Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 312 J'aime
  • 4 Commentaires

Massage inattendu

Chapitre 2

Lesbienne
Ce matin là, paressant au lit, je contemplai Charles occupé à se raser dans la salle de bains contigüe à notre chambre. Comme toujours il n’avait pas fermé la porte et j’avais une jolie vue sur ses fesses dorées que je voyais frémir à chacun de ses gestes. J’en fus troublée.
Cela faisait exactement trois mois que nous n’avions pas fait l’amour et je ne comprenais pas ce qui se passait. J’avais plusieurs fois tenté de réveiller ses ardeurs avec quelques baisers sur son sexe flétri, sans succès ! Je n’étais pas dans de meilleures dispositions car lorsqu’il avait tenté trois jours auparavant de plonger la tête entre mes cuisses je m’étais fermée comme une huitre !
Mince, qu’est-ce qui nous arrivait ? On aimait pourtant ça, avant ? Avant quoi ? Impossible de savoir ce qui avait flétri notre libido. Il me vint une idée qui me fit dresser sur les coudes : et si nous allions nous faire masser, côte à côte ? J’étais subitement convaincue, sans trop savoir pourquoi, que voir Charles livré aux mains d’une autre, m’émoustillerait. Bien sûr je repensai à Letitia et à son massage sulfureux. Charles n’apprécierait peut-être pas qu’elle renouvelât sa prestation. Je devais donc demander une autre masseuse et fixait mon choix sur Gaelle qui m’avait, plusieurs fois déjà, chouchoutée sans débordements. Je tendis la main vers mon smartphone.
— Qu’est-ce que tu fais ? me questionna Charles en entrant dans la chambre.— J’ai envie qu’on aille se faire masser, ensemble, côte à côte ?
Il leva un sourcil étonné, et j’affichai une moue qui le fit sourire.
— Ça va être super tu verras.— Ok.
Je m’attendais à davantage de réticences de sa part car il n’était pas friand des massages. Mais peut-être pensait-il lui aussi que cette récréation pourrait-être bénéfique à notre couple ? Je sentis soudain une pointe de jalousie en réalisant que son acceptation prompte s’expliquait, plus prosaïquement, par l’agréable perspective d’être papouillé par une autre. Je soupirai puis réservai avant d’annoncer joyeusement à Charles :
— Nous avons rendez-vous dans une heure !
Une fois sur place, je lui proposai un petit tour dans le jacuzzi. Charles adora, et lorsque l’heure d’en sortir sonna, j’eus du mal à l’en extraire. Moins de cinq minutes plus tard, Anaïs, sa masseuse, qui me parut un peu trop jeune et surtout un peu trop belle, m’informait que Gaelle était indisponible et qu’elle serait remplacée par Letitia. Mince ! Je ne pouvais quand même pas planter Charles et m’enfuir en courant. Je soupirai : Alea jacta est ! J’entrai donc dans la salle à la suite de Charles. C’était une grande pièce aux murs de bois hérissés de plantes vertes. Sur une estrade, une fontaine, couleur d’albâtre, coulait en un doux murmure apaisant. J’invitai Charles à troquer son maillot contre un string en papier et j’en fis de même. Lorsqu’il s’allongea, j’eus un picotement dans le ventre en pensant aux regards qu’Anais poserait bientôt sur ses fesses nues. Je m’installai à mon tour, et contrairement à mon habitude, je ne me pressai pas d’entamer la conversation avec Letitia. Je fermai simplement les yeux, impatiente de sentir ses mains sur ma peau. Je connaissais leur cheminement à venir, sur mes épaules, mes flancs, mes cuisses, et j’étais impatiente de les sentir sur mes pieds. C’était chez moi une zone puissamment érogène que Charles négligeait. Je m’abandonnai alors, comme toujours, mais je dressai l’oreille en entendant le souffle fort de Charles. Je tournai la tête.
