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Martin et Caroline... et Louis

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Je m’appelle Martin et je suis amoureux de Caroline depuis que nous sommes rentrés en seconde, il y a deux ans. Je suis petit et très mince, imberbe et un peu efféminé. Je n’ai jamais eu confiance en moi ni de succès avec les filles qui me disent pourtant que je suis « mignon ». Vous comprenez aisément que je n’aie jamais rien tenté avec Caroline. Je me contente de faire part de ma peine à Manon, ma meilleure amie, qui en échange me parle de ses problèmes de cœur à elle. En effet, elle n’a pas plus de chance que moi en amour : elle est amoureuse de son ami d’enfance, Louis, avec qui je m’entends assez bien également. Il est tout le contraire de moi : très viril et sûr de lui, il plaît à toutes les filles. Mais ce n’est pas la concurrence qui empêche Manon de conquérir son cœur, c’est un problème bien plus profond. Louis est homosexuel.
Cette soirée d’Août, à quelques jours de la rentrée, nous avions décidé de la passer ensemble pour dire adieu à ces deux mois de liberté estivale. Nous nous étions donnés rendez-vous chez Caroline, qui a la plus grande maison, et nous avions passé quatre heures à manger, boire de l’alcool, discuter et rigoler.
Il était bientôt minuit, personne n’était ivre mort et nous voulions continuer de nous amuser. Manon proposa un action-vérité, les deux autres approuvèrent, je suivis. Nous nous assîmes en cercle sur la moquette de la chambre de Caroline et commençâmes à jouer. À cause de la chaleur et de l’alcool, les filles étaient habillées très légèrement. Caroline portait une jupe sans collants et un débardeur blanc largement décolleté sur lequel je jetais sans arrêt des coups d’œil. Malheureusement, ses longs cheveux blonds venaient compenser l’impudeur de ses vêtements. Manon portait une robe bien plus sage et avait attaché ses cheveux châtains dans un chignon.
Comme toujours à ce maudit jeu, je n’avais jamais la chance d’avoir des gages excitants et les filles m’envoyaient toujours me ridiculiser avec Louis. C’était encore mon tour, j’avais encore pris action dans l’espoir d’embrasser une des filles, et Caroline me donna pour gage d’embrasser les abdominaux de Louis. Je me serais laissé faire en temps normal mais grâce aux quatre verres d’alcool fort que j’avais bus dans la soirée, je trouvai le courage de me révolter et demandai :
« Pourquoi vous me donnez toujours des actions de pédé ?— Je trouve que ça te va mieux, répondit Caroline.— Comment ça ?— Ben même si je sais que tu fantasmes sur moi, je t’ai toujours imaginé gay. Je suis persuadée que c’est ta vraie nature.— Attends comment tu sais que je fantasme sur toi ?— Manon me l’a dit. »
Humilié par Caroline et trahi par Manon, je regardai cette dernière avec hébétude. Elle s’excusa en baissant les yeux. Caroline interrompit le silence :
« Tu voudrais pas essayer ?— De quoi ?— L’homosexualité.— T’es folle ?— Allez… Je suis sûre que tu découvriras quelque chose sur toi-même.— Mais j’ai pas envie !— Tu ne peux pas savoir si ça te plait avant d’essayer ! Et puis moi j’adorerais voir ça…— Ah parce que tu comptes regarder en plus ? C’est une blague ?
— Tu sais les filles aiment bien le sexe entre deux mecs, on trouve ça hyper sexy. Pas vrai Manon ? »
Elle n’acquiesça pas, son visage affichait une grande perplexité mêlée à de la curiosité. Caroline repris :
« En tout cas moi j’adore, c’est un grand fantasme. Tu ne ferais pas ça pour ton amour ?— Non.— Même si ça te permettait d’avoir accès à mon intimité ?— De quoi tu parles ?— Si, tout de suite, tu te déshabillais pour découvrir l’homosexualité avec Louis, alors je me déshabillerais aussi et te laisserais même me toucher pendant ce moment de triolisme. »
Louis, qui était resté muet pendant toute la scène, se réveilla tout à coup.
