Je suis dans un état second sur les genoux de Nick. Mes fesses entre ses mains, mes bras autour de sa nuque et ma langue jouant avec la sienne. Mon entre-jambes durcit alors que je sais clairement où est ma place : je suis la femme aujourd’hui ! Et honnêtement je me trouve hyper sexy, c’est aussi sûrement cela qui me met dans un tel état : talons sexy, bas, string, mini-jupe, soutien-gorge, haut moulant, maquillage, perruque blonde et vernis sur les mains et les pieds. Quelle sensation me transperce, c’est plus jouissif que je n’aurais osé l’imaginer !Ce baiser dur et mille questions me transpercent : jusqu’où va-t-on aller ? Le branler, le sucer ? Lui donner mon cul ? Et si je me crispe ? Si je refuse ? Va-t-il continuer son chantage ou arrêter ? Si je jouis, que vais-je ressentir ? De la honte ? Du dégoût ? Et pire, si j’y prends mon pied ?Il nous arrête et me regarde :— T’as l’air d’aimer ça Mary, dis-moi de quoi t’as envie ?!— Nick, je… je veux dire tu es… mignon et je me sens assez fille pour faire ça… je crois, dis-je timidement.— C’est ça ta réponse, va falloir faire mieux ma belle.— Ok, j’ai envie de te faire du bien… Je suis gênée !— Comment ?— Te branler, la… lécher… Ses yeux semblent enfin satisfaits, ses mains flattent mon arrière-train, il attend la suite : J’ai envie de la sentir entre mes lèvres, apprendre à sucer sur ta queue, longuement.— J’adore, là tu me chauffes bien petite allumeuse. Maintenant assumes, mets-toi à genoux et retire mon jean. Et aussitôt je m’exécute, je dégrafe sa ceinture et l’ouvre. Ce faisant, je devine son sex tendu et suis attirée comme un aimant… Ma main droite à plat caresse la bosse de tout son long tandis que la gauche retire le zip du jean de Nick. Je croise son regard, on se sourit. Je réalise que je suis suffisamment bandante et crédible pour le faire durcir sans même l’avoir touché et ça me motive tellement ! Mes mains attrapent son pantalon sur les côtés et il se soulève légèrement pour m’aider. Je fais lentement glisser le tissu et me rend vite compte qu’il ne porte aucun sous-vêtements. Je continue à retirer le jean mais mes yeux restent fixés sur le membre viril de mon… partenaire.Ses jambes, peu poilues sont rapidement nues, ses pieds aussi. Il ne porte plus que sa chemise et arbore un sex tendu, lisse, viril qui me met dans un état second. Il semble vouloir profiter de la situation et m’ordonne :— Mets-toi en sous-vêtements ma belle !Bien sûr j’accepte et retire lentement mon haut, puis ma jupe. Il se redresse pour me mater ainsi à genoux devant lui. Il ajoute :— T’es tellement bonne ! T’as le corps d’une femme et tu bande comme une folle. On va bien jouer ensemble toi et moi. Je veux que tu libères ton sexe de ton string et que tu te caresse sans bouger vas-y. — Ok Nick. Je glisse mes doigts gauche sur le string et le décale pour en sortir ma verge de la main droite. Et sous son regard excité je fais des va-et-vient qui me rendent dingue.— Qu’est-ce que ça te fait de voir les doigts d’une femme sur ta bite Mary ? — J’avais pas réalisé, c’est vrai que c’est beau une main vernie sur mon… clito. — Alors attends de les voir sur la mienne. Ok maintenant que tu es bien chaude dis-moi de quoi tu as envie.Mes caresses continuent sur mon sexe tandis que mes yeux sont rivés sur le sien, et je réponds avec bien plus d’aplomb que la fois précédente :— J’ai envie de caresser ta queue Nick ! Je veux la lécher et te sucer ! Ma main gauche est attirée par sa queue que j’approche.
