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Martin et Maeva, les jumeaux, et leur mère.

Chapitre 4

Martin régale Maeva et leur mère

Inceste
AVERTISSEMENT : cette histoire d’inceste, écrite à la demande d’une jeune fille très liée à son frère jumeau et à sa mère, n’est que pur fantasme et ne s’appuie sur aucun fait réel.

Résumé : En vacances à Collioure avec son jumeau et leur mère, Maeva et Martin la surprennent se caresser en camlive avec leur père. Très excitée, Maeva, secrètement amoureuse de son frère, ose pour la première fois lui donner du plaisir. (Lire chapitre 1)Elle va aller de découvertes en découvertes sur les relations entre sa mère et son frère et se retrouver prise dans un jeu familial à trois (Lire chapitre 2)Mais elle n’est pas au bout de ses surprises sur la vie sexuelle de ses parents (lire chapitre 3)Ayant rejoint Martin dans sa chambre accompagnée de sa mère, elles vont se laisser déborder par leurs pulsions sexuelles
(note à l’intention des lecteurs : ce chapitre décrit une scène de sexe en employant parfois un vocabulaire assez cru)

Chapitre 4 : Martin régale Maeva et leur mère
Ma main continue à jouer distraitement avec la queue de Martin. Je serre délicatement le bout de son gland luisant en le pressant doucement dans le creux de ma paume. Mon sexe est en feu et je suis trempée. Ma liqueur s’écoule entre mes cuisses enroulées autour de sa jambe. Je frotte mon petit bouton contre lui d’une lente houle du bassin. Je lui susurre à l’oreille
— J’ai très envie, Martin ! là tout de suite !
— Viens !, me répond-t-il.
Je m’agenouille à califourchon au-dessus de son ventre, bien décidée à m’empaler sur sa hampe turgescente. Je l’empoigne d’une main ferme pour la frotter dans le sillon de mes lèvres ouvertes et l’enduire de ma mouille. La sensation de son gland contre mon clitoris tout gonflé et sensible m’électrise le ventre et décuple la coulée de ma cyprine de mon antre. Mes hanches s’affolent et dans un feulement que je ne peux contenir, je jouis violemment une première fois. Un plaisir trop longtemps contenu malgré mes séances solo répétées de ces derniers jours.
Maman installée à genoux dos à moi, offre son sexe à la bouche de Martin. Aux bruits de clapotis, je comprends que sa langue doit s’activer à la fouiller et la dévorer avec ardeur. Les gémissements et le petit tremblement des fesses de ma mère confirment qu’elle s’embrase elle aussi.
—Ouiiii ! Martiiiin ! Ouiiii ! Fouille moiiii ! Dévore moiiii ! Ouiiiiii !, geint-elle sans retenue.
Je présente la queue de Martin à l’orée de mon antre et je me laisse descendre sur lui. J’ai envie de le sentir me pénétrer lentement et m’investir au plus profond de mon ventre. Sa hampe me brûle au fur et à mesure qu’elle s’enfonce en moi. Sous l’effet de l’excitation intense, les parois de mon vagin se resserrent et l’emprisonnent. Ses hanches s’animent et il me pilonne la chatte de rapides coups de rein.
Entre deux coups de langue dans la fente luisante et grande ouverte de ma mère, Martin se laisse aller à des commentaires très crus, emporté par nos ébats sexuels.
— Tu la sens bien ma pine ? Le velours de ton conduit me brûle le gland ! Je veux te défoncer ! Je vais gicler mon foutre dans ton con et te faire jouir comme jamais ! Dis moi que c’est ce que tu veux ! Dis moi que tu aimes ça !
Moi, tout aussi exaltée par le plaisir qui me gagne à nouveau, je me caresse vigoureusement le clito gonflé par le désir.
— Ouiiiiii ! Martin ! J’adore que tu me ramones ! Plus fooort !!! Plus viiiite !!! Plus profoooond !!! Enfonce moi ta bite jusqu’au fond ! Éjacule ta liqueur qu’elle se mélange à ma mouille qui coule de ma grotte en feu comme une rivière ! Remplis-moi ! Fais moi jouiiiiir Martin !
Le bassin de maman s’agite de plus en plus fortement et elle pousse de petits geignements.
— Vas-y !Suce moi le clito ! Aspire le ! Branle le avec tes lèvres ! Sens comme il est gros et dressé comme une petite queue ! Excite le de la pointe de ta langue ! Ouiiiii ! Comme ça ! C’est boooooon ! Tu vas me faire jouiiiiir ! Doigte moi ! Mets moi deux doigts dans la chatte et branle moi ! Vois comme je coule ! Je suis trempée ! Enfonce tes doigts plus profond ! Tu me rends folle ! Je vais exploser !!!!. 
Les bruits de succion de la bouche de mon frère dans la chatte de ma mère m’excitent terriblement. Son beau corps de quadra est agité de soubresauts. Ses magnifiques seins se balancent me laissant entrevoir les pointes de ses tétons dressés. Les doigts de Martin vont et viennent dans sa grotte entre les lèvres rosées largement écartées. Ils luisent de sa cyprine qui s’écoule abondamment sur la main de mon frère. Ses belles fesses blanches ouvertes offrent à ma vue son petit trou délicat … et si j’osais maintenant ce que je n’ai jamais fait !
Je me penche vers l’avant et ma langue s’insinue dans la raie de ses fesses pour titiller son anus.
