Ce récit se déroule il y a maintenant une dizaine d’années en plein hiver rigoureux (-15° régulièrement) dans le grand est.Après une période de chômage, je trouvais in extremis avant la fin de mes droits un CDD de 6 mois dans une administration. N’ayant pas vraiment le choix, j’acceptais donc d’aller travailler à une cinquantaine de kilomètres de mon domicile. Je faisais donc le trajet chaque jour et partant très tôt, ma compagne était souvent encore endormie.Ayant la trentaine, ma libido était donc contrariée par cet absence et le fait d’être entouré en grande majorité de femmes n’arrangeait rien. Administration oblige, il n’y avait que peu de jeune mais cela ne me dérangeait aucunement, ayant toujours été attiré par des femmes plus âgées et je préférai amplement la tenue tailleur-escarpins que le jean-basket. J’étais donc entouré de femmes dont l’âge variait entre 50 et 60 ans dans mon service, n’était pas débordé par une charge de travail insupportable. Par contre, j’essayais (très) régulièrement de quitter l’ambiance politique du bureau qui était à l’opposé de mes opinions. Le bâtiment était en plein travaux et les différents services passaient d’un bureau à l’autre, d’un étage à l’autre. Je me baladais donc régulièrement dans les couloirs, rangeant des dossiers, faisant des photocopies ... Une autre activité récurrente était d’aller aux toilettes pour soulager la tension sexuelle accumulée. Pour des raisons pratiques, et aussi par voyeurisme, je me rendais aux toilettes pour femme, plus proches et plus propresLes jours passaient, puis les semaines. Je passais de plus en plus de temps à admirer ces dames, leurs talons, leurs jambes, parfois les cuisses dont certaines étaient encore superbes malgré les années. Avec le temps, j’avais remarqué les allées et venues dans les couloirs et surtout celles de Martine, travaillant au service comptabilité. Je l’avais déjà croisé à plusieurs reprises et appréciait tout particulièrement ses jambes. Elle avait un peu plus de la cinquantaine, très féminine, petite blonde, cheveux mi-long avec quelques rondeurs, un sourire très communicatif mais surtout elle était toujours impeccable avec des tenues très classiques mais avec une touche d’originalité. L’hiver ne l’empêchait pas de porter jupe et robe avec des collants de toutes les couleurs et elle avait une collection d’escarpins et de sandales à talon conséquente. Elle travaillait non loin de moi et sans être proche, elle était la personne avec qui j’essayais de passer le plus de temps possible. J’étais donc toujours disponible pour l’aider à porter du courrier, lui ramener des photocopies ...Il m’arrivait donc de me trouver aux toilettes en même temps qu’elle, de manière volontaire ou non et de me masturber en l’imaginant se déshabiller, se rhabiller. Je restais toujours très discret, n’étant pas vraiment sensé être présent à cet endroit.Mon regard changea sur elle au gré d’un changement de bureau. Je la voyais pousser un caisson non loin de moi et je pu distinguer la lisière d’un bas qui dépassait du bas de sa jupe.A partir de ce moment là, j’essayai d’en savoir plus sur elle. Trombinoscope des services pour obtenir son nom, quelques infos avec son dossier administratif, page Facebook qui était limitée aux seuls ami. Par conséquent, je me limitai à quelques visions de ses bas, collants, jambes et escarpins, quelques discussions, séances de courriers et de photocopie. J’essayais de la voir arriver le matin, partir le soir. Seule information mais qui ne la concernait pas et me semblait inutile sur le moment, une de ses collègues de la comptabilité allait prendre sa retraite. Je retenais tout de même son nom. Les 15 derniers jours du contrat devaient se dérouler plus près de chez moi. Je n’eu pas les mêmes plaisirs et la seule personne qui aurait pu m’intéresser était malheureusement celle dont j’occupais le bureau durant ses congés et qui conservait une paire de bas de rechange dans une de ses armoires. De plus, en farfouillant sur son ordinateur en cherchant d’éventuels fichiers personnels, j’ai pu récupérer un ficher Thunderbird contenant