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Maryse, notre rencontre

Chapitre 1

Trash
D’accord c’est un rien truqué mais le bon score de Tatie Marcelle 2 me pousse à vous donner quelques lignes. Faites en bon usage. Je fais dans le luxe, ma douce Maryse.……
Les couleurs s’estompent dans la brume nocturne qui monte de la terre, l’espace semble se refermer comme les fleurs. J’ai quitté la petite ville de province de Tatie pour venir m’enterrer dans cette campagne.
L’ancien corps de ferme est vaste et disposé en L, bien rénové il respire la maison de vacances. A moins de cent mètres la forêt dresse un mur dense d’où quelques oiseaux montent en flèche pour fondre sur les labours d’après août.
Dans le pré de rez-gras, le soir accueille quelques chevreuils venus chercher de l’écorce ou de la pâture fraîche.
Près de l’étang, un peu plus loin, des canards prennent place pour la nuit et les grenouilles se mettent à chanter.
La nuit tombe sur le sol, Tatie est décédée depuis un mois et je me suis retiré ici pour reprendre mes marques.
Sur la pierre fraîche, au seuil de l’entrée, je suis assis, mon jean me tient chaud et ma chemisette laisse entrer le soir, je suis pieds nus, seul, sous une lune qui ne diffuse pas encore sa lumière.
De la forêt voisine les senteurs de la terre et de l’humus baignent, sans trop, l’atmosphère. Les buissons de thym et de romarin viennent épicer les senteurs de fin d‘été.
Au loin une voiture a du glisser au chemin des ‘ dormants ‘, j’ai entendu le crissement caractéristique des pneus sur les graviers qui bordent la route de campagne.
Du plus profond de moi je reprends mes dernières aventures et l’inutilité du monde lorsqu’un être cher le quitte me semble une évidence.
Le voisin rentre ses vaches et me salut de la main. Un peu plus tard, la petite des parisiens passe en vélo …
Je suis seul au monde et le monde est fou.
Je rentre dans la maison, les pieds au contact des carreaux froids du sol. Je pénètre dans le salon et prépare le feu pour la cheminée. Le petit bois, des branches de trois centimètres fines et sèches puis les bûches fendues du père ‘ Le Bois ‘.
Un journal froissé et tout ceci s’embrase.
Je contemple le feu.
Ici, il y a sûrement la télé et la radio mais je n’ai pas envie.
Le feu est trop chaud, je retourne prendre place dehors.
Je suis rentré dans la maison préparer mon repas, j’ai dîné, seul, en pleine méditation puis, je suis sorti écouter la nuit puis, je me suis assis dans mon BM pour écouter la radio.
Je me suis endormi.
Je me réveille vers 11 h du soir, je démarre ma voiture et me fais plaisir, vite sur les routes désertes de cette campagne. 120, 130 Km heure, un vrai kif.
Je rentre à minuit et demi, me couche à poil et ronfle jusqu’à six heures du mat.
Six heures, toujours nu, dans le jardin, frissonnant de ce matin d’automne.
Un lapin détalle à moins de cinq mètres puis quelques oiseaux viennent petit déjeuner et, enfin, une vache meugle pour sortir de l’étable lorsque le coq s’époumone.
Je rentre, m’acharne à allumer un feu de veuve et envisage ma journée.
Il y a des trucs que je n’ai jamais fait … Peut-être est-ce le moment?
Mon vieux vélo est toujours en état. Je pars, au petit matin, pour une ballade dans les chemins forestiers. Chemin faisant, je planque le vélo, me déshabille et part dans le sous bois.
Deux heures plus tard je reviens vers mon vélo.
Vers 11 h je pars au village, il n’y a rien sauf le bar. Je décalque deux demis et entame la discute avec deux bouseux du terroir.
J’ai du prendre ma dose de cambrousse pour dix ans …
Retour à la maison.
La grande bâtisse est toujours vide …
Il est 3 h de l’après midi lorsque le téléphone fixe sonne. Le maire du patelin sait que je suis dans le coin et ma réputation politique parisienne m’a visiblement précédé.
— ‘ Vous comprenez, je sais que vous souhaitez vous reposer mais notre modeste commune est inconnue des instances nationales … Si vous pouviez parler pour nous, ce serait un gros plus … Et puis vous avez sans doute des idées pour améliorer le quotidien de notre commune, j’ai lu les propositions que vous avez faites pour les législatives et les municipales, ça parle! … Mon travail me retient mais je peux vous déléguer quelqu’un … ‘
J’accepte, en imaginant qu’un adjoint ventru va venir me péter les couilles.
Une demi-heure plus tard une petite Peugeot se gare devant le portail, par la fenêtre je vois une femme, fine, brune, un haut à fines bretelles et une jupe d’été très gitane longue et colorée, en descendre et venir carillonner.
J’accueille, bien sur, c’est la troisième adjointe, elle se prénomme Maryse est joliment maquillée et ses pieds sont élégamment décorés d’un verni rouge très visible dans les sandales plates aérées.
Ben vla ! Je fais rentrer la petite qui doit avoir mon âge et l’installe dans le salon ou brûle toujours un reste de feu.
La conversation est surtout nourrie de la curiosité de Maryse. Faut dire que je connais de nombreux ténors d’un mouvement auquel elle n’appartient qu’intellectuellement comme beaucoup de non-inscrits ruraux ( de droite mais sans le dire ). Les yeux de mon interlocutrice brillent lorsque j’évoque des rencontres.
