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Martha

Chapitre 1

Hétéro
Martha...Ses yeux foncés lui donnent un regard un peu sévère, brune avec une coupe au carré, allure svelte, élégante avec son tailleur strict, un sourire qui laisse entrevoir de belles dents blanches, presque aucune ride, on prête à Martha aisément 10 ans de moins. Dame dynamique, à personnalité affirmée, veuve depuis quelques années, VRP à la retraite. Je l’ai rencontrée dans un restaurant, lors d’un déplacement en Bourgogne, elle occupait la table voisine, déjeunant avec une amie, nous avions fait connaissance sur des banalités, elle me laissa vite entendre qu’elle souffrait de l’absence de son époux. Pas de solitude dans l’absolu, mais du manque de présence masculine, pour tout dire de sa condition de veuve.
— Quand je me réveille la nuit, je me rends vraiment compte que je suis seule désormais. Le vide à côté de moi, plus de corps à toucher, à caresser.
Malgré la présence de son amie, elle se laisse aller à faire des confidences intimes à... un inconnu.
— Vous savez, j’ai un amour virtuel, un journaliste, chroniqueur sur une chaîne d’infos continues, qui ressemble à s’y méprendre à mon défunt époux qui était un grand brun au teint mat, d’origine espagnole. Je ne décolle pas de l’écran lorsqu’il intervient et je m’endors même quelques fois en rêvant...
Mais l’heure tourne, et j’ai un rendez-vous en clientèle.
— Je pourrais vous revoir ?
Oui, pourquoi pas, voici mon numéro de portable. "
En d’autres temps, je lui aurai certainement fait la bise, mais la pandémie nous interdisait tout écart. Je me prends alors à ironiser,
— Sauf à ce que nous devenions plus intimes, je ne peux à ce stade que vous saluer d’un baisemain, chère Madame.
Je m’incline, prends sa main que je retourne en mimant un baiser. Elle sourit, amusée et me rétorque « mais rien ne nous interdit de développer notre intimité ? » Et en murmurant.
— Vous savez, comme dans le film du même nom !
Je ne comprends pas ce qu’elle veut dire.
— Et si vous repassez dans la région, je vous ferai visiter ma maison. Je peux même vous recevoir, je loue des chambres d’hôtes.
Je la quitte en lui promettant de la contacter prochainement. Quelques jours après, je reçois un SMS « j’ai été vraiment ravie de faire votre connaissance, quand serez-vous dans la région ? Je vous attends et pense à vous. Martha. »
Mais qu’a-t-elle voulu dire en parlant d’un film sur l’intimité ? Je consulte internet. Lorsque je renseigne film intimité, je trouve effectivement un film qui retrace la romance d’un couple qui se retrouve chaque semaine uniquement pour faire l’amour, ils ne se connaissent pas. Curieuse référence... un message subliminal...
Arrivé à l’adresse qu’elle m’a indiquée, je me rends vite compte qu’il s’agit d’une très grande maison, c’est un manoir bourguignon en pierre de taille, une propriété immense avec de nombreuses dépendances. Nous sommes un soir de juin et il fait très beau, Martha m’attend devant la grande porte d’entrée. Elle est vêtue comme elle l’était dans le restaurant, en tailleur sombre. Elle est masquée, Covid oblige. Il est près de 22 heures. "Vous avez dîné ?" « Oui bien sûr » Elle recherche le contact.
— Venez, je vais vous montrer votre chambre.
Nous parcourons des couloirs puis elle m’introduit dans une vaste chambre très cosy, décorée avec goût, rien ne manque, douche italienne,
— Vous aurez accès au spa et à la piscine extérieure chauffée. Vous restez trois nuits, — Oui, je suis en prospection commerciale sur ce secteur jusqu’à samedi. — Cette semaine, vous êtes mon seul client, la saison touristique n’a pas encore réellement démarré. Et la pandémie ne facilite pas les choses. Je vous laisse, petit-déjeuner à partir de 7h30. »
Nous échangeons encore quelques banalités sur la météo. Je la félicite pour la bonne tenue de la chambre. « J’habite juste en face au 1er niveau ».Une grande baie vitrée s’ouvre sur une terrasse donnant sur une cour intérieure aménagée en jardin, en espaces verts avec une terrasse de vieilles pierres. Tout est très bien agencé. On y reconnait la patte d’un paysagiste avec une fontaine à jets d’eau, la nuit tombée, je m’installe sur la terrasse de ma chambre pour fumer un havane. Mon attention se porte bientôt vers une lueur en face. C’est la chambre de Martha que je distingue vaguement, une salle de bain est attenante et je vois une silhouette se déplacer. Martha qui semble se préparer pour aller se coucher. Ses gestes indiquent qu’elle se déshabille. Soudain, la porte vitrée coulisse, c’est elle qui apparaît en bas, slip et porte-jarretelles blancs. Elle est sortie pour arroser ses plantes, mais ne peut ignorer que je puisse la voir. Elle rentre, j’aperçois encore quelques mouvements dans la salle de bain, puis plus rien. La lumière s’éteint. Je vais me coucher quelque peu émoustillé.
