Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 33 J'aime
  • 5 Commentaires

Massages fraternels

Chapitre 1

Inceste
--------Edit pour le correcteur : seuls les 2 premiers paragraphes ont été changés. L’âge semblait incompatible avec la charte du site, désolé. Je n’ai pas vu d’autre irrégularité mais si c’est à nouveau refusé je referai un passage complet.--------

Ce texte est un fantasme au croisement de l’inceste, de l’homosexualité, et du massage érotique
Moi c’est Paul, Thomas est mon petit frère, plein d’énergie mais parfois maladroit, pas très bavard en général, sensible à l’intérieur. Depuis notre majorité nous avions chacun connu des filles, été amoureux aussi, et nous en parlions assez facilement - en exagérant bien sûr comme font tous les garçons !
Jeux d’enfants
Nous passions des vacances comme d’habitude dans la maison de famille sur la côte d’azur. Thomas et moi étions dans la piscine, le reste de la famille était parti. Comme souvent, nous faisions nos jeux d’adolescents de 20 et 22 ans, deux coqs mesurant leur force et jouant à se défier. A force de chahuter je me retournai le dos et nos éclaboussures durent stopper.
J’allai m’étaler sur la serviette, étendue dans l’herbe et il fit de même. Je lui en voulais de m’avoir poussé maladroitement sur le bord et ne tarissais pas de reproches en riant. Mais à ma surprise, il me proposa de me masser le dos, ce que j’acceptai.

Détente inattendue
Je fus surtout surpris, moi qui pensais qu’il allait m’écraser le dos de ses mains en faisant exprès de me faire mal, pour rigoler, en fait ce massage me détendait là où j’avais mal, et je parlais alors de moins en moins. Il faisait les choses bien le petit ! C’était finalement agréable et je l’implorai de continuer.— C’est vraiment trop bien, vas-y ne t’arrête pas ! - Dis-je alors.— Ca va n’en profite pas hein, répondit-il,— Tu es bien lancé pourtant ! Sérieusement ça détend tu devrais me faire ça plus souvent !— Bon. Si je continue, après tu m’en fais un aussi alors ?— D’accord ça marche.
Il continua alors à me masser le dos tranquillement et je m’oubliais au soleil sans bouger. A force de me détendre je finis par avoir une belle érection, cachée entre la serviette et moi, qui ne manqua pas de me troubler. Cela devait être la détente du moment présent et aussi mon besoin de sexe, puisque ma copine n’avait pu m’accompagner en vacances.Au moment de s’arrêter de me masser, les parents arrivèrent et j’en profitai pour lui dire en riant que mon tour serait pour une autre fois !

Chacun son tour
Tom et moi étions dans la même chambre, puisque ma grande soeur Camille dormait avec son copain à côté. Autrefois nous dormions tous dans la même chambre pour discuter tard dans la nuit, grignotter le fond du frigo en jouant aux cartes. Avant d’aller dîner nous remontions prendre une douche et, fatigués comme d’habitude de s’être endormis après minuit, nous avions l’habitude de s’étaler sur le lit en attendant d’être appelés pour manger.
Quand je sortis de la douche, Tom était en caleçon sur son lit, sur le ventre comme prêt pour le massage qu’il me demanda en retour. Je m’exécutai non sans protester, pour le principe, et je commençai à le masser. De la même façon, il se mit à gémir de plaisir et à me dire à quel point je devais continuer. J’étais très surpris de bander à nouveau, et pas qu’un peu, et la situation était troublante : à califourchon sur lui, à chaque fois que je ramenais mes mains de sa nuque vers le bas de son dos, j’appuyais malgré moi mon bassin contre ses fesses.
Excité mais gêné par la situation, je reculai un peu le bassin en lui massant le bas du dos, à la naissance des fesses. Il m’encouragea à continuer par là car c’était très agréable. Les muscles du bas du dos et des fesses sont tendus et pas souvent massés, et il dut reconnaître que le massage des fesses était vraiment top. J’avais baissé son caleçon et le remontai à la fin du massage. A ma surprise, il me proposa de me masser à nouveau et fit pareil. Je crus sentir qu’il bandait aussi, et je me retenais de cambrer mon dos pour mieux sentir son sexe contre mes fesses. J’en mourais d’envie. Sans comprendre pourquoi ! Le massage terminé nous descendîmes dîner et les questions continuèrent de tourner dans ma tête.

La ligne jaune
Cette nuit-là, comme chaque soir nous avions discuté jusqu’à la nuit noire et en nous allongeant, je crois que tous les deux avions notre main dans le caleçon, sous les draps. D’un regard échangé, "ah, toi aussi", il était clair que nous avions tous les deux envie de nous masturber, sans toutefois le faire. Au lieu de cela, il mit son sexe tout droit sous le drap, qui faisait une sorte de tente, en me narguant :— Tu as vu comme j’en ai une longue hein ? Dit-il. Je ne le croyais pas trop.— Mais non, je suis sûr que c’est toi qui fais ça avec ton pouce, ...— Tu veux vérifier ?
Il y eut un blanc. J’étais déjà excité et un pas avait été franchi déjà le soir, mais il me défiait de mettre la main sous le drap, sur son sexe. Je le fis, par excitation, et me retrouvai la main complètement autour de son sexe. C’était chaud, très étrange d’avoir pour la première fois un sexe d’homme dans ma main. Il fit d’ailleurs de même et la situation devint très étrange.

