Cette histoire commence alors que je viens d’avoir mes 18 ans, ma marraine (sur qui je fantasme depuis longtemps et divorcée depuis maintenant 2 ans) m’invite à passer une semaine chez ses parents qui possèdent une belle maison de campagne sur la côte d’azur. Ma marraine est une très belle femme de 40 ans, elle est grande (environ 1m80), brune, et possède une belle poitrine (90 C). Arrive alors les vacances de juillet, je venais d’avoir mon bac, nous sommes partis de Paris elle, moi et son fils Yann (12 ans) le matin. Nous avons roulé toute la journée et nous sommes arrivés vers 21h où j’ai fait la rencontre de ses parents Georges et Sandrine, très sympas. Après le repas nous sommes tous allés nous coucher car nous étions exténués par le voyage. Je me réveillais le lendemain vers 9h et descendis dans la cuisine prendre le p’tit déj. Il y avait dans la pièce ma marraine qui buvait un café, elle portait une robe légère et vivement colorée qui laissait apercevoir la naissance de ses seins, et Sandrine qui préparait déjà le repas du midi. Je les embrassais et me servit un café. Alors que je versais du sucre dedans, je fus étonné de voir passer Yann en maillot de bain. Il s’arrêta et me dit :— "Bah alors ? t’es toujours pas en maillot ???"— "Non pourquoi ?"— "Viens voir " Et il m’entraîna en dehors de la maison. Je découvris alors un immense jardin et au bord de la terrasse une grande piscine creusée de 10m sur 5. Yann courut et plongea d’un coup dans l’eau, il remonta et me dit : "Viens, elle est super bonne". Je rejoignis rapidement ma chambre, enfilais un short puis regagnais la piscine pour piquer une tête dans l’eau fraîche. Nous sortions de la piscine vers midi pour aller manger, je saluais au passage le père de ma marraine et l’aidais à allumer le barbecue. Nous mangions sur la terrasse, à l’ombre d’un grand parasol. A la fin du repas Sandrine demanda:-"Qu’est-ce qu’on fait cette après-midi ?"-"Pourquoi pas la plage ?" demanda Yann.Ma marraine, moi et Georges approuvâmes et dix minutes plus tard nous étions partis. La plage était en fait une chouette bande de sable entre deux calanques. Il n’y avait pas beaucoup de monde, on s’installa dans un petit coin tranquille à l’ombre. Yann fonça dans les vagues, puis se fut au tour de Georges et Sandrine. Je dépliais ma serviette et regardais du coin de l’œil ma marraine. Elle enleva sa robe par le bas, et dévoila un bikini noir. Ses seins retombèrent lourdement, ce qui fit réagir mon short. Je m’allongeais alors sur le ventre pour cacher ma naissance d’érection.-"Tu viens te baigner ?" me dit-elle.-"J’arrive, je cherche juste mon tuba" dis-je en fouillant dans mon sac.Je la suivis peu de temps après. Vers 16h, nous rentrâmes à la maison car Sandrine devait faire des courses et Georgess avait une réunion à la mairie (j’appris plus tard qu’il était le maire du village). — "Emmène Yann faire les courses avec toi" demanda ma marraine à sa mère.— "Ok, Yann tu viens on va faire les courses pour la semaine" cria Sandrine dans l’escalier.Yann descendit en bougonnant et ils partirent au supermarché. Nous étions donc seuls ma marraine et moi.— "Allons faire un tour à la piscine, le sel me colle à la peau" me proposa-t-elle. Nous avons nagé pendant un quart d’heure, puis nous sommes sortis nous allonger sur les transats pour bronzer.-"Ça ne te dérange pas si je bronze seins nus ? pour éviter les marques blanches" me demanda-t-elle.Je n’en croyais pas mes oreilles. J’allais balbutier quelque chose mais j’eus le temps de réfléchir et de parler avec assurance:-"Non, bien sûr que non" dis-je, elle me fit alors un petit sourire en coin.Pendant que je m’asseyais sur un des deux transats, elle passa ses mains dans son dos et dégrafa le haut de son bikini noir. Ses gros seins se libérèrent et provoquèrent sans que je m’en rende compte une énorme érection. Elle se dirigea alors vers moi et me tendit une bouteille de crème solaire:-"Tu veux bien me crémer le dos ?"