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Maryvonne

Chapitre 2

Hétéro
résumé : en Mai 1970, Maryvonne, jeune fille de 18ans, dont le fiancé, Jean-Paul, effectue son service militaire, accepte d’aller au bal avec une copine. Là, elle se laisse séduire par un quadragénaire. Pour commencer, il l’emmène faire un câlin dans sa voiture, sur le parking.
Elle balbutie— Non..non, pas ce soir.je n’ai jamais.
— Tu n’as jamais.quoi ? Tu es vierge ?
— Oui.
— Ton fiancé ne t’a pas encore prise ?
— Non, çà a failli il y a quinze jours, mais çà ne s’est pas fait et de toutes façons j’avais mes règles..
La naïveté et la candeur de cette fille l’amusent.— Alors vous êtes allés jusqu’où avec lui ?
— On a déjà couché ensemble mais sans jamais aller jusqu’au bout, juste des caresses poussées.
— Avec les doigts ?
— Oui et .
— Tu l’as sucé ?
— Oui.

— Bien alors on va voir ce que tu sais faire.
Il ouvre sa braguette.— Sors là et occupe toi de moi.
Disant cela , d’une poigne de fer, il lui saisit la nuque et l’incline sur lui. C’est lui-même qui extirpe son sexe de son pantalon ; une verge épaisse, décalottée, au gland violacé.— Mets toi à genoux, oui, voilaaa, comme çà..
Il la place à genoux fesses contre le dossier , puis crochetant les bretelles de la combinaison, il la roule à la taille, dénudant les seins en poires. Il lui appuie de nouveau sur la nuque. Les lèvres de la jeune fille arrivent au contact de l’énorme mentule. La bouche s’ouvre et l’absorbe.. ses doigts passent sous le buste et s’emparent des tétons qui s’érigent très vite, provoquant des gémissements étouffés. Elle est obligée d’ouvrir en grand la bouche tant le membre est épais.Il rit :— Elle te plait ?Elle est plus grosse que celle de ton mec, je parie.
Comme elle ne répond pas, il lui tire les cheveux en arrière et lui fait redresser le visage.— Alors ? réponds ! Elle est plus grosse que celle de ton mec ?
Les yeux pleins de larmes, les lèvres luisantes de salive elle bredouille— Oui.ohhh
Il la fait plonger à nouveauPuis , la maintenant toujours à genoux, il lui rehausse la croupe et retrousse le fragile nylon jusqu’à la taille.lentement il fait glisser le slip, dénudant les fesses blanches.La bouche de Maryvonne va et vient autour du chibre tendu à l’extrêmeIl la complimente :— C’est bien, pour une débutante tu t’en tires déjà bien !
La main droite flatte la double mappemonde, les doigts visitent les fossettes qui couronnent les deux demi-lunes, puis descendent lentement dans le sillon qui les sépare ; au moment où ils parviennent à la corolle du puits des reins, Maryvonne tente de se cabrer mais la main gauche de Paulo lui appuie sur la nuque et l’empêche d’interrompre sa caresse buccale ; vaincue, elle laisse les doigts l’explorer ; la caresse diabolique de l’index sur le pourtours de son oillet puis sur le périnée lui fait perdre la tête.elle réussit cette fois à se redresser, hagarde , face à son tourmenteur ; leurs bouches se joignent à nouveau puis après lui avoir ôté son slip, il l’allonge sur la banquette et lui ouvre les cuisses ; la combinaison roulée à la taille, plus aucun rempart ne voile la féminité de la jeune fille ; malgré la semi obscurité, l’oil connaisseur apprécie l’épais triangle brun du pubis ; il lui relève les bras et constate que deux buissons tout aussi bruns tapissent les aisselles. Il ricane— Décidément j’aime bien les jolies espagnoles !
