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Martine se dévergonde

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Martine se dévergondeChapitre 1 :Je suis Martine, une femme mûre de 58 ans. Je suis mariée et je réside à Paris dans un appartement. Je suis brune et pulpeuse avec des cheveux bruns et longs. Mon mari est à la retraite, mais je travaille encore dans le commerce.
Ce matin, mauvaise surprise ! Le chauffe-eau est tombé en panne et mon mari est parti pour cinq jours avec ses copains. Je vais devoir me débrouiller seule. Je me connecte sur mon PC et j’appelle SOS plombiers. Une opératrice me répond et me fixe un rendez-vous dans la journée. Par chance, je ne travaille pas aujourd’hui. Il a beau faire très chaud en ce jour de juillet, je ne me résigne pas à prendre une douche froide. J’enfile une robe de chambre opaque et m’installe devant la télévision pour attendre le dépanneur.
Deux heures plus tard, le carillon retentit. Je me lève du canapé et j’enfile mes mules pour aller ouvrir.Derrière la porte, je découvre un grand black très foncé et très musclé. Il porte un T-shirt moulant qui laisse voir ses pectoraux et ses abdominaux bien dessinés. Il se présente comme étant Djibril et envoyé par la centrale de plomberie. Je le laisse entrer et le conduis jusqu’au chauffe-eau. Il monte sur l’escabeau qu’il a apporté avec lui pour inspecter l’appareil. J’ai une vue parfaite sur ses fesses puissantes et rebondies au travers de son jean.
J’ai beau avoir toujours été une épouse fidèle, j’avoue ressentir des papillons dans mon bas-ventre à cet instant. Pour être honnête avec moi-même, je dois dire que j’ai toujours eu un faible pour les noirs, mais sans jamais oser franchir le pas.
Quelques minutes plus tard, il redescend de son échelle et m’explique l’origine de la panne. Apparemment, le corps de chauffe a rendu l’âme et il va falloir le remplacer. Il propose de me faire un devis et je le conduis dans le salon. Il sort les formulaires de sa sacoche pour les remplir avant de m’expliquer la procédure. Il s’exprime dans un parfait français et arbore un sourire généreux qui laisse voir ses dents blanches sur son visage noir. Pendant que je le regarde, je sens ma vulve s’inonder de cyprine, d’autant plus qu’il est très poli et charmant. Je me sens en confiance et lui propose un rafraîchissement qu’il accepte.
Je vais dans la cuisine pour préparer un bock de citronnade et deux verres. Sans comprendre ce qui me pousse à faire ça, je défais la ceinture de ma robe de chambre pour la laisser s’ouvrir légèrement sur mes seins généreux. Je rejoins le bel Africain pour lui offrir la boisson promise et examiner son devis. Je l’accepte et nous parlons de tout et de rien. Je remarque qu’il ne me regarde plus dans les yeux, mais que son regard est désormais pointé sur mon 95 F qui se devine à l’échancrure de ma robe de chambre entrouverte. Il m’annonce devoir retourner au dépôt récupérer la pièce de rechange, mais qu’il sera là demain pour la réparation. Nous nous quittons après une poignée de main insistante.
A peine la porte refermée, je me défais de mes habits et file sur mon lit. J’ouvre le tiroir de la table de nuit pour me saisir du gros gode noir offert par mon époux. Je le glisse dans ma vulve inondée et glissante pour me masturber en pensant à Djibril. Moins de cinq minutes plus tard, je suis envahie par un puissant orgasme.
Le plaisir retombé, je repense à mon mari et m’en veux de mes pensées lubriques. Franchement, je ne peux pas lui faire ça !Je me lève et file sous la douche. Tant pis si elle est froide.Je termine ma journée tant bien que mal. J’avoue qu’au fil des heures, la pensée du corps du bel Africain sur moi et en moi revient me hanter. A 20 heures et n’y tenant plus, je retourne nue sur mon lit, munie du sexe noir factice que j’engouffre en moi. Je suis au bord de l’orgasme quand mon téléphone sonne. C’est mon mari. Je coupe le vibrateur avant de répondre, mais je reste remplie de mon gros gode pour lui parler.
S’en suit une conversation banale. Je lui explique l’histoire de la réparation et il me raconte sa journée avec ses amis. Après dix minutes, j’explique que je me sens fatiguée et que je dois dormir. Nous raccrochons et j’enclenche à nouveau les vibrations jusqu’à jouir à nouveau. Satisfaite, je me rappelle devoir prévenir la boutique de mon absence demain et m’endors.
Le lendemain, la chaleur est encore plus insupportable que la veille. Poussée par mon désir de séduction, je revêts une petite robe légère, courte et un peu transparente. J’hésite à porter une culotte, mais j’y renonce.
A dix heures, la sonnerie de la porte retentit.Je vais ouvrir et Djibril est là. Il porte un haut maillé qui laisse voir tous les détails de son corps noir musclé ainsi qu’un short blanc un peu ample.Je l’invite à entrer et lui offre un café. Puis il se met au travail. Il grimpe sur son escabeau bancal et me demande si je veux bien le maintenir. En levant les yeux, j’aperçois ses grosses couilles noires et son gros sexe nu pendant entre ses jambes. Mon regard ne peut se détacher de ses majestueux organes génitaux.
