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Maryse, débauche en Guadeloupe

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
La situation était tendue, entre Maryse, ma femme depuis dix ans, et moi. Depuis trois mois, nous enchaînions disputes sur disputes, toujours pour des raisons futiles et idiotes. Nous avions un sérieux problème. Aussi, nous conseilla-t-on de partir tous deux en vacances, loin d’ici, plutôt à l’étranger, pour nous retrouver.C’est ainsi que nous nous retrouvons à la Guadeloupe, dans un hôtel haut de gamme. Pendant tout le voyage, ma femme avait dormi et je n’avais cessé de la regarder. En la voyant, abandonnée dans le sommeil, je me demandais comment ce tourbillon de violence avait pu nous emporter. Elle était belle, ma femme. Trente-deux ans, brune aux cheveux longs, yeux bleus, bouche pulpeuse. Elle mesurait un mètre soixante-dix, pour cinquante-neuf kilos, de longues jambes. Mais ce qui frappait le plus, chez elle, était sa poitrine. Quatre-vingt-dix, bonnet E. Des gros seins, aux aréoles foncées et aux pointes d’un demi-centimètre en érection. Je me sentais amoureux d’elle.Tout se passa pour le mieux, les trois premiers jours. Nous ne quittions guère l’hôtel, le bar, la piscine. Même si ses tenues, minimalistes, me faisaient tiquer quelquefois, je ne disais rien. Je la sentais radieuse, heureuse des regards des hommes sur son corps.La situation dégénéra le lendemain soir, vers vingt heures. Nous avions décidé, pour la première fois, de sortir et dîner ne ville. Lorsque je sortis de la salle de bains, elle était déjà habillée. J’ouvris grand les yeux et tout ce que j’avais retenu jusqu’alors sortit :
 Tu ne vas pas sortir habillée comme cela, j’espère ? Lui dis-je, déjà énervé.
Elle regarda sa tenue. Elle avait passé un top, dos nu qui lui couvrait juste la poitrine, sans soutien-gorge dessous, bien entendu. Sa mini – micro – jupe en jean, s’arrêtait plus haut qu’à mi-cuisse. Je la trouvais très courte, trop courte. Nul doute que, dans la position assise, sa culotte serait parfaitement visible. Elle releva la tête et me regarda, étonnée :
 Quoi ? qu’est-ce qu’elle a, ma tenue ? Elle ne te plait pas ?
Sa réponse était emprunte d’ironie agacée. Je ne vis pas venir le coup, car j’insistai.
 Tu veux savoir de quoi tu as l’air ? D’une pute ! Tu as l’air d’une pute ! Merci, répondit-elle, d’une voix glacée. Ta femme est une pute ? Ce n’est pas ce que j’ai dit ! Tu m’emmerdes, Benoit. Tu m’emmerdes ! On est à peine arrivés que tu me fais chier avec ma tenue. Durant toute l’année, tu ne cesses de me négliger. Tu ne me baises que de temps en temps, pas souvent. Et là, alors que l’on est en vacances, que je me fais belle pour toi, tu me traites de pute ? Tu sais quoi ? Vas te faire foutre ! Je me barre !
Et là, comme un con, au lieu de la retenir, de me jeter à ses pieds et lui demander pardon, je lui balançai violemment :
 C’est ça, barre-toi ! Vas te faire baiser par qui tu veux !
Elle empoigna son sac et sortit, en claquant la porte. Je restai seul, ressassant ma colère. J’entendis ses pas décroitre dans le couloir et le silence se fit.A bout d’une heure, calmé, je décidai de partir à sa recherche. Je ne la trouvai pas dans l’enceinte de l’hôtel, pas plus au bord de la piscine, qu’auprès des trois bars de l’établissement. De plus, personne ne l’avait vue. Je finis par demander au réceptionniste, qui déclara avoir vu une femme brune, sortir en courant, par la porte principale. Elle semblait bouleversée.Fort de ce renseignement, je me ruai à sa recherche. J’errai dans les rues, pendant trois heures, fouillant les bars, les restaurants, à commencer par celui où nous devions aller. En vain, Maryse avait disparu.
