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Marjorie, mon assistante un peu spéciale

Chapitre 2

la prime

Divers
Deuxième jour, je suis un lève-tôt et je travaille dès 6:30. Marjorie arrive vers 9:30 aujourd’hui, elle est vêtue de blanc : un top blanc à travers lequel je devine ces énormes seins. Comme elle porte un blazer en fourrure synthétique, je ne vois pas si ses tétons pointent. Je décide de vérifier. — allez donc nous chercher un café, s’il vous plait, j’ai ensuite un rapport à vous faire rédiger pour le comité exécutif.
— J’avais prévu de prendre un café avec Princesse. Ça ne m’arrange pas. Elle m’énerve au plus haut point :
— est-ce trop vous demander de faire votre travail ? — arrêtez de râler !, me répond-elle. Finalement, elle va nous chercher un café. Pendant ce temps, j’en profite pour mettre le chauffage à fond. Je prends le temps d’expliquer longuement ce que j’attends d’elle et le miracle se produit : elle enlève sa veste et je vous par transparence ces larges aréoles ainsi que ces tétons. Je me demande si ses seins sont vrais. S’il s’agit d’une opération, c’est vraiment bien fait. Rien de plus facile pour vérifier : je laisse tomber mon stylo par terre et elle se penche pour le ramasser. En se relevant, je constate au mouvement qu’ils sont naturels ! Je la laisse commencer la rédaction du rapport et je continue mon travail. Avant l’heure de manger, je vérifie ce qui a été fait. C’est réellement du mauvais travail.
— Vous n’avez pas suivi mes consignes. C’est un piètre travail.
— Je n’ai pas le temps de vous écouter, je dois aller manger avec mon fiancé, me répond-elle. — Et vous faites aussi l’amour avec lui comme votre travail, bâclé ?C’est sorti tout seul tellement elle m’énerve. Elle me regarde et répond :
— Mais je déteste faire l’amour. Il a le droit de me baiser une fois par mois et encore s’il m’offre un cadeau avant. Je ne l’ai jamais sucé ou prit dans le cul par exemple. Je n’aime pas cela.
Là-dessus, elle me laisse en plan, je suis abasourdi. Elle est partie, mais je constate qu’elle n’a pas verrouillé son ordinateur. Je fouille son compte Facebook, rien que de la mode. Son historique de navigation ne contient que des liens vers des magasins de vêtements. Rien de spécial au niveau email privé sinon des conversations insipides avec des copines. J’en profite pour installer un logiciel espion sur sa machine. Je rédige moi-même le rapport et je l’envoie.
Le lendemain, même situation, elle arrive tard. Elle porte une robe rouge et des talons assortis et ne porte apparemment aucun sous-vêtement. Il n’y a aucune ligne laissée par un soutien-gorge ou une culotte.
Le logiciel espion me permet de connaitre son mot de passe. Lorsqu’elle part faire le tour des assistantes, j’en profite pour subtiliser son téléphone. Instagram, Tik-Tok, Snapchat sont une mine d’information pour moi. Je découvre qu’elle fréquente plusieurs sites de rencontres. Elle semble avoir quelques prétendants au cas où elle romprait avec son fiancé. Je prends quelques copies d’écran. Bien caché au milieu d’icônes diverses, je trouve néanmoins une application spéciale : un contrôleur pour sextoy connecté. Je recopie soigneusement le code de partage. Se pourrait-il qu’elle le porte en ce moment ? J’installe l’application sur mon téléphone et saisis le code. Au retour de Marjorie, j’enclenche discrètement l’application. Aucun bruit, mais a la façon dont elle se bouge, l’engin est en place. Je la vois frénétiquement saisir son téléphone, probablement pour arrêter le jouet, mais je l’appelle d’un ton qui ne laisse pas place à la contestation.
Elle arrive dans mon bureau, j’arrête l’application et je lui demande de prendre note pour un mémo. Tout en dictant, je ré-enclenche le programme en mode "jouissance du dragon" : elle se mord les lèvres, croise les jambes, elle ne tient plus en place et soudainement retient un cri. Je fais comme si je n’avais rien remarqué, en revanche, c’est sûr qu’elle a joui. Lorsque je la congédie, une tache de liquide couvre l’arrière de sa robe. Elle doit être adepte des plaisirs solitaires pour s’enfiler un jouet, mais refuser son corps a son futur mari.
Mon premier rapport au comité exécutif est un véritable succès. J’ai réussi en trois jours à résoudre un problème dont ils cherchaient la solution depuis des mois. Je reçois un bonus extraordinaire, et ma secrétaire n’est pas oubliée. C’est très frustrant, personnellement, qu’elle soit financièrement remerciée pour un travail qu’elle n’a pas effectué. Je décide d’en tirer parti et je l’invite ainsi que son fiancé au restaurant. J’utilise la soirée pour faire connaissance avec le jeune homme et profitant d’une pause de Marjorie aux toilettes pour lui faire dire ce que je sais déjà : c’est physiquement une bombe, mais elle a un sale caractère et aucune envie sexuelle.
Lors du dessert, je remets le chèque à Marjorie en félicitant son homme de sa chance d’avoir une si charmante fiancée. Je leur conseille ensuite un placement financier dans un hôpital que je connais. Kevin, le fiancé de Marjorie, désire en savoir plus. Je lui donne rendez-vous en privé pour lui expliquer.
— Il s’agit de la clinique privée du docteur Farrell. Lorsque je parlais d’un investissement, ce spécialiste va faire de Marjorie une bête de sexe et comme je pense que les gros seins vous intéressent, il pourrait encore les agrandir. En tout cas, il la formera à l’obéissance et aux plaisirs de la chair.
— Je ne veux pas de chirurgie, déclare Kevin. — C’est un établissement très particulier. Aucune chirurgie, mais des étirements mammaires conjugués avec un conditionnement psychologique. Cela fait mal, c’est long, mais le résultat est là. Je dirais même satisfait ou remboursé.— Je ne veux pas que Marjorie ait mal. Je lui montre alors les photos de son portable, lui indique les tromperies potentielles et il est convaincu.
— J’arrange tout pour toi.
Quelques jours plus tard, une camionnette anonyme s’arrête devant le bureau. Deux hommes en sortent et se présentent à la réception.
Marjorie est appelée, elle doit les suivre. En tant que responsable, je lui autorise un congé sans solde. La voilà partie à la vue de tous. Ce qu’elle ignore encore, c’est qu’elle est partie pour un voyage très particulier.
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