Il penche vers le compas des cuisses et sa bouche vient prendre possession du coquillage niché dans la jungle des poils ; très vite il la fait crier ; elle découvre les joies du cunnilingus et crispe ses doigts sur la nuque de l’homme. Plusieurs fois il la fait jouir, elle dégouline ; un court instant il se dit qu’il va la baiser là dans la voiture, mais il se ravise ; cette gamine mérite mieux que cela.après l’avoir fait presque défaillir , alors qu’elle gît couchée sur le flanc, il lui caresse doucement la hanche et lui dit— Rhabille toi, on va retourner au bal, après je vais te ramener si tu veux.
Docile , elle enfile ses vêtements et remet un peu d’ordre dans sa coiffure. Une fois sortis de la voiture, ils se dirigent vers le dancing ; là , Paulo la laisse passer aux toilettes pour se rafraîchir. Ses copains sont à la buvette et viennent aux nouvelles— Alors vieux, tu as conclu ?
— Non, mais çà devrait pas tarder ; je vais la ramener chez elle, mais avant çà, on va faire un crochet chez moi.
— Elle a l’air drôlement chaude dis donc !
— Çà oui ! Elle démarre au quart de tour, mais vous ne devinerez jamais.elle est encore pucelle !
— Eh ben dis donc.tu vas t’amuser !
— Oui, j’espère bien, elle m’a commencé une pipe dans la bagnole ; elle a encore des progrès à faire, c’est pour çà que j’aime mieux l’entreprendre dans un plumard .Elle habite à R. chez sa sour, je la ramènerai après.
Disant cela il lorgne vers la table de Maryvonne. Celle-ci est revenue auprès de sa copine et semble en grande discussion avec elle.Tout à l’heure, après être elle-même sortie en compagnie de son amoureux, Martine a cherché un bon moment Maryvonne ; pas pour lui faire la morale, mais pour lui expliquer qu’elle souhaitait justement la ramener le plus tôt possible , ayant elle-même un projet coquin avec son flirt.Maryvonne a avancé timidement :
— ,Le.l’homme avec qui j’ai dansé.il me propose de me ramener, alors si çà t’arrange.
Martine lui dit à voix basse :— Moi je vais passer à la casserole, mais je crois que je vais pas être la seule !
— Tais toi.
— Eh.tu crois que j’ai pas remarqué quand tu es sortie tout à l’heure ? J’étais avec mon copain dans sa bagnole, vous êtes passés tout près de nous, il t’a roulé des sacrés patins ! Remarque il est plutôt bel homme et puis un petit coup comme çà , en passant, çà peut pas faire de mal ! Maryvonne n’ose pas dire à sa copine qu’elle est encore vierge, de peur d’être ridicule.Elle hasarde :— Tu vas coucher chez ton copain ?
— Oui.on va chez lui ; il m’a déjà emmenée une fois ; c’était pas mal.Dis, tu me raconteras comment c’était avec le tien.
Elle s’esclaffe et lui fait la bise.
    - Vas-y.si tu veux être rentrée chez ta sour avant qu’il fasse grand jour ! Là dessus, elle part rejoindre son copain,laissant Maryvonne seule à sa table.L’orchestre entame un slow et le garçon boutonneux revient à la charge, invitant Maryvonne à danser. Elle décline l’invitation en disant :
    - C’est déjà promis. »Paulo qui depuis le bar a suivi la scène, boit du petit lait. Il se rengorge auprès de ses deux compagnons :
    - Les gars, si je veux manger de l’oie blanche ce soir, c’est le moment que j’y aille ! Une petite danse et je raccompagne la Maryvonne. »
Il tape rapidement sur l’épaule de ses comparses et se dirige vers la petite brune. Sans se donner la peine d’aller jusqu’à elle, il lui adresse un petit geste du doigt, signifiant qu’elle doit le rejoindre sur la piste. Elle se lève et le rejoint. Tout de suite elle se blottit dans ses bras ; sa main droite à lui descend sur la croupe de la jeune fille, tandis qu’il se penche sur son visage ; leurs bouches se soudent ; heureusement d’autres couples en sont au même stade de flirt qu’eux car la scène est plus que torride. Le slow se termine, il murmure
— On y va ?Je te ramène, va chercher ton sac et ton gilet , je t’attends.