Je parvins enfin à la limite de la zone sûre. Après, le quartier devenait plus dangereux, surtout la nuit. Je pensai qu’elle n’était pas assez folle pour s’être engagée dans ce dédale de perdition. Alors, je fis demi-tour, l’âme ravagée par la peur. Je jurai, si elle me revenait saine et sauve, de ne plus jamais la rabrouer sur ses tenues. Je jurai, croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais en enfer, de l’aimer, de lui faire l’amour tous les jours. Et même plusieurs fois par jour. Puis je me repris, me trouvant particulièrement prétentieux. Au bout d’une demi-heure, désespéré, je me décidai à rentrer à l’hôtel. Peut-être y était-elle, en train de m’attendre en pleurant ma disparition. Je me levai du sable où j’étais assis et longeai le plage pour retournai à l’hôtel.Au cours de mon périple, du bruit et de la lumière attirèrent mon attention. Je m’approchai, voulant demander aux personnes présentes s’ils n’avaient pas vu ma femme. Un rire cristallin, un rire que j’aurais reconnu entre mille me cloua sur place. Ce rire, j’en étais sûr, appartenait à Maryse. Je me rapprochai doucement du lieu d’où venait le rire. Je ne sais pourquoi, je n’osai pas me dévoiler brusquement. Je m’avançai doucement et me dissimulai derrière des buissons. Ma femme était effectivement là, mais pas seule. Avec elle, deux blacks d’une quarantaine d’années. L’un d’eux était installé à une table et buvait tranquillement un verre, pendant que l’autre, sur les planches, dansait avec ma femme. Enfin, danser était un bien grand mot. Ils se frottaient plutôt l’un contre l’autre, lascivement. Ma femme semblait avoir perdu toute inhibition. Lorsqu’elle se retourna, dos à l’homme, je vis les pointes de ses seins tenter de percer le tissu de son top. Elle semblait bien excitée, un peu ivre. Derrière elle, l’homme empauma ses seins et elle cambra les reins, feulant sous la caresse.Bon sang, je ne pouvais pas laisser passer ça. J’allais sortir, leur casser la gueule à tous les deux, lui mettre une raclée, à elle et le ramener à l’hôtel. Ils allaient voir ce qu’ils allaient voir, tous ces salauds ! Pourtant, je ne bougeai pas. Ma lâcheté m’empêcha d’abord de faire un pas. Ils avaient l’air d’être beaucoup plus costauds que moi. Ensuite, mon corps eut une réaction bizarre, à laquelle je ne serai jamais attendu. Je me mis à bander. Voir ma femme se frotter à ce magnifique black me faisait bander. Pas possible. Ma femme allait me faire cocu, j’en étais sûr à présent, et ce, sous mes yeux, et cela me faisait bander. Quel dépravé je faisais.Là-bas, dans la lumière, ma femme faisait de nouveau face à l’homme. Elle noua ses bras autour de son cou et leva le visage vers lui. Répondant à cette invite, le black se pencha vers elle et leurs lèvres se joignirent. Un long baiser, torride, les unit. Dans le même temps, je vis les main de l’homme descendre le long de la colonne de ma femme, flatter les fesses, puis s’insinuer sous la jupe. Maryse ne réagit pas lorsque l’homme remonta le vêtement jusqu’à la taille, dévoilant son cul somptueux, à peine voilé per une culotte haute quasi transparente.Dans mon coin, je n’y tins plus. Je dégrafai mon pantalon, fit glisser mon shorty et empoignai ma bite tendue à craquer. Ensuite, je reportai mon regard vers eux.L’homme pelotait les fesses de ma femme et j’entendais celle-ci ronronner de plaisir. Ils s’embrasaient toujours. Alors, le black se détacha, passant de nouveau derrière elle. Il saisit les bords de son top et le remonta, dévoilant les seins de Maryse. Afin de l’aider, elle tendit les bras au-dessus de sa tête. Le black fit passer le vêtement et ma femme se retrouva seins nus. Je ne pouvais m’empêcher de contempler cette poitrine, aux gros tétons turgescents, appelant la caresse. D’ailleurs, l’homme ne s’y trompa pas, puisqu’il s’empara des pointes et titilla de ses doigts. Ma femme se tendit sous la caresse, et je vis sa main se diriger vers la taille du gars. C’est alors que je vis la bosse qui déformait le pantalon du black. Elle me semblait monstrueuse, beaucoup plus grosse que la mienne, en tout cas. L’homme cessa de se frotter à Maryse et vint s’assoir à la table, à côté de son camarade. Ma femme poussa une plainte de dépit et continua à onduler, seule, les seins nus et la jupe remontée, jusqu’à ce que l’un des deux blacks, l’interpelle :
 Alors, petite salope blanche ? Tu as envie de goûter de la queue noire ? Oh ! Oui, l’entendis-je répondre, d’une voix rauque. J’en veux !
