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Maroc 1998 : découverte de ma sexualité

Chapitre 1

Trash
Maroc 1998 : découverte de ma sexualité

C’était l’été 1998. Le soleil de Marrakech m’était tombé dessus, telle une chape de plomb, dès la sortie de l’aéroport, brûlant ma peau blanche. La chaleur m’enveloppait de la tête aux pieds.
Je venais juste de réussir le bac. Le groupe d’amis que je collais depuis deux ans, à l’affut du moindre signe d’amitié, avait décidé de fêter notre majorité et notre récent diplôme par un voyage au Maroc. Sur un malentendu, ils m’avaient invité.
Nous déambulions dans les rues étroites, flanqués de nos valises à roulettes. Je vis devant moi Julie et Samira qui se tenaient par la main, leurs jolies fesses serrées dans des shorts en jean trop étroits.
J’eus l’impression d’être dans un rêve. J’étais fou amoureux de Julie. Je l’avais dévoré des yeux toute l’année. En cours, elle était assise sur le banc juste devant le mien. J’avais pris la fâcheuse habitude de me pencher en avant pour humer son parfum de jasmin et dénombrer ses taches de rousseur qui lui donnait un petit air mutin. Bien évidemment, je n’osais rien tenter avec elle. Elle était « hors de ma ligue ». Je voyais les mecs les plus populaires du lycée jouer les gros bras devant elle pour la séduire, sans que cela ne suscite chez elle le moindre intérêt. Alors, moi, puceau blanc enrobé, je n’avais vraiment aucune chance. Pourtant, contre toute attente, j’avais réussi à être admis dans son groupe d’amis par l’intermédiaire de Rachid. Rachid était un mec de ma classe, capitaine de l’équipe de football, qui passait son temps à se foutre de la gueule des geeks comme moi.
Il avait cependant compris qu’il était utile d’avoir un pote intello pour lui faire ses devoirs et lui porter son sac. J’avais donc été peu à peu intégré au groupe durant ces deux dernières années et, ô joie, j’avais même été invité par Rachid à passer ces vacances magrébines avec eux.
Rachid m’arracha de ma rêverie en m’attrapant le cou de ses bras puissants :
— Allez mon grand, arrête de mater le cul de Julie. On sait que tu craques pour elle. — Qu... Quoi ? Qu’est-ce que tu insinues ? balbutiai-je.— Tu sais très bien de quoi je parle, Matt. On sait tous que tu en pinces pour la petite rouquine. En même temps, je te comprends, ça doit être une affaire au pied. Sous ses airs de Sainte Nitouche, je suis sûr qu’elle aime la bite.
Je me dégageai :
— Arrête, c’est n’importe quoi. Et je t’interdis de parler d’elle comme ça.— Oh oui, effectivement, je ne savais pas que tu étais toqué d’elle à ce point. Allez, on fait un pari, celui qui arrive à la baiser pendant ce voyage paye le resto en rentrant à Paris, dit Rachid en riant.— T’es vraiment con, dis-je en rougissant jusqu’à la racine de mes cheveux.

Nous passâmes l’après-midi au Palais de la Bahia. Je profitai de la magie du lieu pour me rapprocher du groupe des filles, étalant mes connaissances en histoire pour leur en mettre plein la vue.
— Saviez-vous que le Grand Vizir avait un harem où vivaient ses vingt-quatre concubines ? — Il avait une sacrée santé le Vizir, c’est pas avec ce que j’ai vu dans le vestiaire l’autre jour que tu serais capable d’en faire autant, Matt, rit Rachid en me donnant une grande tape dans le dos.
Les filles rirent sous cape. Je voyais que Samira donnait un coup de coude dans les côtes de Julie. Je n’avais jamais été aussi gêné de ma vie. Je bouillonnai de rage contre Rachid. Grâce à cette saine colère, je réunis tout le courage en moi et pris la main de Julie :— Viens je vais te montrer quelque chose de magnifique.Sifflements et huées du groupe.
— C’est sûrement pas sa bite, s’esclaffa Rachid.
J’emmenai Julie sur le toit du Palais. De là, nous avions une vue exceptionnelle sur Marrakech.
— Waouh, merci Matt, c’est vraiment superbe. Ne t’inquiète pas pour Rachid. Il est vraiment con et a toujours besoin de faire le mâle Alpha. J’en ai rien à foutre. De toute façon, tu es beaucoup plus mignon que lui.
Mon cœur battait la chamade. Je n’en croyais pas mes oreilles. Julie me trouvant mignon ?
Elle me prit par la main et se lova contre moi.
— Embrasse-moi.
Je n’osais pas y croire. Je sentais son corps menu contre le mien. Ses petits seins pointaient. J’ouvris la bouche et l’embrassais. Elle tournait sa langue autour de la mienne. Elle était douce et fraîche. Je ne pus m’empêcher de bander. Je sentais ma petite bite, celle qui me complexait tant, tendre mon short vers le ciel. Malgré mes proportions modestes, elle dut le sentir et se dégagea doucement. Je la vis en effet rougir.
— Je vois que je te fais de l’effet, tu as déjà une demi-molle.
En réalité, je n’avais jamais bandé aussi fort.
— Ce soir, je me donnerai à toi, ce sera l’occasion de contredire Rachid.
Je pâlis. Le stress me fit débander immédiatement. Elle scruta autour d’elle pour vérifier que nous étions à l’abri de regards indiscrets.
— Sens, je suis déjà un peu mouillée.
Elle prit ma main et la glissa à l’avant de son short. Je fus étonné de constater qu’elle était épilée intégralement. Je ne sentis aucun poil sur son pubis. Je fouillai avec mon majeur dans sa petite culotte en coton.
Effectivement, elle mouillait, mon doigt se poissant sa liqueur intime.
— Hum, j’ai hâte que tu me baises. Je suis sûre que tu es comme moi. Que sous tes airs de ne pas y toucher, se cachent une fournaise et un amant torride.