Il me stoppe net et mes yeux se lèvent vers lui. Je réalise avec effroi qu’il me filme l’enfoiré ! — Non ! Stop ! Arrête de me filmer je t’en supplie ! Je fais tout ce que tu veux alors arrête.— Tu vois pas que c’est ton téléphone ?! Tu te débines toujours après avoir gicler. Je veux que tu te rappelles ce que tu vis maintenant, que tu puisses voir celle que tu es vraiment. Tu es venue ici pour moi mais ce que tu fais ou dis maintenant, c’est pour toi que tu le fais non ? — T’abuses ! Mais je… oui j’en ai vraiment envie… — Alors laisse-toi aller coquine. Il filme à nouveau. Ok, Mary, je veux que tu prennes ton pied avec moi aujourd’hui. On est pas pressés on a tout notre temps. Alors tu me laisse te guider et toi tu obéis ok ? — Ok Nick. — Parfait. Viens avec moi dans la chambre on sera mieux. Il pose le téléphone de manière à filmer le lit. On s’y retrouve rapidement à genoux, l’un en face de l’autre. Ses mains caressent mes fesses nues, mes hanches et mon dos tandis que nos bouches se lovent longuement. Nos langues jouent un jeu chaud et humide qui m’excite beaucoup. Et tandis que je réalise que cette pelle est la meilleure que j’ai eu de ma vie, mes doigts déboutonnent sa chemise entièrement. Aussi bien qu’il se retrouve rapidement nu face à moi. Je me sens bien dans ses bras, sous ses caresses et j’en oublie la vidéo. Sa queue est tendue. Je la sens entre mes cuisses frottant mes fesses et mes couilles alors que la mienne est relevée entre nos bas ventre. — T’es parfaite Mary, il est temps de jouer. Il se relève, récupère le téléphone et vient s’assoir contre la tête de lit. Il ajoute : parfait, viens dos à moi, à quatre pattes. Si bien qu’il est assis, jambes serrées et caméra en main pendant que je me met à quatre pattes sous ses yeux. Mes talons prennent place au niveau de ses cuisses, de part et d’autre de mon amant. Il se retrouve nez à nez avec mon cul qu’il semble apprécier.— Mon dieu, tu me fais bander comme un fou. Quel cul ! Une vraie femelle ! Maintenant je vais t’aider à retirer ce bout de tissu qui te gène. Ses doigts me libèrent du string qui rapidement me quitte. Et je suis offerte à Nick, la rondelle à sa merci. [Et c’est ce moment cher lecteur que Nick choisi pour prendre le relai. Il veut te raconter lui la suite de cette journée qui fut la première journée de ma nouvelle vie !] Salut, je suis Nick, et tout ce qui précède est vrai, et si elle se dit excitée, ce n’est rien à côté de mon état. Moi qui aime dominer mes partenaires, c’est la première fois que je vis une féminisation en direct. Bien sûr j’ai déjà baisé des travestis et de nombreuses femmes. Mais travestir un mec par chantage, et qu’il… enfin qu’elle y prenne autant de plaisir : jamais ! Je dois dire « elle », car elle est plus crédible que les travestis que j’ai connu ! Plus femelle et obéissante que plusieurs femmes. Bref, elle me fait bander comme un fou ! Et je compte bien en profiter ! Je la filme bel et bien. Ses talons sexy son à côté de moi, ses chevilles sont délicieusement féminines, fines ; ses mollets longeants mes jambes sont fins, légèrement musclés, couverts de ses bas sexy, ultra féminins. Ses cuisses à la verticale sont fines, lisses et les bas s’arrêtent à la moitié, la pliure de ses genoux est irrésistible, le haut de ses cuisses donne sur un cul ferme. Deux balles magnifiques dépourvues de graisse, j’ai tellement envie de lui lécher sa rondelle et de la pénétrer ! Ses couilles pendantes entre ce spectacle merveilleux n’enlève en rien à sa beauté mais au contraire, m’excite d’autant plus. Quant à son sexe, je ne le vois pas car elle est aussi dure que moi. Mary bande fort et ça me rend totalement dingue ! Son dos est creusé, ses hanches aussi, c’est le dos d’une jeune femme, terriblement excitante. Ses bras son fins, ses mains sexy et vernies, et son visage est fin. Son maquillage léger, peut-être un peu maladroit ne gâche en rien son androgynie. Alors je veux en profiter au maximum. Je la filme pour elle, et pour moi bien sûr ! — Tu es parfaite Mary ! Caresse-toi, je veux voir ma femelle se préparer.