Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 69 J'aime
  • 3 Commentaires

Martine s'exhibe dans un strip torride

Chapitre 2

l'objet sexuel

Avec plusieurs hommes
MARTINE S’EXHIBE – PART 2 – L’OBJET SEXUEL

Tout en tenant cette pose, Martine me fixait intensément, comme pour me dire ou me rappeler quelque chose...
Très rapidement, je me suis souvenu d’une conversation que nous avions eue quelques semaines auparavant durant laquelle Martine m’avoua son grand fantasme qui consistait à se faire prendre par plusieurs hommes en ma présence active. Cet aveu m’ayant surpris, je n’avais pas donné de réponse définitive, en lui laissant entendre, mais sans trop y croire, qu’à l’occasion...
Nous comprimes, tous les deux je crois, que cette occasion était arrivée. Je vis dans les yeux de Martine qu’elle avait compris que j’avais compris.
Pour le lui prouver, j’allais chercher dans sa boîte à bijoux la fine chaîne d’or que je lui avais offerte pour agrémenter nos jeux érotiques : cette chaîne de 60 centimètres se termine à chaque extrémité d’une petite pince crocodile également en or, que je pose sur chacun de ses seins, soit sur les anneaux garnissant les tétons soit directement sur les tétons, ce qui lui provoque une légère douleur à la pose– c’est Martine qui choisissait, selon son humeur. Je me présentais, devant elle, figée comme une statue et je lui posais la chaîne sur les anneaux. Elle me fit un léger sourire, sans dire un mot. Je lui demandais alors de prendre la pose habituelle qu’elle prend en préalable à nos jeux érotiques : mains derrière la tète, en équilibre sur une seule jambe. Pour moi, cela signifiait son accord.

Mais comment proposer cette nouvelle étape à mes 3 amis ? Bien sûr ils devaient être très excités, mais de là à accepter un gang bang ...
Je n’eus pas trop longtemps à me poser la question, ce fut Jean, peut-être plus vite remis de ses émotions qui eut la réaction la plus rapide.
Il nous fit remarquer qu’après ce spectacle, nous étions tous très excités, y compris Martine, la responsable de cette situation, qui devait maintenant payer de sa personne pour calmer le feu qu’elle avait allumé, y compris, visiblement, en elle même.
Sans demander l’avis de Martine, dont-il avait certainement compris son accord tacite, compte tenu de la position qu’elle maintenait, véritable objet sexuel, depuis plus de dix minutes, il me demanda quand même mon accord : je lui répondis OK, trop content de n’avoir pas eu à le proposer moi-même, mais sous réserve qu’ils disposent de préservatifs, car personnellement, je n’en avais pas. Ils avaient tout ce qu’il fallait ce qui, par leur réponse immédiate, me prouvait qu’ils approuvaient la proposition de Jean.
J’ai alors autorisé Martine à se remettre sur ses deux jambes, car la position de soumission devait commencer à être fatigante
Je demandais à Jean quel scénario il envisageait pour que cette séance ne ressemble pas trop à un viol collectif.

Ce dernier suggéra l’idée d’une « loterie », avec un seul gros lot, Martine en personne, mais, comme nous étions quatre, elle serait détaillée en 4 lots ».Cette idée de détailler Martine en 4 lots me sembla intéressante et je demandai à Jean quels lots il envisageait. Pour chacun des lots, il prévoyait préalablement un passage rapide dans la bouche pour la mise en forme de l’outilPour le premier des lots, il prévoyait une fellation complète puis deux baises vaginales et pour le dernier au choix une baise vaginale ou une anale.Chacun irait d’abord examiner le lot de près puis tirerait au sort un des quatre papiers sur lesquels figurerait le nom du lot attribué.
Je connais personnellement, bien sûr, les préférences de MARTINE qui est, en matière de sexe, relativement classique.Je connais aussi suffisamment ma femme pour savoir que, compte tenu de son comportement, elle devait forcement s’attendre à ce genre de conclusion suite à son exhibition torride. Elle a donc dû procéder à une toilette intime complète et soigneuse.