Elle m’explique qu’elle est admirative, qu’elle aimerait côtoyer ces personnages hors norme. Je lui propose une bière, c’est tout ce que j’ai, elle accepte et se relaxe me fixant en trempant ses lèvres légèrement ourlées délicatement de rouge à lèvres de rose.
Je la questionne sur le village, les pseudos intentions du maire et ce qu’elle attend de moi. Rapidement elle annonce que la discussion pourrait-être longue. Je propose que nous dînions en ville. Elle se lève, me considère un long instant puis:
— ‘ Et si nous dînions ici ? ‘.
Comme je suis d’accord elle part faire des provisions. Vingt minutes plus tard elle est là. En déballant ses courses elle m’informe qu’elle est divorcée, sans enfant et qu’elle demeure au beau milieu du village, à l’école, en qualité d’institutrice. Pour faire un peu d’humour je rétorque que j’ai beaucoup à apprendre.
En l’aidant à déballer, je la frôle un peu, effleure sa main, tente de ne laisser aucune équivoque en étant le moins lourd possible.
Je me suis retourné pour ajouter une bûche dans la cheminé, lorsque je me redresse, je sens sa présence derrière moi. Je fais tout doucement pour ne pas l’effaroucher et me tourne. Elle est nue, toute rouge.
Nous sommes bientôt soudés pour un baiser très appuyé, mes mains glissant sur sa peau douce, de la base du cou aux fesses.
— ‘ J’ai très envie Monsieur le Politique! ‘ C’était un souffle, une caresse de sa voix dans mon cou.
Nous sommes vite dans la chambre et je plonge entre ses cuisses ou un sexe velu et légèrement odorant se laisse titiller, gober, lécher, aspiré par ma bouche gourmande. Elle est abandonnée, couine doucement … Ses cuisses se serrent sur mes oreilles, elle se tend, vibre tressaute et gueule qu’elle est en train d’exploser. J’ai le museau inondé mais elle ne lâche rien et ma langue glisse comme pour nettoyer les ravages de l’orgasme …
— ‘ Ta langue sur mon bouton, maintenant, je t’en prie! ‘. Et elle repart fulgurant à plusieurs reprises avant d’ouvrir largement ses cuisses et comme je me redresse, de m’offrir un visage de femme repue aux yeux clos.
Elle m’invite à faire ce que je veux d’elle. Dans l’immédiat, dans l’état ou je suis, je l’enculerai volontiers à sec mais j’ai des goûts très particuliers. Je glisse au bout du lit et m’occupe de ses pieds. Ses pieds sont ravissants, trop aérés ils n’ont pas une odeur forte, je caresse, embrasse, lèche chaque orteil, masse les talons délicats en jetant un coup d’œil sur l’entrejambe détrempée ou ses doigts agiles s’activent pour lui offrir, après un long moment de caresses un voyage supplémentaire au pays de la jouissance.
— ‘ T’es trop, c’est trop bon, qu’est-ce que je suis bien. ‘
Il est temps que je me fasse plaisir, je me glisse sur elle et pénètre doucement son sexe trempé. Je suis bien, je me hâte avec lenteur pour savourer le contact de mon sexe avec les muqueuses du sien. Je regarde son visage un peu défait de ses pieds multiples et j’œuvre à des baisers profonds et amoureux qui font grimper mon désir.
Il est un temps ou il faut dire les choses : ‘ Je suis bien Maryse, j’ai une très forte envie de te faire des enfants, je voudrais jouir. ‘
— ‘ Te plaît, surprends-moi, éclate-toi, je suis trop bien ! ‘.
Qu’est-ce qui serait hors du commun? Qu’est-ce qui la propulserait au Nirvana? J’en sais foutre rien mais revenant à mes instincts, je tourne Maryse et la sodomise sans préambule.
— ‘ Putain, enculer une enseignante, je me venge de mes maîtresses ! ! ‘.— ‘ Dis-moi que t’as jamais sodomisé une de tes maîtresses enfoiré de facho ! ‘.— ‘ Bouges plus salope, je vais te faire le plein! ‘.
Putain je me vide en gueulant comme un âne.
On se repose, côte à côte, elle joue avec mon sexe devenu mou puis me demande: ‘ J’ai un fantasme et j’ai jamais osé demander à un de mes amants de l’assouvir … ‘.— ‘ C’est quoi ton trip ? ‘.— ‘ J’aimerais … Si t’es d’accord … Enfin si tu veux bien … ‘.— ‘ Quoi? ‘.— ‘ Que des mecs se masturbent pendant que je me branle dans une voiture fermée! ‘.— ‘ Tu connais des coins? ‘.— ‘ Non … et toi? ‘.— ‘ Oui, à Paris. ‘.— ‘ Tu serais d’accord? ‘.— ‘ Si tu me suce tout de suite … peut-être! ‘.
Maîtresse s’occupe de mon porte-plume sans rechigner, me fait monter jusqu’au point de non-retour et goûte la mignardise avec délectation puis …— ‘ Et maintenant? ‘— ‘ Tu bosses demain? ‘.— ‘ Non, pourquoi? ‘— ‘ T’as faim? ‘— ‘ Non plus … Tu m’inquiètes! ‘— ‘ Habille-toi, tu vas te faire juter dessus comme pas permis, la seule condition c’est que nous terminions la nuit ensemble!
Elle n’en revient pas.
— ‘ Tu vas réaliser mon fantasme? ‘.— ‘ Et d’autres, je te promets! ‘.
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