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Marine et sa famille

Chapitre 6

Inceste
-4- Julien
Julien, jeune ingénieur, remarque la jolie fille à la cafétéria de la société. Il ne l’avait jamais vu. C’est sûrement la nouvelle stagiaire pense-t-il. Elle a l’air un peu perdue sa tasse de café à la main. Il s’approche.— Pardon mademoiselle, vous cherchez quelqu’un ?— Non, c’est la première fois que je viens ici.— Vous avez été embauché récemment ?— Non, je suis en stage dans le cadre de mes études.— Puis-je vous accompagner ?— Avec plaisir.Ils s’installent à une table vide.— Mon nom est Julien. Je travaille dans cette société.— Je m’appelle Marine. Je suis ici pour trois mois. Après je retournerai en fac à X… pour mon diplôme de fin d’études.— X… ? Je dois y créer une filiale de notre groupe dont je prendrai la direction.— Nous aurons peut-être l’occasion de nous revoir alors.C’est ainsi qu’il a fait connaissance avec Marine. Il se rencontre plusieurs fois à la cafétéria. La jeune fille trouve sa conversation intéressante aussi ne fait-elle pas de difficulté lorsqu’il l’invite à déjeuner.La première invitation a été suivie de plusieurs autres. Ils prennent l’habitude de sortir ensemble. Il apprécie de plus en plus sa compagnie mais n’ose s’aventurer trop loin. Il a peur d’être déçu… C’est que Sylvie a placé la barre très haut !Ce n’est qu’au terme du stage qu’il a le courage de l’emmener dans sa chambre et de lui faire l’amour…
Effectivement il est déçu, il espérait trop de cette étreinte. Oh Marine se défend pas mal ! Mieux que les quelques minettes qu’il a connu. Mais Sylvie reste supérieure et ne peut cacher sa déception. De son coté la jeune fille s’attendait au résultat : Julien est un bon amant, meilleur que beaucoup mais il ne vaut pas son père. Néanmoins elle aime être avec lui et le retrouverait avec plaisir s’il venait à X…. Elle voit qu’il n’en est pas de même pour lui.— Qu’est-ce qu’il y a ? Je ne fais pas bien l’amour ?— Si, si !— Mais tu as connu mieux— Euh…— J’ai compris, je crois qu’il est préférable qu’on en reste là.Quel dommage ! Pour une fois qu’elle trouvait un garçon avec qui elle se trouvait bien. Elle se lève et commence à s’habiller.
— S’il te plait ne t’en va pas comme ça ! Je… Je me sens bien avec toi. Je ne veux pas… Euh… Tu ne veux pas qu’on se revoit ?— Pour m’entendre comparer à une rivale, non merci !— Ce n’est pas une rivale !— C’est quoi alors, un fantôme ?— Euh… C’est… Euh…Il ajoute en baissant la voix :— C’est ma mère.— Ta mère, s’exclame Marine ?— Ou…Oui.Il s’attend à un esclandre et ferme les yeux en prévision. Il est tout surpris d’entendre un rire clair. Marine est tout heureuse : elle n’est pas la seule à avoir succombé à l’inceste. Rien n’est perdu avec Julien !— Qu’est-ce qu’il y a de comique ?— Rien, rien, excuse-moi.— Tu acceptes de me revoir ?— Mais oui gros bêta. Quand tu rejoindras X…
Il se débrouille pour accélérer sa mutation et c’est ainsi que peu après il l’attend à la sortie de la faculté.— Toi ici déjà ?— La direction de la boite est pressée que je crée cette filiale. Veux-tu déjeuner avec moi ?Marine contente de le revoir, accepte avec plaisir. Ils prennent l’habitude de se retrouver à midi… Et même le soir… Un jouir après le repas il lui pose la question qui le taraude depuis qu’ils ont couché ensemble pour la première fois.— Pourquoi as-tu ri lorsque j’ai avoué que j’avais des relations avec ma mère ?— Tu m’en veux ?— Non mais conviens que c’est étonnant.— C’est que… Euh… Comment te dire ?… Euh… J’ai avec mon père… Euh… Des relations… Euh— Semblable à celles que j’ai avec ma mère ?— Oui, et… Euh… Lui aussi fait mieux l’amour que toi.— Ah !— Oui. Cela n’empêche pas que j’aime ta compagnie.— C’est vrai ?— Oui. Et si tu tolères que je rejoigne mes parents le week-end il se pourrait que j’accepte si tu me demandes de vivre avec toi !Il la soulève de sa chaise et l’embrasse.
