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Marion ; une veuve, une maman

Chapitre 10

Inceste
Marion avait défait son chignon, s’était démaquillée, mais elle était encore habillée ; elle n’entendit pas son fils qui approchait, sursauta quand il l’enlaça.
Il lui mordilla l’épaule, lui empauma les seins par dessous. Elle se retourna, prit son visage entre ses mains, se pencha vers lui les lèvres entrouvertes. Ils s’embrassèrent avec la même fougue, la même urgence un peu gauche que deux amants privés trop longtemps. Il passa les mains sous sa robe, les glissa dans sa culotte ; il lui agrippa les fesses, les fit rouler sous ses doigts.
Il l’entraina, trébucha, tomba assis sur le lit ; il enfonça le visage dans son ventre en la maintenant par le cul. Elle se dégagea, recula, le toisa ; elle dégrafa sa robe, se tortilla jusqu’à ce qu’elle tombe à ses pieds.
Le porte-jarretelle, la culotte en dentelle, les bas de soie, les seins dans les bonnets pleins...  — Oh, maman ! C’est pour moi, tout ça ? — Sois gentil, mon chéri, tais-toi.Il la prit par la taille, l’attira, cueillit son derrière dans ses mains, le soupesa, et puis, n’y tenant plus, il se leva d’un bond et se déshabilla.
Il se laissa tomber sur le lit, avec sa mère dans les bras. Il s’attaqua au soutien gorge. Il était impatient, il tremblait. Il était maladroit, pourtant il parvint à dégrafer le mécanisme compliqué. L’attache céda, la lourde poitrine fut libérée. Les gros seins blancs jaillirent. Ses tétons pointaient. Il tira sur sa culotte, plusieurs fois, la déchira. Marion cria. Elle n’avait plus que ses bas, attachés au porte-jarretelles qu’il avait épargné. Elle avait conservé ses talons aiguilles aux pieds.

Elle était nue sur le lit, avec lui, nu aussi. Ses seins. Sa chatte. Son cul. Tout était à lui. Toute la nuit. Elle voulut éteindre la lampe de chevet, mais il l’arrêta.— Non ! Laisse la lumière allumée... Je veux pouvoir te voir !Ecarlate, haletant, il lui monta dessus. Il chercha tout de suite à la pénétrer, mais sa queue buta sur le sexe dont il ne trouvait pas l’entrée. Il se démena, se trémoussa, sans plus de succès.— J’y arrive pas, maman, pleurnicha-t-il, humilié de se montrer si empoté. Ses craintes étaient fondées : il pouvait faire d’elle ce qu’il voulait, mais il était incapable de la baiser.
Marion avait imaginé que ce moment, si important pour lui, se passerait en douceur, avec de la complicité et beaucoup de tendresse. Elle ne voulait pas qu’il conserve de sa première fois le souvenir d’un rapport qui ne serait qu’animal, un coït bestial. — Calme-toi... regarde-moi... tu es trop énervé !Il avait un regard de fou. Il était si excité qu’elle n’osait pas le toucher, ne savait pas par où commencer. Elle s’installa dans le même axe que lui, écarta les cuisses, le guida du bout des doigts. Mathieu sentit son gland entrer dans une matière molle et gluante ; sa mère mouillait tellement qu’il eut l’impression d’être aspiré tout entier, quand sa queue glissa au fond du vagin. — Oh, maman, comme tu es chaude dedans... C’est bouillant ! Marion hoqueta de surprise, souleva son bassin, le dévisagea les yeux écarquillés. Elle craignait qu’il décharge trop vite, qu’il n’arrive pas à se contrôler, et voilà que c’est elle qui jouissait d’une simple poussée. Elle n’en revenait pas.

