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Maryse, notre rencontre

Chapitre 2

Trash
Ma BM série 3 bastonne sur la route et nous sommes rapidement à Paris. Nous débarquons chez mon pote Doc.
Mon pote, Doc, c’est un type style Béru, énorme et un peu cradingue, son prénom c’est Charles, il bosse à l’Institut Médico-Légale. Quand on débarque il est déjà presque fait … la bouteille de Bourbon sans doute.
On se barre avec ma caisse jusqu’à Place Clichy … Pis, à pieds, le gros prend la rue vers la porte de Clichy, je suis. Là, il trouve son bonheur, un vieux travelo qui veut, pour 20 Euros, se faire tirer dans sa cave.
Le gros jubile, lui cloque deux billets de 20 et nous suivons l’espèce de roulure. Le trav est moulé dans une robe qui le boudine, ses bas sont filés, ses chaussures à talons son usées. La gueule de la conquête du gros est maquillée outrageusement et la perruque doit dater.
On entre dans un immeuble puis on descend vers les caves, la dernière à droite est le petit nid d’amour de notre pute. Un matelas par terre, des photos de femmes et de mecs à poils aux murs et une lampe de chevet qui éclaire le tout d’une lumière jaunâtre.
Le gros se déshabille, sa chérie se glisse hors de sa robe, le travlo a une toute petite bite au gland recouvert par un prépuce un peu long. Avec ses chaussures, ses bas ‘ Dim Up ‘ et son soutif vide il est pathétique le pédé.
Il se fout à quatre pattes sur le matelas, le cul en bombe, il est rasé du cul, des couilles et de la bite. Le gros bande comme un bourricot, il se positionne au cul de la pute et enfile une capote avec soin puis l’embroche d’un seul coup d’un seul. Elle gueule que ça fait mal, le gros s’en fout, il pistonne comme un dingue. Avec la charge de Bourbon il va peiner à jouir et son membre énorme explose la pauvre chérie qui pleure à chaudes larmes la tête sur ses bras en étouffant ses cris dans le matelas. Il dure le Béru, il défonce, il pilonne, il décule, ré-encule, il beugle qu’il va faire de ce puit à merde un cratère à faire pâlir les vulcanologues. Soudain le monstre se recule, enlève sa capote, gaule un bras de la chose dont la perruque est tombée, il lui met son chibre dans la gueule, me regarde et beugle qu’il va lui en faire boire des litres. Il pistonne la gueule du travlo comme il lui a pistonné le cul et fatalement la pauvre chérie a des haut-le-cœur et vomi sur l’innommable qui s’en fout puisqu’il jouit en s’enfonçant au plus profond de la gorge de sa victime.
‘ Tu vois Paulo, c’est ça qu’est bon! ‘.
Il taloche la pute et lui dit que c’est à mon tour. Moi, j’y tiens pas, je le fais savoir. Le gros dit qu’on en a pas pour nos sous.
Du coup, Babar lui pisse dessus et la pute s’effondre dans le vomi et la merde qui lui coule du fion. Le gros lui fait grâce du billet de 20 en trop.
Bon, c’est pas le tout ronchonne le mastodonte, la nuit fait que commencer.
Maryse est un peu tendue, le gros est impressionnant et parfois imprévisible. Et puis le spectacle était quand même chaud.
On reprend mon carrosse jusqu’à un endroit que je connaissais bien dans le temps, pas loin de la Porte Dauphine. Une fois là je demande à Maryse de se déshabiller et le gros déhotte, sort son chibre et commence à se branler. Une nuée de branleur arrive, Maryse se caresse en regardant la forêt de masturbateurs. Les jets de sperme giclent sur les vitres de ma bagnole tandis que ma douce prend son pied.

Elle est vautrée sur le siège passager à l’avant considérant les vitres maculées de jute. Un mec se pointe et vient lécher les vitres. Le gros l’alpague et le vire. Maryse descend de la voiture pour basculer le siège et le gros se case tant bien que mal dans mon bolide.
