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Marjorie, mon assistante un peu spéciale

Chapitre 1

Mon premier jour

Divers
Ding, dong, bzzzzz, la porte s’ouvre.Je me présente à la réception de la société et décline mon identité :
— Bonjour, madame, je suis Monsieur Paul Duchemin.
La réceptionniste me regarde, tape quelque chose sur son ordinateur, me remet une enveloppe en souriant :
— Bonjour, Monsieur Duchemin, bienvenue parmi nous. Voici votre badge et vos identifiants. Votre bureau est situé du côté du boulevard, c’est le 248, au second étage. Voulez-vous que j’appelle votre assistante pour vous accompagner ? Je pense que l’on ne vous attendait que demain.— Non, cela ira très bien. Je vais me débrouiller seul. Merci madame et bonne journée.
Alors, j’ouvre l’enveloppe et e prends mon badge, je traverse la porte de sécurité pour prendre l’ascenseur jusqu’au second étage. Je m’avance dans un couloir en recherchant mon bureau lorsque je rencontre deux jeunes femmes en pleine discussion. La première est une grande blonde à impressionnante poitrine. Elle est habillée d’une minijupe, de hauts talons d’une couleur rose bonbon. La seconde est une craquante métisse. Ainsi, je les entends toutes les deux parler :
— Oui, le nouveau supérieur va arriver demain. Il paraît qu’il est difficile…— Moi, je fais mon travail, réponds la black. Je n’ai jamais eu de problème avec mes patrons.— Les chefs, il faut les mater, moi, je te dis, je fais mes huit heures et je me casse, ajoute la blonde. S’il a besoin de quelque chose après mes heures, il se débrouille : je ne suis pas ni une esclave, ni sa maman.
Je m’approche et je les interromps :
— Bonjour, mesdemoiselles, je cherche le côté boulevard.
La blonde me dévisage, et déclare tout en mettant en avant sa poitrine plantureuse qui dévoile un décolté plongeant. Elle pointe du doigt ses seins et déclare :
— Tu penses que je suis une borne d’information ou quoi ? Démerde-toi.
La splendide métisse m’indique le couloir opposé et me dit :

— C’est par là, monsieur. Excusez là, elle est nerveuse, elle va changer de directeur.— Je vous remercie, dis-je. Bonne journée.
Je parcours le couloir dans l’autre sens et trouve facilement le bureau 248. Je m’assieds, me connecte à l’ordinateur et démarre une vidéo conférence avec un grand chef de la boîte qui m’a engagé. Nous étions à l’université ensemble. Il est au siège de Paris.
— Salut, Paul me dit qu’il.— Salut Charles, comment ça va ?
Charles et moi nous avons été amis très proche à la fac, nous nous sommes perdus de vue, et c’est vraiment par accident que j’ai rejoint sa société. Il n’est pas le directeur général, mais très proche de la direction. Lorsque nous étions étudiants, nous avons fait les 400 coups ensemble. Soudainement, la porte de mon bureau s’ouvre, et la blonde apparaît :
— Mais, que faites-vous là. C’est le bureau d’un nouveau directeur. Tu prends tes affaires, et tu te casses avant qu’il n’arrive.
Elle regarde ensuite l’écran de vidéo conférence et aperçoit mon copain, celui-ci prend un air sérieux. La blonde renchérit à destination de la télévision :
— Excusez-le, Monsieur Charles Dubois, j’ignore ce que cette personne vient faire ici et pourquoi il vous dérange, je vais le congédier, ne vous inquiétez pas, et bonne journée Monsieur Charles Dubois.
Mon copain s’esclaffe de rire :
— Marjorie, je pense que vous venez juste de faire connaissance avec votre nouveau directeur. Allez, je vous laisse tous les deux, j’ai une réunion à préparer. Bonne journée Paul, et on se tient au jus. Tu n’hésites pas, tu appelles quand tu veux ou si tu as besoin. "Welcome on board my friend !"
La blonde me regarde médusée. Je ne dis rien. Je prends un instant pour la dévisager. Je regarde son visage et je réalise seulement comme elle est belle, c’est une véritable Barbie. De longs cheveux blonds, de superbes yeux bleu profond dont les cils sont parfaitement dressés par une subtile touche de mascara. Une bouche pulpeuse dont le rouge à lèvre est assorti à sa tenue.Elle est habillée comme une prostituée russe, mais quel corps de rêve, un cul parfait, pas trop gros, ni trop petit, des seins énormes bien mis en valeur pour un soutien-gorge pigeonnant, la tenue rose bonbon est assortie à ses chaussures et elle la porte à merveille. On a juste envie de lui enlever.
— Je vous présente mes excuses, monsieur, j’ignorais que c’était vous. Je ne vous attendais que demain.— Ce n’est pas réellement grave. Je comprends que parfois, on est fatigué d’être sollicité, mais ce que je ne comprends pas pourquoi vous êtes si grossière ?— Je m’excuse, cela ne se reproduira plus avec vous, monsieur.— Non, ce n’est pas ce que je veux dire. Je voudrais que vous soyez poli avec tout le monde. — Monsieur, avec tout le respect que je vous dois : tous les hommes ne pensent qu’à coucher avec moi. Mon fiancé en est presque jaloux. Et, moi, vous savez, je n’ai pas demandé à avoir ce corps de rêve, mais comme je l’ai, j’en use.— Je peux comprendre qu’avec votre physique, vous attirez les regards, mais ce n’est pas une raison pour être impoli. Cette affaire est close. Je dois maintenant travailler. Est-ce que j’ai bien compris que vous serez mon assistante ?— Oui, monsieur, de quoi avez-vous besoin ?— De rien pour l’instant. Je commence à étudier mes dossiers. Fermez la porte en sortant, j’aime le calme pour me concentrer.— Bien sûr, monsieur, n’hésitez pas à m’appeler si vous avez besoin de moi.
Tout en pensant que j’aurais bien besoin d’elle pour certaines faveurs d’ordre sexuelles, je réponds :
— Je n’y manquerai pas. À tout à l’heure, mademoiselle.
Quelle entrée en matière… J’ai une secrétaire est top canon : ce n’est pas fait pour me déranger, toutefois quel caractère de merde. Il va falloir la dresser.Au bout de deux heures de travail, j’ai envie d’un café et j’appelle Marjorie.
— Mademoiselle, j’aimerais un café, pourriez-vous s’il vous plait...
Elle m’interrompt sans me laisser finir ma phrase.
— Je suis assistante, pas ta servante, si tu veux un café, tu vas le chercher toi-même, c’est bien compris ?— Je disais : je souhaiterais un café, pourriez-vous s’il vous plait me montrer où se trouve la machine. Tu n’as absolument aucune politesse Marjorie.— Je ne vous autorise pas à m’appeler par mon prénom, no d’ailleurs à me tutoyer. Tu te prends pour qui ?— Je suis ton supérieur hiérarchique. Il est maintenant temps de mettre les choses au point entre nous. Tout d’abord, tu fermes ta grande gueule et tu ne réponds que si je t’interroge. Ensuite, tu me vouvoies et tu m’appelles.
Monsieur. Si j’ai l’envie de te tutoyer ou de t’appeler par ton prénom, c’est mon droit. As-tu compris ?
— Mais il se prend pour qui le conard ?— La réponse attendue, c’était : "Oui, Monsieur". Va me chercher un long café noir sans sucre ou tu prends la porte sans indemnités.
Je vois son visage qui blêmit et elle répond Oui, Monsieur, en quittant la pièce.Elle revient quelques minutes plus tard, le dépose sans un mot et quitte mon bureau. Le reste de la journée se passe sans incident.
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