C’est dit d’un ton sans réplique ; elle se rend au vestiaire pour y récupérer ses affaires ; il l’attend et l’entraîne sur le parking. Galamment il lui ouvre la portière avant et elle s’installe ; il prend place au volant mais avant de démarrer ,il se penche sur sa proie ; pendant qu’il lui baise goulûment la bouche, il déboutonne à nouveau le corsage, ses doigts habiles passent sous le nylon de la combinaison et viennent caresser savamment les seins dont les bouts se durcissent. Enfin l’auto démarre ; ils sortent du parking. Paulo roule doucement ; la voiture prend la route de R.il conduit de la main gauche, la droite occupée à caresser sa passagère qui fait semblant de somnoler, le visage tourné vers le côté droit.Elle ne dort pas, bouleversée par ce qui est en train de lui arriver ; c’est si soudain, cet homme qu’elle ne connaissait pas il y a trois heures, cet homme qui en effet pourrait être son père, cet homme l’emmène, il la domine et elle aime çà.lorsque la voiture tourne à gauche à la sortie de Besançon, elle ne proteste même pas et lorsqu’elle s’arrête devant un pavillon dans une rue calme et que Paulo lui ouvre la porte pour qu’elle descende, elle descend.Elle lui demande simplement :— Vous vivez seul ?
— Oui, j’ai mes habitudes comme çà, je suis divorcé et mes fils sont autonomes ; j’ai justemes potes qui viennent squatter de temps en temps.
Il sent qu’à ces mots elle frémit et la rassure :— T’inquiète pas, ce soir, ils sont de sortie pour la nuit complète, ils savent qu’il ne faudra pas me déranger.
Il fait entrer Maryvonne dans la cour ; la porte d’entrée donne sur une salle de séjour avec un canapé et des grands fauteuils.Il allume une lampe d’ambiance et après avoir verrouillé la porte, se tourne vers elle.
— Viens.
Elle semble empruntée, son sac à la main son gilet sur les épaules. Il le lui enlève et la prend dans ses bras. Pour la énième fois leurs bouches se joignent. Elle succombe rapidement et noue ses mains sur la nuque de Paulo, se laissant déshabiller sans résistance. Il prend son temps pour lui ôter son corsage, puis sa jupe, sa combinette ; elle n’a plus que son slip et ses nu-pieds à talons. Il la pousse doucement vers la pièce voisine, c’est une chambre avec un grand lit. Il allume une lampe de chevet, s’écarte un moment d’elle et la contemple, appréciant les épaules bien dessinées, les seins pas très gros mais déjà lourds, avec de larges aréoles, la cuvette du nombril, le ventre un peu rebondi, les cuisses fuselées, les genoux bien polis, les mollets galbés et les fines attaches des chevilles. Il la fait se tourner et émet un sifflement dont elle devine que c’est à cause de son derrière.Il admire en effet le contraste entre la croupe joufflue et l’étroitesse de la taille. Elle ferme les yeux ; elle devine aux froissements de tissu qu’il se déshabille ; puis elle le sent contre elle.Elle repense à la réflexion de Martine tout à l’heure « je vais passer à la casserole », elle aussi va y passer, la virilité chaude et tendue s’appuie contre ses reins.Les mains de l’homme font glisser son slip un peu brusquement, au point de craquer l’élastique de la taille ; elle lève un pied puis l’autre pour qu’il l’en débarrasse. Il conserve un instant le fragile sous-vêtement en main, le porte à ses narines, émet un murmure approbateur
— Hmm, j’aime ton odeurElle est horriblement gênée.Toujours plaqué contre son dos, il lui ramène le visage en arrière pour un nouveau baiser. La langue visite sa bouche, les mains remontent des hanches jusqu’à la poitrine, pétrissant les seins, étirant les bouts, elle cambre ses reins contre l’homme. Prestement il ouvre le lit et la couche, il s’allonge contre elle, la place sur le dos et entame une savante découverte de son corps. La bouche de Paulo parcourt les seins, descend sur le nombril, remonte puis redescend plus bas ; au moment où la langue, se frayant un chemin dans la végétation luxuriante du pubis, pénètre dans la brèche odorante et atteint la crête sensible du clitoris, elle hurle
    - Ohhhh. Ouiii... .Ouiii Il la dévore un long moment, mêlant salive et cyprine et lorsque la sentant prête il lui demande si elle se donne, elle répond     - Ouiii, prenez moi !