Très vaginale, elle aime surtout la position en levrette qui, dit-elle, permet une pénétration plus profonde. Dans cette position, elle arrive à enserrer si fortement ma bite que j’ai parfois des difficultés à me retirer lorsque je suis encore en forte érection. La fellation est essentiellement pour elle un préliminaire certes important (surtout pour moi), mais qui reste un préliminaire.Quant à la sodomie, il faut vraiment qu’elle soit très excitée pour qu’elle en tire vraiment du plaisir et on ne peut pas dire que ce soit la relation sexuelle la plus habituelle entre nous, mais pour l’occasion, je pense qu’elle en tirera un grand plaisir.
Ces tractations eurent lieu devant Martine qui ne formula aucune objection.
Afin de garder un peu de mystère (et donner à chacun un peu plus de liberté), Marc suggéra de bander les yeux de Martine avant cette inspection, pour qu’elle ignore qui fait ou va faire quoi. Je trouvais l’idée très bonne et m’empressai de la réaliser avec un long foulard de soie qui la rendit totalement aveugle.
A mon invitation, Marc, que je crois le plus réservé ou timide des 3, se présenta devant Martine toujours en position offerte, mais incapable donc de savoir lequel des 4 est en passe de l’examiner.
Marc commença par détacher la chainette puis soupesa les seins, les malaxa, mais sans vraiment insister. Il s’intéressa aux anneaux : pour s’assurer qu’ils traversaient vraiment les tétons, il tira dessus et vérifia que le téton s’allongeait sous la traction en laissant un léger espace entre le métal et la chair. En passant l’index dans chaque anneau, il secoua chaque sein en provoquant un allongement des mamelons et des vibrations dans la masse des seins. Il ne semblait pas exagérer, car il ne provoqua aucune réaction de douleur ni même une grimace sur le visage de Martine. Il lui remit la chaîne en place.
Faisant pivoter Martine d’un demi-tour, il nous présenta alors le côté pile du gros lot. Marc commença à malaxer les fesses comme de la pâte à pain. La chair pressée entre les doigts puissants de Marc devint blanche puis passa au rouge dès que la pression fut relâchée sans tirer la moindre réaction de Martine.
La refaisant passer côté pile, Marc, sans un mot, comme il était convenu, passa ses mains à l’intérieur des genoux en tapotant légèrement. Martine comprit le message et écarta docilement les jambes. A genoux devant elle, Marc caressa le dessous des seins, une main sous chacun d’eux puis descendit doucement le bout des doigts sur le torse, puis le ventre, s’écartant de chaque côté du nombril. Ce faisant, il provoqua des vibrations et de légers spasmes sur l’abdomen alors que le visage de Martine reste impassible. Les deux mains se rejoignirent alors sur le triangle du pubis qu’il caressa doucement sans chercher à descendre sur la vulve. Marc termina ainsi son inspection, récupéra un des 3 papiers (j’ai triché et gardé la fellation complète pour moi) et revint s’asseoir sans un mot. Il nous montre son gain : une baise vaginale. Cela eut l’air de le satisfaire.
Sur mon signe, Pierre prit le relai. Il saisit immédiatement la chaîne qu’il tira vers lui, provoquant un petit cri de Martine et l’allongement des tétons. Puis il tritura les deux seins, mais cette fois avec moins de ménagement. Cette action eut pour effet de faire pousser un autre petit cri à Martine, mais plus de surprise que de douleur. Il poursuivit son travail sur les seins en appliquant sur chacun d’eux une série de gifles bien claquantes sur les cotés extérieurs, provoquant un va-et-vient désordonné des deux seins qui rosirent ainsi sur les cotés, la chaîne était bien fixée, car elle bougeait dans tous les sens. Pierre n’arrêta son exercice que quand Martine laissa échapper un cri mélangeant énervement et peut-être une légère douleur.