Je me dis que non, que je ne peux pas succomber, que je dois rester fidèle.Mais la chair est faible et ma main se glisse entre son short et sa cuisse pour se saisir de son beau membre et le masturber langoureusement. Je le sens durcir sous ma main. Pour moi, c’est très clair. Il a senti mon attirance la veille et il s’est habillé comme ça à dessin. Maintenant son sexe dépasse de son short. Je gravis une marche de l’escabeau pour le prendre en bouche et le sucer.
Il se laisse faire et je sens son pénis grossir encore dans ma bouche. Je tire son short sur ses chevilles avant de le retirer complètement. Je prends ses grosses couilles foncées dans ma bouche pour les sucer.
Il descend de son échelle et se retourne. Je m’affale à genoux pour dévorer son pénis que j’ai du mal à prendre tout en bouche tant il est énorme.Il me laisse me régaler de son sexe africain avant de me redresser et m’embrasser. Sa langue est chaude et tendue. Je retire son haut pour le laisser nu seulement vêtu de ses baskets et pour lécher son corps d’ébène déjà en sueur.
Je le prends par la main pour l’emmener dans ma chambre. J’ôte ma petite robe pour m’offrir à lui nue. Mon gode noir est toujours sur le lit.Djibril m’allonge et glisse sa tête entre mes cuisses pour me dévorer la chatte. Je jouis aussitôt. Puis il remonte son corps sur moi et me pénètre. Je sens le doux va-et-vient de son sexe puissant en moi. Je ne pense plus du tout à mon mari, je le sens accélérer en moi de plus en plus vite et de plus en plus profond. Au bout de cinq minutes, j’ai un nouvel orgasme.
Djibril se saisit de mon gode et me retourne à quatre pattes sur le lit conjugal. Il le lubrifie dans mon vagin avant de me l’enfoncer dans le cul et de me prendre dans une levrette acharnée. Je me sens très salope et j’adore ça. Il me baise pendant quinze minutes comme un métronome jusqu’à ce que je jouisse à nouveau et qu’il me remplisse de son foutre africain. Je sens son gros sexe pulser en moi et ma chatte dégouliner de sperme. Je m’écroule sur le lit. Il se retire et me dit que je suis une bonne salope avant de retourner finir son travail.
Allongée sur le lit, je me sens un peu honteuse. J’ai l’impression de n’être qu’une pute qui ruisselle de la semence d’un quasi inconnu. Mais je passe ma main entre mes cuisses pour collecter le foutre de mon beau black et le goûter. Il est si délicieux que je n’éprouve soudain plus aucun remords.
Je reste étendue et haletante sur le lit pendant que j’entends le bruit des clés à molette dans le local technique.Au bout de trente minutes et une fois son travail terminé, Djibril revient.Je le regarde. Il est toujours nu et toujours très bandé. Je rampe vers lui à quatre pattes sur le lit. Il m’attrape par les cheveux et guide ma bouche vers son membre épais et raide. Je le suce pendant 20 bonnes minutes avec délectation avant qu’il me couvre le visage de son foutre chaud et visqueux. Je le reprends en bouche pour nettoyer sa queue noire et vider ses grosses couilles jusqu’à la dernière goutte.
Une fois rassasiée de son sperme délicieux, je le raccompagne dans le séjour. Il s’éclipse et revient rhabillé. Je sors le chéquier et m’assois nue à la table pendant qu’il s’installe devant moi. Je sens le sperme sur mon visage sécher et tirer ma peau. Je dois avoir l’air de la pire des salopes, mais l’idée me plaît.
Djibril me fait alors remarquer que la peinture est un peu défraîchie et me dit qu’il a des amis maliens qui pourraient arranger ça.Je lui réponds que les temps sont un peu durs financièrement parlant. Sans prendre de gants, il me répond que ses amis ne prendraient pas cher, à la condition que moi, j’accepte de prendre bien cher. Il me précise qu’ils seraient trois blacks en plus de lui et qu’ils effectueront le travail pour 100€ s’ils peuvent profiter de moi toute la journée en fonction de leurs envies.
J’hésite, mais m’étant comportée comme une chienne toute la journée, je me dis qu’après tout, je pourrais m’offrir un bel extra en l’absence de mon chéri. Je lui dis que je suis d’accord et il compose le numéro d’un de ses amis sur son portable. Les deux hommes se parlent dans un dialecte que je ne comprends pas. Entre deux phrases, Djibril rit. Je devine qu’il explique à son ami qu’il a trouvé une bourgeoise blanche et salope à baiser et je rougis.
Puis Djibril me demande :
— Dimanche ça ira ?
C’est le jour où mon époux rentre de voyage, mais je me dis que comme d’habitude, il rentrera tard alors je prends rendez-vous.Djibril confirme à son interlocuteur avant de raccrocher. Il se lève et je l’imite. Il me tire contre lui et m’embrasse tout en glissant ses gros doigts noirs dans ma vulve encore inondée de son sperme. Puis il me les donne à sucer avant de prendre congé. Il reprend son matériel et il part. Je file à la fenêtre pour le regarder charger sa camionnette et partir. Je vais prendre une douche, bien chaude cette fois-ci, en pensant à ce qui m’attend dimanche prochain...
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