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Marine, Montréal et la glace

Chapitre 2

Chemise et champagne

Voyeur / Exhibition
Notre Uber arrivant devant le restaurant, je m’empressai de sortir pour lui ouvrir avant qu’elle n’ait le temps de le faire. Mais cela n’arrive que dans les films, car à peine la porte refermée, elle en était déjà sortie. Elle me sourit et cette fois, je passai devant afin de lui tenir la porte du lieu dans lequel nous allions bruncher.
— Bonjour messieurs-dames.— Bonjour monsieur, c’est pour bruncher, nous sommes deux.— Bien sûr, suivez-moi.
Nous emboitâmes le pas du serveur jusqu’à notre table.
— J’adore ce restaurant, me dit alors Marine.— Moi aussi, je m’y rends tous les week-ends, leur bacon me rend complètement fou.— Moi c’est leur Champagne, me dit-elle avec un petit sourire.— Je vais devoir attendre quelques heures avant d’ingérer la moindre goutte d’alcool.— Dans ce cas, je ne t’attends pas.
Je regardai Marine, vêtue uniquement d’une chemise blanche légèrement froissée et d’un collant. Pour être franc, je n’étais même pas sûr qu’elle avait daigné mettre une culotte. J’étais plongé dans ses yeux marron en amande et son magnifique visage.
Mon regard était aussi inévitablement attiré par son décolleté. Trois boutons étaient ouverts, laissant apparaître jusqu’à la naissance du dessous de ses merveilleux seins. Lors de ses mouvements, il n’était pas rare d’apercevoir une partie de son téton.
Je pense qu’il est temps de vous faire une rapide description de sa poitrine : Je dirai qu’elle possède un bonnet B ; les hommes lisant cette phrase, je vous entends d’ici avec vos « mouais » ou « bof ». Pour moi, la taille de la poitrine n’a pas d’importance. Le plus important, c’est sa forme. Chacune a sa particularité ; pour être franc, toutes sont belles ; celle de Marine était d’avoir les mamelons ombiliqués. Je parie que j’en ai perdu quelques-uns là. Les mamelons ombiliqués sont une spécificité qui signifie que le bout du téton est rétracté sur lui-même. Je trouve ça magnifique, car c’est assez rare. De ma vie, je n’avais jamais vu une telle poitrine. Pour la forme, ils étaient d’une parfaite rondeur.
Sans doute la raison pour laquelle elle pouvait se passer de soutien-gorge. J’étais comme hypnotisé par cette totale absence de pudeur. Je me disais qu’elle avait sûrement remarqué mes yeux divaguer quelque peu vers son décolleté, mais cela ne semblait en aucun cas la perturber. Je pense même que j’étais le seul à être un peu gêné dans cette situation jusqu’à ce que :
— Tu veux que je referme un bouton ? s’exclama-t-elle en souriant.— Je suis désolé, mais mon œil est magnétiquement attiré, et pour ma défense, ils me regardent également.
— Marine éclata de rire lorsque nous fûmes interrompus par le serveur.— Avez-vous fait votre choix jeunes gens ?
Marine prit la carte et répondit :
— Oui, je vous prendrai une salade d’avocat, un croque-monsieur, du bacon, des œufs et des pancakes.
J’étais aussi surpris que le serveur qui notait la commande. Je me demandais où elle allait mettre tout ça.
— Pour moi, ça sera du bacon, des oeufs brouillés et des pommes de terre grenailles.— C’est noté, que désirez-vous boire avec ceci ?— Pour moi, ça sera une coupe de champagne, répondit Marine.
Je souris en coin, commandai un café ainsi qu’un jus d’orange puis le serveur prit la direction d’une autre table.
— Que disions-nous ? me dit Marine d’un air malicieux.— Avant que tu commandes du champagne à 11h du matin ?— Exactement ! Un bon brunch sans champagne c’est comme... un bon brunch sans champagne.— Je vois ! dis-je en rigolant. Et bien, je crois que je disais que ta poitrine me regardait.— Ah oui c’est ça !
Elle baissa la tête et ouvrit un quatrième bouton. J’étais sans voix. Son décolleté démarrait à quasiment dix centimètres sous sa poitrine.
— Je ne voudrais pas les empêcher de te regarder.— ...— Antoine ? Tu veux que j’appelle les pompiers ?— C’est très drôle, mais il va m’en falloir un peu plus avant d’appeler les pompiers.— On verra ça ! me lança-t-elle en se levant et prenant la direction des toilettes.
