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Maryse

Chapitre 4

Maman puis ma patronne

Divers
Rentrée à la maison, assez fatiguée je prends une bonne douche quand le téléphone sonne.
 C’est maman.
 « Allo ma chérie comment vas-tu ? Tu ne t’ennuies pas trop de ta salope de mère ? »
 « Oh non maman, j’ai plein de choses à te raconter »
 « Bon, tu me diras tout à notre retour. Pour l’instant, ton père est parti au Casino, je pense qu’il rentrera tard et j’avais envie de m’offrir un petit plaisir téléphonique avec toi »
 « Ah bon et comment ? »
 « Dis-moi comment tu es habillée pour m’exciter, je vais me branler et je pense que tu auras envie toi aussi »
 « Je sors de la douche je suis crevée, cet après midi je me suis faite baisée comme une chienne chez une femme que j’ai rencontrée au café. »
 « Alors raconte-moi, tu vas m’exciter »
 « Ce sera une surprise quand tu rentreras. Mais là, je peux te branler à distance. Mets l’ampli de ton téléphone. Commence à te caresser les seins contre une glace, frotte-toi bien et mets-toi une main dans la chatte. Imagine que c’est la mienne. J’ai mis un doigt puis deux et maintenant je te fiste main entière, écarte bien les cuisses et laisse couler ton jus sur le sol. Tu dois mouiller non ? »
 « Oui, je m’étais déjà branlée avant de t’appeler et de t’entendre, je mouille à fond »
 « Maintenant couche toi par terre et essuie ta mouille avec tes seins »
 « C’est trop bon, je vais jouir »

 « Non, essaie de te retenir, ce sera meilleur quand tu vas éclater »
 « C’est dure, j’ai envie, j’ai envie ! »
 « As-tu emporté tes godes ? »
 « Oui, c’est avec un que je me branlais avant de t’appeler. »
 « Lubrifie-le avec ta mouille et mets le dans ton cul. Lève-toi et vas en même temps te branler le clito contre le coin d’une table. »
 « J’ai mieux, je m’empale quelques fois sur la boule du pied de mon lit, j’y vais. Ça rentre tout seul, la boule cogne contre le gode à travers les parois de mon ventre, je sens que je monte. Oui, Oui , ça vient, je pars, c’est merveilleux Ahhhhh. Dommage que tu ne sois pas là, tu verrais le spectacle et tu aurais envie »
 « Pendant que je t’écoutais, je m’excitais mentalement sans me toucher. Couchée par terre, les jambes écartées comme si j’étais prisonnière les pieds et les poignets entravés et ne pouvais pas bouger. J’ai joui quand je t’ai entendu crier c’est également formidable mais épuisant car il n’y pas de contact. Essaie quad tu recommenceras ou attends que je te montre. A ton retour je te ferai découvrir quelque chose de nouveau ce sera une vraie surprise mais patience … »
 « J’entends ton père qui revient, il nous faut arrêter, je vais fantasmer toute la nuit Je t’embrasse là où tu aimes bien »
 « Bonne nuit »
  
