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Marlyse

Chapitre 4

Orgie / Partouze
Chapitre 4

Deux mois plus tard, réunion un peu orageuse chez les Rostan, Jacques veut continuer ses études à Lausanne et se pose la question du logement. Sa mère soutient l’idée d’avoir un logement décent et non pas une chambre d’étudiant. Jacques, évidemment, abonde dans ce sens et même, complète les arguments.
«  Louis a aussi envie de venir à Lausanne, il le mérite, car il a des meilleures notes que moi et on pourrait avoir un logement commun et même si la place est suffisante, Maman pourrait venir surveiller nos études !– Tu me prends pour un con ?– Mais non, papa, on pourrait, par la même occasion, déménager Génie ici et cela libérerait un appartement et comme les loyers sont plus chers à Genève qu’à Lausanne, tout le monde y gagnerait !.. On pourrait même envisager un système de rotation avec Maman et Génie, de ce fait, tu aurais deux femmes différentes dans le temps pour réveiller ta libido, qui selon Maman, est un peu au point mort !– Tes arguments sont intéressants, mais tu y vas un peu fort !– Non, à part un amour-propre mal placé, je ne vois pas de faille dans mon raisonnement si Génie est d’accord !.. Tu pourrais même l’engager comme secrétaire, elle serait mieux que où elle est maintenant !.. Elle m’a confié que son patron est un gros dégueulasse pas beau, qui menace de la renvoyer si elle n’accède pas à ses désirs, au moins comme cela tu n’auras pas de réchauffé et je pense qu’elle t’en saura vraiment gré !– Au fait, tu veux faire quoi comme études à Lausanne, le droit ?.. Je vois que tu deviens un champion pour avancer des arguments foireux !– Ne le prends pas mal, j’essaye de faire pour le mieux pour tous !– Mais, dis-moi, quand Marlyse vient se ressourcer, cela veut dire que j’aurai deux femmes ici à satisfaire ? Ou, je n’ai pas bien compris !– Mais Papa, réfléchis, ce serait une trop lourde charge d’assurer ton travail et simultanément assurer auprès de 2 tigresses déchaînées, exceptionnellement, on hébergerait Génie, le temps que Maman se ressource et cela permettrait d’éviter de fausses rumeurs !.. Peut-être que cela lui plairait, à Génie, de s’occuper aussi un peu de son fils et de ne pas tout laisser sur les épaules de Marlyse !– Je dois reconnaître que tu m’as presque convaincu, effectivement avec Marlyse, les années de mariage ont entamé sérieusement la flamme de la passion !.. Il faut dire que je ne la savais pas si cochonne pour baiser avec vous deux en même temps, c’est vrai que cela met du piment dans notre existence !– Tu ne veux quand même pas dire que tu envisages un plan à 4 ou à 5 ? S’inquiète Marlyse.– Je ne le pensais pas, mais finalement cela pourrait être drôlement ludique !– Bon, on verra cela pour les prochaines vacances, on les fera à 5 à ce moment. !.. Alors, c’est d’accord ? Nous sommes obligés d’avoir ton accord, puisque tu payes !
– Ok, mais tu te charges de tout, je ne veux pas interférer autrement qu’en payant ! »
C’est ainsi qu’en septembre, à la reprise de l’année universitaire, les trois se retrouvent dans un appartement sympa à Ecublens, tout près du centre universitaire. Les deux ont choisi la voie technique et sont à École Polytechnique Fédérale de Lausanne. Ce n’est vraiment pas du gâteau et souvent ils ne sont pas de trop de travailler à deux sur certains sujets. Marlyse fait un max pour soulager ses deux chéris, des soucis matériels, entre autres. Elle est très ferme sur le devoir de réussir. Une mauvaise appréciation d’un professeur, c’est ceinture pour une semaine au niveau de la bourse.
Mais avec un challenge de cette taille, les deux garçons sont super compétitifs et tout leur réussit, même les filles, (il y en a quelques-unes) les sentant un peu indifférents, n’hésitent pas à les inciter au flirt, mais sans trop de succès, elles en viennent, de dépit, à les traiter d’homosexuels.Devant le challenge, ils se sentent un peu obligés de faire une fête à l’appartement et soumettent le plan à Marlyse qui comprenant les raisons, accepte d’organiser une petite fête entre quelques personnes. Mais il faudra faire quelques aménagements pour ne pas laisser la suspicion s’installer.