S’accroupissant devant le bas-ventre offert, il passa la main droite dans l’entrejambe avec un mouvement d’avant en arrière et retour, caressant ainsi la raie culière et la fente de la vulve, s’attardant sur le clitoris. Cela déclencha un réflexe de la part de Martine qui resserra les jambes en poussant un léger couinement en penchant légèrement le torse en avant, mais pour aussitôt les desserrer, permettant la poursuite de l’exercice que Pierre poursuivit allègrement. Je pense que s’il avait poursuivi son manège une minute de plus, il déclenchait un orgasme. Il s’en rendit compte, car il arrêta ses caresses et quitta sa proie en lui collant une dernière claque, mais cette fois, sur la fesse. Il prit un des deux papiers restants, nous le montre et je crois voir une petite déception sur son visage en découvrant qu’il avait lui aussi gagné la baise.
Je me surprenais à accepter cela avec détachement, comme s’il ne s’agissait pas de ma propre femme, mais d’une call-girl invitée là pour fêter un évènement entre amis.
Jean allait se lever à son tour, l’air très satisfait d’avoir donc gagné la sodomie, mais je lui fis signe que je passais en 3eme.
Sachant que Martine ignorait que c’était moi, j’allais tester son niveau de résistance et la punir un peu de se laisser ainsi tripoter si facilement par des mains étrangères.Sans tirer sur les anneaux et prenant chaque sein à pleine main, je leur fis faire un quart de tour entraînant les tétons dans leur mouvement. Ne voyant aucune réaction sur le visage de Martine, je continuais le mouvement. J’avais dépassé le quart de tour, les seins commençaient à rougir, quand une grimace apparut sur ses lèvres. J’arrêtais le mouvement, mais avant de lâcher les seins, j’attrapais les anneaux et sans tirer, je leur faisais faire presque un tour avant de les lâcher.
Cette fois, c’est par un cri de douleur que Martine se manifesta, mais sans aucun mouvement de révolte. Les anneaux reprirent leur position comme des ressorts et les tétons, qui avaient blanchi, leur couleur normale.
Abandonnant les seins, je fis faire demi-tour à Martine puis je lui fis courber le dos, présentant ainsi sa croupe à l’assistance. La claque de Pierre avait laissé une marque rouge sur la fesse gauche. Je commençais alors à distribuer de grandes claques alternativement sur les deux fesses provoquant cette fois des cris de douleur de Martine qui ne chercha pas, pour autant à s’échapper. J’ai dû en coller cinq ou six sur chaque fesse qui devenaient rouges et brulantes.
L’attrapant par la chainette, je lui fis faire demi-tour sans ménagement pour présenter à nouveau le côté face.Lui faisant écarter les jambes, je lui attrapais alors la toison à pleine main.Tirant très fort sur les poils, cela devait lui faire très mal. Il a fallu que je tire encore plus fort (les poils c’est solide) pour entendre une légère plainte sortir de sa bouche puis un cri qui m’a fait aussitôt lâcher prise.
Pour terminer, je lui attrapais la vulve en serrant les deux grandes lèvres puis passant l’index dans la fente, mais sans pénétrer le vagin, j’y constatais une humidité impressionnante. Il était temps de passer à l’acte.
Mais il restait le tour de Jean qui rejoignit Martine
Attrapant Martine par la chainette, il la tira vers lui et lui fit faire quelques pas en la tractant ainsi par les seins. Puis attrapant les poignets d’une seule main, il lui tira les bras par-dessus la tête, ce qui provoqua une remontée des deux seins. Du plat de l’autre main, il lui administra une série de claques de plus en plus appuyées sur le dessous des seins qui déjà roses sur l’extérieur, après le traitement de Pierre, poursuivirent ainsi leur coloration. Cet exercice m’entraîna que quelques grimaces, mais sans un cri, même quand l’intensité des claques augmentait, ni aucun mouvement de défense alors qu’elle aurait pu aisément se libérer les bras de l’emprise de Jean et se protéger la poitrine.