Je déglutis, pétrifié par la terreur de ne pas être à la hauteur.
— Tu l’as déjà fait toi ? demandai-je fébrile.
Elle tenta d’esquiver.
— Allez réponds-moi. — Tu sais bien que j’ai été en couple avec Moussa pendant un an. Tu te doutes bien que nous ne nous sommes pas contentés de jouer au scrabble.
Je me renfrognai : est-ce que je serai à la hauteur ? J’étais bien conscient que la taille de mon sexe était en dessous de la moyenne. J’espérai toujours que je compenserai cela par un talent particulier le moment venu. Elle interrompit le flot des pensées qui me submergeaient :
— On a intérêt à rejoindre les autres, sinon ils vont se foutre de notre gueule, déclara-t-elle.
Je passai la journée sur un nuage, entre excitation et appréhension. Samira nous promenait à travers la ville où elle avait grandi, multipliant les anecdotes sur les lieux que nous visitions.
Nous rejoignîmes ensuite le Riad que nous avions loué pour la semaine. Il s’agissait d’une magnifique bâtisse sur laquelle poussaient des bougainvilliers. Elle était composée d’un rez-de-chaussée et de trois chambres à l’étage. Le soir venu, les chambres furent tirées au hasard. Je priai pour que le sort m’attribue la chambre de Julie.
Karim tira des petits papiers d’un chapeau :
— Alors, roulement de tambours, la tension est à son comble. Voici les résultats : — Myrtille et Moussa : chambre oasis.— Samira et Matt : chambre oued.— Karim et Julie : chambre atlas.
Karim me fit un clin d’œil discret. Julie haussa les épaules en m’adressant un petit regard déçu.
Je m’installai dans la chambre Oued.
— Allez, fais pas la gueule, je vous laisserai votre petit moment d’intimité tout à l’heure, ne t’inquiète pas, fit Samira.
Je souris à Samira, reconnaissant. Après avoir rangé ses affaires, elle s’éclipsa. On frappa à la porte. C’est Julie. Elle était plus belle que jamais, ses yeux verts pétillaient de désir. Nous nous embrassâmes fougueusement et je l’entraînai vers le lit. Je crus que mon cœur allait exploser dans ma poitrine. J’allais enfin perdre ma virginité. Je baissai son short et humai sa petite culotte en coton surmonté d’un joli petit nœud rose. Son odeur douce excita mes narines. J’écartai sa petite culotte et découvris son joli petit abricot. Comme je l’avais senti plus tôt, il était glabre, les petites lèvres bien fermes et son petit bouton déjà gonflé de plaisir. J’y plongeai ma langue, goûtant son jus âcre et légèrement sucré. Elle gémit sous mes coups de langue rapide.
— Pas si vite, susurra-t-elle. Viens, je vais m’occuper de toi.
Je me relevai, elle s’agenouilla devant moi et elle baissa la braguette de mon pantalon. De ses fins doigts experts, elle sortit mon sexe de sa prison de coton. Je ne voyais pas son visage, mais je crus l’entendre pouffer.
— Tout va bien ? lui demandai-je.— Oui, oui, excuse-moi, c’est nerveux.
Elle fit quelques mouvements pour me branler et me décalotta. Elle enfourna ensuite son sexe dans sa bouche. Cette sensation fut l’effet d’une décharge électrique dans mon corps. Je crus que j’allais déverser ma semence immédiatement dans sa bouche.
Je la repoussai gentiment.
— Ce n’est pas bon ? me demanda-t-elle.— Si, si, mais je veux te donner du plaisir.
Un sourire goguenard passa sur son visage.
— Allons, pourquoi pas, on ne sait jamais...
Je ne relevai pas et l’attirai vers moi alors que je me couchai sur le lit. Elle m’enfila une capote et me chevaucha. Ma belle amazone guida ma bite dans l’antre tant désiré.
— Ça va, il est dedans ? me demanda-t-elle. Je ne sens rien du tout.— Oui, oui.
Elle fit alors quelques mouvements de bassin. Mes mains touchaient ses petits seins menus, tentant d’exciter les tétons comme je l’avais lu dans un magazine féminin. Après quelques secondes, je sentis mon corps se raidir.
— Oh non, gémis-je.
J’éjaculai abondamment dans le plastique.
— Quoi ? m’interrogea-t-elle.— Je crois que j’ai déjà joui.— OK.
Elle se retira, l’air vaguement déçu. Je l’enlaçai :
— La prochaine fois, je serai plus performant, promis.— Mmmm, oui, on verra, fit-elle en se dégageant.
Elle s’assit sur le lit et se rhabilla.
— Tu t’en vas ? demandai-je fébrile.— Bien oui, qu’est-ce que tu veux qu’on fasse ? J’avais prévu de rester ici plus longtemps, mais ton engin en a décidé autrement. Je vais accompagner les autres en boîte, du coup.
La porte claqua, me laissant seul, le sexe recouvert de la capote gluante. Après avoir ressassé mille fois le film de mon dépucelage, le sommeil finit par m’envahir. Je fus réveillé par des rires vers 4 heures du matin. Je tendis l’oreille vers les voix qui résonnaient dans le couloir.
— Chuuuuttt, vous allez réveiller Matt.— Il ne faut pas qu’il se réveille précocement, ahahahah.
Je reconnus la voix de Karim
— T’es con, tais-toi.
La porte s’ouvrit et je distinguai l’ombre de Samira. Elle se changea dans le noir pour enfiler son pyjama.
Je discernai la forme de ses seins lourds alors qu’elle dégrafait son soutien-gorge
— Arrête de mater et rendors-toi, dit-elle d’une voix autoritaire et métallique.
Elle ne m’avait jamais parlé de cette manière. Son ton me fit l’effet d’un électrochoc. J’obéis, me retournai et me rendormis aussitôt. Le lendemain matin, je fus réveillé par la même voix glaçante :
— Debout Matt. Réveille-toi. Habille-toi. Tout le monde t’attend.