-"Oui, bien sûr" répondis-je même si j’avais du mal à comprendre ce qui se passait.Elle se plaça alors entre mes cuisses, dos à moi, à quelques centimètres de ma verge dressée comme un pieu. J’enduisis alors mes mains de crème et commençais à l’étaler sur son dos. Elle recula un peu vers moi et le bas de son dos vint se mettre en contact avec ma queue fièrement dressée, de mon côté j’avais presque terminé, "passe bien partout" me dit-elle. Je glissais mes mains de la base de son dos, jusqu’aux épaules et j’en profitais pour passer mes mains sous ses aisselles en prenant soin de toucher seins du bout de mes doigts. Elle appuya sur ma verge et dit "merci pour la crème, à mon tour de te faire plaisir".Elle prit la bouteille de crème solaire, se leva et s’avança de deux mètres environ et pivota face à moi.Je la regardais intrigué, elle enduisit ses mains de crème et commença à l’étaler sur son corps, d’abord rapidement les jambes et les bras puis plus lentement le ventre tout en remontant. Et, dans un érotisme total, elle commença à caresser ses magnifiques seins, elle entourait de ses mains ses deux globes laiteux, les frottait entre eux, jouait avec ses pouces et ses mamelons qui pointaient dur. Même dans mes rêves les plus fous je n’aurai imaginé ça ! Je parvins seulement à balbutier.— "Tu est tellement belle".— "Enlève ton short" me dit-elle, "ton sexe va exploser".Je m’exécutais rapidement, et s’en pouvoir me retenir commençais à me branler. Tout en se caressant la poitrine, elle ajouta:— "As-tu déjà fait l’amour ?" me demanda-t-elle (à noter : nous baisons, les femmes font l’amour)— "Non, je suis encore puceau" avouais-je craignant de la décevoir.— "Tu sais ça fait deux ans que je me suis séparée de Philippe, depuis je n’ai aucune relation sexuelle, et quand j’ai vu ton sexe dur à la plage j’ai eu du mal à me contrôler"Entre-temps, elle s’était approchée de moi, je m’étais allongé mais un peu redressé, elle était donc au-dessus de moi, ses deux bras appuyé sur les bords du transat"— "Tu sais marraine, je pense souvent à toi, tu es la plus belle femme que je connaisse"Ah ces mots elle m’embrassa fougueusement, puis tout en me redressant elle descendit par mon torse jusqu’à ma queue plus dure que de l’acier. D’une main elle commença à me branler tandis que l’autre malaxait un sein. Ensuite elle caressa le bout de mon gland avec le bout de sa langue avant de tout enfourner, elle me pompa avidement, et 10 secondes plus tard, l’excitation était telle que j’explosai dans sa bouche. Elle avala tout se releva, me prit par la main et m’entraîna dans sa chambre. Elle ferma la porte et me demanda:— " As tu déjà vu le sexe d’une femme ?"— " Non lui répondis-je malicieusement (j’en avais déjà vu des milliers sur internet)"— " Allonge-toi sur le lit et ferme les yeux".Je m’exécutais, curieux et excité. "Ouvre-les". Ce que je vis me stupéfia, elle avait enlevé son bas de bikini, était montée sur le lit et avait placé ses genoux de par et d’autre de ma tête ce qui fait que j’étais à 30cm de sa chatte. Elle avait une toison bien fournie, brune, ses lèvres étaient gonflées. Mais surtout, le parfum naturel qui s’en dégageait était enivrant et sauvage. "Lèche-moi s’il te plaît" me supplia-t-elle. Elle avançait son bassin et je redressais la tête puis passais ma langue sur ses lèvres gonflées et couvertes de cyprine. Elle eut alors un spasme et gémit, puis avec sa main appuya ma tête sur son entrejambe. Le goût était indescriptible tellement il était bon. Je passais ma langue partout, ses lèvres, son anus, son pubis, je titillais son clitoris, j’étais aux anges. Au bout d’un moment elle recula, se positionna au-dessus de ma queue, la prit en main, la frotta contre son entrejambe incroyablement doux avant de la placer sur un point précis et de s’empaler dessus. Je sentis la chaleur et l’humidité de son intérieur. Elle me chevauchait, montait et descendait de plus en plus vite, je commençais à donner des coups de reins, alors elle se pencha sur moi tout en hurlant "Oui, c’est bon ! Lime-moi bien !". Ses énormes mamelles gesticulaient sous mes yeux, je les chopais pour les téter. Au moment où j’allais tout lâcher elle se dégagea, recula, plaça ses seins de part et d’autre de ma queue et commença à me branler avec. 3 secondes plus tard, j’explosais comme un volcan, elle étala le sperme sur ses seins et lâcha un "Ahhh ! Ça fait du bien". Nous nous sommes ensuite douchés et rhabillés car Yann et ses grands-parents allaient revenir. Peut-être une suite ; )