Il s’agita, la pilonna furieusement. Il voyait les gros seins qui remuaient, ballotés sous ses violents coups de reins. Il les regardait, hypnotisé, et il sentit que son plaisir arrivait. Trop vite. Les frissons, les délicieux picotements, la chair de poule, et puis l’immense chaleur. Il éjacula en sanglotant de bonheur. — Pardon, maman... j’ai pas pu me retenir... je suis désolé.— Ne bouge plus... laisse-moi faire... maman va s’occuper de toi.Elle croisa, très haut, les jambes dans son dos, creusa les reins. Elle enfonça sa langue dans la bouche de son fils, lui comprima la queue en contractant les muscles de son vagin. Le résultat fut immédiat.— Tu vois ! Je le savais ! Tu n’as aucune raison de t’excuser, tu es déjà prêt à recommencer.Comme elle était rassurante, comme elle le connaissait bien !

Il venait d’éjaculer, et, cette fois, il prit tout son temps. Il était attentif, sensible aux variations qui intervenaient sur la physionomie de sa mère. Elles lui indiquaient l’intensité du plaisir qu’il lui procurait, et il la manœuvrait en fonction. A un moment elle se crispa, lui mordit l’épaule pour étouffer son cri, le serra très fort dans ses bras. Elle lui fit des éloges crapuleux, en chuchotant, la bouche collée à son oreille. — Oui, mon chéri... comme ça... vas-y, continue... Baise ta maman ! Donne tout ce que tu as... Baise-moi !Il se rendit compte qu’elle jouissait, mais qu’elle se retenait de crier, à cause des invités dans les chambres d’à côté. Ça l’empêchait de se libérer, d’être vraiment satisfaite, alors elle recommença à s’agiter sous lui, frénétiquement, de manière compulsive, pour profiter de sa grosse queue qui la remplissait. Elle était insatiable. Il la baisa longtemps.

Elle finit par avoir un orgasme qui la dévasta, et il fut obligé de la bâillonner, avec sa main, pour l’empêcher de hurler. Il éjacula dans la foulée. Il ferma les yeux, visualisa le trajet de son éjaculation. Ce fut comme un flash. Il « vit » sa semence envahir la matrice maternelle, ses spermatozoïdes partir à la rencontre d’ovules à féconder. Il en fut profondément perturbé. Il n’avait jamais pensé à sa mère de cette façon. Il ne la baisait pas pour ce genre de raison, il n’avait pas l’intention de lui faire un enfant. Il ne pouvait pas se douter qu’il adoptait, inconsciemment, à son corps défendant, le comportement d’un mâle alpha qui poursuit un seul objectif : engrosser la femelle qu’il a choisi.
Par un surprenant mimétisme de circonstance, Marion partageait les mêmes tourments que lui, mais d’un point de vue différent. L’idée que son fils puisse la mettre enceinte lui paraissait si inconcevable, si abominable, qu’elle réalisa qu’un moyen de contraception allait devenir indispensable. Michel mettait toujours un préservatif avant de la baiser. Quand elle était mariée, elle s’était fait poser un stérilet ; son mari avait, à l’époque, un gros appétit sexuel, et deux enfants leur suffisaient. Elle allait devoir s’en faire poser un à nouveau, mais pour éviter de se faire engrosser par son enfant cette fois...

Elle chassa ses vilaines pensées. Il lui avait donné beaucoup de plaisir, elle se sentait d’humeur câline. Ils  restèrent côte à côte, s’enlacèrent, se caressèrent, s’embrassèrent, coupables mais comblés. — Allez, mon chéri, sois gentil, retourne dans ton lit maintenant.— Je veux dormir avec toi, maman.— Sois raisonnable, mon poussin... tu sais bien que si tu restes avec moi, nous ne dormirons pas !Sa remarque le toucha en plein cœur. Elle lui parlait comme à un amant performant, pas comme à un fils. Elle se leva, fit quelques pas, toujours juchée sur ses talons hauts ; il admira son cul charnu, les belles fesses qui tremblaient quand elle avançait. Elle entra dans la salle de bain, fit couler de l’eau, revint une fois rafraichie.— Je t’en prie, Mathieu, ne fais pas d’histoires... S’il te plait !Il lui obéit à regret, sortit de son lit, regagna le sien. Il la regarda se déchausser, dégrafer le porte-jarretelles, enlever ses bas avec des gestes lents, d’un érotisme troublant. Elle entra toute nue sous les draps, lui souhaita bonne nuit, éteignit la lumière. Ils s’endormirent aussi rapidement l’un que l’autre... 