Délaissant la poitrine, sans lâcher les poignets, Jean se mit à tapoter le pubis et la vulve déclenchant cette fois des petits cris mélangeant surprise et plaisir. Remontant les bras derrière la tête, il lâcha les poignets pour revenir s’occuper de la chatte dont il attrapa chacune des grandes lèvres entre pouce et index pour les tirer fortement vers le bas comme pour en mesurer l’élasticité sans provoquer le moindre cri de la propriétaire qui restait les bras derrière la nuque.
Jamais je n’aurais osé ni pensé faire subir un tel traitement à ma femme et je découvrais ainsi sa belle résistance à la douleur ainsi qu’un sentiment de plaisir qu’elle semblait ressentir en subissant ces traitements humiliants.
Je voyais aussi que les seins de Martine, ornés de leur chainette semblaient faire l’unanimité dans l’intérêt de mes lascars.
Jean poursuivit son action en les mains de Martine sur sa nuque, nous la présenta de côté en la faisant pivoter en lui prenant les coudes, appuya sur les omoplates pour lui faire courber le torse à l’horizontale. Martine écarta automatiquement les jambes pour garder l’équilibre.Ainsi présentée, on voyait surtout ses seins pendant légèrement vers le sol, prolongés de leur chainette... Attrapant Martine par la taille, il la secoua de manière à faire bouger les seins en tous sens pour ensuite les pétrir généreusement, étirant les tétons comme pour la traire. Martine ne manifestait toujours aucune protestation ni le moindre recul.
Je constatais que ma femme était devenue un objet sexuel soumis à la volonté de Jean, sans que cela me gène et y trouvant au contraire un réel plaisir.
S’octroyant tous les droits, il lui fit alors faire un quart de tour, tout en gardant le buste à l’horizontale, nous présentant la croupe, puis appuya sur les reins, faisant apparaître le petit trou et le sillon des grandes lèvres.
Ecartant les deux fesses, il provoqua l’ouverture des grandes lèvres sur les petites lèvres et l’entrée humide du vagin. Sachant qu’il avait gagné le petit trou, il osa alors l’inspecter en lubrifiant auparavant son index dans la chatte dégoulinante ainsi que le tour de l’anus. L’intrusion du doigt dans son intimité la plus secrète surprit Martine qui redressa le torse en poussant un petit cri, dernier sursaut de pudeur, je pense, plus que de douleur. Une bonne claque sur la fesse lui fit reprendre docilement sa position. Après quelques lents va-et-vient de l’index sans autre réaction de la propriétaire de l’anus, Jean retira son doigt, l’examina et, rassuré, fit se redresser Martine et remettre ses bras le long de son corps.
C’est Jean qui, de loin, fit l’examen le plus complet du gros lot pour son plaisir et sans aucun doute celui de la soumise.
Je demandai alors à mes amis de passer à la salle de bains faire une toilette intime avant de passer à l’acte, dans le même ordre que précédemment. Je fis de même
sans qu’on le lui demande, Martine s’était mise à 4 pattes sur la table basse du salon, sans ôter son bandeau de soie. Preuve évidente, s’il en fallait une, de sa soumission et de son plaisir.
Après leur passage à la salle de bains, tout le monde regagna sa place, uniquement vêtus du slip (tous visiblement bien remplis), autour de la table basse sur laquelle se trouvait Martine qui devait être très impatiente de subir enfin les derniers outrages.

Marc se présenta devant le visage de Martine, libéra son sexe déjà très tendu de son slip, un peu gêné, mais tellement excité. Appliquant légèrement son gland sur les lèvres de Martine, elle ouvrit aussitôt la bouche pour recevoir le sexe de Marc qui l’enfourna immédiatement et totalement, surprenant Martine par cet assaut qui lui déclencha un haut-le-cœur. Marc se retira alors complètement puis vint reprendre possession de cette bouche accueillante, mais cette fois par petits mouvements. Tenant la tête de Martine les mains appliquées sur les oreilles, il lui évita de bouger, assurant lui-même le travail. Martine se contentait de tenir la bouche ouverte en émettant de petits gargouillis. Comme prévu, il ne s’agissait que d’une mise en bouche et après une dizaine d’aller-retour qui eurent pour effet de parfaire la qualité de l’érection, Marc abandonna cette bouche pour prendre possession de son lot.