Porté par les ordres de Samira, je me levai recta et m’habillai en triple vitesse.
— Tu prendras une douche en rentrant, tu pues le mec pas frais, m’asséna-t-elle alors que je passai devant elle.— B... bien Samira, comme tu voudras.
Nous passâmes la matinée en groupe sur la Place Jemaa El fna entre les charmeurs de serpents et les vendeurs de jus d’orange. Je tentai désespérément de me rapprocher de Julie. A plusieurs reprises, je lui attrapai la main, mais elle se dégageait à chaque fois. Karim s’empara sur un étal d’un serpent miniature réalisé en cordes tressées. Il était minuscule entre les battoirs de Karim.
— Hé Julie ? Ça ne te rappelle rien ?
Julie rougit tandis que les autres s’esclaffèrent. Sauf Samira qui me dévisagea de ses yeux perçants. Je n’en revins pas. Julie leur aurait-elle fait le compte-rendu de notre expérience de la veille ? Je profitai d’une représentation de danse de rue pour entraîner Julie à l’écart.
— Julie, c’est quoi ce bordel ? Tu as dévoilé notre intimité à tout le monde ? — Roooh, qu’est-ce que tu peux être barbant, me répondit-elle en ricanant, calme-toi, on a parlé cul hier soir dans un café. Chacun devait expliquer sa pire expérience sexuelle. Je n’ai pas eu trop de mal à m’en souvenir, figure-toi, car ça venait juste de m’arriver, si tu vois ce que je veux dire.— Mais, mais, je t’aime, tentai-je en approchant mes lèvres.— Ecoute Matt, dit-elle en s’écartant, je préfère qu’on en reste là. Je suis jeune, j’ai envie de m’amuser, de profiter de la vie. Ce n’est vraiment pas le moment pour moi de me mettre à la colle avec un mec. Surtout que j’ai des besoins au niveau sexuel. Et je suis désolée, mais je ne serai jamais comblée avec toi.— Je te promets que je vais m’entraîner pour éjaculer moins vite, suppliai-je.— Il n’ y a pas que ça. Ta queue est vraiment trop petite pour moi. Je ne veux pas faire de comparaison, mais la bite de Moussa faisait au moins trois fois la taille de la tienne : en longueur et en circonférence. J’ai besoin de ce genre de calibre pour prendre mon pied. Ne m’en veux pas. On reste amis ?
Je restai là sans voix alors qu’elle s’éloignait. Je passai le reste de la journée dans un état cotonneux. Le soleil ne m’eut jamais paru aussi pesant. Je suai à grosses gouttes, mon visage rouge devenu comme une pivoine lorsque nous revînmes enfin au Riad.
Après une soirée jeux où Karim avait passé la soirée à draguer ouvertement Julie, j’allai me coucher dans les premiers. Vers minuit, tout le monde monta.
Des grincements de lit commencèrent à se faire entendre depuis la chambre atlas, suivis par des gémissements de plus en plus appuyés. Je reconnus Julie. Les ébats se firent de plus en plus bruyants. Je tentai de me boucher les oreilles, mais les râles de Julie me parvenaient encore et encore aux oreilles. Je sanglotai doucement.
— Tu vas chialer comme une fiote encore longtemps ?
Encore cette voix d’acier.
— Non, désolé, répondis-je, mais ce n’est pas évident. Hier, je pensais que nous étions en couple pour de bon avec Julie et aujourd’hui, elle s’envoie en l’air avec Karim et elle a l’air d’aimer franchement cela.— Tu as été aussi mauvais qu’on le dit, hier ? — Je ne sais pas, c’est ma première fois, mais d’après ce que j’ai compris, ma bite est trop petite et je suis précoce.— Montre-moi ça.
Samira se leva et tira sur ma couverture d’un geste sec. Elle baissa mon pantalon de pyjama sans plus de douceur, dévoilant mon sexe au repos.
— Ah oui quand même, s’exclama-t-elle, c’est vrai que ce n’est pas folichon.— Ah bon... T... Tu crois ? — Tu n’as jamais comparé dans les vestiaires avec d’autres mecs ? Tu es très en dessous de la moyenne.
Je me renfrognai. Samira m’attrapa le sexe et les testicules et commença à les malaxer.
— On va voir si effectivement, tu es précoce.
Après trente secondes de ce traitement, mon sexe était en érection. Trente secondes, plus tard, mon corps s’arc-bouta.
— Déjà ? s’exclama-t-elle ; je comprends que Julie t’ait largué pour ce beau gosse de Karim.
Elle serra la base de mon sexe et mes couilles dans sa main puis me lâcha, ce qui eut pour effet de stopper mon envie d’éjaculer. Elle recommença ce manège une dizaine de fois jusqu’à ce que mon sexe devienne totalement insensible. Elle inséra ensuite un doigt dans mon anus et trouva immédiatement la prostate qu’elle se mit à masser. Mon sexe devint tout flasque.
Après quinze minutes de ce traitement, mon sperme s’écoula de mon sexe, une douce chaleur diffuse envahit mon ventre. Mes jambes, en coton, tremblaient furieusement. J’avais le rouge aux joues. Samira sembla satisfaite :
— Très bien, je vois que tu as des dispositions. — Des dispositions ? — Je t’explique, mon biquet. Comme tu l’auras remarqué, tu es loin d’être un mâle alpha. Ton zizi ridicule ne sera jamais capable de donner le moindre plaisir à une femme. Tu trouveras peut-être une meuf frigide à qui ça convient, mais ta vie sexuelle sera réduite à néant. Si tu le souhaites, je peux t’amener à trouver une autre voie. — Quelle voie ? — Devenir une lope.— T’es malade ? — La manière dont tu as réussi à jouir du cul lors de ta première séance montre que tu as des prédispositions. J’ai réussi facilement à ruiner ton orgasme classique d’homme et de te faire éprouver un plaisir presque féminin. Je n’ai pas dû forcer. De plus, ta docilité me laisse à penser que tu es de nature soumise. Si tu acceptes que je te guide, tu pourrais t’épanouir complètement dans cette sexualité.