« Attends t’es sérieuse là ? Tu te demandes même pas ce que j’en pense avant de sortir des idées comme ça ?— Quoi, t’aimerais pas baiser Martin devant Manon et moi ?— Haha t’es complètement folle, mais j’avoue que ce serait marrant.— Alors Martin, qu’en dis-tu ?— Vous avez tous trop bu et vous racontez n’importe quoi. »
J’essayais de ne montrer aucun signe d’hésitation, d’être sûr de mon refus. Je ne voulais pas que Caroline s’imagine une seule seconde que l’idée pût me tenter, auquel cas j’aurais perdu le peu de virilité que j’avais à ses yeux. Mais en y pensant bien, après tout, avais-je vraiment quoi que ce soit à perdre ? Perdu pour perdu, ce moment de sensualité inespéré n’était-il pas ce que je pouvais avoir de mieux ? Et puis l’autre part du contrat ne devait pas être si horrible que ça. Mais à quoi étais-je en train de penser ? J’avais trop bu moi aussi, c’était absurde comme idée, et puis les deux autres se dégonfleraient de toute manière.
« Pas du tout, je suis très sérieuse, et j’ai pas tant bu que ça, reprit Caroline. Je te promets que je le ferai, je rigole pas, ça tient qu’à toi. »
Mon hésitation devenait visible, je regardai Louis d’un air interrogateur. Il avait l’air d’avoir très envie que j’accepte. Je regardai alors Manon, elle semblait perdue. Je me tournai enfin vers Caroline dont le visage affichait de la détermination.
« Vraiment ?— Vraiment.— Ok. »
Quelle décision stupide ! C’était vraiment l’alcool qui avait parlé. En tout cas c’est ce que je dirais le lendemain pour me justifier. Caroline se déshabilla la première. Elle n’avait pas de soutien-gorge mais conserva sa culotte. Je découvris avec émerveillement ses seins nus et mon angoisse commença à s’évanouir : j’avais peut-être pris la bonne décision.
« À ton tour. »
Je l’imitai, ne gardant que mon boxer. Mon pénis se raidit un peu. Ébloui par le corps de Caroline, je n’avais pas vu que Louis était déjà entièrement nu. Je jetai timidement un coup d’œil. Son sexe pendant faisait à peu près la taille du mien en érection. Caroline et moi retirâmes également le bas et je pus cette fois-ci découvrir son fessier, un peu plus banal que sa poitrine mais qui durcit mon sexe pour de bon. Je bandais dur et Caroline le vit. Cela semblait la réjouir.
« Allez, tu as un gage à réaliser, tu te souviens ? »
Louis se leva. J’approchai mon visage de son ventre sans quitter Caroline des yeux. L’excitation que je lisais sur son visage me rassurait et me motivait à continuer. Je posai mais lèvres au-dessus de son nombril puis éloignai mon visage pour interroger la satisfaction de ma maîtresse.
« Plus bas.— Mais il y a des poils !— Fais pas la chochotte… »
Je l’embrassai cette fois sur ce qu’on appelle « chemin du bonheur » et Caroline sourit plus franchement. Elle se rapprocha de moi jusqu’à se coller à mon dos. Je sentais parfaitement ses seins contre moi, c’était le paradis. Elle passa son bras autour de moi et sa main s’enroula autour de mon pénis. J’eus un frisson.
« Bon ben… On peut passer à la suite. Suce-le maintenant. »
Louis aussi s’était mis à bander. Il approcha son gland de mon visage. Je pris une profonde inspiration, fermai les yeux et ouvris timidement la bouche. Je voulais me pincer le nez comme les enfants auxquels on fait manger des épinards, mais Caroline me l’aurait reproché. Je sentis bientôt la peau du gland de Louis contre ma langue. En réaction, Caroline s’accrocha plus fort à moi et commença à bouger sa main pour me branler. Je pris mon courage à deux mains pour leur faire plaisir et portai ma main à la base du sexe de Louis puis m’appliquai à effectuer ce que je m’imaginais être une bonne fellation.