Marine visite son grand-père qu’elle n’avait plus revu depuis le début du stage. Jean renoue avec un plaisir non dissimulé avec la douceur des caresses simultanées.— Comment ça s’est passé avec Camille pendant mon absence ?— Impeccable, mais si je l’avais laissé faire nous aurions consacré tout l’après-midi au sexe ! J’ai du me gendarmer pour que les révisions ne soient pas oubliées. Bien m’en a pris car au vu de ses résultats scolaires mon fils m’a remercié et m’a prié de poursuivre les cours de soutien jusqu’aux vacances. Il m’a même proposé, si je le voulais bien, de suivre les progrès de Camille au lycée l’année prochaine ! S’il savait comment nous passons une partie du temps, il ne serait pas si enthousiaste !— Sûrement ! As-tu dépucelé ta petite fille ?— Non, ce n’est pas l’envie qui m’a manqué mais tu connais mon opinion à ce sujet.— Et avec Laura et Manon ? Sont-elles venues comme elles m’avaient promis ?— Oui. Au départ ce n’a pas été évident. J’ai tout de suite posé comme conditions que le soutien scolaire ne serait pas une plaisanterie et que j’exigeais d’être présent tout l’après midi !— Comment l’ont-elles pris ?— Elles ont fait une figure de mal content, mais devant ma détermination elles ont accepté. Après la leçon je leur ai dit qu’elle pouvait faire ce qu’elles voulaient. Elles étaient un peu inquiètes et je ne les ai pas brusquées me contentant au début de les observer discrètement en faisant semblant de lire.— Au début ? Parce que ensuite…— Elles se sont rendu compte que je n’étais pas un obstacle à leurs amours. A la deuxième leçon elles m’ont demandé si elle pouvait se déshabiller. Tu penses que je n’allais pas leur interdire !— Je m’en doute !— La séance suivante, après leurs ébats Laura a suggéré de me remercier. Elles m’ont gratifié d’une magnifique sucette.— Cela a du te plaire.— Evidemment ! Les révisions sont devenues agréables pour tous mais elles refusent que je les baise ! Elles sont toutes les deux vierges m’ont-elles dit, et entendent le rester !— Pauvre Papy !— C’est ça moque-toi de moi !— Viens va ! Je saurai te dédommager.— Tu ferais ça ? Il est vrai que depuis ton départ je n’ai pas eu l’occasion de faire l’amour.Marine ouvre les bras, Jean s’empresse de la serrer contre lui…— Merci, merci ma chérie, dit Jean lorsqu’il récupère. Je sais que ce n’est pas ce que tu préfères avec moi… Si, si, ne rouspète pas ! Mais pour moi ce sera toujours un enchantement.— Je suis heureuse de te faire plaisir… Au fait, je ne pourrai plus venir aussi souvent. J’ai pendant le stage rencontré un jeune homme…— Ah ! Ah ! Il est bien ?— Comme j’avais toujours rêvé que soit mon fiancé ! Nous avons décidé de vivre ensemble. J’ai emménagé chez lui.— Euh… Tu lui as parlé de nous ?— Non rassure-toi. Ce qui se passe entre nous est notre secret.— Alors ainsi tu quittes le giron familial.— N’est-ce pas le lot de tous les enfants, de prendre leur essor et de vivre leur vie ? Mais sois tranquille je viendrai aussi souvent que je pourrai, Julien…— Parce qu’il s’appelle Julien ?— Ça te choque ?— Euh… Non.— Je disais que Julien ne m’empêche pas de rendre visite à mes parents. J’aurais toujours un instant à te consacrer…
Marine s’est installée chez l’ingénieur. Elle ne le regrette pas et découvre chaque jour un nouvel aspect chez son compagnon qui lui fait apprécier la vie commune.Ils viennent de faire l’amour. Elle repose contre le torse de Julien. Elle est bien. D’accord ce n’est pas le feu d’artifice comme après une étreinte avec son père mais elle est bien. Elle se fait câline :— Tu m’avais promis.— Promis quoi, s’étonne-t-il ?— De me raconter comment cela a commencé avec ta mère.— Je ne t’ai rien promis du tout !— S’il te plait.— Bon j’accepte mais à condition que toi aussi me dévoiles tout.— Si tu veux.— Ben j’avais dix sept ans, j’admirais ma mère qui est une belle femme…
« Julien fantasme sur Sylvie. Il ne loupe aucune occasion de la mâter. Il a même eu la chance un jour d’apercevoir un tétin avant qu’il ne disparaisse sous le t-shirt. Il est ressorti de cette séance de voyeurisme avec une trique d’enfer et s’est isolé dans la salle de bain pour se soulager.— As-tu besoin que l’on t’aide ?Surpris en pleine masturbation Julien se retourne. Horreur ! Sa mère est là qui le contemple un sourire ironique aux lèvres.— On dirait que mon petit garçon a bien grandi ! Approche !Sylvie s’assied sur une chaise. Julien s’avance, cachant son sexe comme il peut. — Tu peux ôter tes mains tu sais, je sais comment c’est fait, je l’ai déjà vu. Je l’ai même nettoyé quand je te baignais. Elle écarte les bras de son fils. La verge comprimée par les doigts se libère. — Waouh ! C’est vrai que ton sexe a grandi ! Une vraie queue d’homme !Soudain elle a envie de toucher cette verge dressée.