Je fus pour le moins perplexe et pourtant fasciné par ces explications.
— Comment tu connais tout cela, toi ? — Mon oncle qui vit ici à Marrakech m’a fait dépuceler l’an dernier durant les vacances. Durant deux mois, il m’a fait découvrir les plaisirs les plus raffinés et les plus pervers. C’est un dominateur de génie. Un réel mâle alpha qui connaît toutes les réactions du corps masculin et féminin. On peut le rencontrer si tu veux. — Heu, écoute, je dois digérer tout cela. — N’attends pas trop, les vacances seront courtes.
Elle éteignit la lumière, me laissant seul et confus dans les ténèbres de mes pensées.
Le lendemain, le groupe partit en balade très tôt. Je prétextai une gueule de bois et restai au lit la matinée. Je gambergeai, me fis des scénarios plus abracadabrants les uns que les autres. Je m’imaginai que Julie et Karim s’étaient foutus de ma gueule, qu’ils n’avaient pas baisé ensemble, qu’ils avaient fait semblant de pousser ces grognements pour me faire devenir chèvre. Je me levai et me dirigeai vers leur chambre. Elle était dans un désordre indescriptible, leurs vêtements jonchant le sol. Je repérai les sous-vêtements de Julie, posés négligemment sur une chaise. J’attrapai sa petite culotte et l’approchais de mes narines. Je sentis une matière visqueuse dans le fond de la culotte.
L’odeur ne laissait aucun doute. Elle était forte et musquée. Il s’agissait de sperme. Le sperme de Karim. Ils avaient sans doute remis le couvert ce matin. Je me mis à bander instantanément, l’odeur de ce sperme mélangée à mouille fraîche de Julie excitant mes sens. Je tirai la langue et la posai sur le fond de la culotte. Je n’avais jamais rien goûté de tel.
— Ça va c’est bon ?
Je sursautai. Samira était dans l’embrasure de porte.
— Alors, tu veux toujours me faire croire que tu n’es pas une lope soumise ? A voir comment tu lèches le sperme de Karim au fond de la culotte de Julie, je crois qu’il n’y a plus aucun doute à avoir.
Je regardai mes chaussures, honteux.
— Va te laver, me dit-elle d’un ton calme et froid, épile-toi le pubis et la raie des fesses. Je te laisse un de mes parfums dans la salle de bains. Vaporise-toi avec. Mon oncle aime les odeurs féminines. On ira le voir cette après-midi. Il a un magasin de djellabas dans le souk.
Samira et moi partîmes en excursion l’après-midi sous les quolibets des autres membres du groupe. Julie regarda Samira, interloquée. Elle lui répondit par un clin d’œil appuyé. Julie sourit d’un air entendu. Nous déambulâmes à travers les rues colorées, humant les odeurs d’épices provenant des étals des magasins. Nous entrâmes dans le souk et rejoignîmes le magasin de l’oncle de Samira.
— Je préfère t’avertir, me dit-elle, tu ne parles que si on te le demande. Tu ne réponds pas et tu obéis à tous les ordres qui te seront imposés. Il existe un safe word. Ce mot est couscous. Si tu ne veux plus participer, tu prononces ce mot et tout s’arrête. Pour toujours. — D’accord.
Un type immense d’une soixantaine d’années, bedonnant, les tempes grises et la peau très foncée, nous attendait derrière le comptoir.
— Rentrez.
Sa voix me fit l’effet d’un coup de fouet. Je reconnus le ton de Samira, mais avec cette élégance d’un homme expérimenté. Il passa derrière nous et ferma la porte du magasin à clé et calfeutra l’entrée par des tentures.
— C’est donc lui, ton premier esclave. Je t’avais dit d’en prendre un plus mince, Samira. Il n’est pas assez féminin à mon goût.
Samira déglutit :
— Désolée mon oncle. Je vous assure qu’il compensera en motivation ses déficits physiques, dit-elle en me regardant intensément. De plus, il a un tout petit sexe comme vous les aimez. On dirait un gros clitoris.
L’oncle de Samira posa les yeux sur moi :
— Déshabille-toi, je veux voir ça de mes propres yeux.
Je me levai et retirai mon t-shirt, mes chaussures, mon short, mon slip et mes chaussettes. Je me demandai ce que je faisais là à poil au milieu d’un souk en face d’un vieil Arabe aux dents en or. Mécaniquement, je cachai mon sexe de mes mains.
— Retire immédiatement tes mains, lopette.
Je m’exécutai.
— Ahah, effectivement, c’est un tout petit clito ça, s’esclaffa-t-il, en me chatouillant le prépuce de l’index. Regarde, ça c’est une vraie bite !
Il baissa sa braguette et en sortit un sexe circoncis large et lourd. De longues veines traversant ce pénis qu’il approcha du mien qui ressemblait à un cure-dent en comparaison. Il me décalotta entre son pouce et son index.
— Mmmh, gland propre, c’est très bien.
Contre ma volonté, je me mis à bander. Il me donna trois ou quatre claques qui me remirent immédiatement au repos.
— Voilà. Tu es mon trou à jus. Il n’y a aucune raison que ton clito grossisse. S’il bande encore, je l’excise, compris ? — Oui.— Oui Maître Mohammed. C’est comme ça que tu devras répondre dorénavant.— Oui Maître Mohammed.— Bien, mets-toi à quatre pattes maintenant. Samira, prépare-le comme je t’ai appris.
J’obéis et me mis en position. Samira s’approcha de moi et déversa sur ma rondelle un gel froid à l’odeur de poisson.
Je me raidis :
— Qu’est-ce que c’est ? demandai-je.
Maître Mohammed nous fusilla du regard.