Il se hisse sur elle et se guide d’une main ; elle sent le contact du gland contre ses lèvres intimes, puis l’intromission.Le membre est terriblement épais, mais l’homme sait s’y prendre ; il force en douceur et elle sent un bref instant une sensation de déchirure, puis c’est comme si elle s’ouvrait tel un fruit bien mûr. Ça y est, elle est femme ; le membre s’introduit en elle, comme s’il mesurait des mètres et des mètres. La bouche de l’homme baise ses yeux, son nez, sa bouche, elle pleure et il goûte le sel de ses larmes. En bas, dans son ventre, il bouge, il se retire et elle croit que c’est déjà fini, mais il replonge, cette fois un peu plus fort et elle crie, bouche contre bouche ; il lui parle affectueusement, il l’appelle « petit ventre », il dit qu’il aime sa chaleur, sa douceur, il commence à la pilonner et elle halète. Pendant un long moment, il va et vient dans le ventre offert, il écarte les cuisses de la fille et les remonte ; elle sent qu’elle dégouline et effarée murmure :
    - On va tout salir le drap. Il s’interrompt un bref instant et rit :
    - C’est pas grave, il y a une machine à laver !
Il plonge à nouveau, la faisant crier à chaque fois que son gland cogne contre le col de la matrice.Il la prend ainsi durant de longues minutes, d’abord doucement, ayant soin de bien s’enfoncer en elle, sans la brusquer, modulant la puissance de ses coups de reins selon le comportement de la jeune fille, attentif à ses gémissements. Au bord de la pâmoison, elle relève ses cuisses contre les flancs de l’homme. Celui-ci décide alors d’augmenter la cadence et ses allées et venues dans le ventre en fusion s’accélèrent ; maintenant, c’est elle qui attire son visage contre le sien, qui dévore sa bouche. Dans un sursaut de lucidité, elle le supplie de faire attention, elle lui dit sa peur de tomber enceinte ; elle est juste dans sa période d’ovulation. Il la rassure :
    - Ne t’en fais pas ma chérie, on ne va pas prendre de risque.Laisse-toi aller, je sais m’y prendre. Il reprend de plus belle son pilonnage ; cette fois elle croise ses chevilles sur les reins de son amant et il s’enfonce de toute sa longueur dans le ventre écartelé ; il lui murmure :
— C’est dans ta bouche que je veux venir.
— Oui.Ouiii, venez ..je suis à vous.
Il se retire de l’écrin marécageux et s’allonge ; du sang macule la verge et sans scrupule, il s’empare de la petite culotte rose pour s’essuyer ; alors qu’elle ouvre la bouche pour protester, il lui prend d’autorité la nuque et l’oblige à se pencher sur sa virilité dressée.Elle absorbe le gland épais tandis qu’il lui caresse les cheveux, soucieux de ne pas trop la brusquer. Elle s’applique et le pénis s’enfonce de plus en plus loin dans sa bouche. Paulo attire les corps de la jeune fille tout contre lui et pendant que sa main gauche ébouriffe les cheveux bouclés, sa main droite caresse les reins outrageusement cambrés par la position qu’il lui a fait prendre ; la faible lumière émanant de la lampe de chevet accentue les courbes de la croupe ainsi que le profond sillon qui sépare les deux hémisphères. Elle suce avec application, ses doigts fins enserrent la base du membre ; alors qu’elle se dit qu’il va capituler comme l’a fait Jean-Paul, il y a quinze jours, il interrompt la fellation et se hisse à genoux sur le lit, il se place derrière elle et se guidant d’une main, il la pénètre à nouveau. La position diffère et la percussion du gland contre son utérus est plus violente. Elle crie, mais il ne s’en émeut pas et commence de la marteler en cadence, sortant presque entièrement du vagin pour replonger tout au fond.