Finalement, la soirée se passe bien, il y a un copain qu’ils ont trouvé vraiment sympa et deux filles qui sont plutôt en commercial. On passe la soirée à boire et à danser, les couples se forment et se déforment au gré de la soirée. Du Tango langoureux suit le slow aux mains exploratrices et aux lippes quémandeuses. Les filles ne sont pas trop farouches et rapidement les tenues sont très allégées, Marie, la plus délurée, a déjà perdu sa culotte et Jean, le copain, s’est spécialement "sacrifié" pour la belle mature que représente Marlyse. Elle en est enchantée d’agrandir son champ d’investigation et laisse ses deux mâles en semi-rut s’occuper des deux filles. Elles ne sont pas en reste et Marie danse avec pratiquement la main dans le pantalon de Jacques en massant gentiment ce qu’il y a dedans. Ce n’est, finalement, pas très agréable quand on danse en jeans et, pour tourner le problème, Jacques propose à la fin de la danse de faire un strip-poker, qui permettra d’alléger un peu la tenue. Curieux, Jean demande :
« Marlyse, aussi ?– Pourquoi cette question, répond-elle, si tu penses que je suis trop vieille pour faire des bêtises, c’est que tu me connais mal, mon ami !– Moi, je ne demande pas mieux !– Je brasse les cartes alors, mais quelles sont les règles ?– À chaque tour, au début, le perdant doit enlever un vêtement !– Je pars désavantagée, s’insurge Marie, j’ai déjà enlevé ma culotte, j’avais trop chaud !– Désavantagée ou avantagée ? Réplique Jacques qui avait remarqué la chose.– Et jusqu’où mène-t-on le jeu ? S’inquiète un peu Marlyse.– J’allais dire jusqu’au slip, mais vu la situation, on va dire jusqu’à ce qu’il ne reste qu’un habit !– Cela sent un peu la partouze ! Remarque Jean.– Avant de commencer, qui est contre et qui est pour ? »
Finalement tout le monde, pour ne pas paraître dégonflé, accepte le jeu, même si les filles ne sont pas trop chaudes, mais l’euphorie du moment, le trouble dû aux vignes du Chardonnay l’emporte et de toute façon, ces deux jeunes filles ont déjà passé le bac et c’est connu à la contrepèterie près qu’une fois le bac passé les jeunes filles jettent leur Kant au feu (jettent leur fente aux queues). La partie se déroule normalement et les chances sont vraiment partagées, ce qui fait que les joueurs se retrouvent, après un certain temps, en tenues très légères. Les regards affamés, tant des mecs que des nanas, apprécient et supputent la suite de la nuit. C’est alors que Jean qui est un peu pervers dans la forme propose que pour la suite, le gagnant impose au perdant un gage.
« Qu’est-ce que tu entends par gage, cela reste dans la bienséance ou on plonge dans la débauche et la fornication ? Remarque Marlyse, qui reste tout de même avec les pieds sur terre.– Je ne sais pas, il faut l’assentiment de tous, dans un sens ou dans l’autre ! »
Marie remarque :
– Moi, de toute façon, cette nuit, j’ai envie de baiser et rebaiser, alors la deuxième solution me convient !– Pour moi, réplique Marlyse, du moment qu’il n’y ait pas d’inceste, je suis aussi partante, ce n’est pas tous les jours qu’on fait la fête !– Pour nous, c’est OK ! » Répondent les autres.
La partie se poursuit et le premier à gagner, c’est Marlyse qui est bien embêtée de devoir demander ce premier gage à Jean qui lui a perdu.
– Est-ce que le gagnant peut faire partie du gage ou en est exclu ou doit-il en faire partie ? Demande-t-elle.– Non, c’est libre, à 100 % !– Eh bien Jean, je propose que tu nous présentes ton service trois pièces et que tu te masturbes jusqu’au bout devant nous !– D’entrée, c’est un gage lourd ! S’exclame-t-il, mais le jeu, c’est le jeu et il baisse son slip et présente sa queue qu’il commence à branler.– Attends un peu, je vais te passer un kleenex, sinon tu vas en foutre partout ! Proteste Louis.– Merci ! »
En se paluchant la tige, devant l’excitation de tous, il réussit à remplir sa mission et son mouchoir.
– On continue le jeu ? » Dit-il, bien décidé à avoir une revanche.
Le jeu suivant, c’est Louis qui a gagné et Marie a perdu.
« J’aimerais que les deux filles fassent un 69 ! »
Josie, qui n’avait pas perdu, proteste :
« Tu n’as pas le droit de me demander comme si j’avais un gage. Tu peux éventuellement te proposer pour faire un 69 avec Marie, je suis sûre qu’elle sera partante !– Oui, sautille-t-elle, cela fait un moment que je guigne sur ton bambou ! »
Les deux montent sur le canapé et se mettent en tête bêche. Louis a l’air de bien apprécier la petite forêt de mélèzes qui orne le bas-ventre de Marie.