— Tu veux que je me doigte ? Demande-t-elle timidement en tournant la tête vers moi.— Oui t’as tout compris.Quelle vision, je n’en reviens pas. Mary se repose sur ses épaules et son buste pour libérer ses mains. Se faisant elle se cambre à fond et réveille mes instincts primaires. Elle lèche ses doigts, écarte encore ses genoux, sa main gauche écarte sa fesse au maximum dévoilant à ma vue son anus serré. Il est comme neuf, et le point de départ de son raphé périnéal : ligne reliant sa rondelle à son frein. Ça m’excite de voir ses couilles se serrer au contact de ses doigts humides sur cette ligne de plaisir. Elle passe par dessous. Puis humidifie à nouveau ses doigts dans sa bouche et tente par dessus. Assez vite je dois dire, elle enfonce son majeur dans son entre de plaisir, puis deux autres doigts l’y rejoignent lentement. J’entends de légers gémissements puis elle ose : — Ça te donne toujours pas envie de te branler Nick ? — Oh si crois-moi tu me fais bander comme jamais. — Alors vas-y, lance-t-elle comme une supplique au coeur d’un gémissement. Je me penche vers ma table de nuit et y récupère un gode ventouse réaliste que je lui tend. — Utilise ça tu gémiras plus. — Ok mais branle-toi je t’en supplie. Elle suce et crache sur le dildo et rapidement l’approche à son cul. Ma main rejoint ma queue et la caresse. Le jouet s’engouffre lentement en elle accompagné d’un gémissement intense de sa part. Je me branle tandis qu’elle se gode tant bien que mal : pas facile dans cette position… Je décide de l’aider. Ma main droite attrape le gode. Elle s’écrit en posant ses mains prêt de sa tête : — Oui Oh oui vas-y Nick ! Elle est chaude cette fille ! Je filme toute la scène terriblement érotique. Les va-et-vient en elle sous mes assauts semblent avoir raison de toute résistance : — J’en veux plus Nick, je te veux toi ! Je la fais se déplacer, elle reste à quatre pattes, mais de côté de sorte que sa bouche est proche de mon sexe et son cul à portée de main. Le téléphone est posé et filme tout. Je continue à goder ma nouvelle femelle à qui je roule une pelle mémorable. Elle semble adorer embrasser un homme à pleine bouche. — De quoi as-tu envie Mary ? — Je veux ta queue ! — Branle-moi seulement pour l’instant. Elle lâche un « oui » de soulagement et sa main gauche recouvre vite ma bite. Elle la serre fort et la branle. C’est bon ! Aucune fille ne sait branler ma queue comme ça. Elle semble très endurante car je la gode depuis un moment et elle semble adorer ça. Sa bouche est chaude, humide, sa langue habile. Je rêve de la sentir jouer avec ma verge. — Tu veux me sucer ? — Oui je la veux bébé. — Pas encore. D’abord je veux que tu lèches mes couilles en continuant de me branler lentement. Que mes couilles ! Et sa langue ne se laisse pas prier pour parcourir mes boules. Elle lèche et suce mes couilles légèrement juste comme il faut. C’est intenable ; bien sûr que je veux qu’elle me suce mais je dois rester son homme dominant comme elle semble l’adorer. — Supplie-moi ! — Nick laisse-moi sucer ta queue je t’en supplie ! J’en peux plus je veux te sucer maintenant ! Et sans mon autorisation elle se jette dessus, retirant sa main elle prend mon gland en bouche et le lèche avec envie. Elle suce maladroitement quelques secondes puis semble se concentrer pour faire ça bien. Ses yeux se ferment, elle gémit. Cambrée, le gode la pénètre toujours et je prends plaisir à l’enfoncer jusqu’à la garde, ne plus bouger quelques instants et reprendre les mouvements. Elle me suce de mieux en mieux, c’est bon ! Trop bon ! — T’es une femelle Mary, tu embrasses bien, tu encaisses bien, tu branle trop