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Marthe

Chapitre 1

Hétéro
Je suis un homme fin, soixantaine, bisexuel, et toutes mes aventures sont réelles, elles se sont déroulées de 1967 à aujourd’hui, et j’essaie de les remettre dans le contexte de l’époque. J’ajouterai que depuis toujours, j’ai une forte attirance pour les personnes (hommes ou femmes) beaucoup plus âgées que moi.
Chaque semaine, dans le journal de la région, je consulte les annonces de rencontres et je m’intéresse à celles émanant de vieilles personnes.J’écris de temps en temps, mais je n’ai pas eu de touches à exploiter.A l’automne 2013, j’ai répondu à une annonce d’une dame octogénaire veuve. Quelques semaines passent et je n’y pense plus, quand un samedi après-midi mon téléphone sonne, c’est elle, elle a vraiment une voix de vieille et je comprends tout de suite que ça va être bon, elle m’explique qu’elle est en maison de retraite, mais qu’elle aimerait rencontrer un homme qui puisse la sortir de temps en temps.
Nous prenons rendez-vous le mardi suivant en fin d’après-midi, j’arrive dans un foyer d’inspiration religieuse, de ma voiture, je téléphone à Marthe, elle me dit de l’attendre dans le hall, qu’elle arrive. Quelques instants plus tard, je la vois sortir de l’ascenseur, mince, ridée, vêtue d’un corsage et en pantalon, je me dis a-t-elle vraiment 80 ans ????
Nous nous saluons, elle me propose de monter dans sa chambre qui est au troisième étage, elle me fait entrer chez elle, je lui fais remarquer que dans le hall, plein de monde, nous nous sommes salués, certes fort civilement, mais que maintenant, étant seuls, nous pourrions peut-être nous embrasser, elle a un sourire, alors je la prends dans mes bras et l’embrasse, au début un peu timidement puis plus franchement, collée à moi, nos langues finissent par s’entremêler et j’éprouve un plaisir trouble à sentir ce vieux corps collé au mien, mes mains descendent pour caresser ses fesses tout molles, et vu que nous sommes collés l’un à l’autre, elle ne peut ignorer que je bande.
Elle me fait asseoir sur une banquette, elle à côté de moi, j’écoute son histoire, la perte de son mari, un AVC, sortie de l’hôpital directement dans cette chambre depuis quelques mois et elle s’ennuie, je me rapproche, je commence à laisser mes mains se balader sur ses cuisses (dommage qu’elle ne soit pas en robe), je sens sous mes doigts les boutons d’un porte-jarretelles et la couture des bas, elle ne s’offusque pas, innocemment, je pose la question « comme ça vous avez 80 ans ? » elle me regarde en souriant avec un air espiègle et me répond, quand j’ai rédigé l’annonce oui, mais depuis dix jours j’en ai 90, ça vous dérange ?
Je l’assure qu’il n’y a aucun problème, ça la détend et j’en profite pour remonter ma main et lui caresser l’entrejambe lui appliquer quelques bisous dans le cou, elle se met à glousser alors je me suis permis de lui peloter les seins, pas très gros, tombants, mais quand même excitants.
M’enhardissant, je lui exprime mon désir de lui caresser les fesses, c’est mon truc, j’adore ça, elle hésite, elle ne peut pas verrouiller la porte, elle entrebâille la porte pour surveiller le couloir et me dit allez-y, je défais sa ceinture, descends la fermeture de son pantalon et descends le pantalon et la culotte, comme je m’en doutais, elle porte une gaine et des bas, ses fesses sont molles et ridées, je les pétris et les couvrent de baisers, elle voit quelqu’un dans le couloir, ferme la porte et remonte culotte et pantalon. Il est bientôt 18 heures, elle doit descendre pour dîner, nous convenons de nous revoir, je décide de lui consacrer une journée entière, ce sera le vendredi de la semaine suivante.
Le matin, je réserve une chambre dans un hôtel et je paye d’avance, prétextant que je dois partir très tôt le lendemain. Vers 10h30, je suis devant la pension, je l’appelle, j’attends dans le hall, elle sort de l’ascenseur, robe fleurie et une petite veste, il fait très beau, je l’installe dans la voiture et j’en profite pour la peloter en l’aidant à boucler sa ceinture.
Je lui propose, en attendant l’heure du déjeuner, une balade au bord du canal, elle accepte, je me gare sur un petit parking, l’endroit est désert, je lui prends la main et nous cheminons lentement, j’oblique vers la forêt, je sais qu’à une centaine de mètres, il y a une clairière avec une table et des bancs, je la fais asseoir et commence à la lutiner gentiment, un moment, elle me fait une demande qui m’étonne et me ravit, elle me dit de sa petite voix « vous voulez bien me montrer votre bite », un peu suffoqué, je me dresse devant elle et lui dis « il n’y a personne, allez-y ».