— Ooooooh ! Maeva ! Ooooooh ! Ma chérie ! J’adore ça ! Tu es merveilleuse ! Tu oses tout pour moi ! Vous allez me faire jouir comme une folle !
Les coups de reins de Martin se font plus rageurs et plus rapides. Sa queue me brûle le vagin et son ventre percute mon cul dans des claquements secs. Je me triture le clito pour que mon plaisir soit encore plus dévastateur. Je le pince, je le tire, je le branle. Je fais tourner mon doigt à toute vitesse sur son extrémité et sur sa base. Je le regarde pointer tout rouge de dessous le petit replis de chair.
J’ai largement atteint le point de non retour. Plus rien ne peut arrêter l’orgasme qui commence à me vriller le ventre dans mes profondeurs les plus intimes. Je ne maîtrise plus rien. Mon vagin se contracte sur sexe de Martin pour le retenir, mon corps se tétanise, ma vue se trouble
— Viiiiiiiite Martin !!!! Je ne tiens plus !!! Viiiides toi en moi !!! Donne moi tout ton juuuuus !!! Ouiiiiii !!! Ouiiiiii !!! Ouiiiiii !!! Encoooore !!! Tu m’iiiiiinondes !!! Ouiiiiii !!!!
Le bassin arquebouté, Martin pousse son sexe profondément dans mon vagin comme pour me transpercer. Il éjacule si fort que je sens son sperme gicler au tréfond de mon antre, me déclenchant un orgasme titanesque à la limite de la perte de conscience. Dans ma demi inconscience, j’entends maman crier de plaisir …
De longues minutes plus tard, étroitement enlacés, nous émergeons lentement de ce moment de jouissance nirvanesque. Les corps nus de mon frère et de maman, alanguis à mes côtés, sont superbes. J’ai quelques fois pu observer des corps de garçons et de filles dénudés à l’occasion de nos soirées entre potes, mais là, leur indécent abandon dans des positions totalement impudiques me subjuguent.
Le corps élancé de Martin est dominé par son visage aux traits fins un peu féminins , où sa bouche, légèrement pulpeuse pour un homme, attire tout de suite le regard. Son regard noir, sa chevelure sombre déstructurée et sa barbe naissante lui confèrent un style genre bel italien ténébreux. Et que dire de son sexe conséquent que j’ai tellement envie de prendre de sucer pour qu’il se déverse dans ma bouche.
Ce qui m’attire le plus chez maman, ce sont ses seins. Superbement galbés et plantés haut sur son torse, leurs petites auréoles sont d’un beau rouge carmin qui me donnent envie de les titiller. Plus bas, à la jonction de ses jolies jambes fuselées largement ouvertes, les lèvres lisses de sa vulve s’étirent finement jusqu’à l’ouverture de sa grotte. Le sillon luisant de cyprine entrouvert laisse juste pointer pointer son clito encore gonflé de plaisir par notre joute. Son doux visage est encadré par une chevelure mi longue châtain clair parsemée de mèches décolorées. Les yeux mi-clos, elle me sourit tendrement.
— tu sais que tu es très jolie ma chérie ! Parfois quand je t’admire presque nue dans tes petites nuisettes transparentes, je suis presque jalouse de ta beauté de jeune femme !, me complimente ma mère alors que son regard me balaie le corps sans aucune pudeur
— Ooooh c’est gentil maman ! Je pense que tes amants, dans vos soirées cando avec papa, ils doivent pas mal se rincer l’œil aussi ! Tu ne dois pas avoir de grandes difficultés à les faire bander !, lui rétorquai-je gentiment
— c’est sûr que vous êtes canon toutes les deux ! Vous feriez triquer un mort ! Alors vous pouvez imaginer à quel point vous me faites bander chaque fois que je vous vois plus ou moins à poil !, nous coupe Martin
— Si tu veux, on fera gaffe et on s’habillera en nonnes avec maman ! Comme ça tu devras un peu moins te masturber dans ton coin !, éclatais-je de rire. Mais ne viens pas mater sous nos robes de bonne soeur, tu choperais encore de grosses érections !
— Et surtout ne viens pas en terrasse du Sampa cet après-midi, parce que vu la taille de ta queue quand tu bandes, tu vas te sentir à l’étroit dans ton pantalon, pouffe maman
— pourquoi ? s’étonne-t-il
— Parce qu’avec Maeva nous allons aller y faire une petite séance d’exhib, enfin si tu en es toujours d’accord ma chérie ?, me propose maman 
— Oooooh que ouiiiii maman ! C’est une super idée !, applaudis-je déjà excitée
— Ça ne t’embête pas si je le dis à ton père, chérie ? Il m’accompagne toujours quand je pars en chasse. C’est son plaisir à lui de me regarder lever des hommes, m’interroge maman. Mais si tu ne veux pas, ne t’inquiète pas il comprendra !
— Tu sais maman, pour cette première exhib toutes les deux, je ne préférerais pas. Je crois que je serais plutôt mal à l’aise. On verra plus tard, peut être dans une de vos soirée candau si vous nous acceptez avec Martin
— Ne t’inquiète pas ma chérie, ton père le comprend très bien. Nous en reparlerons tous les quatre avec ton père pour cette soirée candau
(à suivre)
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