J’en restai ébahi. Avec moi, au lit, elle faisait montre d’une réserve complète, voire d’un puritanisme complet. Et là, elle se lâchait. L’homme reprit :
 Dis-le ! Dis que tu veux de la bite noire ! Oh oui ! Je veux de la bite noire ! Je veux vous sucer la queue ! Tu n’es qu’une pute blanche ! Oui ! Oui ! Je suis une pute banche, qui veut de la queue noire ! Alors, approche ! … mets-toi à genoux ! Voilà ! Donne-moi ta main !
L’homme prit sa main et la posa sur sa braguette, la faisant aller de bas en haut sur sa queue tendue. Au bout d’un moment, il reprit :
 Allez, ma petite pute blanche, avant que l’on ne te baise, suce-nous !
Je vis les mains de ma femme descendre fébrilement la fermeture éclair, plonger dans l’ouverture et tenter maladroitement de sortit ce qu’elle tenait. N’y arrivant pas, elle dégrafa le pantalon et le fit glisser, ainsi que le slip, sur les cuisses de l’homme. Un bel engin lui sauta aussitôt aux yeux. Long d’une vingtaine de centimètres, peut-être plus, la queue se révélait aussi très épaisse, environ cinq centimètres de diamètre. Le gland avait l’air d’une grosse prune, prune que Maryse lécha un moment, avant de la prendre en bouche et de sucer la bite. Elle eut beau faire, elle ne put emboucher que la moitié de la hampe.A côté d’elle, l’autre black se déshabilla, lui aussi. Sa queue valait celle de son compère. Je ne pouvais détacher mon regard de ces lèvres, montant et descendant le long de cette colonne de chair qui lui déformait la bouche. Sa main droite se leva, tâtonna un moment puis s’empara de la queue de l’autre homme. Elle commença à le branler. Au bout de quelques instants, elle changea, branlant celui qu’elle suçait, suçant celui qu’elle branlait.Je n’en pouvais plus et je sentis la jouissance monter dans mes reins. Je lâchai ma bite, qui me semblait si petite, face à celles de ses deux amants. Trop tard. Sans que je le veuille, je sentis mon sexe palpiter et l’orgasme m’emporta. J’expulsai une quantité de sperme incroyable, comme jamais, et au moins à vingt centimètres de distance. A un moment, je crus même perdre connaissance. Lorsque je repris contenance, la situation avait changée.Les deux hommes s’étaient déshabillés et je voyais leur formidable pieu, ainsi que leurs grosses couilles. Leur peau noire luisaient sous la lumière, celle de leurs queues, mouillées par la salive d’Emie encore plus. L’un d’entre eux prit ma femme et l’étendit sur la table, faisant valser les verres. Lorsqu’elle fut en position, il s’agenouilla entre ses cuisses et s’empara de sa chatte. J’entendais ma femme gémir de plaisir :
 Oooooooh ! Ouuuuui ! C’est bon ! Bouffe-moi bien la chatte ! Rentre ta langue ! Ouuuuuui ! Comme ça ! C’est bonnnnnn ! Encooooore !
Je n’en revenais pas. Maryse, ma Maryse, si prude lors de nos relations, se lâchait avec ses amants. Ils devaient lui faire un sacré effet.A moi, cela m’en faisait. De la voir se tordre sous les coups de langue de l’homme, de l’entendre dire des insanités m’avait fait rebander. J’étais ébahi. Jamais encore cela ne m’était arrivé. Je ré empoignai ma queue, testant sa dureté. Je fus une nouvelle fois surpris.Là-bas, le deuxième homme, celui qui n’était pas occupé à la lécher, vint présenter sa queue à Maryse en lui disant :
 Allez, petite pute blanche, suce-moi !
Ma femme ne se fit pas prier, embouchant le gros boudin noir. Elle effectua quelques succions, mais s’arrêta, trop tendue vers ce qui se passait entre ses cuisses. Alors, l’homme lui empoigna la tête et commença à baiser sa bouche à grand coups de reins. J’entendais les borborygmes de ma femme, pendant qu’il la baisait en bouche, et cela ne faisait que m’exciter un peu plus :
 Urrrrgh ! Arrrrrgh ! T’aimes ça, salope de blanche ? T’aime te faire baiser la bouche par une grosse bite, hein ?  Arrrrrrgh ! Rooooh ! Qu’est-ce que tu dis, salope ? Articule !