Le lendemain au petit-déjeuner, nous faisons mine de rien...On se parle de notre activité professionnelle, elle vendait du prêt-à-porter, de la lingerie féminine et d’autres accessoires sans plus de précision.
De toute façon, je suis pressé, je dois interrompre la conversation, j’ai plusieurs rendez-vous. Je la préviens que je rentrerai a priori assez tard. « Aucun souci, me dit-elle, je laisserai ma porte ouverte ».
Je termine ma journée de travail vers 21h. J’aperçois de la lumière dans ses appartements dans l’aile de la propriété au rez-de-chaussée. Je vais passer la saluer. Toutes les portes sont ouvertes, je me dirige dans hall d’entrée, puis un long couloir sombre me mène vers le filet de lumière qui s’échappe d’une porte entrouverte. J’entends une télévision qui marche, m’approche et risque un coup d’œil. Martha est assise dans grand fauteuil en cuir, un grand écran plat est allumé sur une chaîne d’information. Sa jupe est à ses pieds, son slip est baissé à ses chevilles, elle a gardé ses autres vêtements, sa tête est rejetée en arrière, elle paraît être dans un état second. Je la vois de profil, manifestement elle se donne du plaisir en se masturbant avec un gode. J’observe la scène, mon sexe se gonfle, je perçois les mouvements de va-et-vient du gode dans son sexe, mais ne distingue rien d’autre de son intimité.
Après quelques instants, je m’éclipse discrètement pour ne pas me faire surprendre et rejoins ma chambre.
Je m’endors rapidement après m’être masturbé sous la douche en pensant à ce que je venais de voir.
Le lendemain, je suis surpris lorsque Martha me dit « je vous ai entendu rentrer hier soir ». Elle se doutait que je l’observais. Rien n’est le fruit du hasard. La question pour moi n’était désormais plus de savoir si je pourrai coucher avec elle, mais quand ? Elle va me faciliter la tâche. Avant mon départ le lendemain, elle me lance « ce soir, je vous invite à dîner, nous serons seuls, il n’y a toujours pas de clients, des annulations suite à la Covid. Vous pourriez être de retour pour 19H30 ? On prendra l’apéritif, je vous ferai le tour du propriétaire ». Je m’empresse de répondre favorablement à son invitation et la remercie, lui promettant d’être de retour vers 19H00, le temps de me rafraîchir.
Le soir, je suis de retour, prends une douche et me change, nous prenons l’apéritif dans la cour intérieure sur une terrasse de pierre.Martha s’est maquillée, elle porte une robe longue noire pailletée de quelques grains dorés. Je la félicite pour son élégance. Elle a toujours cet air un peu sévère. Je distingue la bretelle de son soutien-gorge couleur chair sur ses épaules, j’essaye d’imaginer le porte-jarretelles sous la robe.
— Vous êtes marié ? 》— Non, divorcé, sans enfants.》— Vous vivez seul ?》— Oui.》 Cette réponse fait mouche. Elle teste ma disponibilité.— Je peux vous demander votre âge ?》 — 52 ans. 》— Moi j’en ai 69, un bon chiffre dans un lit... »— J’ai rompu récemment avec une compagne avec laquelle je m’étais pacsé. C’est toujours un échec.
Puis elle embraye comme lors de notre premier contact au restaurant sur la solitude liée à son veuvage. Pour changer de sujet, je propose qu’elle me fasse découvrir la bâtisse.