ses mails, certains où elle discutait avec une ami en parlant de leurs amants respectifs. Je terminai donc ce contrat en pensant toujours à Martine et ses superbes jambes.Les semaines sont donc passées après cette période et je continuai à penser à Martine. Une idée germait alors dans mon esprit : me faire passer pour sa collègue retraitée et correspondre avec elle en espérant en apprendre plus sur elle.L’adresse mail professionnelle de Martine m’était inconnue mais étant du type prénom nom @ organisme.fr, je me doutais qu’elle pourrait recevoir mes messages. De plus, son âge devait faire qu’elle ne devait pas y connaitre grand chose en informatique, de même pour son ancienne collègue. Je ne m’attendais pas à une vérification de sa part. Un petit tour sur une messagerie gratuite pour me créer une adresse au nom de la nouvelle retraitée et le tour était joué.Je lui envoyai donc un premier mail pour voir si cela fonctionnait. Bonjour MartineJe t’écris pour prendre de tes nouvelles. Quelques semaines seulement se sont écoulées mais l’ambiance du bureau me manque. J’aimai bien discuter avec toi et j’avoue avoir passé de bon moment au cours de ces années de travail commun. Que deviens-tu de ton côté ? A bientôt. Gabrielle C’était un mail pour le moins classique, suffisamment vague pour ne pas éveiller les soupçons. Mes craintes portaient sur le ton utilisé, sur la durée de leur collaboration et sur leur proximité. J’espérai également qu’elles n’avaient plus aucun contact. Heureusement, je reçu une réponse peu de temps après.Coucou GabrielleMerci de te soucier de tes ex collègues. Ici tout se passe bien même si tu me manques depuis ton départ. J’espère que nous aurons l’occasion de nous revoir. Coté vie personnelle, tout se passe bien et mon mariage approche. Paul n’est pas parfait mais au moins il est gentil avec moi. Au plaisir de te relire. Au plaisir de te lire. MartineLa lecture de cette réponse me rassura. Je décidai d’attendre un peu pour répondre, bien qu’intrigué par la non perfection de son futur mari.Coucou MartineJe suis ravie que tout se passe bien par contre, ça m’étonne qu’il y ait des soucis avec Paul, tu avais l’air si heureuse depuis votre rencontre. Pourrais-tu m’en dire plus si ce n’est pas indiscret ? De mon côté, tout se passe bien, j’ai l’impression de vivre une nouvelle vie. J’aimerai bien passer te voir mais j’ai tellement de chose à faire et des vacances de prévues donc ce ne sera pas pour tout de suite. A bientôt. Gabrielle
Comme la première fois, j’espérais ne pas commettre d’impair tout en essayant d’en savoir plus.Coucou GabrielleC’est un petit peu personnel mais comme tu le sais, Paul est plus âgé que moi, il a maintenant 63 ans. De mon côté, je pensais que la ménopause diminuerai ma libido mais j’ai commencé à prendre des hormones et disons que mes besoins augmentent à nouveau. Je n’ai pas d’immenses besoins et je ne suis pas devenu nymphomane mais une fois par mois ça me semble bien peu. Evidement, Paul est charmant avec moi et je n’imagine pas le laisser pour une telle raison. Mais assez parlé de moi, raconte moi ta "nouvelle vie". Au plaisir de te lire. MartineCette réponse m’enchanta. D’une part elle était frustrée et j’espérai pouvoir en profiter et d’autre part, elle s’ouvrait à moi sans retenue. Je continuai donc, essayant d’en apprendre toujours davantage.Coucou MartineDe mon coté, c’est un peu l’inverse. J’ai de nouveau du temps, je peux m’occuper de moi. J’ai donc le loisir de me chouchouter, je me sens tellement plus femme qu’il y a encore quelques mois. L’été me permet de mettre de coté mes pantalons et de porter des robes légères, des chaussures à talons, je me fais plaisir niveau lingerie. Et puis c’est agréable d’être regardée par la gent masculine. Mais bon, je pense que je ne t’apprends rien. En parlant de lingerie, j’ai toujours été admirative de ta passion ou obsessions pour les collants ou les bas, je ne sais pas, même en plein hiver. Je t’ai toujours trouvée courageuse. J’ai envie d’essayer les bas mais j’ai un peu d’appréhension. Gabrielle Sa réponse me vint en quelques minutesCoucou