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Marine et sa famille

Chapitre 3

Inceste
-2- Jean
Jean, le grand-père de Marine a fait une chute dans l’escalier et s’est fêlé plusieurs côtes. Il est veuf depuis un an. Son épouse, Marie est décédée d’une bronchite mal soignée. Chaque fois qu’il bouge le torse des élancements traversent sa poitrine. Il est obligé de prendre son mal en patience. Aujourd’hui il se sent seul. Marie lui manque. Elle savait le réconforter avec de savantes caresses. Sa verge gonfle à l’évocation. Il n’y tient plus. En se calant contre le dossier du fauteuil il parvient à extraire son sexe et à se masturber sans martyriser ses côtes. Un mouchoir reçoit son offrande. Un peu calmé il s’endort sans s’être complètement réajusté…Marine décide de lui rendre visite car en ce moment elle est en vacances. Personne ne répond à son coup de sonnette, son grand-père doit faire la sieste. La porte n’étant pas fermée à clé, elle entre.Effectivement Jean est affalé sur son fauteuil dans les bras de Morphée. La braguette ouverte et le mouchoir souillé sont suffisamment éloquents quant à son occupation avant de sombrer dans le sommeil. Il change de position. Son slip gonfle. Cela amuse la jeune fille.— Sacré Papy, murmure-t-elle !Elle touche la bosse du doigt. Immédiatement elle double de volume !— Waouh ! Il est drôlement sensible !Marine glousse. Elle ne le connaissait pas sous cet aspect mais se rappelle que sa mère avait toujours parlé de sa réputation de joyeux luron ! Par jeu elle promène le doigt sur la protubérance. Un petit gémissement de plaisir sourd des lèvres de Jean. Cela réveille la libido de la jeune fille : actuellement elle n’a pas de petit copain et ses parents sont absents depuis trois semaines !— Le pauvre, murmure-t-elle, il doit être sevré de sexe surtout ces temps-ci avec ses côtes fêlés ! Si j’osais…Son grand-père émet un ronflement.— Il a l’air de dormir profondément.Elle pose la main sur la protubérance. Un sourire béat éclot sur les lèvres du dormeur.— Il fait un songe érotique ! Et si j’intervenais dans son rêve ?Elle décide de participer. Par prudence elle n’extrait pas le sexe et se contente d’en éprouver la forme à travers le tissu…
Une sensation de bien être réveille à moitié Jean. Il flotte dans un demi sommeil et n’a pas envie de bouger ni d’ouvrir les yeux. La douleur dans les côtes suite à sa malencontreuse chute s’est estompée. Il rêve que Marie le masturbe comme elle savait le faire. Il a l’illusion que des doigts courent sur son sexe, tournent autour du gland. Il sent qu’il bande comme ce n’est pas permis ! La force de l’imagination est stupéfiante ! Il a l’impression que sa femme est réellement là… Réellement ? Il ouvre une paupière. Horreur il ne rêve pas : c’est Marine sa petite fille qui le caresse !Jean se redresse brusquement mais les côtes fêlées se réveillent !— Aïe !Surprise, le premier mouvement de Marine est de s’enfuir mais très vite elle pense que Jean a compris ce qu’elle faisait. Elle se dit qu’au point où elle en est, perdu pour perdu qu’est-ce qu’elle risque ? Que son grand-père ne veuille plus la voir ? Elle décide d’assumer ses pulsions.— Qu’est-ce que tu as Papy ? Tu as mal ?— Que… Que fais-tu ?— Tu n’aimes pas ? Pourtant jusqu’ici tu avais l’air d’apprécier.Elle ne cesse pas les attouchements. Il n’écarte pas la main qui le caresse.— Euh… Là n’est pas la question. Ce n’est pas bien que… Avec moi tu… Euh… Tu es ma petite fille. Ce serait…
— …Ce qu’on appelle des relations incestueuses, je sais. Je ne suis pas une oie blanche, Papy. On nous bassine avec ça au collège et au lycée. Et alors ?— Cela ne doit pas se faire… Aïe !Il fait un faux mouvement qui lui arrache un rictus de douleur.— Tu vois, tu as mal quand tu remues. Reste tranquille !Elle continue la caresse. Jean devrait l’arrêter, ce qu’ils font est répréhensible mais d’un autre coté s’il bouge les élancements dans les côtes reprendront. En réalité au fond de lui-même il n’a pas envie qu’elle cesse. Depuis qu’elle est adolescente il rêve en secret de Marine. Que de fois a-t-il bandé en la contemplant en bikini ! Que de fois a-t-il rêvé de la caresser, de lui faire l’amour ! La crainte de la choquer et la peur du qu’en dira-t-on l’ont retenu. Et voilà qu’aujourd’hui elle prend l’initiative ! Il fait taire la voix de la morale en se disant qu’elle est majeure et qu’elle a pleinement conscience de ce qu’elle fait ! Néanmoins il tente une timide objection.— Mais…— Il n’y a pas de mais qui tienne ! J’avais envie de te caresser et tu aimes ça… Ose nier !— Euh…— Que faisons-nous de si mal ? N’a-t’on pas le droit de faire plaisir ?Elle n’a pas tort pense-t-il. Il capitule et s’abandonne aux doigts diligents.— Je vois qu’il est inutile de m’entêter, tu ne changeras pas d’avis. Fais comme tu veux, lui dit-il avec un zeste d’hypocrisie.Marine s’agenouille. Elle a quelques difficultés à extraire le sexe comprimé par le slip.