 Quand Maman Marie m’a appelé, au sortir de la douche j’étais prête à aller au lit, éprouvée par cette baise zoophile endiablée. La baise virtuelle de tout à l’heure a fini de m’achever. C’est toute chancelante que je rejoins ma couche pour sombrer dans un profond sommeil qui ne laisse même pas la place à un quelconque rêve ou cauchemar. Demain il faut revenir au boulot !  
 Nous sommes donc lundi, le réveil a été dur. Arrivée au bureau (un cabinet d’expert-comptable comprenant 5 personnes : La patronne, trois comptables et moi à l’accueil) j’ai du mal à me concentrer pendant la réunion de travail de préparation de la semaine.
 En regardant ma patronne, je ne peux m’empêcher de penser à ces folles journées de vendredi, samedi et dimanche. C’est la première fois que je passe du virtuel devant mon ordi avec des films pornos au concret et quel concret ! Gouine, inceste, zoo c’est à peine croyable.
 Je sens que je deviens accro à la baise sous toutes ses formes. Il faut que je me ressaisisse voila que c’est ma patronne qui me fait de l’effet. Elle ne va pas apprécier si je m’égare de mon travail.
 A la fin de la réunion, Isabelle, tout les collègues l’appellent par son prénom, moi je suis toute nouvelle et je n’ai pas encore pris cette liberté, Isabelle donc me retient pour faire le point sur la gestion des appels téléphoniques.  
 « Maryse, je vous ai trouvée bien distraite pendant la réunion. Quelque chose ne va pas ? »
 « Non, non madame, J’ai eu un weekend épuisant et j’ai du mal à émerger. »
 « Depuis que vous êtes parmi nous, je remarque que vos collègues ne cessent de vous déshabiller du regard. Cela vous gêne ? »
 « Non, je ne suis aperçue de rien. Ils sont très corrects »
 « Il faut reconnaître que la personne que vous avez remplacée lors de son départ à la retraite n’était pas du genre très sexy mais vous vous êtes plutôt aguichante »
 « C’est un reproche madame ? »
 « Non, au contraire je vous aime comme cela »  
 Cette phrase sonne bizarrement à mon oreille et je surprends son regard insistant sur mon décolleté. Elle se lève de son fauteuil, s’approche de moi et me regarde fixement dans les yeux.
 « Maryse vous me plaisez. Est-ce que cela vous parle ? »  
 Je fais celle qui n’a pas compris 
 « Si vous voulez dire que mon travail vous satisfait, j’en suis toute contente »  
 Isabelle se rapproche encore plus de moi et laisse promener une main le long de ma cuisse.  
 « Oui, je suis satisfaite de votre travail mais si je vous dis que je vous trouve aguichante, c’est qu’effectivement votre décolleté est très engageant" 
 Ses deux mains sont maintenant sur mes hanches et son regard est plongé avec insistance sur ma poitrine.
 Elle relève un peu la tête, nos corps sont si près que nos têtes se touchent presque et lentement, sa bouche vient retrouver la mienne. Je ne me dérobe pas, sa langue parcourt mes lèvres, elle me lèche le visage, revient sur ma bouche que j’entrouvre volontiers et nos langues s’entrelacent dans un baiser fougueux. 
 Pendant ce baiser, ses mains fouillent mon corsage, font sortir un sein et ses lèvres descendent jusqu’à un mamelon qu’elle caresse et mordille. Je sens que je mouille. Je me sens également autorisée à lui caresser les cuisses et à atteindre son entrejambe à travers sa jupe.
 C’est alors qu’elle me prend la main et l’enfouie sous sa jupe pour la guider vers sa chatte. Je sens sa culotte mouillée mais pas extrêmement humide. 
 Surprise ! ce n’est pas une chatte mais un sexe d’homme que je rencontre, pas un gode ceinture mais une vraie queue raide comme un gourdin plaquée le long de son pubis par l’élastique de sa culotte.  
 « Ça te déplait ? »
 « Non mais je suis surprise car votre corps, votre voix, sont vraiment ceux d’une femme. Votre corps est particulièrement attirant avec une si belle poitrine et maintenant cette majestueuse queue. »
 « Je t’expliquerai mais j’ai tellement envie que tu me suces, tu veux ?»
 « Je n’ai pas l’habitude mais ça m’excite, j’ai envie de tenter l’expérience »
  
 C’est vrai que je n’ai pas l’habitude mais la séance de zoo au restaurant avec Josy et Rex m’avait donné envie de sucer cette queue qui sortait de la chatte de Josy et ça n’a pas eu lieu. De même quand papa a baisé maman devant moi, c’est elle qui a eu sa queue.  
  Isabelle fait glisser sa jupe à ses pieds et je découvre cette imposante bite qui émerge de son slip. Je la prends en main, la branle et approche ma bouche. Je commence, comme j’ai vu faire sur mon ordi, par de petits coups de langue sur son gland décalotté, je l’enrobe de mes lèvres et l’engloutis complétement dans ma bouche.   
 « Pompe moi, c’est bon on dirait que tu es une experte »  
 Je sens que j’y prends du plaisir, ça me fait mouiller, je lui caresse les jambes en faisant crisser ses bas, je fais descendre sa culote et j’arrive à ses couilles et les caresse également, j’ai envie de les sucer. Tout ça m’excite au plus haut point. Je promène ma langue sur ces bourses qui me semblent bien pleines et tente une exploration de son petit trou.  
 « Oh oui, caresse-moi le cul et donne-moi le tien. SI tu es d’accord, je vais te sodomiser. » 
 Je me souviens de la saillie de Rex qui m’avait faite éclater de plaisir et je ne peux que lui dire OUI.  
 « Oui baisez moi le cul, je veux vous sentir gicler dans mes entrailles, j’ai envie de me faire ramoner, vous me rendez folle, je mouille, je mouille. »  
 A force de me pistonner, Isabelle se raidit, m’empoigne les cuisses et se libère dans un jet de sperme qui me déclenche se fameux orgasme du cul que je trouve merveilleux.
 Isabelle se retire et me donne sa queue à nettoyer avec ma langue.  
 « Donnez-moi votre culotte, je vais la passer et la garder en recueillant le sperme qui suintera de mon cul. »
 « Mais dites-moi mademoiselle Maryse vous êtes une sacrée salope ? »
 « C’est vous qui m’avez provoquée et je vous rends la pareille »
 « Maryse vous allez revenir à votre poste, n’excitez pas trop vos collègues, gardons notre secret, que rien ne paraisse »
 « C’est promis, je vous remercie de ce petit intermède. »  
 Après s’être rhabillée, ma patronne m’accompagne jusque dans le couloir comme si de rien n’était.
  
 Difficile de se concentrer après une telle partie mais les appels téléphoniques étant très nombreux imposant une gestion rigoureuse des agendas, j’arrive à me sortir de mes pensées lubriques.
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