Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 6 J'aime
  • 2 Commentaires

Martine et le TENS

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Martine et le TENS*

Après avoir terminé le ménage à l’étage, Martine redescendit au salon et décida de faire une séance de TENS, son genou la faisant horriblement souffrir. Pour ce faire, elle retira son pantalon et resta juste en petite culotte de dentelle. Elle se saisit de l’appareil et entreprit son assemblage. Les électrodes étaient emmêlées et maladresse oblige, une des électrodes atterrit sur la culotte, en plein contre le clitoris. Martine sursauta, un réflexe déclenché par la peur que l’appareil soit en marche. Deux secondes de frayeur plus tard, elle se rendit compte que ce sursaut avait eu pour effet une légère humidification de sa vulve.
Elle appliqua les quatre électrodes autour de son genou et débuta sa séance comme prévu. Cinq minutes à faible dose, puis cinq autres avec une dose de décharges plus élevée, et ainsi de suite jusqu’à 15. Pendant que son genou se contractait violemment sous les électrochocs, elle se demanda quel effet cela pourrait avoir entre ses cuisses. Était-ce dangereux ? Serait-ce douloureux ? Était-il possible d’avoir du plaisir par ce moyen ? Autant de questions auxquelles elle ne pourrait répondre qu’après avoir tenté l’expérience.
La séance pour le genou terminée, Martine retira les électrodes et en positionna une de chaque côté de sa vulve. Elle eut un peu de mal à les faire adhérer, ses poils pubiens qui commençaient à former un épais buisson y étaient un peu pour quelque chose. Une fois les électrodes en place, elle hésita un long moment avant d’allumer l’appareil.
Sur quel programme fallait-il mettre le TENS ? Elle se décida pour le même programme que le genou, puis en serrant les dents, elle régla le programme sur un. Aucune sensation. Elle monta sur deux puis trois. D’un seul coup une douce vibration s’empara de son entrejambe, une sensation inconnue jusqu’alors.
Elle avait l’impression qu’une dizaine de mouches marchaient sur son sexe, ce qui la chatouillait énormément. Martine étant une grosse salope avide de sexe et de nouvelles sensations, elle décida donc d’augmenter encore plus la puissance des électrodes. A sept, elle poussa un cri aigu, la sensation ressemblait à des picotements d’aiguilles à tricoter. Cette sensation la mena au bord de l’extase et son jus commença à s’échapper de sa vulve. Puis elle stoppa l’appareil pour souffler un peu, et se demanda ce qu’elle pourrait bien faire avec les deux électrodes restantes. Elle envisagea dans un premier temps de les coller sur ses seins, au bout des tétons, puis imagina de les disposer en carré comme sur son genou.
Elle colla donc une électrode dans sa toison, la moitié collée juste sur le clitoris, et elle positionna la seconde sur son périnée, à cheval sur son anus.
Puis elle remit en route cette machine de torture qui allait s’avérer être encore plus performante que tous les sex-toys du monde.
Le courant fut envoyé à une puissance de dix et sur les quatre électrodes simultanément.
L’électrochoc fut si violent que Martine fit un bon sur place, ce qui eut pour effet d’envoyer valser l’appareil au sol, l’empêchant ainsi d’arrêter ce supplice.
Ses cuisses, sous l’effet de l’électricité, étaient paralysées dans la position du grand écart, impossible à resserrer, impossible de ramasser la machine pour la stopper, impossible de sortir de cet enfer de douleur. Martine dut se résigner et n’eut d’autre choix que de subir la torture de son sexe jusqu’à ce que la machine n’ait plus de batterie.
Et durant quarante-cinq minutes, ce ne fut que hurlements de douleur, de plaisir, d’orgasmes incontrôlables et sans fin. Les électrochocs avaient pour effet de tantôt contracter tous les muscles, et tantôt les relâcher, cette action entraînait sur Martine, en plus d’orgasmes qui l’épuisaient, une ouverture sporadique de ses sphincters. Son corps vidangeait son urine par à-coups en envoyant de grands jets de pisse à l’autre bout de la pièce, et son anus lâchait de nombreux pets bruyants.
Martine hurlait de jouissance, plusieurs hommes en même temps n’auraient pas réussi à la faire orgasmer autant.Les douleurs infligées à son sexe, les odeurs de pets, de pisse, de transpiration et de mouille qui emplissaient ses narines et la pièce la conduisirent à l’orgasme ultime, une apothéose de luxure et de sexe qui la fit s’évanouir.
Puis le TENS s’arrêta de lui-même, à court de batterie.
Depuis ce jour-là, Martine utilise toujours le TENS pour soulager ses douleurs, mais l’histoire ne dit pas si la machine a fini par remplacer l’homme.
— TENS : neurostimulation électrique transcutanée (ou TENS, de l’anglais Transcutaneous Electrical Nerve Stimulation)
Diffuse en direct !
Regarder son live