— Waouh ! Quel engin !Sa paume entoure la queue, décalotte le gland, fait glisser le prépuce sur la tige. Il jouit de la caresse sans arrière pensée. Elle prétend en avoir envie, de quel droit lui refuserait-il ce plaisir ? Il étend le bras pour la remercier par un câlin.— Aïe !Il a eu tort, ses côtes fêlées se rappellent à son bon souvenir.— Pardon Papy, je te fais mal ?— Pas du tout ! J’ai simplement fait un faux mouvement. Mes côtes me font toujours souffrir.— Evite de bouger tant que tu n’es pas guéri.Elle reprend sa douce manipulation. Il a l’impression de n’avoir jamais autant bandé. La jouissance envahie son bas ventre.— Ooh !Des lèvres chaudes se referment sur le gland ! Après quelques succions il ne résiste pas à la montée du plaisir et s’épanche dans la bouche. Le sperme n’étant pas trop abondant, la jeune fille déglutit sans difficultés.— Aarrgghh !… Excuse-moi chérie je n’ai pas pu me retenir.— Ce n’est rien, dit-elle en s’essuyant du revers de la main.Elle replace son attirail et referme le pantalon.— J’étais venu voir si tout allait bien. Je t’ai surpris en plein rêve érotique. Excuse-moi mais prise d’une impulsion subite j’en ai profité. Tu m’en veux ? — J’ai honte. — Mais non Papy t’as pas à avoir honte, je t’ai donné du plaisir de bon cœur.— Si ! J’ai honte que tu m’aies caressé sans que je puisse te rendre la pareille à cause de ma côte.— Ce n’est pas grave. Je saurai patienter jusqu’à ce que tu sois rétabli. En attendant si tu veux que je recommence n’hésite pas.Elle dépose un léger baiser sur sa joue râpeuse et s’enfuie.Il entend la porte se refermer. Il réalise à peine ce qui vient de se passer. Sacrée Marine ! Lui qui avait des scrupules et se traitait de porc lubrique quand la femme qu’elle devenait le faisait fantasmer ! S’il avait su… Les regrets sont superflus, la prochaine fois qu’elle viendra le voir il profitera de ses bonnes dispositions et sollicitera ses bons offices !…
Les cours à la faculté de droit n’ayant pas encore commencé, Marine est revenue rendre visite à son grand-père… Souvent… Chaque rencontre se termine par une délicieuse fellation. Jean adore. D’avoir avec sa petite fille des relations incestueuses ne le perturbe pas mais il enrage que ses côtes fêlées mettent tant de temps à guérir. Jusqu’ici, malgré son envie, la douleur l’a arrêté quand il voulait lui rendre les caresses. Ah, vivement qu’il puisse à son tour la faire jouir !
Aujourd’hui il pense qu’il en sera capable. Lorsqu’il tourne ou se penche la souffrance, toujours présente, est supportable. Ce n’est plus les coups de poignards qui lui faisaient tout lâcher. Pourvu que Marine ne décide pas de ne plus venir !…Elle est arrivée. Après les baisers de bienvenue elle se penche pour ouvrir la braguette.— Comment se porte mon petit oiseau cet après-midi ?Il en profite pour passer la main entre ses jambes. Elle lève les yeux et lui sourit.— On dirait que tu vas mieux Papy !— Il était temps ! J’avais hâte de te donner moi aussi du plaisir. Tu veux bien n’est-ce pas ?— J’attendais ce moment avec impatience.Elle extrait le sexe, commence à le masturber pendant qu’il écarte le tissu de la culotte à la recherche des lèvres intimes. Marine espérait ce geste depuis longtemps. Pour elle les caresses doivent être réciproques. Le dessous est superflu ! Elle arrête de s’occuper de la verge et se lève :— Excuse-moi Papy j’en ai pour une minute. Ne bouge pas.Elle s’éclipse pour revenir quelques secondes après et reprend le sexe.— Voilà, je suis prête.Il glisse la main sous la jupe, un large sourire illumine sa figure : La coquine a ôté sa culotte, rien n’entrave ses investigations ! Les doigts de Jean parcourent la vulve, s’introduisent à l’orée du vagin, décapuchonnent le clitoris. Marine le remercie en s’activant sur la queue…— Tu suces comme une déesse.— C’est…Elle s’arrête in extrémis : elle allait dire que sa mère lui a appris ! Les relations incestueuses avec ses parents doivent rester un secret même si son grand-père et elle…— Que veux-tu dire, questionne Jean ?Elle ne répond pas. Au même moment ses caresses atteignent leur but et ils jouissent ensemble. — Mmmmh !— Aarrgghh !Il est fier de lui avoir procuré cet orgasme, preuve qu’il est encore bon à quelque chose ! Elle sort se rincer la bouche et revient se blottir dans ses bras.— Merci, merci Papy !— C’est moi qui dois te remercier pour le plaisir que tu me procures… Tout à l’heure, tu voulais me dire quelque chose ?— Euh… Je ne sais plus, ça m’a échappé de l’esprit…
Les cours à l’université ont commencé, Marine est forcée de ralentir le rythme de ses visites. Pendant une de leurs séances de caresses, Jean lui fait part de son fantasme refoulé depuis de nombreuses années : lui faire l’amour. Cela la fait sourire, les hommes sont tous les mêmes !— Au point où nous en sommes, j’aurais mauvaise grâce à te le refuser.Elle est un peu déçue, son grand-père est moins habile que son père ! Heureusement il comprend très vite qu’il n’est pas à la hauteur des exigences de la jeune fille et se limite généralement aux caresses simultanées auxquelles il croit l’avoir initié… S’il savait !
A suivre…
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