Enfilant rapidement sa capote sur son sexe lubrifié de la salive de Martine, il se présente alors devant la croupe offerte.Comme si elle avait été faite pour cela, la table est à bonne hauteur et sa longueur permet de se positionner idéalement devant la chatte (nous avions déjà eu l’occasion de nous en servir Martine et moi, mais dans des circonstances plus intimes).
Marc n’eut aucune difficulté à s’enfoncer dans le fourreau ultra-lubrifié provoquant chez Martine un long soupir de plaisir et de délivrance. Cette pénétration, elle l’attendait manifestement avec impatience.En général, Martine est assez peu bruyante lors de nos ébats, mais là, elle manifesta son plaisir par des gloussements et des râles intenses venant des profondeurs de son être. Marc lui appuya sur le dos et Martine comprit le message en allongeant les bras et en écrasant ses seins sur la table. Cette position rehaussait la croupe et facilitait d’autant la pénétration du membre tout en faisant ressortir le cercle sombre du petit trou dans lequel Marc rendit une petite visite rapide. Compte tenu de l’état d’excitation des deux partenaires, assez rapidement chacun d’eux explosa, Martine par un long râle de plaisir mêlé de frustration pour avoir, je pense, décollé aussi rapidement, pendant que Marc lui était secoué de spasmes en déchargeant son sperme.
Après le retrait de Marc et sans laisser de répit à Martine qui eut à peine le temps de reprendre son souffle, Pierre se présenta devant le visage en sueur. Dégageant son sexe en complète érection, je me dis que Martine allait deviner que ce n’était pas moi.En effet, si la taille du sexe de Marc était sensiblement identique au mien, celle du sexe de Pierre était assez peu ordinaire tant en longueur qu’en épaisseur. Je me dis subitement qu’heureusement qu’il n’avait pas gagné le petit trou. Je comprenais aussi sa déception, car ce n’est pas souvent qu’une femme devait accepter de le recevoir dans le cul. Je me demande comment Martine aurait réagi.
Elle en eut de toute façon un avant-goût quand Pierre présenta à son tour son gland devant ses lèvres buccales déjà ouvertes.Pierre enfonça délicatement le gland qui obligea déjà Martine à écarter les lèvres. Puis progressivement, Pierre poursuivit sa pénétration jusqu’à ce que Martine déclare forfait en poussant de petits cris nasillards.
Pierre était enfoncé à moitié de la longueur de son sexe alors que Marc avait réussi à entrer à fond. Il entreprit alors ses va-et-vient en prenant garde à ne pas dépasser la limite acceptée par Martine. Un moment, il arrêta ses mouvements et c’est Martine, bonne fille, qui fit le travail, la bouche complètement écartelée, mais au moins en gardant la maîtrise de l’exercice.
La mise en bouche (c’est le cas de le dire) terminée, Pierre se positionna devant la croupe. Martine qui savait maintenant à quoi s’attendre, écarta encore plus les genoux et augmenta sa cambrure.C’est avec beaucoup de précautions que Pierre introduisit son gland à l’entrée du vagin et qu’il poussa l’ensemble de son engin doucement jusqu’à venir en butée sur les lèvres de la vulve.
Pendant cette pénétration, j’observais le visage de Martine. En sueur, elle tenait une bouche béante, émettant un souffle rauque, sans aucun signe de douleur, avec une expression qui semblait mélanger plaisir, surprise et un peu de crainte. Je ne pense pas qu’elle n’ait jamais eu le vagin aussi rempli par une bite.
Les deux autres lascars s’étaient rapprochés de la table et avaient les yeux fixés sur la croupe et le membre qui coulissait maintenant sans aucune difficulté, disparaissant complètement avant de ressortir, en se décollant des lèvres et en déclenchant chez Martine un soupir qui avait curieusement une sonorité différente selon que le pénis entrait ou sortait de son vagin.