GabrielleJe suis ravie que tu te sentes bien. Pour la gent masculine, je ne sais pas trop si je plais. De toute façon, je m’habille pour moi, quelle que soit la saison. Pour les collants, j’en porte très peu, il faut vraiment qu’il fasse très froid. Je porte le plus souvent des Dim Up, parfois des vrais bas pour aller travailler ou sinon pour les soirées en amoureux, même si ça n’a pas toujours l’effet escompté ... Coucou MartineJe ressens une certaine mélancolie dans tes mots, je ne sais pas si c’est de la frustration, mais je te conseille de ne pas rester comme ça par rapport à Paul. Fais-toi du bien, utilise des accessoires au besoin. Tu sais, certains sont efficaces :) Sinon, je peux toujours t’aider. Ta dévouée GabrielleGabrielle, Merci d’essayer de me faire rire. Martine, Je suis sérieuse. Détend toi, ferme la porte du bureau. Nous sommes seules toutes les deux. Imagine que tu fermes les yeux. Je viens derrière toi et te fais des caresses dans le cou. Je passe mes doigts délicatement derrière tes oreilles. Ta respiration ralentie mais se fait plus intense. Je pose ensuite mes mains sur tes épaules et te prodigue un doux massage. Tu sens mes mains aller et venir sur tes épaules. Tu retires alors ton boléro pour sentir mes mains sur ta peau. Je laisse aller mes mains et je te masse à présent tout le dos, la taille et la poitrine. Je fais délicatement glisser les bretelles de ton caraco et le fait glisser autour de la taille. Tu apprécies ce traitement et commence à passer les mains sur tes seins à travers ton soutien gorge. Ca fait longtemps que tu n’avais pas ressenti cela. Tu sens que ton intimité s’humidifie et te laisse faire sans aucune retenue. Je t’ôte ton soutien gorge et pour te mettre à l’aise, je fais de même. Je retire également ma jupe et me positionne derrière toi uniquement vêtue d’un porte jarretelle noir, de bas assortis et d’escarpins beige. Je me penche vers toi et colle ma poitrine contre ton dos. Je me recule et fait pivoter ton fauteuil. Tu es face à moi, prête à t’offrir. Tu retires ta jupe et m’offre la vision de tes Dim Up. Tu portes un tanga couleur saumon et la tache que je vois ne me laisse aucun doute sur ton degré d’excitation. Tu le retires dans un geste habile et sensuel. Tu attends la suite, attentive à mes gestes. Je m’agenouille devant toi et j’écarte délicatement tes cuisses. Je m’approche encore et commence à lécher ton téton droit pendant que ma main caresse ton sein gauche. Tu penches la tête en arrière et gémit doucement. Je m’occupe de tes deux beaux seins ainsi pendant quelques minutes en passant mes mains le long de tes cuisses pour sentir comme tu mouilles. Tu t’avances de toi même sur le fauteuil et tu me présentes ta chatte, gonflée par le désir. Sans hésitation, je plonge ma tête et commence à lécher tes lèvres alternativement. Tu gémis de plus en plus fort et tu m’excites. Tu commences à caresser tes seins et je sens que tu te cambres de plus en plus. Ma langue remonte vers son clitoris et ton bassin commence à se mouvoir. Tu me demandes alors d’utiliser mes doigts. Je te pénètre alors doucement et après avoir adopté un rythme régulier, je te mets un deuxième doigt et j’accélère. Tu gémis de plus en plus fort, je sens tes jambes qui bougent de manière incontrôlées. Je sens ton orgasme arriver. Ta respiration s’accélère, tes gémissements se transforment en cris. Ton orgasme est explosif, tu mouilles comme une folle. Une fois tes esprits repris, tu me remercies de t’avoir fait du bien.J’avais bien conscience d’être allé loin dans ce message mais ses confidences m’avaient enhardi. J’attendais maintenant sa réponse fébrilement. La réponse ne tarda pas. Qui êtes-vous, vous n’êtes pas Gabrielle ! Ecoutez, mon fils travaille pour la police et on peut facilement retrouver quelqu’un sur internet. Je vous préviens, laissez moi tranquille.Je me doutais bien que cela se finirai comme cela avec un tel message. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle réponde favorablement aux avances de Gabrielle. Sur le moment, j’ai regretté d’avoir envoyé un tel message.A suivre ...