Et il partit d’un grand éclat de rire, sans oublier de continuer ses coups de reins. Entre les cuisses de Maryse, l’homme se releva. Je le vis enfoncer deux doigts dans la chatte de ma femme, et, es sortant, les passer sur son land, afin de le lubrifier. Il s’avança et posa son gland à l’entrée de la chatte de ma femme. Puis, lentement, comme au ralenti, je le vis s’enfoncer en elle. Je retenais mon souffle, constatant la dilation de l’orifice de ma femme. Ensuite, l’homme commença de lents va et viens, s’enfonçant en elle jusqu’au plus profond, ressortant totalement puis réinvestissant la place asservie. Au bout d’un moment, les deux hommes échangèrent leur place et ma femme resta là, les cuisses grandes ouvertes. C’est alors que je vis sa chatte béante, dilatée par l’énorme queue qui l’avait prise. Ce fut au tour de l’autre de s’enfoncer en elle. Ce coup-ci, il la baisa plus violemment et je voyais ses seins ballotter sous les coups de bite. D’elle, j’entendais surtout les râles que laissaient passer la bite qu’elle suçait, ou plutôt, qui lui baisait la bouche.
 Urrrrgh ! Arrrrrgh ! Arrrrrrgh ! Rooooh ! Elle aime ça, la salope ! dit l’un d’eux en riant. Ouais, répondit l’autre. C’est une bonne pute ! Eh ! On change ? OK !
Et ils inversèrent les positions. Ils échangèrent encore deux fois, puis, celui qui la baisait déclara :
 Oh, petite pute blanche, je vais te remplir la chatte ! tu vas cracher du foutre par la moule ! Tiens, salope ! Prends ça ! Je jouiiiiiis !
Je vis, à ses coups de reins, qu’il se vidait dans le con de Maryse. Elle ne fit aucun geste pour le faire sortir. Pourtant, elle savait qu’il y avait un risque qu’elle puisse être enceinte, car elle ne prenait pas la pilule. Lorsque la bite sortit de sa chatte, je vis la semence de l’homme dégouliner de sa chatte sur la raie de ses fesses. Elle devait avoir reçu une bonne dose de foutre dans le vagin. L’autre homme la fit se retourner et l’enfila en levrette. Aussitôt, je l’entendis délirer :
 Oh, oui ! Baisez-moi ! Engrossez-moi ! Mettez-moi un polichinelle noir dans le tiroir ! Ce sera bien fait pour la gueule de mon cocu ! Oh ouuuuui ! Encooooore ! A fond ! fous-moi enceinte, salaaaauuud ! Ouuuuui ! Je jouiiiiiis ! Argggggggh !
Cette sortie me fit froid dans le dos et je débandai aussitôt. Ce n’était pas possible. Elle n’avait pu dire ça. Elle qui me répétait qu’elle ne voulait pas de gosse. Voilà qu’elle demandait à un parfait inconnu, de la mettre enceinte. D’ailleurs, ils avaient toutes les chances d’y parvenir, puisqu’ils n’avaient utilisé aucune protection, se vidant en abondance dans son vagin. Comment cela pouvait être possible ? Me rhabillant, je quittai l’endroit et retournai à l’hôtel. Seul, sur le lit, dans la chambre, je ressassai les évènements. Je ne pouvais nier avoir pris du plaisir à voir ma femme se faire baiser par ces deux noirs. Toutefois, elle avait brisé l’ambiance en parlant de se faire mettre enceinte. Pour moi, il n’était plus question de rester avec elle. Dès demain, nous aurions une explication et je la quitterais. Je tournai et me retournai dans le lit, pendant plusieurs heures, puis je finis par m’endormir. La porte de la chambre, s’ouvrant doucement, me réveilla. Etant tourné vers elle, je vis la silhouette de ma femme s’encadrer dans l’ouverture, puis le noir revint. Je ne fis pas un mouvement. Emile se dirigea vers la salle de bains et referma la porte derrière elle, avant d’allumer. Je profitai de son absence pour regarder l’heure. Quatre heures. Elle était donc restée avec eux, trois longues heures après mon départ. Lorsque je l’entendis rouvrir la porte, je me retournai et fit semblant de dormir. Elle s’allongea près de moi. Je sentis sa main se poser sur ma hanche, puis se retirer. Au bout d’un moment, j’entendis de petits bruits venant d’elle, que je reconnus comme des sanglots. J’aurais voulu la prendre dans mes bras et la consoler, mais je me souvins de ses paroles, et je restai coi. Elle pleurait encore lorsque je me rendormis.

à suivre
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