— Tais-toi, chuchota-t-elle. C’est un lubrifiant. Il multiplie aussi le plaisir anal. Par contre, il empêche au pénis d’être en érection.
Je sentis en effet mon sexe se racrapoter comme un escargot dans sa coquille. Après m’avoir enduit, Samira se releva.
— Il est prêt, Maître Mohammed.— Très bien Samira, va t’assoir sur le fauteuil, tu peux te toucher en regardant si tu le souhaites.
Samira rejoignit le fauteuil rouge présent dans la pièce et retira son short. Elle ne portait pas de culotte. Je pouvais voir sa toison noire et fournie.
— Je t’ai déjà dit de t’épiler, Samira, cette touffe est inadmissible, lui asséna son oncle dont la voix derrière moi m’électrisa.— Désolée, Maître Mohammed, ça ne se reproduira plus.
J’entendis que Maître Mohammed se déshabillait derrière moi. Je tentai de me retourner et reçus une claque sur mes fesses. Sans un mot, ses deux mains puissantes me remirent bien droit.
— Tu vas voir petite lopette, tu vas connaître un plaisir dont tu ne te remettras pas. Après ce traitement, tu seras complètement accro à ma bite. C’est aussi un des effets du gel que Samira t’a administré.
Je sentis qu’il positionnait son gland sur le bord de mon anus.
— Le plus difficile, c’est la première entrée, après ça va tout seul.
Il poussa son gros gland dans mon fondement. Je hurlai.
— Samira, ordonna-t-il, bâillonne-le moi.
Samira qui était tout affairée sur son clitoris se leva d’un bond et me ficha dans la bouche le premier tissu qu’elle vit.
— Voilà, dit Maître Mohammed, on va y aller tout doucement.
Il commença à limer longuement. Je gémis. La brûlure que m’avait infligée l’entrée de ce sexe hors norme dans le cul commençait à s’apaiser. A la place, une sensation plus douce commençait à s’installer.
— Ferme les yeux et concentre-toi sur les mouvements de ma bite dans ton cul.
J’obéis. Je sentais chaque centimètre de sa queue dans mes entrailles. Il me semblait percevoir la rugosité de sa peau sur ma rondelle lors de ses va-et-vient, tandis que son gland butait contre ma prostate.
Je sentis de plus en plus de chaleur monter dans mon ventre. Maître Mohammed accéléra. Je voyais Samira qui penchait sa tête en arrière, sentant également les effets de ses caresses circulaires sur son vagin. Elle prenait son pied à me voir enculé comme une chienne. Cette queue brûlante accélérait encore et ma tête tournait. Je ne savais plus où j’en étais. Maître Mohammed s’arrêta un moment alors qu’il m’avait pris jusqu’à la garde. Il commença des mouvements circulaires qui avaient pour effet de caresser ma prostate du bout du gland. Mon corps entier fut pris d’un tremblement. Mon petit sexe sortit légèrement de son antre et déversa sur le sol un sperme épais et abondant. Je pense que je n’avais jamais éjaculé autant auparavant.
J’entendis un ricanement derrière moi.
— Samira avait raison. Tu es une vraie femelle. Cela faisait longtemps que je n’avais pas connu une chienne ayant un cul aussi accueillant. Mets-toi à genoux maintenant.
Je ne pus retenir un cri de surprise lorsqu’il retira son sexe, l’opération occasionnant un bruit obscène. Je me mis à genoux.
— Samira, déclara-t-il, viens lui montrer comment on finit son maître.
Samira nous rejoignit et se mit à genoux à mes côtés. Je sentis sa poitrine contre mon bras. Elle attrapa le vit de son oncle souillé de mes sécrétions intimes et cracha dessus. Elle le branla délicatement et le mit en bouche. Elle le retira de sa bouche et s’adressa à moi :
— Quand tu le suces, tu dois caresser de ta langue toute la longueur de la queue. Il faut que tu ailles très loin et que ta langue ne reste jamais inactive. Vas-y essaye.
Je pris ce sexe en mains. J’avais des difficultés pour le tenir tellement sa circonférence était importante. Comme Samira me l’avait enseigné, je crachai sur la queue turgescente, la branlai et la pris en bouche. Maître Mohammed poussa sur ma tête pour que j’avale plus. Le sexe buta sur ma glotte. Je crus que j’allais m’étouffer. Je toussai bruyamment.
— Allez, tu as encore des progrès à faire, continue, m’encouragea-t-il.
Je mis du cœur à l’ouvrage et tentai de le sucer comme j’aurais aimé que l’on me suce. Il ne tarda pas à émettre de petits bruits de halètement.
— Tu as du talent, tu vas me faire jouir, salope.
Cette insulte me donna des ailes et je m’appliquai d’autant plus. Il poussa un long grognement et je sentis un flot continu de sperme chaud se déverser dans ma gorge. J’avais l’impression qu’on me faisait avaler des litres de foutre.
Samira intervint :
— Tu ne dois jamais gâcher la semence de ton maître. Tu dois tout avaler jusqu’à la dernière goutte.
Je suivis les consignes de Samira et avalai tant bien que mal la dose qu’il m’avait administrée. Maître Mohammed me donna quelques tapes sur les joues avec son sexe en guise de remerciement.
— Allez. C’est un bon début. Rhabillez-vous et rejoignez vos amis. Samira, je te tiens au courant de ma décision.
Nous nous rhabillâmes et rejoignîmes le Riad. Sur le chemin, Samira me prit par le bras.
— Je suis vraiment fière de toi Matt. Pour que mon oncle te gratifie d’une bifle comme il l’a fait, c’est que tu lui as vraiment fait bonne impression. Tu as été au-delà de mes espérances dans la putasserie. Pour te récompenser, je te concocte une surprise ce soir.
Je rougis et posai ma tête sur son épaule.
— Merci de m’avoir fait découvrir ce plaisir inouï, Samira. Je n’ai jamais éprouvé une telle sensation. Je ne peux m’enlever l’image de la queue de ton oncle de ma tête. Je ne sais pas si c’est l’effet du gel, mais elle me manque déjà terriblement.