Elle défait ma ceinture et descend la fermeture, elle descend pantalon et slip et dégage ma bite semi-bandée, elle commence à me branler alors qu’un jogger arrive, je remonte précipitamment slip et pantalon et comme il est 11H30, je lui propose d’aller déjeuner.
J’avais réservé dans un petit restaurant de qualité surtout fréquenté par des gens d’un certain âge, elle déjeuna avec un appétit que je n’aurais pas imaginé, ça a dû la changer de l’ordinaire de la maison de retraite, elle a même bu un peu de vin.
Il est 13H45, nous sortons, sur le parking, je la prends dans mes bras et l’embrasse de nouveau à pleine bouche, dommage, personne ne nous voit, je l’installe dans la voiture, bien sûr j’en profite pour la peloter, elle semble apprécier de plus en plus.
Néanmoins, elle semble préoccupée, je lui en fais la remarque, alors elle me dit qu’elle est gênée, car dans son foyer, elle ne peut pas faire sa toilette facilement et qu’elle n’est pas impeccable, je la rassure, nous allons à l’hôtel, je l’aiderai à prendre une douche, elle est rassurée.
Il est 14H00, je gare la voiture, je vais prendre la clef à la réception et nous entrons dans la chambre, je l’invite à se déshabiller, moi je fais de même, je l’aide à monter dans la baignoire et je la douche consciencieusement, je m’attarde longuement sur son entrecuisse et son trou du cul. Je l’essuie et l’allonge sur le lit.
Elle me dit « vous savez, je ne peux pas faire l’amour, j’ai été opérée de l’utérus » je lui réponds « vous me sucerez », mais avant, je veux profiter de son vieux corps, je pelote longuement ses seins et suçote les tétons, je descends en la couvrant de bisous jusqu’à sa chatte, pas très poilue, j’écarte largement ses cuisses et je m’allonge entre ses jambes, mes mains soulèvent ses fesses et je lèche ses grandes lèvres, suçote son clitoris, ça semble faire effet, elle gémit, ses mains me caressent le crâne (je suis rasé). Au bout d’un moment, je décide de m’intéresser à la partie de la femme que je préfère, je la retourne, la couvre de baisers, lui caresse longuement les fesses, les cuisses. Ensuite, je la fais s’agenouiller, docilement elle obéit, alors j’écarte ses fesses et introduis ma langue dans son trou du cul, je lui titille la partie entre la chatte et le trou du cul, à ce moment, elle glousse de plus en plus fort, se retient pour ne pas crier et me supplie d’arrêter.
Je m’allonge, elle repose sa tête sur mon torse et joue avec les poils de ma poitrine, elle prend ma bite en main et commence à me sucer, elle s’y connaît, c’est très agréable. Je voudrais lui baiser la bouche. Comme elle est docile, je la fais asseoir au bord du lit, moi debout devant son visage, elle comprend mon envie et ouvre la bouche, j’introduis ma queue entre ses lèvres et je commence le va-et-vient, elle se contente de serrer les lèvres et se laisse faire. Les deux mains sur sa tête, je regarde mon membre déformer ses joues, je n’en peux plus, je me recule et lui balance une longue giclée de foutre en travers du visage, je lui remets ma queue dans la bouche et elle la nettoie consciencieusement avec sa langue, quel pied. Nous passons à la salle de bain, elle s’essuie le visage, je nettoie ma bite et nous nous retrouvons allongés sur le lit.
Nous parlons de chose et d’autre, en même temps, je la caresse, je commence à rebander, elle s’en aperçoit et de façon surprenante, elle me dit textuellement ceci « vous ne voulez pas m’enculer ? », j’avoue être resté un instant comme deux ronds de flan.
Elle m’explique que lorsqu’elle était jeune mariée, elle et son mari avaient trouvé ce moyen de contraception et qu’elle avait pris goût à la sodomie. Ce terme « enculer » dans la bouche de cette nonagénaire fit que ma queue devint instantanément dure comme du bois.
Je la fis se mettre à quatre pattes au bord du lit, du coup, les rides de ses fesses disparurent grâce à la tension de la peau, quel spectacle, je repasse ma langue entre ses fesses, laisse un peu de salive, je me place debout derrière ses fesses offertes et présente mon gland à l’entrée de son anus, j’introduis doucement ma bite, elle me dit »plus fort », alors j’y vais franchement, je me rends compte qu’elle est bien rodée, je pilonne longuement son trou du cul, au bout de quelques minutes, je n’en peux plus, je me recule et j’envoie une longue giclée sur ses fesses, quel pied !
Il commence à se faire tard, elle doit être à la pension avant dix-huit heures, je me rhabille, je l’aide à enfiler ses vêtements et je la raccompagne, en route, elle m’avoue avoir aimé se faire sauter de nouveau, nous convenons de nous revoir régulièrement.
Après un dernier baiser, elle sort de la voiture et rentre au foyer.
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