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Martine et les voyous

Chapitre 1

Trash
Avertissement: cette histoire est un fantasme. Dans la réalité, tout rapport sexuel non consenti est immoral et illégal et sévèrement condamné par la justice...
Salut a tous, je m’appelle Martine. J’ai 49 ans ; Je suis blonde, j’ai les yeux clairs. Je ne suis pas très grande mais fine. Un corps superbe entretenu par des années de danse. Je mets souvent mes jambes en valeur en portant des jupes et des talons. Il y a six mois, mon mari, Paul, est décédé d’un arrêt cardiaque alors que nous faisions l’amour. Ce fut terrible et j’eu beaucoup mal à m’en remettre. Heureusement, je fus entouré de l’affection de toute ma famille. Le soutien de ma fille surtout, Fabienne, fut également très important. 49 ans, c’est encore jeune pour se retrouver veuve. Fabienne a 23 ans. Elle est grande, fine, élancée. Elle est étudiante, je suis maire-adjoint dans la commune très huppée de la région parisienne ou nous habitons. Je ne manque pas d’argent. Mon époux m’ayant laissé une bonne assurance vie.

Fabienne n’arrêtait pas de me harceler pour je sorte avec elle. Il ne fallait pas sombrer dans la déprime ! Je n’avais plus tellement le gout à m’amuser je dois bien le reconnaitre. Un soir, cependant, je me laissai convaincre et j’acceptai une énième proposition de sortie. Fabienne voulait m’emmener dans une nouvelle boite qui venait d’ouvrir. Je ne fus pas chaude au début, je trouvais que je n’avais plus l’âge d’aller en boite mais ma fille arriva à me convaincre.

Ce fut ma fille qui insista sur la tenue vestimentaire. Elle voulait que je sois sexy. J’enfilais donc une jupe noire et un haut rouge qui moulait mes seins. Mes escarpins à hauts talons affinaient encore plus mes jambes gainées de bas noirs. Fabienne, elle, c’était habillée comme une fille de son âge. Un mini short d’où émergeait ses grandes jambes vêtues d’un collant satiné avec des bottes a hauts talons. Ainsi prêtes, nous partîmes pour la boite.

Nous étions vendredi soir et ils y avaient un monde fou dans la boite. Je ne me sentais pas très a l’aise. Cela faisait des années que je n’avais pas mis les pieds dans une boite de nuit moi….Fabienne commanda des consommations au bar et nous commençâmes à les siroter tous en discutant. L’alcool aidant, je commençais à me dégeler et ma fille et moi nous nous trémoussions sur la banquette en écoutant la musique. Fabienne m’entraîna sur la piste et je commençais à danser. Un peu gauchement au début puis de mieux en mieux. Je me senti vite a l’aise. Et je remarquais, flattée, que plusieurs jeunes me regardaient danser. Me matant sans aucune gêne. Notamment mes seins qui gigotaient sous mon haut. Très vite, ma fille et moi nous fumes entourées par 4 jeunes qui s’interpellaient bruyamment. Ils ne devaient pas être du coin ceux la…— Hey, Mouloud, mate les deux. — Waouh ! C’est chaud la ! Gênée, je lançais un coup d’œil a Fabienne qui me fis signe de ne rien dire. Un jeune, le dénommé Mouloud, se rapprocha de moi me collant quasiment. Pendant que derrière moi, un autre faisait pareil ! J’étais paniquée et je ne savais comment réagir. Je remarquais que ma fille était coincée aussi par deux autres jeunes. La musique à fond produisait un bruit assourdissant qui m’empêchait de dire à Fabienne que nous devrions retourner nous assoir. Je senti soudain une main se faufiler sous ma jupe et je poussai un cri strident. Je me retournais et me trouvais face à face à un grand black qui, hilare, lança aux autres jeunes :— T’avais raison, Brahim, elle a des bas cette salope ! Outrée d’être traiter de salope, je lui balançais une gifle retentissante ! Je me dégageais et retournais m’assoir suivi de ma fille qui traita les jeunes de « connards ».

De retour sur notre banquette, essoufflée et tremblante, je vidais mon verre d’un trait pour me remettre. Fabienne me rejoignit et je lui demandais de partir. Elle soupira un peu agacée mais acquiesça. Il était déjà 2h du matin. Elle se leva. — Je vais aux toilettes et on y va. Je hochais la tête et me levais également.— Je t’accompagne, ma chérie. Nous nous dirigeons vers les toilettes qui se trouvent au fond de la boite. Nous poussons la porte. Le bruit de la musique s’atténue à peine. Il y a deux filles en train de se remaquiller qui sortent rapidement. Nous allons faire nos besoins et nous nous retrouvons devant le lavabo pour nous laver les mains. Soudain, la porte s’ouvrit avec fracas et je poussais un cri ! C’étaient les 4 jeunes. Mouloud s’approcha de moi et m’empoigna par le bras.— T’as pas été gentille tout à l’heure, va falloir que t’excuses !
— Hey ! laissez ma mère espèce de salauds !Je tentais de me dégager en criant. Mais le bruit empêche mes cris d’être entendus. Mouloud eut un sourire mauvais. — Personne ne t’entendra et on surveille la porte. Personne ne rentrera. Fabienne se débat dans les bras de Brahim et du black qui lui malaxe les seins et tente de baisser son mini short. Mouloud me poussa vers le lavabo et me pinça la pointe d’un sein. Je poussais un gémissement. Il me retourna violemment et me courba sur le lavabo. Il souleva ma jupe et écarta mon string. Il fourra ses doigts dans ma fente, agaçant mon clitoris. — Non, non, s’il vous plait ! — Ta gueule sale bourge ! Tu vas gouter à une vraie queue.Je sens ses doigts qui s’agitent dans ma chatte et je donne un coup de reins involontaire. Je pousse un gémissement.