Une fois au Riad, nous partageâmes un repas dans la bonne humeur, même si j’avais l’impression que mes amis me regardaient bizarrement. Ils devaient sentir que j’avais changé profondément en vingt-quatre heures. Je vis Samira et Julie faire des messes basses en me regardant. Karim me fixait avec un sourire mauvais. Nous montâmes ensuite nous coucher. A nouveau, les mêmes grincements et les mêmes gémissements provenant de la chambre d’à côté se firent entendre. Cela m’affectait beaucoup moins, même si je gardais malgré tout un petit pincement au cœur. Je tentai de me replonger dans ma lecture des poèmes de Charles Bukowski qui évoquaient d’autres formes de déchéance.
Après une heure, les ébats voisins se calmèrent. On frappa soudainement à la porte.
— Entrez, dit Samira. Ferme les yeux, Matt.
Instinctivement, je fermai les yeux suite à l’ordre de Samira. Je sentis le lit bouger et quelqu’un s’installer sur ma bouche. Je reconnus cette odeur mêlée. Celle de Karim et Julie.
— Voilà ton présent pour ta docilité cette après-midi, me dit Samira.
J’ouvris les yeux et vis Julie, en nuisette, à califourchon sur mon visage. Elle me sourit :
— Je suis heureuse que tu aies trouvé ta voie, Matt. Karim et moi voulons te faire un petit cadeau.
Elle écarta les lèvres de son vagin et poussa. Un gros paquet de sperme épais s’écoula dans ma bouche. Je reconnus le goût de Karim que j’avais expérimenté le matin même dans le fond de la culotte de Julie. Julie se frotta d’avant en arrière, me poissant la bouche des sécrétions de leurs ébats.
Karim la tira en arrière.
— C’est bon, je pense, c’est à moi de me faire nettoyer maintenant. Allez mon petit Matt, au boulot.
Il plongea sa belle queue au repos et dont le gland était maculé de foutre et de mouille dans ma bouche.
Je la reçus avec ferveur et je m’appliquai à tout nettoyer.
— Mmmm, je comprends mieux ce qu’on te trouve au souk.
Une fois mon travail accompli, je retirai son sexe de ma bouche. Il me retint.
— Attends, je dois faire un petit pipi.
Il soulagea sa vessie dans ma bouche, l’urine chaude s’écoulant lentement dans ma gorge, Julie profita de ce moment pour attraper mon sexe entre ses deux doigts.
— Il faudrait quand même le récompenser, non ?
Elle tenta de me branler, mais mon sexe restait sans réaction.
— Bah alors, c’est tout l’effet que je te fais, dit-elle, déçue. Il y a deux jours, tu étais nul, mais au moins tu bandais.— C’est à cause du gel qu’on lui a mis tout à l’heure, expliqua Samira.— Du gel ? répondit Julie.— Oui, c’est un gel spécial qui augmente le plaisir anal, mais cela a pour effet de diminuer, voire de supprimer les érections au soumis. L’effet dure à peu près deux semaines. Mais si l’on applique le gel plus de deux fois, c’est définitif.— OK, je ne m’acharne pas alors.
Julie et Karim sortirent de la chambre. Je restai hagard dans mon lit puant le sperme, la mouille et pisse.
— Va te laver, puis va te coucher, m’ordonna Samira, tu dois être en forme pour demain.
Je fis ce qu’elle me demandait et m’endormis en me demandant ce qu’elle pouvait bien encore me réserver.

Je fus réveillé par la sonnerie du téléphone de Samira.
Elle répondit et discuta longuement en langue arabe. Elle était concentrée et prenait des notes. Elle raccrocha et me regarda.
— Après ta journée d’hier, tu es toujours prêt à aller plus loin dans la découverte de ta vraie nature ? — Oui, contre toute attente, je suis pleinement épanoui. Je n’ai plus à me soucier de la taille de mon sexe et cette dépravation me va comme un gant.— Il est temps dès lors que je t’apprenne ce que fait mon oncle. — Je t’écoute.— Mon oncle dirige un club. Il organise les fantasmes d’occidentaux. Certains hommes puissants cherchent des plaisirs particuliers qui évoquent l’Orient. Il a donc créé un harem. C’est pour cela qu’il recherche et éduque des soumis.— Vraiment ? — Je t’ai expliqué que mon oncle m’a fait dépuceler l’an dernier. Un comité d’entreprise d’une grosse boîte cherchait une fille de plus de dix-huit ans, bien entendu, mais vierge. Le CEO fait partie du club de mon oncle.
Il m’a prise en main toutes les vacances, m’apprenant l’art de la fellation et parvenant à me donner des orgasmes phénoménaux rien qu’en titillant mon clitoris de ses doigts experts.Le jour J, il m’a habillée en hijab et m’a emmenée dans les bureaux de la filiale de la compagnie. Dans la salle du conseil d’administration, le CEO a eu l’honneur de me dépuceler sur la table. Tous les autres membres me sont ensuite passés dessus. Je ne pouvais pas rêver mieux pour une première.
— Et qu’est-ce que je viens faire là-dedans moi ? — Tu as impressionné mon oncle hier. Il est donc prêt à te lancer dans le grand bain. Un membre américain du club veut faire un bukkake avec ses amis dans un hammam.— C’est quoi un bukkake ? — C’est une pratique japonaise qui consiste à jouir à plusieurs sur le visage du soumis ou de la soumise.— Pourquoi pas ? C’est prévu pour quand ? — Ce soir. Il faut que tu te prépares, mon oncle t’a préparé une tenue spéciale sur place.

Je me lavai consciencieusement et m’épilai comme me l’avait enseigné Samira. Je passai à plusieurs reprises mon doigt enduit de savon sur la rondelle de mon anus. A chaque passage, je tressaillis. Le gel semblait encore faire effet. Je ne pus m’empêcher de pénétrer mon doigt et t’atteindre ma prostate. Je n’en revins pas que le plaisir se diffusait aussi rapidement.
