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Martine et nos godes

Chapitre 1

Lesbienne
Ouf, mon mari est parti. J’en avais assez de ces « repas d’affaires, de ces séminaires, en réalité de ses tromperies. J’ai connue par hasard son amie : une brune piquante, certes, mais d’après ce que j’en sais assez primaire. Le contraire de moi qui me pique d’avoir de bonnes connaissances générales, bref d’être instruite ; en plus je sais qu’à part sa beauté elle ne baise pas si bien que ça. Je me trouve un remplaçant. Me voilà transformée en femme mure, une cougar. Je trouve finalement facilement un jeune qui aime me baiser, bien mieux que mon ex. Les premiers temps, il était parfait, il me baisait mieux qu’un dieu. Il en avait envie tout le temps. Je lui donnais mon cul, qu’il aimait bien, mon con qu’il connaissait par cœur, ma bouche parce que j’aimais son sperme. Un jour, sans doute un mois après il a voulu que je serve pour une double pénétration. J’aurais pu refuser. Quand il est venu chez moi avec un ami, il m’a fait plaisir. Je me suis mise nue devant eux, en m’approchant d’eux que je voyais bander. Mon bas ventre en avant était pour leur bouche. Ils m’ont léché un bon moment quand je me suis allongée sur la moquette. Je me suis mise en levrette ; mon jeune amant est venu sous moi pour prendre mon clitoris pendant que son copain, mon futur amant entrait sa langue dans la pastille. Ils savaient bien m’exciter, il me tardait qu’ils mettent leur belle grosse bite dans mon corps. Mon amant officiel était toujours couché, je me suis mise sur lui, sa bite dans mon con. Il me limait lentement quand son copain est venu sur moi poser son bas ventre sur mes fesses. Je sentais sa queue venir explorer la raie fessière. Il me faisait attendre longtemps avant de poser sa bite sur mon anus.Il est entré à sec. Il me faisait mal, très mal, heureusement que j’avais une pine de l’autre coté qui compensait. Enfin je sentais que sa queue commençait à me faire du bien. J’aimais bien les sentir pendant qu’ils allaient et venaient ensemble. Je crois avoir crié plusieurs fois de plaisir. J’aurais voulu que ça dure longtemps. Mais après leur éjaculation ils étaient en panne sèche.Les prétentions de mon jeune amant étaient de plus en plus osées. Il voulait que je me fasse payer pour baiser. Je l’ai fais une seule fois avec honte. Il comptait faire du fric avec mes fesses. Pas question. Je l’ai mis dehors lui aussi. J’étais morte de honte quand j’ai rencontré celle qui allait devenir mon amie : MartinePour me distraire je me suis inscrite dans un club de gymnastique. Les réunions étaient bihebdomadaires. A force d’être à coté de la même femme nous avons sympathisé, au point qu’elle m’a invité pour passer un après midi chez elle. Elle savait que j’étais seule, comme elle, aussi notre relation est devenue très amicale. Nous parlions de nos problèmes, de nos joies et nos malheurs.Elle était non pas divorcée mais veuve. Le résultat était le même à 40 ans passé. Ce qui la marqué beaucoup était le désert sexuel. Nous parlions même de la masturbation qu’elle aimait, je lui disais que pour moi je résolvais mes problèmes de la même façon. Puis, la confiance venant elle me montrait son amant : un joli gode, rouge dont elle se servait souvent, au moins deux fois par jour. J’en avais un dans le sac, je me masturbais plus qu’elle. Nous étions sur le point d’échanger, comment l’idée est venue de les partager ensemble. Nous n’étions pas tellement sures de cette façon de faire, aussi, je l’invitais pour le lendemain. Vers 15 heures elle était chez moi, bien habillée, toute pimpante. Nous nous sommes faites une bise, comme toujours. Dans le séjour nous avons recommencé la même discutions cette fois en répondant favorablement. — Comment allons-nous faire.— Le plus simple est de nous branler ensemble, l’une devant l’autre.— Et si on y prend goût ?— On verra bien.— Je me mets nue, ça te vas ?