— Tu la sens ? Tu la sens bien ?
— Ouii, ohh doucement.
— Tu es très jolie, hum quelles belles fesses !
Disant cela il pétrit les hémisphères laiteux.Bien vite elle connaît un nouvel orgasme et il a toutes les peines du monde à se contrôler.Plusieurs fois il interrompt son va et vient et essaie de penser à autre chose, réussissant à ne pas se libérer dans la chaleur du ventre. Il se retire, arrachant un cri à sa victime et se penche derrière la croupe évasée. Ses dents mordent dans la pulpe des fesses, sa langue descend dans le sillon, parcourt rapidement le cratère brun, le périnée, pour atteindre la vulve.Sans cesser son exploration buccale, il s’allonge à nouveau et attire sa proie sur lui, à l’envers.Elle comprend ce qu’il veut et le reprend dans sa bouche.Il la dévore pendant qu’elle le suce ; elle ruisselle et il déguste le miel qui s’écoule, s’interrompant un court instant pour la questionner :
— C’est la première fois que tu fais un 69 ?
— Oui.C’est la première fois, tout ce que vous me faites faire.C’est la premièrefois.C’est trop... ohh ouiii
Elle le reprend dans sa bouche ; derrière, il la dévore, alternant les succions dans le con et le cul.Elle sent la hampe durcir dans sa bouche et devine que cette fois l’homme va se rendre ; elle redoute le moment de la salve mais la langue diabolique qui la fouille la rend folle et elle reçoit le torrent crémeux au moment même où elle a l’impression que son ventre se vide.Elle voudrait se relever, échapper à cette invasion douçâtre, mais c’est plus fort qu’elle, elle avale, tout en continuant sa succion, au paroxysme de la jouissance, elle caresse les bourses de Paulo pendant qu’elle extrait la dernière goutte, le faisant crier tout comme elle vient de crier elle-même..Ils restent un long moment immobiles, puis elle abandonne sa position pour se blottir dans ses bras, se laissant caresser les flancs, les fesses. C’est le froid qui la fait réagir ainsi qu’un besoin pressant.Elle lui demande où sont les toilettes et s’y rend, toute nue, sous le regard connaisseur de son amant.De retour dans la chambre, lui offrant cette fois de face le spectacle de sa nudité, elle s’arrête au pied du lit :
— Il est presque deux heures, il va falloir que je rentre.Elle baisse les yeux, consciente du regard scrutateur que l’homme promène sur elle ; allongé nu sur le lit, sa virilité encore tendue il lui dit :
— Oui, je vais te ramener chez ta sour, mais viens encore une minute ici... Allez, approche ! Comme elle ne réagit pas assez vite à son goût, il se projète hors du lit et l’oblige à s’y étendre à nouveau ; elle est à plat ventre, il se penche sur la croupe laiteuse.
La bouche experte parcourt à nouveau le corps de Maryvonne, les lèvres parsèment de petits baisers la colonne vertébrale, descendent au creux des reins, suivent le profond sillon des fesses, l’entrouvrent, descendent encore. Les mains viennent écarter les demi-lunes ; malgré les protestations de la jeune fille, la langue descend encore, atteint le cratère mauve, l’humecte ; elle sent la salive couler en elle, sur elle.Elle proteste encore, mais plus faiblement. La langue pénètre dans le fondement qui se dilate ; éperdue, honteuse, Maryvonne crispe ses doigts dans l’oreiller ; Paulo la dévore ainsi plusieurs minutes, puis d’une savante reptation, il se hisse contre elle, ses doigts remontent dans le sillon, le majeur investit doucement le cratère liquéfié.Elle gémit :
— Oh... non, pas çà, non..
Mais l’homme n’en a cure, il pousse son avantage ; le doigt s’enfonce , la faisant se cambrer.
— Hm, on dirait que tu aimes çà !
— Arrêtez.Non.Non, je n’ai jamais..