Attirée par mes halètements, Samira rentra dans la salle de bains et sourit.
— Tu es vraiment une salope de compétition. Je te dis que tu vas passer la soirée à te faire remplir de sperme par de vieux vicieux et tu te doigtes encore pendant ta douche.
Nous eûmes un fou rire mémorable. Je me séchai, enfilai rapidement mes habits et nous passâmes l’après-midi avec le groupe. Je suivis toute la journée Karim et Julie qui s’embrassaient goulûment toutes les cinq minutes. Même si les épisodes de ces derniers jours me grillaient définitivement avec Julie, je ne pouvais m’empêcher d’éprouver de la jalousie. Je restai fou amoureux d’elle et la voir rouler des pelles à Karim qui se foutait ouvertement de ma gueule depuis qu’il m’avait pissé dans la bouche constituait l’humiliation ultime. Samira nous fit visiter les jardins de Majorelle. Je m’enivrai des odeurs d’aloès et m’extasiai devant les œuvres d’art du Musée Yves Saint Laurent. Une appréhension montait en moi : serai-je à la hauteur dans le hammam face à ces hommes libidineux ? L’idée de décevoir Maître Mohammed m’épouvantait. Samira et moi nous détachâmes du groupe vers 18 heures. Julie me fit une légère caresse dans le dos comme pour me donner du courage.
Nous arrivâmes devant une vieille bâtisse tout droit sortie des mille et une nuits. Samira nous fit rentrer par une porte dérobée et un long couloir nous conduit vers un vestiaire où m’attendait ma tenue. Il s’agissait d’un string et d’une djellabah très féminine avec quelques froufrous. Samira me posa un rouge à lèvres carmin. Je ressemblais à la princesse Jasmine d’Aladdin. Un Jasmine un peu pute, mais Jasmine tout de même. Maître Mohammed nous attendait devant la porte du Hammam.
Samira me prit dans les bras.
— Tu vas être formidable, je le sais. Je ne peux pas t’accompagner, mais je te suis sur le moniteur. Les clients souhaitent que tout soit filmé. Le safe word est le même que la dernière fois.
Maître Mohammed me toisa :
— Tu es prête. Il va falloir que tu me fasses honneur.— J... J’ai un peu d’appréhension.— Ecoute-moi bien, c’est parce que tu es un ami de Samira que je te lance sur une séance telle que celle-là. Elle est normalement réservée aux esclaves les plus expérimentés. D’habitude, mes esclaves passent d’abord deux ans à servir gratuitement dans un bordel militaire de campagne aux portes du désert.
Flatté, je rentrai immédiatement dans la pièce. L’atmosphère moite du hammam colla instantanément à ma peau. Je distinguai de manière floue quelques silhouettes. J’avais l’impression d’être dans un rêve. Je me présentais au milieu de la pièce. Dix hommes d’une soixantaine d’années attendaient assis sur un banc recouvert de carrelage bleu roi, une serviette blanche recouvrant chacun d’entre eux.
Un premier homme se leva et me rejoignit
— On your knees. A genoux petite pute.
Je m’exécutai. Il sortit un petit sexe trapu avec de très gros testicules.
— Suck. Suce.
Je ne me fis pas prier et approchai ce gros gland en forme de champignon de ma bouche. L’odeur me fit reculer instinctivement. Le vieux cochon ne s’était pas lavé la queue depuis un bon bout de temps. Il prit ma tête pour que je me rapproche. Je pensai au safe word puis à Maître Mohammed que je ne voulais pas décevoir. Je pris une respiration et avalai sa bite. Le goût n’était pas meilleur. J’usai de la technique apprise par Samira pour en terminer le plus rapidement possible. Je m’appliquai tant et plus, mais ce porc américain ne parvenait pas à bander. Toutefois, il faut croire que mes mouvements de langue n’étaient cependant pas dépourvus d’effet, car après quinze minutes de ce traitement, il retira sa queue flasque de ma bouche et éjacula abondamment sur mon front. Je n’avais jamais vu un homme éjaculer autant. Le sperme sortant de ses grosses bourses était une source inépuisable. Ce foutre gluant coulait le long de mes pommettes pour finir sur mes lèvres peinturlurées.
— Fucking bitch. Tu suces comme une princesse.
Ces insultes furent le signal pour que trois autres hommes se lèvent du banc et viennent m’entourer. Je ne savais plus où donner de la tête. L’un d’entre eux tourna ma tête en enfourna sa bite dans ma bouche comme si j’étais une poupée gonflable, pendant que les deux autres se branlaient frénétiquement au-dessus de la tête. Je sentis d’ailleurs l’un des deux qui ne pouvait plus se retenir venir se placer à l’arrière de ma tête et retirer mon voile. Il m’éjacula dans les cheveux qui se poissèrent de foutre chaud. Ce spectacle dut exciter celui que j’avais en bouche, car il se vida au même moment sur ma langue qui lui titillait le frein. Le troisième m’envoya un long jet qui atterrit sur ma paupière, ce qui eut pour effet de faire rire tout le petit groupe. Un nouveau groupe de trois m’entoura. Le plus musclé me mit sauvagement à quatre pattes et m’arracha ma djellabah.
Dans un français sans accent, il me susurra à l’oreille :
— Moi, j’en ai rien à caler de ces trucs de japonais, je veux te fourrer comme une salope.
Maître Mohammed intervint pour me tartiner le cul de son gel lubrifiant bien connu. Je lui lançai une œillade reconnaissante en faisant le compte qu’il s’agissait déjà de la deuxième dose. Une fois Maître Mohammed parti, l’homme parlant français n’attendit plus une minute et me fourra sa queue longue et fine dans le cul jusqu’à la garde, ce qui eut pour effet de me redresser comme un chien d’arrêt à l’affut. Il appuya sur mon dos pour que je sois bien cambré.