— C’est un manoir du 18e, rénové modernisé, à l’origine un relais de chasse, mais aussi lieu de débauche pour les notables de la région. Orgies, partouzes, soirées sm ont eu lieu dans ces lieux avant que nous en devenions les propriétaires mon mari et moi. Vous verrez « les salles de jeux dans les caves existent toujours, nous les visiterons toutes à l’heure. Et il y a même une salle des plaisirs sm si ça vous tente» « Nous entrons dans une pièce voutée où sont installées chaînes, tables de massages, une croix de Saint-André, le tout en parfait état de marche » Les pièces sont meublées de tables de chaises de fauteuils et de canapés quelques commodes en bois de rose, j’observe que sur l’une d’elles trônent un phallus très réaliste, des estampes japonaises et des tableaux représentant des scènes érotiques, le dessin d’un homme nu en érection qui se fait lécher le bout du gland par une grosse matrone pendant qu’elle se fait passer la langue entre les fesses par un autre, un homme dont la tête est enfouie entre les grosses fesses d’une femme, plusieurs grands lits, les plafonds et les murs sont en fait des miroirs parfois sans tain.— Ici, tout le monde voit tout le monde. C’était très excitant. 》— Vous dites "c’était" vous avez profité personnellement de ces pièces ?》
Elle me paraît gênée, rougissante.
— Oui, enfin, plus ou moins, avec mon époux, je vous raconterai, mais venez, allons dîner maintenant. J’ai renvoyé ma gouvernante, tout vient de mon traiteur. Nous serons vraiment seuls.》
Nous démarrons notre repas, soupe à la truffe, filet de bœuf aux morilles, gratin de petits légumes, à un moment donné, je me lève pour lui servir un verre de Pauillac. Elle me prend par la taille, me regarde droit dans les yeux.
— Tu crois que je ne t’ai pas vu me mater l’autre soir, quand je suis sortie arroser mes fleurs, et je sais que tu m’as vue devant la télé. Ca a dû te plaire de voir une vieille comme moi en manque de sexe se toucher, que me donnes-tu en échange du spectacle que je t’ai offert ?》 Je suis troublé par cette brutale entrée en matière à laquelle je ne m’attendais pas. Voyant mon trouble, elle se lève, me prend par la taille et m’embrasse sur la bouche. Nos langues s’entremêlent. Nous basculons sur le grand du petit salon attenant, nous caressant mutuellement en nous embrassant. Elle se lève et fait glisser sa robe à ses pieds, elle est en bas slip et porte-jarretelles, soutien-gorge, noirs. Très désirable, un peu maigre, mais encore très fuselée, un physique longiligne, le teint très blanc, jambes encore belles, de petits seins recouverts de bonnets trop grands... — Ca te plaît ? Déshabille-toi.
Je m’exécute. Quand j’arrive à mon caleçon, je ne peux masquer la bosse de mon sexe. 《Descends-moi ça et masturbe-toi. Ca fait longtemps que je n’ai pas vu un homme se masturber devant moi.》 Je positionne mon pouce et mon index sur mon frein et commence à me branler,
— C’est bien, tu es circoncis comme mon époux. Bon, arrête, va sur le bord du canapé.
Elle se met face à moi entrejambe à hauteur de mon visage et baisse son slip. Je découvre son sexe, sa toison de poils grisonnants est très fournie, taillée en triangle sur le pubis, la vulve est épilée, elle écarte ses lèvres avec deux doigts d’une main et se caresse le clitoris de l’autre.
Je bande comme jamais.Elle continue sa masturbation, ses poils sont luisants, après quelques minutes de ce traitement, elle est trempée. Je lui défais son soutien-gorge et lui suce les tétons. De petits tétons saillants sur de petits seins avec une aréole large et foncée, elle parait très sensible, car elle réagit instantanément à ma succion en haletant.
Je m’arrête pour changer de position, l’entraîne vers la table où nous venons de dîner, je la monte sur la table, pousse la vaisselle, lui relève les jambes en lui écartant les cuisses pour plonger ma tête dans son sexe. Je lui baise les lèvres, aspire et tourne autour du clitoris, elle s’appuie fermement sur ma tête en caressant mes cheveux, les gémissements s’amplifient, de plus en plus mouillée, de la cyprine coule sur la nappe blanche.
Puis je la renverse complètement sur la table en lui relevant les fesses pour lui passer la langue dans la raie culière en remontant jusqu’au pubis. Sa réaction est fulgurante, elle jouit rapidement, je reçois un jet de cyprine en pleine bouche, son orgasme est convulsif, elle balance la tête, je continue à lui passer la langue de l’anus au clitoris, un tressaillement, nouveau jet de cyprine, ses cuisses resserrent ma tête. Elle gémit longuement puis relâche son étreinte. Je reprends mon souffle pour la suite...
A suivre
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