Je souris d’un air satisfait et regardai Marine déambuler avec une chemise ouverte presque jusqu’au nombril, tous les hommes la regardaient passer. La tenue y faisait beaucoup, mais elle n’avait pas besoin de ça pour faire se retourner un homme. Je bus une gorgée de café que le serveur venait de déposer sur la table. Bien que je tentais de garder mon calme devant Marine, j’étais complètement chamboulé par ce qui se passait. Je sentais une sorte de jalousie de la voir presque à moitié nue dans ce restaurant alors que nous n’étions pas en couple. Elle ne me devait rien. Son assurance me rendait accro. Cependant, aussi bizarre que cela puisse paraître, je ressentais comme une petite excitation de la voir si « dénudée » devant d’autres. Mais pourquoi ? Je me disais que les gens présents dans la salle devaient penser que nous étions ensemble dans la vie et que je laissais ma copine à moitié nue se pavaner entre les tables.
Vous devez me prendre pour un fou, mais à ce moment précis, j’étais complètement tourneboulé et je pensais aussi être fou.
Lorsqu’elle revint, j’admirais sa façon de marcher d’un pas déterminé en regardant droit devant elle.
— Bon, on va à La Baie après le brunch ?
La Baie était un grand centre commercial dans la Rue Sainte-Catherine comparable aux Galeries Lafayette de Paris.
— Ça me va, j’ai quelques achats à faire avant mon retour en France.— Tu penses qu’on se reverra quand je rentrerai en France ? me demande Marine.— Dans combien de temps finiras-tu tes études ?— Dans quatre ans.— J’aurais sûrement une femme et trois enfants.— Hahah ! Je sais que non !— Pourquoi ça ?— Car je te connais depuis bien plus longtemps que tu le penses Antoine... me dit-elle d’un ton solennel.
Je regardai Marine, abasourdi, elle me fixait d’un air gêné. Un silence de quelques secondes s’écoula quand Marine explosa de rire.
— Je plaisante, hier tu m’as dit que tu ne souhaitais pas t’attacher et profiter de ta vie durant les années à venir.— Tu m’as fait tellement peur, je me disais que j’étais tombé sur une psychopathe... Mais tu as raison, pas de projet hors professionnel pour le moment.— Le mot psychopathe est assez faible pour me décrire mon cher, rétorqua-t-elle en plissant ses yeux. D’ailleurs, tu fais quoi dans la vie ?— Je suis Directeur artistique, je m’occupe de la création d’identité visuelle ou de campagne de publicité pour les entreprises.
On pourrait croire qu’il s’agit d’un travail intéressant, néanmoins, il consiste principalement à se faire remonter les bretelles par des clients dépourvus du moindre sens de l’esthétique et engendrer beaucoup de travail pour essuyer des refus. Mais bon, je ne vais pas vous embêter avec ça, je sais que ce qui vous intéresse pour l’instant, c’est Marine avec son assurance, son décolleté, sa poitrine et son sourire ravageur. Comment ai-je pu ne pas aborder ce sujet... Marine avait un sourire radieux, de belles dents blanches parfaitement alignées et comme si ça ne suffisait pas, ses yeux se plissaient lui apportant un charme fou.
À la fin du brunch, Marine avait tout mangé. Ce qui était surprenant quand on voyait sa taille de guêpe. Je me levai afin d’aller payer. En revenant, Marine me remercia et m’en voulu presque d’avoir payé l’addition. Pour moi, c’était normal, j’étais un peu vieille école. Malgré son âge, elle demeurait très mature et réfléchie. Bien sûr, la fougue de ses vingt-et-un ans était bien présente, mais elle avait de la conversation, de la répartie, et une excellente culture. Marine semblait irréelle. J’étais pressé de savoir ce que me réserverait cette dernière journée montréalaise.
!!! Dans le prochain chapitre, Antoine passera sa journée en compagnie de Marine qui lui réservera quelques surprises qu’il n’est pas près d’oublier...!!!
—!\ CECI EST TIRE D’UNE HISTOIRE VRAIE - JE TENTE D’ÉCRIRE UN MANUSCRIT COMPLET, MAIS JE POSTERAI UNIQUEMENT TROIS CHAPITRES ICI. JE FAIS APPEL A VOUS POUR M’AIDER EN ME DISANT EN COMMENTAIRE CE QUE JE DEVRAIS AMÉLIORER. CETTE PARTIE DE MA VIE ME TIENT BEAUCOUP A CŒUR ET J’AIMERAI LA RENDRE LA PLUS IMMERSIVE POSSIBLE. MERCI A VOUS ET BONNE LECTURE POUR LA SUITE. /!\
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