— Ecarte plus les cuisses, petite pute. Tu ressentiras mieux mes mouvements.
Il me lima une éternité. Son ramonage eut son petit effet, car je pris mon premier orgasme anal de la soirée. Cette expérience m’apprit d’ailleurs qu’il était possible d’en avoir plusieurs de suite. Mais je vais trop vite dans mon récit. L’homme parlant français finit par se vider dans mon cul. Ses amis l’applaudirent. Il devait avoir un statut particulier dans le groupe.
Il me tapa sur les fesses en me disant :
— Bravo, mais tu n’en as pas fini, on t’a gardé le meilleur pour la fin.
Deux hommes que je n’avais pas remarqués dans la fumée du Hammam se levèrent à leur tour. Ils étaient noir ébène et portaient des tatouages. Ils avaient l’allure de footballeur américain. Ils enlevèrent leurs serviettes. Je n’en crus pas mes yeux. Leurs sexes étaient démesurés. De vrais sexes d’ânes comme on peut en voir dans les productions « Blacked ».
Le « français » m’expliqua :
— Mes amis possèdent un club de football américain. Certains joueurs ont des pratiques spéciales et ont souhaité faire partie du voyage. On va voir ce que tu vaux.
Le premier black me retourna comme si j’étais un fétu de paille et me mit sur le dos. Il releva mes jambes, cracha sur son sexe et se branla pour la faire durcir. Il était sans expression, faisant les choses mécaniquement. J’eus un hoquet lorsqu’il enfonça son pieu de chair dans mon cul tandis que son copain plaçait sa perche dans ma bouche. J’étais complètement rempli. J’étais comblé. Cette plénitude et le traitement que ces deux hommes m’infligeaient me firent planer et mon deuxième orgasme, plus fort que le précédent, m’envahit des orteils aux oreilles. Après trente minutes de baise intensive et régulière, l’homme eut un léger rictus. Il se retira et juta sur mon ventre. Son sperme coulait jusqu’à mon pubis et mon sexe réduit à l’état de clitoris. Le second dit calmement « my turn » et prit la place de son comparse. Avec la même méthode, il m’amena au troisième et dernier orgasme.
Il faut moins intense que le précédent, mais je n’en revenais pas de pouvoir éprouver autant de plaisir en une seule après-midi. Lors du dernier orgasme, je me vidai littéralement, mon petit sexe tressautant et laissant s’écouler le résidu de mon nectar. Le vieux au sexe de champignon que j’avais sucé le premier et qui semblait être le chef du groupe vint immédiatement récolter ce jus à la source.
— That’s the best cum when a slave has an orgasm. Taste.
Il se pencha vers moi et m’embrassa à pleine bouche, sa langue se mélangeant à la mienne et y déversant mon propre sperme.
Les hommes couverts de sueur par leurs ébats et la chaleur de la pièce quittèrent les lieux un par un pour aller prendre une douche. Je restai seul, mes veines battant mes tempes. J’avais réussi. Maître Mohammed entra.
— Une nouvelle fois, tu m’as impressionné, Matt. Tu as vraiment un don de salope. Il faut absolument exploiter ce potentiel. J’ai quelque chose à te proposer. Samira m’a dit que tu venais de passer ton bac et que tu ne savais pas encore ce que tu allais faire en septembre. Est-ce que ça te dirait de rester ici ? J’ai de nombreux clients qui seraient ravis de tes services. Tu seras logé, nourri, blanchi et je te ferai des fiches de paie bidon pour donner le change auprès de ta famille et tes amis. — J... Je dois réfléchir, dis-je, pris de court par cette proposition insolite.— Pas de problème, je sais que vous reprenez l’avion demain. Si tu es intéressé, tu te présentes ici au lieu de te rendre à l’aéroport. Allez, va te laver et te rhabiller, Samira t’attend.
Je retrouvai Samira dans le grand hall d’entrée. Elle se jeta dans mes bras.
— Matt ! Quelle bukkake ! Je n’avais jamais rien vu d’aussi excitant. J’ai entendu la proposition de mon oncle. Quelle chance ! Que vas-tu décider ?— Je ne sais pas encore, répondis-je, ce n’est pas une décision facile à prendre...— Ne me fais pas honte, Matt, c’est tout ce que je te demande.
Le lendemain, nous fîmes nos bagages. La proposition de Maître Mohammed me trottait dans la tête, je ne savais pas quoi décider. Pendant que je pliai mes habits, on frappa à la porte. C’était Julie.
— Salut, dit-elle doucement.— Salut, répondis-je un peu gêné. — Samira m’a expliqué la proposition de son oncle. Que vas-tu décider ? — Je ne sais pas. Je suis indécis. A la fois, cela m’excite énormément, ces derniers jours ayant été intenses. Je sens que j’ai enfin trouvé ma place, mais sauter le pas et devenir esclave sexuel au Maroc, ce n’était pas trop dans mes plans. — Ecoute, je t’assure que tu ne seras jamais aussi épanoui qu’ici. Nous avons eu une expérience ensemble et je peux t’assurer que je n’ai jamais eu un aussi mauvais coup dans mon lit. Alors qu’ici, sous l’éducation de Maître Mohammed, tu es devenu une machine de sexe. Paris ne sera que monotonie et frustration.
Ces mots résonnèrent en moi. Lorsque le taxi vint nous chercher, je serrai dans mes bras chacun des membres de mon groupe d’amis. Samira et Julie me regardèrent avec fierté. Les garçons furent moins expansifs (et un peu plus hilares), mais je sentais qu’ils me soutenaient. Je leur fis signe de la main et me rendis au Riad de Maître Mohammed. Je frappai à la lourde porte qui s’ouvrit.
Maître Mohammed m’accueillit en souriant :
— Je savais que tu viendrais. Rentre, je vais t’appliquer la dernière dose de lubrifiant.
Sans hésitation, je rentrai dans le harem, symbole de mon futur.
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