— Bien sur, j’en fais autant ;Nous voilà bientôt nue, sans trop de problème de pudeur assises l’une près de l’autre: Martine n’a pas mit de culotte, donc d’avance elle est d’accord.Nous sommes excitées de cette promiscuité. Je commence la première à passer ma main sur ma chatte. Elle attendait ce moment pour commencer elle aussi. C’est surtout la curiosité qui nous menait à bien regarder l’autre : pour la première fois nous voyions une femme se branler devant l’autre. J’en mouillais encore plus. Martine aussi espionnait ma chatte. J’aimais voir son regard posé ainsi sur ma féminité. Je regardais aussi sa poitrine qui pour son âge était sacrément belle, en ne tombant pas. Nous avons joui trop vite pour cette fois. Nues, toujours nous avons bu un thé que nous préparions ensemble. Dans la cuisine, elle m’a embrassé sur la bouche. Je refusais sa langue au début. En insistant un peu nos langues faisaient connaissance. De retour dans le séjour, c’est moi qui l’ai embrassé. Qu’elle délice que sa salive, que notre étreinte était belle.Elle a osé poser sa main sur mon minou. Je l’ai laissé faire quand elle est venue me caresser le clitoris. Je me suis écroulée sur le divan, les jambes ouvertes. Je me souviens encore de sa caresse lente au début, trop lente à mon goût puis allant de plus en plus vite, elle m’a faite jouir. Je jouissais pour la première fois d’une autre main que la mienne depuis le départ de mon jeune. Elle attendait calmement que je lui rende la masturbation. Dès le repos de mes muscles détendus après l’orgasme, j’ai posé ma main sur sa jambe. Je voulais découvrir la douceur de sa peau. Elle écartait doucement les jambes quand je montais petit à petit sur sa chatte. Pour elle s’était excitant, comme pour moi. Je voulais lui caresser son petit bouton quand elle déviait ma main vers son puits. Je trouvais un vagin très mouillé. J’entrais facilement trois doigts en elle. Elle gémissait pendant que je la baisais.— Nous avons les godes, pourquoi ne pas nous baiser ?Bonne question de Martine. Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous prenons chacune notre gode. Cette fois nous ne nous branlons pas, nous branlons l’amie. Nous sommes assises en face, les godes dans la main nous sommes avec les mains sur le point de franchir le plaisir délicat de notre baise anormale. Elle enfonce lentement le sien dans mon vagin qui s’ouvre seul devant l’entrée espérée. Elle le laisse en place, sans le toucher pendant que je la baise à mon tour. Je prends presque autant de plaisir à entrer le gode que j’en ais avec un dans le con. Nous synchronisons nos allers et venues. C’est délicat, meilleur qu’avec une bite d’homme. Nous n’allons pas vite pour savourer chaque seconde. Pourtant, enfin pour moi, sans doute pour elle, je sens monter en moi un plaisir délicat, comme en dégustant un bon vin. C’est comme une caresse générale sur tout mon corps qui monte lentement jusqu’à me faire jouir. C’est la première fois que je sens une telle chose. Je suis prête à recommencer autant de fois qu’elle voudra. Nous nous arrêtons pour nous reposer très tard. Nous dirons ensemble d’un salmigondis de plats au micro onde. Nous l’arrosons d’une coupe de champagne. Ça lui rappelle quand elle était avec son époux qui vidant une bouteille sur elle pour récupérer le précieux liquide dans sa chatte. Elle me demande de faire comme lui. Je verse une partie de la bouteille entre ses seins. Je vais récupérer ce que je peux dans sa fente où je mets pour la première fois ma bouche et ma langue. Je suis incapable de dire quel goût a le champagne, par contre sa cyprine est impeccable, à tel point que je me mets à la lécher partout, faisant ainsi un cunnilingus dont elle se souvient encore.Je suis étonnée moi même de ce que je viens de faire : lécher une vulve qui est à une autre et m’en régaler. Cette fois, sans champagne elle me rend ce que j’ai fait. Sa langue, mieux que la mienne me fouille partout, même, j’aime ça sur l’anus. Nos petites manières nous mènent inévitablement vers le 69. C’est le sommet de la journée que nous finissons couchées sur le lit.    Nous ne sommes tenues par aucun engagement. Nous dormons collées, nous nous réveillons souvent pour nous câliner sans pour autant baiser. Le matin suivant nous prenons une douche coquine. C’est très agréable de voir le jet d’eau donner du plaisir à l’autre qui caresse le cul.     La journée qui suit est pleine de caresses, de baise avec ou sans gode.Maintenant, depuis bientôt 6 ans, nous vivons ensemble.
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