Sa jupe me frôle un peu trop ! Je me tourne de manière à cacher le plus possible cette bosse qui me gène énormément. Mais elle est trop proche pour ne pas la remarquer. Enfin elle ne dit rien ; juste elle me donne la main, pour pousser sur la couverture le meuble vers sa destination finale !
— Merci ! Mille fois merci ! Michel, vous êtes mon sauveur ! Finalement, elle et très jolie et je vais pouvoir y placer le carton de livres qui se trouve dans l’entrée. Si j’osais, mais je ne veux pas abuser, vous pourriez me le poser sur la table du salon ?
Les bouquins atterrissent sur la table basse et elle me suit. Elle me suit de trop près. Quand elle remarque les gouttes de sueur qui perlent sur mon front. C’est sa main maintenant que je vois s’approcher, celle-ci tenant un mouchoir jetable.
— Venez que j’éponge cette sueur qui vous coule dans les yeux.
Belle maman, vous êtes trop, trop près de moi ! Je voudrais me faire souris et m’enfiler dans un trou. La main qui éponge mon front est d’une douceur et le corps qui est contre le mien l’est tout autant. Je sens que tout bascule à vitesse grand V. Les doigts se glissent plus bas que le front, ils caressent mes joues. Il n’y a pas de sueur sur celles-ci pourtant ! Elle s’est encore rapprochée de moi et je sens les pointes de ses seins qui me touchent la poitrine ! Elle sait bien qu’elle me donne encore plus envie ? Mon Dieu pardonnez moi ; mais je ne suis pas de bois, je ne suis qu’un homme.
— Vous savez, je vous ai vu me regarder, je sais que vous avez envie de moi ! Je sais que j’ai aussi envie de retrouver ces sensations que j’ai oubliées depuis que mon Henry est parti ! Et rassurez-vous, je n’irai pas en parler à Claude ! Je suppose que vous non plus. J’ai remarqué cette bosse, là, sous votre braguette ! C’est bon de se dire que l’on peut encore faire bander un homme ! Même si c’est mon gendre.
À ses paroles, elle a joint les actes. Sa main libre est arrivée comme par magie sur l’endroit qui ne peut plus cacher mon désir énorme et elle frotte sur le tissu de mon pantalon. Les miennes sont parties sur les fesses qui me semble-t-il, sont encore bien fermes sous la jupe. Je m’empresse de la coller plus fort. Finalement à quoi bon résister ? Après tout c’est une belle femme et elle est consentante, non ? Ses lèvres à elle sont venues se scotcher aux miennes.
Elles aspirent à faire entrer sa langue dans ma bouche et là encore, je suis volontaire. Ses seins sont de plus en plus tendus contre ma poitrine alors que Marine s’évertue, d’une main à défaire ma ceinture. Bien entendu, elle a gain de cause et c’est maintenant les quelques boutons de la braguette qui s’ouvrent. Le baiser que nous échangeons me coupe le souffle ! Pas étonnant que sa fille embrasse tellement bien !
Elle a repoussé mon slip ! Elle tient dans sa main mon membre qu’elle vient de mettre à l’air. Je la laisse faire alors qu’elle le branle lentement. Elle n’a pas oublié ces gestes élémentaires ! C’est bougrement bien fait et c’est bon. Tout en nous caressant mutuellement nous avons doucement changé de place et nous sommes au bord du canapé. Elle se fait chatte, ronronne presque alors que sa bouche reste en contact permanent avec la mienne. Je retrouve dans ces baisers un peu de ceux de Claude.
Avant de l’allonger sur le divan, je remonte la jupe et je vois apparaitre la culotte rouge qui m’a tant plu tout à l’heure. J’en étais sûr, je le savais ! Quand j’ai fait glisser le dernier rempart de la vertu de Marine, je découvre une forêt de poils bien entretenus. Depuis combien de temps n’ai-je pas senti une pareille touffe dans ma main ? C’est beau les poils de femme quand ils sont bien taillés, c’est excitant, tellement que j’en bande davantage encore, comme si c’était possible.
Nous sommes sur le divan et la bouche de ma belle-mère est occupée par ma bite qu’elle a si bien fait grossir. Elle me pompe le nœud et je peux dire que j’apprécie. Je la regarde quelques instants, avant de me laisser enivrer totalement par cette caresse buccale que j’amplifie par de langoureux mouvements de mon bassin. Mes hanches roulent et ma pine s’enfonce dans cette bouche gourmande qui semble aimer cela. Je me laisse aller et je plonge moi aussi, mon visage dans cet entrecuisse largement ouvert et dénudé.
Les poils fins que j’écarte pour chercher l’entrée de la fente m’excitent encore plus. Elle râle sous l’arrivée de ma langue qui ne se prive plus pour visiter cette offrande féminine.  J’ai envie, je suis impatient et elle continue de faire passer sa langue sur mon gland qui me fait frissonner. Cramponnée à mes fesses, elle lape comme un jeune chiot, mes bourses qui flirtent avec son visage.