— Oui, je sais, tu ne connais pas grand’chose, justement, tu es ici pour apprendre.
Il se penche sur elle, lui dépose des baisers sur les fesses, sa bouche remonte sur les hémisphères jumeaux, puis le long du dos ; la peau de la jeune fille se couvre de chair de poule ; il la mord doucement, là où elle est si potelée. L’alternance de baisers et de morsures se propage sur les épaules, se concentre sur la nuque. Plus bas, le doigt a repris son forage, il s’enfonce presque avec facilité dans l’anneau brun qui se distend peu à peu. De l’autre main, il lui maintient le buste plaqué sur le lit ; le doigt se dégage du fondement et il l’humecte de salive, goûtant au passage la saveur un peu forte des entrailles de la gamine.Il se hisse sur elle, elle supplie une dernière fois, mais intraitable, il guide son membre dans le canyon ; le mufle appuie contre les fronces bistre ; elle crie au moment où il force, elle hurle, mais rien n’y fait ; il s’enfonce dans le sphincter martyrisé.Visage enfoui dans l’oreiller, la petite brune geint
— Oh, non, non, c’est trop .. Arrêtez, ! J’ai mal. .Oh.,Non.
En pleurs, elle en appelle à Dieu, à sa mère, elle supplie son tourmenteur, elle lui dit qu’il va la déchirer.Pour toute réponse, il lui redresse le buste en arrière, l’oblige à tourner la tête, sa bouche s’empare de la sienne après qu’il lui a murmuré
— Mais non, ma chérie, tu vas voir, tu vas aimer, tu es faite pour ça !
Et d’ajouter avec un certain cynisme :
— En plus, de ce côté-là, ça ne laisse pas de preuves, tu pourras toujours dire à ton    amoureux que tu lui as réservé ton dernier pucelage.
Il rigole doucement et l’humiliation l’emporte chez la jeune fille ; elle se cabre avec une énergie qu’il n’attendait pas et parvient à le désarçonner. Son membre ressort du sphincter à peine investi, avec un bruit douteux. Elle se redresse, hagarde, les yeux étincelants, sans se soucier de sa nudité.
— Ramenez- moi chez moi , non, laissez- moi, je vais bien me débrouiller pour rentrer, en stop !
Pas fou, il comprend la situation et se dit qu’il n’a pas intérêt à envenimer les chosesIl attrape son pantalon et l’enfile tandis que Maryvonne se rhabille en silence. Elle se rend seulement compte qu’elle a conservé ses nu-pieds durant toute leur étreinte. Elle enfile sa combinette, son slip souillé à l’élastique déchiré, sa jupe, son corsage et son gilet et passe son sac en bandoulière.
— Pas de panique, petite, je vais te ramener chez toi
Le trajet du retour est silencieux ; elle ne dit mot, il lui demande si elle dort.
— Non, je ne pense pas pouvoir dormir
Il rit doucement
— Tu as des remords ?— Oui.— Tu veux qu’on se revoie ?— Je...je ne sais pas
Il sourit intérieurement « si elle dit ça c’est que tout n’est pas perdu »Il s’y connaît en femmes, le Paulo !
La DS 21 arrive à l’entrée du village ; il lui demande où il doit la déposer ; elle hésite, puis à contrecour, elle indique le commerce d’épicerie, lieu de résidence de sa sour ; elle croit utile de lui dire — Ne laissez pas le moteur tourner devant la porte.
— T’en fais pas, petite, on va s’arrêter avant
Il arrête la voiture cent mètres avant l’épicerie, se penche sur elle ; la bouche de Maryvonne est odorante de leurs baisers, mais il parvient tout de même à en forcer le passage ; il réalise alors que lui-même doit être porteur d’arômes très forts car elle le repousse juste au moment où sa main descend sur le corsage de la jeune fille.
— Non, nonnn.. Laissez- moi, je dois rentrer
Il n’insiste pas
— Bye, petite, si tu veux qu’on se revoie, tu sais où j’habite ; mon nom est Parent , Paul Parent, mon téléphone est dans l’annuaire.
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