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Martine sans gène

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Ce soir, après une journée de travail bien remplie, je rentre à la maison. Je n’ai qu’une hâte, c’est de prendre un bon bain bien chaud et me mettre à mon aise, enlever ces talons et ce tailleur.
Arrivée à mon domicile, mes enfants sont déjà rentrés de l’école et ont des copains et copines qui leur tiennent compagnie.
Rentrée du boulot et voir tout ce monde m’agace. Je leur fais un signe de loin et monte à la salle de bain directement. Je fais couler un bain bien chaud avec de la mousse. En attendant, je vais me servir un bon verre de vin bien frais. Dehors il pleut, il fait froid, je commence à installer des bougies parfumées autour de la baignoire. Je peux enfin me détendre dans cette eau si chaude avec cette mousse odorante. Je bois une gorgée de ce vin, puis je ferme les yeux pour apprécier cet instant de relaxation. Le meilleur moment de la journée.
Je ne ferme jamais la porte, je la laisse toujours entrouverte. Puis, il me semble avoir entendu un bruit à l’étage. Je tends l’oreille, mais plus rien. Je continue à savourer ce contact de l’eau contre ma peau.
De l’autre côté de cette porte se trouve un copain de mon fils. Il est monté discrètement sans que personne ne s’en aperçoive. Il est en train de me regarder fixement. Je le regarde et lui dis :
— Que fais-tu là ? Tu devrais être en bas !— Désolé Madame, mais depuis tout petit que je viens chez vous, je fantasme sur vous, me répond-il, d’un air bien sûr de lui.
Je n’en crois pas mes oreilles, il a une vingtaine d’années tout au plus. Mais n’a pas froid aux yeux. Il entre dans la salle de bain et referme la porte à clé derrière lui. Il commence à se mettre torse nu et s’approche de la baignoire pour s’y asseoir au bord. Je n’ai pas le temps de dire un mot qu’il plonge sa main dans l’eau pour atterrir entre mes cuisses. Il me fait signe de me taire.
Je le regarde d’un air interrogateur. Il noie ses yeux dans les miens avec un regard tendre, sensuel, passionné, et au même moment, il introduit deux doigts dans mon vagin. J’en ai le souffle coupé. Puis il fait des va-et-vient avec sa main droite pour me pénétrer à une cadence si lente que cela me procure de petits gémissements.Au travers de son pantalon, je vois son pénis en érection. Cela commence à m’exciter. Je m’abandonne malgré moi. Après tout, il me procure un tel plaisir que je me laisse faire.
Je me laisse glisser dans la baignoire afin de pouvoir renverser ma tête en arrière et la poser sur le rebord. Automatiquement mes jambes se replient et s’ouvrent pour mieux accueillir cette main d’homme qui me donne tant de jouissance. Les yeux mi-clos de volupté, je vois ce jeune se comporter comme un mec qui demande à assouvir un fantasme d’enfant.
Il se relève d’un coup sec, se remet debout et il se déshabille. En dessous de son pantalon, il est nu comme un ver. Sa queue est aussi droite qu’ un « i » et aussi dure qu’un bâton de bois. Il rentre dans mon bain sans y être invité. Il se place derrière moi, je frissonne au contact de son engin qui frôle mon dos en se mettant assis. Il m’enlace de ses mains, m’attire vers lui en me prenant par mes seins si gonflés de désirs. Je sens cette fois, quelque chose de dur au niveau du bas de mon dos, il attrape sa bite et la coince entre son ventre et mon cul, tout en gardant son autre main sur ma poitrine qui malaxe avec un mélange de douceur et d’écrasement. A nouveau, il me caresse tendrement mon entrejambe et frôle au passage mes poils pubiens, j’ai automatiquement un sursaut de désir.
Du coup, il introduit une fois de plus ses longs doigts dans ma chatte et là, il fait des va-et-vient de plus en plus rapprochés et plus profonds qui me fournissent un bien-être, suivi d’un bonheur intense qui se transforme rapidement en un orgasme hallucinant. Je m’abandonne dans ses bras en gémissant et en criant.
A ce moment-là, il décide de se lever et de sortir du bain. Il me tend la main et m’aide à sortir moi aussi pour me conduire dans une chambre. Il me jette sur le lit et vient s’empaler sur moi d’une telle force et rapidité que j’en ai le souffle coupé. Sa queue si dure me procure des sensations de plaisirs extrêmes, lui aussi gémit de bonheur. Nous nous laissons aller à cette passion, nous sommes seuls au monde, plus rien ne compte. D’un coup, j’ai un orgasme intense qui me fait crier, même hurler. Nous roulons sur le matelas, et je me retrouve à plat ventre sur lui, toujours emboîtés l’un dans l’autre. Quel plaisir !
Mes hurlements ont alerté les jeunes, l’un d’eux monte voir ce qui se passe. Il nous aperçoit, mais au lieu de redescendre et nous laisser, il entre dans cette pièce et se met à se déshabiller. Nous ne l’avons pas entendu. Il s’approche de nous et me montre sa queue en érection et me la met dans ma bouche. Je commence à le sucer doucement et tendrement, prenant soin de prendre uniquement le gland pour lui procurer un plaisir intense. Il en gémit et nous excite. Du coup, Pierre est tellement excité qu’il m’enfonce sa bite de plus en plus vite et de plus en plus rapidement dans mon vagin. A ce moment-là, Christophe décide d’enfoncer son engin dans mon anus. Il prépare le terrain en me caressant le vagin et la queue de Pierre pour récolter de la mouille et la mettre sur mon anus, pour m’introduire facilement et profondément.
Les deux sont en moi, ils sont si doux et tellement stimulés que je suis parcourue de frissons mélangés d’un orgasme si puissant que je me mets à crier de plaisirs et de désirs. Je m’abandonne à cette situation que j’en fais pipi. Pierre ressent ce liquide chaud sur lui et éjacule avec de fort sursaut. Christophe en ressent les secousses et à son tour éjacule lui aussi. Tous les deux m’enlacent de désirs. Au bout de quelques minutes, ils sortent tous les deux de la chambre en me laissant seule. Je ferme les yeux et m’endors.
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