Du coin de l’œil, je vois ma pauvre fille, dont Brahim et le black ont réussi à baisser le mini short sur ses pieds qui se débat. Échevelée, essoufflée, elle supplie qu’on la laisse. Ses seins sont dégagés de son haut. Brahim poussa un rugissement de joie quand il réalisa que sous son collant ma fille ne portait pas de sous-vêtements ! Il le déchira et força ma fille à se mettre à quatre pattes sur le sol. Il se mit derrière elle et, écartant bien ses jambes, il plongea vers son intimité lui donnant des coups de langue sur sa fente. Pendant ce temps, le black sortit son engin qui me parut gigantesque et pinçant le nez de Fabienne pour l’obliger à ouvrir la bouche, il y engouffra sa bite. Les larmes aux yeux, ma fille commença sucer la bite de son tourmenteur.

Mouloud me donna de violentes claques sur les fesses et me pénétra d’une violente poussée. Ses mains accroché sur mes hanches, il commença à me baiser. Son ventre venait claquer contre mes fesses. Il me besognait brutalement. Je sentais sa queue qui allait et venait dans ma chatte. Je commençais à réagir bien malgré moi à ce viol brutal. Je poussais un gémissement. Mon corps secoué par les coups de queue de Mouloud. J’halète en secouant la tête. Toujours enfoncé dans ma chatte, il me retourna de façons à ce que je vois bien Fabienne se faire prendre par Brahim et le black. — Regarde ta fille comme on la baise bien ! Un autre jeune arriva et baissa mon haut dévoilant mon soutient-gorges en dentelle. Il baissa les balconnets et se pencha pour sucer la pointe de mes seins. Mouloud me pilonne toujours. Debout, en fragile équilibre sur les talons de mes escarpins, je pousse un petit cri quand le jeune me mordilla les tétons. Il appuya soudain sur ma tête, me tirant les cheveux, et me força à avaler la bite qu’il venait d’extraite de son pantalon. J’eu un haut le cœur tant le membre était imposant. Je salivais sur la queue, m’étouffant à moitié. Le jeune s’agitait dans ma bouche. — Qu’est ce qu’elle suce bien cette chienne ! On a tiré le gros lot Mouloud !— Tu m’étonnes ! Deux belles salopes à baiser. Je donnais des coups de langue sur le gland, léchant la hampe et ravalant la bite.

Brahim, enfoncé jusqu’à la garde dans le ventre de Fabienne, la besogne en haletant pendant que ma fille suce la bite du black. Ses joues sont déformées par l’épaisseur du membre. Le black sort sa queue luisant de salive et l’enfonce de nouveau dans la bouche de ma fille. Ses seins ballotent dans tous les sens sous les coups de boutoirs de Brahim.

— On va les enculer ces deux bourgeoises salopes ! lâcha Mouloud en se retirant ! Ma fille et moi nous crions et supplions mais rien n’y fait. Nos tourmenteurs sont sans pitié.— Fifille a sa mémère d’abord et après la vieille….Fabienne se retrouve empalée sur la bite de Brahim et le black fait le tour. Il enfonce sa bite dans l’anus de Fabienne qui pleurniche. Horrifiée, je vois l’énorme queue s’enfoncer dans l’anus de ma fille forçant le sphincter. Fabienne poussa un hurlement démentiel. La moitié de la bite est enfoncé dans son cul et le black et Brahim alternent leurs coups de bites faisant tressauter le corps de ma fille qui gémit.

Puis ce fut mon tour, Mouloud me courba en avant sur le lavabo. Il pointa son gland sur l’ouverture de mes reins. Je frémis en sentant sa bite forcer mon trou du cul. Je poussais un cri rauque. Il me pilonna me dilatant l’anus de puissants coups de reins. A chaque aller-retour je poussais un petit cri. Il accéléra la cadence en grognant et il éjacula dans mon cul en criant. Ma fille et moi nous fumes positionnées à genoux. Nos agresseurs autour de nous. Ils se branlaient en poussant des râles. Le sperme gicla de leurs bites allant s’écraser sur nos visages. Je reçus des trainées de sperme dans les cheveux et sur les yeux pendant que Fabienne recevait du foutre sur ses seins et ses lèvres.

Les quatre hommes sortirent des toilettes nous abandonnant. Nous nous sommes rajustées tant bien que mal et sommes sortis de la boite précipitamment.
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