Maryse nous explique comment elle a pris son pied et l’enflure lui propose un autre plan hardcore.
Charles vient d’avoir une idée, il nous propose d’aller à la morgue pour, selon son expression, voir les nouveaux clients. Il a pas bossé pendant deux jours et ça doit lui manquer.
On déhotte direction la citée des macab.
En arrivant, sa majesté brandit une carte sorte de laisser passé. Pis nous vla dans les dédales de la maison ‘ scalpel ‘.
On entre dans une pièce ou il y a du monde mais pas bruyant. Le gros visionne les étiquettes accrochées au bout des orteils. Il fait froid, ça ne sent pas forcément mauvais. Il pénètre dans une autre salle, là ça pue l’enfer, il fait aussi froid et deux mecs sont en train de dépecer un corps.
Le gros les entreprend, il doit être important ou ancien, son ton est impératif et les kikis lui font des courbettes.
Il chuchote à l’oreille du plus vieux puis vient me rejoindre. Y’a du bon frangin, mon second m’a donné deux adresses à côté et une au frigo. Nous voilà repartis.
Charles contrôle de nouveau les étiquettes puis tombe en arrêt, ôte l’espèce de bâche qui recouvre le corps d’une femme de trente ans, maximum, raide et blanche, la poitrine opulente, le sexe fourni … Il jubile l’infernal, me demande si c’est pas beau tout ça ?! Puis il palpe le corps, fait une grimace en affirmant qu’elle est trop rigide.
Il continu son inspection et trouve autre chose. Là c’est moche, la fille est verdâtre, le visage tuméfié, les seins minuscules et la chatte lisse. Il annonce un beurk le pépère et recommence son manège jusqu’à trouver un truc qui lui plait. Il est en joie, pas plus de cinq heures après de décès, une gosse de vingt cinq ans, les seins menus mais fermes, le sexe ourlé de châtain. Il me dit de faire le guet, se dé-braguette et se masturbe sans autre forme de procès puis se vautre sur le cadavre et baise en forçant comme un âne. Il a du cracher son foutre, il se tourne vers Maryse puis me reluque et me demande si ça me dit. Pour la seconde fois cette nuit je réponds que non.
Alors on se casse, le gros s’est vidé les burnes et n’aspire plus qu’à roupiller.
Maryse est au bord du malaise. On droppe le mastard.
— ‘ C’est un gros dégueulasse ton copain ? ‘.— ‘ Tu voulais de l’extraordinaire non ? ‘
Nous voilà dans un hôtel porte d’Italie, je n’ais pas envie de voir Maryse chez moi.
Une fois dans la chambre elle se pose sur le lit et me raconte ses sentiments par rapport à notre soirée. Le travestit, la séance branlette / éjac, la morgue … Elle m’a catalogué sous la mention surhomme qui peut créer l’évènement.
Il est tard, nous n’avons plus vraiment envie de faire l’amour et nous abandonnons dans les bras de Morphée.
Au petit matin Maryse dort encore, je découvre délicatement son corps nu en tirant les draps. Elle est belle, j’ai une furieuse envie de lui faire l’amour mais il est cinq heure.
Je prend une douche et vais à la maison pour prendre quelques affaires puis au bureau pour constater que tout va bien. De retour à sept heure, je suis synchrone pour la voir se réveiller.
Elle est toute souriante et quémande un baiser.
Après le bisou, je décroche le téléphone et commande un petit dej en chambre. Maryse voudrait se laver, s’habiller … Je la dissuade. Elle veut se couvrir avant l’arrivé de notre petit déjeuner mais je lui impose de recevoir, que ce soit la serveuse ou le serveur, nue sur le lit. Du coup elle fait semblant de dormir et le mec qui rentre avec notre commande manque de se vautrer tellement il est scotché sur le sexe ouvert de ma maîtresse.