« Humm, cela m’a l’air bien appétissant tout ça ! Je crois que j’ai fait le bon choix !– Et moi, avec ce "Carambar" de derrière les fagots, je sens que je ne vais pas tarder à avoir une bonne crème de pruneaux pour honorer mon œsophage !– Dis-moi, la petite fève qui est plantée au haut de tes lèvres, elle est comprise dans le menu ?– C’est même une partie obligatoire ! »
Quelques errements plus loin, y compris les orgasmes les accompagnant, le jeu reprend, mais cette fois, dû à l’impatience de conclure, les deux gagnants imposeront, après consultations,, leur gage aux deux perdants et les deux autres regarderont. Cette fois, c’est Josi et Marlyse qui ont perdu et Louis et Jacques ont gagné.
« Bon, pour reprendre l’idée de Marie, je suggérerais que Marlyse et Josi se fassent un 69 !.. Tu n’as pas de possibilité de te défiler, maintenant et toi Marlyse, j’espère que tu apprécieras !– Ne t’en fais pas, j’en ai vu d’autres, ce n’est pas une jolie petite moule qui va me faire peur ! »
Josi se révèle une redoutable brouteuse de minou et, rapidement, Marlyse qui ne s’y attendait pas, grimpe aux stores de l’appartement – dans la cité universitaire, ils ont mis des stores plutôt que des rideaux, il y en avait trop qui savaient muser raqueux au Lido (NDR : puis j’allais m’user la queue aux rideaux).
La partie suivante, c’est la revanche, Josi et Marlyse gagnent et les deux gagnants précédents perdent et là, c’est à eux de goûter la crème de pruneaux.Finalement, les six décident d’arrêter le jeu et de faire une partie tournante. Justement, Louis dans sa collection de disques anciens a un quadrille qui pourrait préfigurer les changements de partenaires. Les trois garçons sur le dos avec le chapiteau levé et les filles s’embrochent en changeant de partenaire chaque fois que le quadrille l’indique.
« Ça je ne l’avais jamais fait, c’est marrant ! »
Après deux tours complets, les "zéros" sont fatigués et demain est une autre journée.
« Qui dort avec qui, s’inquiète Jean, moi, j’aimerais bien Marlyse, je n’ai jamais couché avec une personne d’une génération de différence !– Si tu veux, mais il faut assurer, la nuit est encore longue !– Je vais essayer de faire bonne figure…, cela rejoint un fantasme que j’ai depuis longtemps !– Et vous, les filles, quelles sont vos préférences, vous nous voulez séparément ou ensemble ?.. La maison ne recule devant aucun sacrifice, comme vous avez pu le constater !– Pour moi, répond Josi – qui n’avait pas froid aux yeux –, ensemble me convient et je parie que Marie est aussi partante !.. Du reste, j’aimerais aussi goûter de son hydromel ! »
La nuit fut encore longue comme je l’avais prévu, si Jean se tient correctement et réussit à faire encore grimper une fois Marlyse aux stores. Il n’osa pas passer par la porte de service, n’étant pas encore assez au courant des vicissitudes de la vie.Quant aux deux couples restants, tout y a passé, il ne fallait pas laisser de champ inexploré, avec du broutage, du pâturage, léchage et doigtage furent les deux mamelles du solde de la nuit, sans oublier la visite des catacombes et la fontaine de Trévise en simultané.Le lendemain, les deux jeunes filles ayant goûté un peu trop aux joies de Gomorrhe avaient une démarche que les canards de la mare n’auraient pas désavouée.
On parle toujours de Sodome, mais il semble, selon les dernières recherches archéologiques, qu’à Gomorrhe, c’était plus évolué et que là, la double, fourrée au beurre noisette, était le standard minimum. Selon les documents de l’époque, il est aussi dit que les femmes de Gomorrhe avaient l’obligation de développer leur fève par des broutages deux fois par jour et que le fun du fun, c’était quand Madame enculait son partenaire avec son clito, ce qui restait un exercice évidement réservé à l’élite de l’élite.Sur une pierre recouverte de signes cul nez y forme, on a découvert qu’en réalité le désastre relaté dans la bible s’est passé autrement, Loth a été chassé de la ville parce qu’il n’avait pas une bite en proportion et que sa femme , celle que l’on a annoncée : changée en statue de sel, n’avait pas un clito réglementaire pour enculer les envoyés divins, vu qu’elle n’avait pas suivi les classes à l’époque pour être équipée du minimum légal dans ce sens là. Il semble bien, par contre, que Loth a bien niqué ses filles pour les engrosser, il n’était pas au courant des risques de mongols que cela peut entraîner. Du reste, on peut facilement reconnaître les descendants de Loth par le gros turban qu’ils ont sur la tête, Normalement, ils ont une petite queue qui les oblige à baiser des gamines pour sentir quelque chose. Mais les traditions se perdent !
NDR En principe, Loth n’a rien à faire avec le département de même nom, associé à la Garonne.
Fin de la déconnée, renconnons !
Balista
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