J’étais au comble de l’excitation et je décidai de profiter de mon lot immédiatement.Je me positionnai donc devant la tête de Martine qu’elle tenait penchée. Je la lui relevai en la prenant sous le menton. Elle comprit immédiatement et avala le membre qui se présentait à ses lèvres.J’arrivais à l’enfoncer jusqu’à la garde, le nez de Martine venant toucher mon pubis. Je gardai l’initiative des mouvements en les synchronisant sur les mouvements de Pierre. Je n’avais jamais vécu une telle expérience. Martine non plus qui avait l’air d’apprécier plus que d’habitude cette fellation inhabituelle pour nous deux, mais elle ne savait pas que c’était moi (au moins elle ne pouvait en être sure)
Je décidai de ne plus bouger. Martine prit le relai en se synchronisant sur les mouvements de Pierre qui fixait donc le rythme. Ce fut une sensation sublime. Elle me fit aussi profiter des mouvements de sa langue, une vraie professionnelle de la fellation et cela ne sachant pas quel partenaire elle suçait avec autant d’ardeur. Je ressentis le moment où Martine déclencha son orgasme, son souffle accéléré me passait tout le tour de la verge. Elle faillit me mordre, se reteint et m’avala complètement pendant une dizaine de secondes. Tout son corps vibrait, sa croupe était prise de saccades pendant que Pierre déchargeait son sperme.
Dans ces conditions extrêmes de tension sexuelle, je me mis à éjaculer sans chercher à quitter la bouche de Martine. D’ordinaire, dans ces conditions, Martine se serait retirée rapidement. Là, non seulement elle ne se retira pas, mais elle aspira ma verge et je continuai à décharger dans sa gorge. J’eus l’impression de n’avoir jamais éjaculé autant de sperme. Martine avalait un sperme qu’elle n’était pas sure d’être le mien, cela me faisait tout drôle.
Libérée des deux pieux qui l’occupaient, elle se tassa, seins sur la table et genoux resserrés, mais croupe saillante. Elle récupérait.
Jean avait assisté en spectateur aux assauts successifs de ses trois compères et il était temps pour lui de profiter de son lot. Il délaissa la bouche et s’occupa directement de la croupe. Profitant de la lubrification extrême de la vulve, il lubrifia abondamment l’environnement et l’intérieur de l’anus avec ses doigts. Après avoir enfilé sa capote, il entreprit de préparer le petit trou avec un puis deux doigts lubrifiés dans la vulve. Martine n’eut aucune réaction sauf peut-être un léger recul quand les deux doigts s’introduisirent ensemble dans son anus. Elle était donc totalement soumise à tout usage de son corps et moi, son mari, acceptais cette situation et même l’encourageais.
Cette soirée allait changer complètement notre vie sexuelle.
Après ces opérations de lubrification de l’orifice, Jean se mit également à lubrifier son sexe protégé de sa capote. Il trouva alors la solution la plus simple qui consista à fourrer son engin dans le vagin très largement disponible, en ignorant un peu les règles du jeu, mais on n’était plus à cela près.Après quelques aller-retour qui eurent pour effet non seulement de lubrifier, mais aussi de renforcer l’érection, Jean sortit alors son sexe du vagin, il le déplaça juste ce qu’il fallait pour le présenter devant l’autre trou. Poussant légèrement son gland sur la rondelle cible, il écarta les deux fesses pour en faciliter la pénétration.Martine aidait Jean en ne se contractant pas, suivant ainsi les conseils que je lui donnais à chaque fois lors de nos relations de ce type, car elle avait toujours le réflexe de résister à cette pénétration.
Une fois le gland avalé, Jean poussa plus rapidement et son sexe disparut complètement dans le rectum de Martine provoquant chez elle un long feulement indéfinissable, mais sans aucun mouvement de rejet.
Attrapant Martine par la taille, puis en saisissant les globes de ses seins, Jean poursuivit alors ses mouvements d’aller-retour dans le cul de ma femme, sans difficulté, la lubrification étant parfaite. Il sortait de temps en temps complètement laissant apparaître un anus largement ouvert puis rentrait rapidement à nouveau avant qu’il ne se resserre.