Dès après le déjeuner je la guide vers la fenêtre, ouvre et lui demande de se pencher un peu dehors. Ses seins sont sur le rebord et on voit l’immeuble d’en face ou un type lorgne sur ce qu’il peut voir. Il est pas déçu. Le visage de ma chérie a du se crisper, je suis rentré brutalement dans son anus et la pistonne sévère.
Maryse commente ce que je ne peux pas voir : ‘ Il est sorti sur son balcon et me reluque, il est en boxer et il a une de ses bosse devant … Whoahhhh ! ‘.— ‘ ça te plait ? ‘— ‘ Ouiiii … ‘.— ‘ Tire la langue comme si tu voulais lui sucer la queue. ‘.— ‘ Putain il a sorti sa queue, il se branle …’.
Je sors du cul de mon Amante, tire le bureau devant la fenêtre et la fait installer à quatre pattes dessus. Je m’agenouille derrière et reprend ma sodomie, Maryse regarde le type se branler et moi aussi. Le loulou ne tient plus, il jouit et Maryse explose en beuglant des jouis pour moi salaud, il va me remplir le cul … Le mec est explosé et moi j’explose en sentant les contraction du vagin sur mon sexe.
Une heure plus tard nous sommes dans la rue. Maryse m’explique qu’elle se sent dégueulasse de ne pas s’être changée et c’est comme ça que nous avons été chez un de mes copains pakistanais près de la Porte Saint Denis. Irfan montre une jolie collection à Maryse et lui propose de lui offrir les fringues si elle se montre nue. Elle me regarde mais sait déjà ce qu’elle va faire. Elle essaye les vêtements, le pakos se branle devant elle en la matant les yeux exorbités. Quand je lui dit qu’il peut toucher il frôle la chatte de ma belle en éjaculant en longues salves.
Maryse conclue : ‘ Pauvre Chéri ! ‘.
Puis on se casse avec trois robes, une jupe, une demi douzaine de hauts très mignons.
Elle a choisi ce qui se fait de plus classe pour aujourd’hui et nous voilà partis rue de la Boëtie.
Au siège du mouvement nous sommes reçus par une vieille copine et un attaché parlementaire de mes amis qui traîne Maryse pour lui présenter quelques personnes.Elle est aux anges la titoune.
Pour terminer la visite en apothéose je l’entraîne dans la salle de conférence, derrière le pupitre qu’utilise le patron, lui relève la robe et plante mon sexe dans son vagin. Je la baise comme un malade jusqu’à mon plaisir.
Puis nous partons pour rejoindre ‘ notre campagne ‘.
Dans l’auto elle semble songeuse.
— ‘ Tu es marié ? ‘— ‘ Pourquoi ? ‘— ‘ On s’entend bien non ? ‘— ‘ Oui et alors ? ‘— ‘ Rien … ! ‘
Je la sens venir gros comme un camion. Mais elle reste sans rien dire. Au village elle me demande de la déposer chez elle.
— ‘ C’est fini ? ‘— ‘ ça dépend de toi, je crois que j’aime ce que tu es et que du coup, je t’Aime … ‘— ‘ Et tu veux quoi ma douce ? ‘— ‘ Continuer un bout de chemin avec toi ? ‘.
Je la dépose devant l’école, elle m’embrasse sur la joue, au cas ou des gens nous verraient. Du coup je lui glisse : ‘ Je rentre à Paris, je serai là dans trois jours pour quelques pas sur le chemin … Une condition … Ne te laves pas pendant ces deux jours.
Elle m’offre un grand sourire puis, très coquine me demande de faire comme elle, de rester dans notre odeur et … et de rester chaste pendant cet intermède.
Je passe à la maison de campagne, ferme tout, dépose les clefs à un voisin puis conduit jusqu’à la ville la plus proche pour manger un bout avant de rentrer sur Paris.
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