Ce soixante-neuf nous comble d’aise elle et moi. J’entends ses soupirs qui font écho aux miens et nous allons plus avant encore dans ce corps à corps enivrant. Je ne pense plus à Claude, je ne sais plus que c’est sa mère qui réagit de pareille manière sous mes coups de langue. Les poils de son pubis me rendent dingue, je plonge mes doigts dans cette foufoune béante et elle mouille. Son envie est palpable et elle se transforme en cette rosée qui me rend cinglé.
J’ai une furieuse envie de la baiser, mais je recule ce moment au maximum ; je veux d’abord découvrir ce ventre, ce corps que je n’ai jamais vus que vêtus. Quand les petits seins pointus sont à l’air libre, j’en apprécie les contours et les malaxe affectueusement. Les tétons sont tout durs, ils sont longs et sombres, une invitation à entrer dans ma bouche. Je ne me prive pas pour le faire et elle gémit, elle dit des mots que je ne comprends pas. Peut-être me traite-t-elle de salaud ! Mais elle a bien cherché et amené ce qui arrive. Je suis responsable, mais pas coupable !
Je lui ai mangé les nichons, mordillant les pointes et elle se tord sous mes dents alors que de son ventre s’échappe un peu de cette jute qu’elle sécrète. Je suis revenu à ce volcan d’où coule sa lave claire et j’aime le gout de cette femme. Rien à faire je suis irrésistiblement attiré par le bouquet de poils qui orne son bas ventre et c’est fou, mais je regrette cette absence chez mon épouse. C’est finalement Marine, qui je ne sais comment, arrive à se mettre à califourchon sur moi, et d’une main experte engage mon sexe dans le sien. Puis commencent alors des montées qui me donnent la chair de poule, on dirait qu’elle n’a jamais fait que cela de toute sa vie. Alors que je sens qu’elle prend un pied formidable, ses gémissements se transforment en petits cris au fur et à mesure qu’elle approche de l’orgasme.
Je n’ai pas immédiatement compris ce qu’elle murmure d’une voix rauque. Elle scande des mots que mon cerveau a du mal de digérer. Mais c’est si gros que je ne veux sans doute pas y croire ! Je ne peux pas imaginer que ces mots-là sont sortis de sa bouche et surtout qu’elle les pense vraiment !
— Fais-moi mal ! Vas-y tape moi sur les fesses ! Oh ! Mais qu’est ce que tu attends ? Claude n’aime pas cela ? Vas-y donne moi une fessée ! J’en rêve depuis que mon henry n’est plus là ! Allez ! Claque-moi donc le cul ! Donne-moi du plaisir et le mien c’est d’avoir mal !
Je n’ai jamais vraiment fait cela, alors j’hésite de longues secondes. Puis ma main se lève et elle vient toucher une fesse, presque comme une caresse. — Mais vas-y ! Plus fort, ne sois pas timide, si je te le demande c’est que je sais bien ce que je veux ; n’hésite donc pas comme ça ! Tanne-moi le cuir, allez !
Alors je recommence, une fois, deux, puis le jeu me plait et ma main s’abat n’importe où, sur les fesses et je sens Marine qui frémit. Elle jouit si violemment que je dois la retenir pour qu’elle ne tombe pas du canapé. Elle gigote tellement que plusieurs fois ma queue est arrachée de sa gaine de velours. Elle hurle maintenant des mots sans suite, des phrases qu’elle seule peut décrypter. Tant et si bien que pour finir, je la mets en travers de mes cuisses, et que je continue la correction alors qu’elle réclame toujours plus fort, toujours plus fort. Sur le cuir du sofa, une tache mouillée est là, bien en évidence, signe d’un abandon total de cette femme.
Elle a eu plusieurs orgasmes successifs et elle les a plutôt bien montrés. Maintenant elle a repris entre ses lèvres mon sexe à moi qui est toujours aussi dur, aussi tendu. Elle me suce divinement, une bouche faite pour tailler des pipes je l’avoue ! Bien entendu le terme de cette séance approche et alors que je tente de retirer ma bite de son gosier, elle, elle fait tout pour l’enfoncer au plus profond de sa gorge. C’est bien sûr, elle qui a le dessus, il faut dire que je ne fais plus rien qui puisse la déranger. Mon sperme s’échappe en giclées brutales. Et Marine le lèche jusqu’à la dernière goutte.
Calée contre moi, je lui caresse l’épaule doucement et elle passe sa main sur mon torse. Elle semble satisfaite et radieuse. Moi… ! Je me sens coupable de quelque chose de moche ! Pourvu que Claude ne se doute de rien, mon mariage résisterait-il à cet outrage ? Comment réagirait-elle si elle savait ?
— Ne crains rien Michel, ce n’est pas moi qui irai dire à Claude ce que nous venons de faire !
C’est comme si elle lisait dans mes pensées, ce qui ne me rend pas plus joyeux pour autant d’autant qu’elle ajoute : — J’espère même que nous recommencerons le plus souvent possible ! C’était trop bon ! et puis, ça reste dans la famille ! Non ?

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