Nous étions Marc, Pierre et moi les spectateurs attentifs de ce spectacle.Martine avait l’air d’avoir oublié notre présence, toute concentrée sur son plaisir évident illustré par des soupirs rauques qu’elle émettait de plus en plus fort et des mouvements de croupe qu’elle faisait pour accompagner Jean.
De temps en temps, Jean lâchait les seins, qui se mettaient alors à se secouer en faisant tinter la chainette sur le sol, pour s’appuyer sur les fesses en appliquant une claque retentissante déclenchant simplement une sonorité différente aux soupirs qui reprenaient ensuite leur son et rythme habituel.
De temps en temps, Jean qui gardait son sang-froid me jetait un regard dans lequel je pensais lire un sentiment de grande satisfaction de posséder ainsi ma femme.Des quatre complices, ce fut lui qui eut le plus de résistance, il continuait de besogner Martine, en changeant de rythme et s’arrêtant même de bouger, soit poussé au fond du rectum, soit complètement sorti. Il faisait ainsi durer son plaisir, mais aussi de toute évidence celui de sa partenaire.
Au bout d’un temps que j’ai du mal à évaluer, Jean accéléra ses mouvements jusqu’à déclencher un long cri que l’on pourrait qualifier presque de douleur chez Martine. En même temps, Jean éjacula longuement puis lentement se retira du trou qui l’avait accueilli et qui se resserrait pour retrouver son aspect habituel mis à part une coloration un peu rouge.
Cette précision dans les détails tient au fait que nous étions tous les trois les yeux fixés sur cette si jolie croupe, dont tout le monde aura profité (moi, pas encore, mais me le réservait pour plus tard). Marc m’avait demandé s’il pouvait photographier. Je lui fis signe que oui, mais sans les visages. Je pense qu’il a dû prendre quelques dizaines de photos du cul de ma femme.
.......................................Une heure plus tard, tout le monde était remis de ses émotions, Martine avait pris une bonne douche et avait revêtu une longue robe d’hôtesse qui lui couvrait tout le corps jusqu’aux chevilles. Rien à voir avec cette femelle qui s’exhibait et s’offrait sans retenue aux assauts de quatre mâles.
La franchise étant de mise, nous avons décidé de faire deviner à Martine ou de lui révéler l’ordre des partenaires auxquels elle s’était offerte. Elle nous dit m’avoir reconnu par mon goût pour la fellation complète dont elle me prive si souvent. Elle se doutait que c’était Jean l’amateur de sodomie. Elle avait déjà remarqué le caractère assez réservé de Marc et se doutait donc que c’était lui son premier partenaire et donc, par déduction elle avait identifié Pierre comme le mieux monté de la bande.
Nous avons décidé, Martine et moi de fêter au champagne ce nouveau type de relation avec nos trois amis.Ce qui était remarquable, c’est l’absence totale de gêne, de la part de tous les protagonistes de la soirée et surtout de Martine dont aucune partie de son corps n’avait plus de secrets pour eux.
Moi, nullement gêné et même assez fier d’avoir ainsi offert le corps de ma femme à mes meilleurs amis ainsi que du comportement et du caractère caché de sa personnalité
Martine a avoué à tous le fantasme qu’elle m’avait confié quelques mois auparavant et ainsi réalisé ce soir, et exprimé un regret, celui de ne pas avoir pu recevoir au fond de son vagin le sperme de tous (sauf le mien qu’elle avait avalé sans réticence). Après cet aveu, nous décidions de rééditer ce genre de soirée. Chacun des 4 hommes devant proposer un scénario qui serait proposé à Martine qui accepte de renouveler son rôle d’objet sexuel très consentant. La prochaine soirée est déjà planifiée. J’aurai l’occasion de vous raconter cette future soirée dont Jean est chargé du scénarioA bientôtP-R D
Diffuse en direct !
Regarder son live