Anais enduisait ses reins, ses fesses et ses cuisses, d’huile chaude et je frissonnai, incapable de faire la part entre excitation et jalousie. Je refermai promptement les yeux en sentant la caresse sur la peau sensible de la face interne de mes cuisses puis je sursautai lorsque Letitia déchira les lanières de mon string en papier. Elle me calma d’une tape sur la fesse. Je savais ce qui allait arriver et je trouvai étrange qu’elle ne se sentît pas gênée par la présence de Charles. Ou alors, les deux masseuses étaient-elles de connivence ? Ce qui signifierait qu’Anais allait aussi…
Je ne pus poursuivre le fil de mes pensées car les doigts de Letitia venaient de se poser sur mon clitoris. Je me mordis la langue pour étouffer un gémissement de plaisir. Elle ne s’attarda pas, glissa sur mes lèvres humides puis remonta sur mes reins.
Lorsque j’ouvris à nouveau les yeux, Anais massait les cuisses de Charles et je ne pouvais voir jusqu’où remontaient ses doigts. Effleuraient-ils ses bourses ? Bandait-il, sous ses caresses ? Impossible de savoir. Lorsque je me retournai, Charles était déjà sur le dos. Je n’eus pas le loisir de l’observer longuement car les mains de Letitia venaient de se poser sur mes seins, et lorsqu’elle pinça mes tétons je sursautai. Elle en profita pour s’emparer de ma bouche et je ne lui refusai pas ma langue. Son baiser fut long, chaud et savoureux. Je crois que j’en avais envie ! Lorsque je tournai la tête, Charles me regardait. Mon Dieu, il nous avait vues ! Je lui offris un sourire puis je serrai dans mes paumes, les bords de la serviette qui recouvrait la table en sentant les doigts de Letitia fouiller ma fine toison. Elle frôla mon clitoris puis s’enfonça dans ma chatte, concentrant ses caresses sur mon point « G » qu’elle n’abandonna pas en posant un doigt sur mon bouton d’amour.
Lorsque ses mouvements s’intensifièrent je ramenai un bras sur mon visage et me mordis le poignet. Je parvins toutefois à jeter un regard à Charles. Les mains d’Anais glissaient sur le haut de ses cuisses. Il me sembla que ses pouces effleuraient son sexe. Elle me bouchait la vue mais je ne vis ses mains ni monter, ni descendre. Elles restaient au niveau du pubis, et elles bougeaient ! Je fus alors convaincue qu’elle le masturbait et je sentis la jalousie m’hérisser les cheveux. Cela ne dura pas car lorsque Letitia accéléra ses mouvements, j’explosai dans un cri qu’il me fut impossible de retenir.
Lorsqu’enfin, je repris mes esprits, les filles avaient disparu. Charles était toujours sur le dos et je portai le regard sur son string. Rien ! Je descendis de la table en même temps que lui et je lui proposai de nous diriger jusqu’à la salle de détente où nous sirotâmes en silence un thé parfumé. Il me regardait l’oeil rieur et j’acquis la certitude qu’il avait compris tout ce qui c’était passé avec Letitia. J’avais, au creux du ventre, quelques réminiscences de mon plaisir qui mouillaient encore ma chatte. Mais pas seulement : l’idée qu’Anais ait eu la queue de Charles dans la main me piquait d’excitation. Je sentis mon visage s’empourprer et je ne tins plus. J’attrapai Charles par la main et je l’entrainai, presque en courant, au vestiaire dans lequel nous avions laissé nos habits. Je refermai la porte d’un geste brusque et je me jetai sur son peignoir.
Avant de refermer les lèvres autour de l’objet de mon désir, je lançai :
— Elle t’a masturbé, c’est ça ? Puis je gobai son gland sans attendre la réponse, et en quelques secondes la tige de mon homme devint dur comme l’acier.
Je crois bien que ce jour là, je lui ai fait la plus belle pipe de ma vie !Sur le chemin du retour, campé derrière le volant Charles déclara, sourire aux lèvres :
— Je sais maintenant pourquoi tu viens si souvent.