— Me permets-tu d’examiner si tout est en ordre ?Sylvie tire sur le prépuce. Elle sourit.— Tu es encore puceau mon grand ? Ce n’est pas grave tu as le temps.Ses doigts glissent sur la peau. La queue hoquette de plaisir.— Mmmh, gémit Julien ! Sylvie est hypnotisée par le bout de chair qui palpite dans sa paume. Elle en oublie qu’il appartient à son fils et poursuit la masturbation. Le garçon est rouge comme une tomate et gémit de plus en plus fort. Que la caresse est douce ! Tellement meilleure que lorsqu’il se la procure ! Maintenant Sylvie empoigne la queue à plein main. Le méat s’ouvre et se referme au rythme des mouvements. Le garçon gémit de plus en plus fort.— Tu as mal ?Il ne répond pas et avance le ventre comme si cela augmentait le plaisir. Tout à coup le sperme jailli et manque d’asperger la figure de sa mère.— Ça fait du bien n’est-ce pas !Julien s’enfuit dans sa chambre et s’enfouit la tête dans la couverture. Sa mère l’a fait jouir ! Et quelle jouissance ! Le refera-t-elle ? Il n’osera jamais lui demander… »
— C’est tout, interroge Marine ?— Non. Maman m’a surpris une autre fois dans ma chambre entrain de me faire plaisir et…
« - Encore ?… Veux-tu que je t’aide à nouveau ?Sans attendre une réponse elle empoigne la verge d’une main gourmande et commence à la masturber. Il retrouve la jouissance qu’il avait éprouvé la première fois. Lorsque le lendemain Sylvie entre dès qu’il a sa queue en main Julien devine qu’elle l’a espionné et a attendu le moment propice pour intervenir. Il décide de profiter de la situation.— Tu sais ce qui me ferait plaisir, Maman ?— Dis toujours.— C’est que tu te déshabilles.— Ça va pas non !— S’il te plait.— Pas question !— Je t’en prie.Sylvie hésite. Elle a tellement envie de caresser son fils !— Ce que je ne ferais pas pour toi ! J’accepte mais à condition que toi aussi tu te déshabilles.En réponse Julien ôte son t-shirt…Ils sont nus face à face. Julien ne peut détacher ses yeux des seins, des hanches, du sexe de sa mère. Il peut enfin admirer ce corps qui le fait fantasmer. Sylvie intimidée par le regard de son fils se serre contre lui pour dérober ses appâts à sa vue. C’est pire car la verge durcie presse son pubis. Elle ne résiste pas à l’envie de sexe qui la submerge. Elle guide son fils sur le lit, place la queue au bon endroit, empoigne les fesses de Julien et l’attire à lui… »
— C’est la première fois que je faisais l’amour. C’était merveilleux. Nous n’avons pas cessé depuis. Même maintenant j’ai hâte de retourner voir mes parents le week-end car je sais que je ferai l’amour avec Maman.— Et ton père ? Comment accepte-t-il la situation ?— Je ne sais pas. Il ne nous a jamais faits de reproches.Julien ne dit pas qu’un jour pendant que sa mère et lui faisaient l’amour…
« La porte de la chambre s’ouvre brutalement sur Patrick. Julien veut s’enfuir mais Sylvie l’emprisonne avec les talons. La queue fichée dans le vagin de sa mère il ne peut se dégager.— Je vous y prends ! Voilà à quoi vous passez le temps quand je ne suis pas là ! Tu n’as pas honte Julien ?— Patrick ait pitié de lui. Ne le punit pas, intercède Sylvie !— Ce n’est pas mon intention mais puisqu’il te baise j’ai droit à une compensation !Il fouille du doigt entre les fesses serrées de son fils, trouve l’anus et enfonce une phalange.— Ah tu croyais t’en tirer comme ça !Patrick pistonne dans le cul de son fils. Celui-ci réagit à la caresse.— Oui je sens qu’il revit, s’exclame Sylvie !Julien comprend que ses parents sont de mèche. Il se décontracte. C’est deux doigts qui s’agitent maintenant dans le cul. Aucune douleur au contraire. Quand il juge l’orifice bien préparé Patrick présente sa verge.— Attention Julien, j’entre !Sylvie écarte les cuisses de son fils. Celui-ci sent le gland forcer, franchir le barrage musculaire. Une douleur fugace vite remplacée par un plaisir diffus dans son bas ventre. Il a l’impression de n’avoir jamais autant bandé. C’est aussi l’avis de Sylvie.— Vas-y Patrick, Julien apprécie !Les deux hommes conjuguent leurs coups de reins… »
Non il n’avouera pas à Marine qu’il adore être enculé pendant qu’il baise… Pas encore…— Et toi, tu me racontes ?— Euh…— Dis donc ! Tu avais promis ! Moi je ne t’ai rien caché. C’est à ton tour maintenant !— Que veux-tu savoir ?— Comment ton père et toi en êtes venus à coucher ensemble.— Quand j’avais seize ans, un soir je suis entrée dans la chambre de mes parents…Marine relate ce qui s’est passé ce premier soir, et les week-ends suivants.— Tu n’as pas baisé avec ton père alors ?— Si mais plus tard…Elle raconte comment elle s’est fait dépuceler par Kevin et qu’elle a enfin fait l’amour avec son père.— Tu vois nous sommes pareils toi et moi.— Nous étions faits pour nous rencontrer !
A suivre…
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