Pendant cinq minutes, je suçai Louis aussi bien que possible, multipliant les coups de langue contre son gland et m’efforçant de garder les lèvres closes et les dents loin de sa bite. Je voulais à la fois ne pas paraître trop passionné par ce que je faisais et ne pas décevoir Caroline. Elle ne m’aidait pas à me concentrer, ses caresses maladroites me procuraient peu de plaisir mais énormément d’excitation. J’avais envie de repousser Louis, de me retourner et de la prendre sauvagement. Je redoutais la suite. Caroline posa son autre main derrière ma tête pour accompagner mes mouvements et déposa un baiser sur ma joue tendue par le chibre de Louis. J’ouvris les yeux et me surpris à être très entraîné par ma fellation. La sensation était agréable, le goût était neutre, ma soumission surtout était très excitante.
« Bien, s’exclama Caroline en s’allongeant sur le dos. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Au fait Manon, t’as pas honte d’être la seule habillée ici ? »
Elle se déshabilla sans discuter, ce qui sembla ravir Caroline. Elle me fit signe de me placer à quatre pattes au-dessus d’elle et enfouit ma tête entre ses seins d’une façon presque maternelle. Elle voulait me détendre pour ce qui allait m’arriver. Je me blottis contre elle et respirai fortement l’odeur de ses seins. Je la trouvais plus enivrante que tout ce que j’avais ingurgité dans la soirée.
La sensation du gland baveux de Louis tentant de s’introduire entre mes fesses m’ôta de mon extase. Je décidai de rester brave et décontracté. Il me caressait le trou, l’entrée était imminente. Le temps d’un dernier baiser entre les seins de Caroline et voilà que la bite de Louis m’écartait doucement l’anus. Il s’y prit doucement, je dirais amicalement, et ne me fit aucun mal. Cela avait pris du temps mais le gland était entré entièrement, ainsi que la moitié du reste de son pénis. Il effectua le premier va-et-vient, beaucoup moins lentement que précédemment. Surpris, je gémis. Ils rigolèrent tous les deux, je rougis. Deuxième va-et-vient, je gémis encore. Décidément, je ne parviendrais pas à me retenir d’y prendre du plaisir. Il ne s’arrêtait pas et je gémissais toujours à chaque fois. La sensation était exquise, je n’avais jamais rien mis là-dedans et étais surpris de découvrir à quel point c’est plaisant. Je bandais toujours autant.
Caroline se retira d’en-dessous de moi et je relevai la tête pour m’apercevoir que Manon était en train de se masturber discrètement, ce qui me fit sourire. Caroline présenta son vagin sous mon visage, les jambes écartées. Je la regardai dans les yeux avec un grand sourire, comme pour la remercier de ce cadeau. Je me mis au travail avec autant d’application et beaucoup moins de retenue que pour sucer Louis. Je me fis ainsi enculer pendant de longues minutes durant lesquelles je dégustais le minou de mon amour. C’était la situation la plus délicieuse que j’avais jamais vécue et j’aurais accepté de continuer pendant des heures.
Je parvins à faire jouir Caroline qui m’annonça qu’elle allait me récompenser. Elle me dit de m’allonger sur le dos et Louis reprit sa besogne dans cette position. Je voyais au-dessus de moi le corps musclé et transpirant qui me faisait couiner depuis tout ce temps. Je rougis et baissai les yeux. Soudain, le meilleur arriva. Caroline saisit ma bite et se mit à la sucer. Cette fois-ci, c’était vraiment le summum du plaisir, j’en étais certain. Il était tellement intense que je ne tins pas deux minutes avant de me répandre dans sa bouche. L’orgasme avait été plus fort que toutes mes branlettes réunies, ma tête tournait. Fort heureusement, Louis ne tarda pas non plus à éjaculer dans mon cul. Il se retira et je restai allongé, à la fois heureux et honteux d’avoir connu ce plaisir. Caroline, qui s’était relevée, nous regarda tous les trois allongés dans notre malaise post-orgasmique et déclara :
« Vous voyez qu’elles sont bonnes mes idées. »
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