Je ne répondis pas et m’étonnai qu’il ne prît pas le chemin de la maison. Il m’informa qu’il venait, à l’instant, de décider une petite escapade dans une auberge que nous appréciions tous deux et où nous nous régalâmes, comme toujours. Les oreilles un peu chauffées par le Chardonay, je remontai dans la voiture bien décidée à m’assoupir jusqu’à la maison. Mais Charles ne rejoignit pas la grand-route ; il bifurqua en direction du lac puis stoppa en bordure de la plage déserte.
— Viens !
Je le rejoignis devant la voiture, et là, d’un geste brusque il me bascula sur le capot, m’arracha ma fine culotte, et me pénétra sans préambule. La bestialité de son assaut m’incendia en quelques secondes, et je libérai tous les cris que je n’avais pu livrer sous les mains câlines de Letitia. Je jouis en moins de cinq minutes et j’attendis qu’il me rejoigne dans mon plaisir. Qu’il m’inonde de sa semence. Mais il me retourna brutalement et me prit les fesses sans ménagement. C’était comme s’il me violait, comme si j’étais dans l’impossibilité de lui échapper. Mais, même si je grimaçais sous la douleur, je n’en avais aucune envie. J’étais assoiffée de sexe comme jamais, et la brusquerie de Charles me comblait. Je n’avais jamais senti autant de liqueur napper mes cuisses et il me semblait que chaque coup de boutoir augmentait le débit de la fontaine. Je voulais qu’il me laboure, qu’il me défonce, et que mes hurlements s’entendissent jusqu’à l’auberge.
Lorsque, percevant un bruissement, j’ouvris les yeux, je vis trois hommes qui nous observaient, mais j’étais incapable de réagir. Je voulais juste que Charles me sodomise encore et encore, même si je sentais que les frottements de sa bite me brûlaient l’anus. Il ne m’avait jamais prise avec une telle sauvagerie. Et c’était bon ! Mon coeur s’affolait et, sur ma peau, s’alternaient sans fin la chaleur et la glace. La queue de Charles, sans relâche délogeait de mes entrailles des sensations et des émotions inconnues qui irradiaient dans mon corps et explosaient dans ma tête en un feu d’artifice multicolore et je ne me retenais plus de hurler mon plaisir dans un imbroglio de mots cochons et de cris suraigus que je lançais au vent de mon plaisir.
Soudain je sentis le liquide chaud se répandre dans mes fesses et Charles cria :
— Aller, jouis, salope, jouis !
L’ordre déclencha mon plaisir, et je connus mon premier orgasme anal, d’une intensité inouïe.Lorsque Charles se retira, je me laissai glisser jusqu’au sol et il dut me serrer dans ses bras pour stopper mes tremblements. Lorsque je fus calmée, il me saisit par la main et m’entraina jusqu’à la plage où les hommes nous suivirent. Je le regardai, inquiète.
— Tu n’as rien à craindre, ils sont juste là pour mater, me rassura-t-il. Et tu pourrais encore les contenter en te baignant dans le lac.— Nue ?— Oui, j’aimerais beaucoup, ajouta-t-il en déposant un baiser sur mes lèvres.
Lorsque je fus en tenue d’Eve, émoustillée par les paires d’yeux qui m’observaient, j’entrai lentement dans l’eau où je m’ébrouai une dizaine de minutes, près du rivage, prenant soin de me redresser régulièrement pour satisfaire mes admirateurs. C’était la première fois que je m’exhibais ainsi, et ça me plaisait. Lorsque nous reprîmes la route, je caressai la nuque de Charles et lui demandai, une nouvelle fois :
— Elle t’a branlé, c’est ça ?
Il tourna son beau visage vers moi pour répondre :
— Ça, ma chérie, je crains que tu ne le saches jamais.— Salaud ! répliquai-je en posant la tête sur son épaule.
Diffuse en direct !
Regarder son live