Il se réveilla en nage. Il pensa tout de suite à sa mère, à ce qu’ils avaient fait. Il s’assit sur son lit, cligna des yeux pour s’habituer à l’obscurité ; il distingua, dans la pénombre, sa silhouette endormie. Il se leva, alla pisser, puis entrebâilla les volets pour que la lumière du jour pénètre dans la chambre. Il s’approcha du lit, tira doucement sur le drap.
Certains hommes se pâment devant les belles voitures, d’autres ont des passions plus secrètes ; Mathieu réalisa que rien n’égalerait jamais le spectacle qu’il avait sous les yeux. Le corps de sa mère était la plus belle chose au monde à ses yeux, le plus puissant aphrodisiaque dont il puisse rêver. Il agissait sur lui comme la plus addictive des drogues récréatives. Il en était accro et voulait le rester le plus longtemps possible, ne jamais  en être désintoxiqué.
Elle dormait sur le ventre. Il referma ses doigts autour des chevilles délicates, lui écarta les jambes. Elle ne réagit pas. Il pouvait distinguer, derrière la touffe de poils emmêlés, la fente qui baillait. Il se laissa tomber sur le lit, rampa entre ses cuisses, approcha son visage de la vulve. Elle sentait fort. Sa chatte exhalait un parfum obsédant. Il la gouta du bout de la langue, lécha la chair intime, trouva la saveur exquise aussi. Elle se réveilla.— Mathieu ? Mais qu’est-ce que tu fais ? Qu’est-ce qui te prend ? Je n’ai pas fait ma toilette... je suis sale... tu es dégoutant ! — Mais non, maman, au contraire... tu es succulente !Elle l’implora mais ondula pourtant, comme si, malgré ses dénégations, elle n’attendait que ça. Elle gémit tout le temps qu’il la dévora, mordit l’oreiller pour étouffer ses cris.
Après, ils changèrent de place. Il remonta, se cala le dos contre l’oreiller, écarta les jambes, l’invita en la tentant avec son érection. Marion s’installa à plat ventre entre les cuisses de son fils, en appui sur les avant-bras, replia les genoux, sous elle, pour soulever son derrière, en hauteur. Elle lui fit son premier cadeau de la journée, dans cette position de chienne en chaleur. Après tout, c’était Noël !
Mathieu pouvait voir, simultanément, la bouche de sa mère qui s’affairait, et son cul cambré dans le reflet du miroir de l’armoire. Elle lui caressa les couilles, les soupesa, lui aspira la queue sans le quitter des yeux. Elle le suça, s’empiffra, l’avala si loin qu’il se demanda comment elle faisait pour ne pas s’étouffer. Marion savait, en bonne suceuse expérimentée, que la fellation est avant tout une pratique sexuelle qui se « regarde ».
Elle voulait qu’il profite autant du spectacle qu’elle lui offrait que de sa technique irréprochable Elle lui tailla la pipe de sa vie, les yeux dans les yeux, jusqu’à ce qu’il décharge. Il la vit déglutir, avaler sa semence en grimaçant.
Ils restèrent vautrés l’un sur l’autre, humides de sueur. Mathieu avait pris un nichon dans sa bouche, et il le tétait paresseusement, mordillait le téton pour qu’il enfle entre ses lèvres. Marion lui caressait langoureusement le torse et le ventre, lui faisait un suçon dans le cou.

Ils étaient sur le point de s’assoupir, ivres de plaisir, quand ils entendirent la grosse voix de Martin qui résonnait en bas des escaliers...
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