bien et ta bouche sur ma queue : c’est trop bon putain ! — C’est grâce à toi bébé, tu me rend chienne. Et ta queue est trop bonne ! Elle n’a plus de limite malgré la vidéo qui tourne. Je pourrai faire d’elle ma pute autant que je veux, quel pied ! Elle suce vraiment bien, si elle continue je vais pas tarder à gicler… — Viens sur moi ma salope ! — Oui Nick je suis à toi prends moi ! Je lui retire le gode, elle gémit. Je m’allonge sur le dos et elle vient sur moi. Je prends sa nuque dans ma main et l’amène à ma bouche. A nouveau nos langues se mélangent mais cette fois, sa bouche sent le sperme et à le goût de ma queue. — Ta première sodomie, t’es prête ? — Tu me prépare depuis assez longtemps oui, je la veux mon mâle ! — Vas-y ma pute, donne-moi ton cul ! Et alors qu’elle place mon gland contre son entrée je continues de l’encourager : t’es bonne Mary ! Une vraie femme qui va se faire dépuceler. Empale-toi sur ma queue, oui comme ça… Tu sens le gland en toi ? Elle acquiesce d’un mouvement de tête, elle semble ne plus pouvoir parler, la bouche grande ouverte, les yeux écarquillés… Vas-y, pousse lentement jusqu’à sentir tes fesses posées sur moi. Et lentement, l’étreinte de son cul sur ma chair me rend épris d’elle. Elle est serrée et son visage heureux me fait craquer. Quelle femme ! Elle lance d’une voix cassée, et plus féminine que jamais : — Oh oui j’y suis, elle est énorme ! Oui elle parle de ma queue, elle ne bouge plus, remplie. Je me redresse vers elle, assis. On s’embrasse à pleine bouche. Mes mains caressent son corps des pieds à la tête. Ses bras sont autour de mon cou. Nos bouches se séparent mais nos lèvres se frôlent, nos yeux se noient l’un dans l’autre. C’est le moment le plus érotique que j’ai vécu de ma vie ! Lentement elle se relève et revient vers moi, faisant glisser son entrée contre mon sexe. — Tu es parfaite ! — Toi aussi bébé, c’est trop bon, merci ! Ses yeux se ferment et ses va-et-vient s’accélèrent. La pression grandit sur mon sexe, je ne dois pas jouir, pas encore ! Sa verge se frotte entre mon torse et son ventre, elle semble au septième ciel. Ses gémissements s’amplifient, elle couine comme une folle, je veux la faire jouir ! Encore quelques instants de bonheur, elle s’écrit : — Nick je vais jouir ! Oui ! Oui ! Encore ! Oui ! Oh oui ! Oh Son corps se raidit et je sens son sexe qui se tend et laisse jaillir une quantité impressionnante de foutre. Sa gicle jusque dans nos cous, j’en reçois même sur le visage jusque sur le front. Quel orgasme spectaculaire ! Je prends le relai donc et la pilonne encore un peu pour la rejoindre à peine quelques secondes après et je jouis en hurlant de bonheur entre ses reins. Quel pied ! Lentement elle ouvre ses yeux et reprenant son souffle elle s’aperçoit de la présence de son jus sur mon visage. — Oh excuse-moi Nick. Elle cherche à amener son doigt pour me nettoyer mais je l’arrête : — Non ! Mary, comment tu te sens ? — Je… J’ai jamais pris autant de plaisir de ma vie. — Tu as honte ? — Non, je me sens à ma place. En réalité j’ai… pas envie d’arrêter, me dit-elle en reprenant son étreinte sur mon sexe encore bien dur. — Tu es vraiment parfaite ! Ok, alors lave-moi avec ta langue. Et immédiatement elle se penche. Elle lèche d’abord mon cou puis remonte sur mon menton et suit la traînée de sperme jusque sur mon front. — Tu aimes ton sperme ? — Oui bébé, j’aime tout ce qu’on a fait jusqu’ici. Merci ! Sa queue se détend entre nos corps. La mienne en elle. On se sépare et on file sous la douche où on se lave en s’embrassant encore et encore. A peine sortis et séchés, elle repasse ses bas, ses talons, sa mini-jupe et son haut moulant. La vigueur nous revient rapidement, je ne vais plus pouvoir m’en passer !