Rebelote
Cette nuit-là nous finîmes par nous endormir, mais le lendemain fut semblable. Même l’après-midi dans la piscine, il n’hésitait pas à mettre la main dans le maillot de bain en me regardant, le sexe bandé, mais sans rien dire. Le soir fut à nouveau propice aux massages mais cette fois, lorsque je baissai son caleçon pour lui masser les fesses, il me dit de l’enlever puisqu’on n’était plus à cela près. Je profitai alors de ses fesses entièrement nues pour le masser des jambes au dos, en les écartant un peu pour masser l’intérieur, j’étais très excité et il le savait. Parfois je remontais sur son dos pour coller mon bassin à ses fesses, puis je redescendais.
Ce que je n’avais pas prévu, c’est que lorsqu’il me massa à mon tour, en me déshabillant aussi, son sexe se retrouva directement au contact de mes fesses. Je bandais aussi très fort, lorsqu’il me massait le dos avec le bassin contre moi. Lorsqu’il appuyait son bassin sur mes fesses tout en me massant le bas du dos où je suis sensible, je me cambrai involontairement et l’instant devint silencieux et très sensuel. Ensuite il recula pour me masser le bas des fesses et remonter, en passant ses pouces à l’intérieur des fesses de plus en plus loin. Il me disait, et je reconnaissais, que c’était vraiment trop agréable.
Lorsqu’il revint sur mes fesses pour me masser la nuque, enhardi par la situation assumée, il n’hésita pas à écarter mes fesses pour placer son sexe chaud à l’intérieur, au contact de ma raie qui m’électrisa. En s’allongeant sur moi, il massait mes épaules et le haut du dos tout en faisant pression de sa tige sur ma raie, et je me cambrais en répondant à son rythme.

La ligne rouge
Sans un mot assumé, mais dans les gestes et les regards, nos tabous tombaient peu à peu. Lorsqu’il eut fini son massage, il s’assit sur le lit et commença à se masturber devant moi en reconnaissant que cela l’avait vraiment trop excité, qu’il n’en pouvait plus. Je m’étais mis sur le côté face à lui, en prenant mon sexe en main et acquiesçant, moi aussi je n’en pouvais plus d’excitation. Je vis alors son sexe à 40 cm de moi et sa main qui le caressait doucement, je fus pris d’une envie irrésistible de m’approcher. Une envie de sexe, une envie décomplexée poussée par mes hormones en ébullition.
Sans rien dire, je m’avançai sur les genoux et les coudes vers sa cuisse, me tournai pour lui faire façe. J’étais alors allongé au milieu des deux lits, et lui sur le sien assis en tailleur face à moi. Je m’approchai jusqu’à avoir mon visage tout proche et il ralentit, jusqu’à s’arrêter en laissant sa main à base du sexe. Il le tenait bien pour que le gland se dirige exactement vers mon visage, il serrait de sa main et j’avais devant moi le gland tous lisse et brillant. Irrésistiblement je fus attiré et je l’englobai tout doucement en ouvrant la bouche, comme savoure une glace en prenant son temps. Je levai les yeux et il me regardait aussi plein de surprise, de désir et d’envie mélangés. Je ne bougeais plus trop, il continua à se masturber doucement et sa main venait juste effleurer mes lèves. J’étais terriblement excité. Tout d’un coup je sentis les spasmes arriver au bout de ma langue alors qu’il accélérait, et je m’enlevai avant qu’il ne finisse par jouir très intensément, en retenant tant bien que mal son envie de gémir ou de crier.
La situation m’avait aussi tellement excité que j’allai me soulager dans la douche.

Escalade incontrôlée
Le lendemain dès que nous fumes seuls dans la piscine, il n’hésita pas à mettre la main sur mon sexe ou ma main sur le sien, bandé, et me souffla qu’il avait envie d’un massage. Je passai aussi toute la journée à ne penser qu’au soir. Tout le monde voulait sortir à la foire locale après dîner, et Tom et moi rétorquions que c’était barbant et tous les ans pareil, qu’ils pouvaient bien y aller sans nous.
Vite montés dans la chambre et enfin seuls dans la maison, Tom s’allongea naturellement après la douche, sans serviette, et j’allai aussi naturellement sur lui, nu, pour le masser. A mon tour j’étais troublé de sentir mon sexe contre sa raie et le voir onduler sous les va-et vient de mes mains sur son dos - et de mon bassin contre le sien. J’étais déjà très excité et je décidai de lui masser l’intérieur des fesses, en descendant dans la raie avec mes pouces, en passant sur son anus et plus bas avant de remonter. Dès que je passais sur l’anus il gémissais et je finis par m’y attarder. Je voulais le surprendre et à force de m’approcher, je léchai le haut de sa raie puis de plus en plus bas : il se cambrait presque au maximum en écartant un peu les jambes, et lorsque je finis par lui lécher l’anus tout en le massant de mes doigts il semblait complètement en transe.
Lorsque ce fut son tour de me masser, j’eus droit au même traitement. Les mains, la raie, les pources, le massage de l’anus, la langue. Je me cambrais aussi lorsque je sentais son pouce sur mon anus, je ressentais un énorme plaisir à ce massage surtout une fois lubrifié par un peu de salive. Si bien qu’une demi phalange, puis une entière finirent par rentrer à l’intérieur en même temps que ses mains me massaient les fesses.
Il revint alors à nouveau sur moi, son sexe contre ma raie, en me massant les épaules mais en collant volontairement tout son corps au mien : avec la salive que j’avais entre les fesses il pouvait glisser facilement et se masturbait comme pour branlette espagnole. Je sentais son sexe coulisser contre ma raie, les veines, le passage du gland qui m’électrisait à chaque passage.

Pénétration
La ligne rouge était dépassée depuis longtemps, et en me voyant onduler du bassin, répondre à la pression de son sexe qui glissait derrière moi, il releva le buste, et de ses mains, tenait son sexe vers le bas et tenait mes fesses autour de celui-ci. Il ondulait du bassin et le mouvement de haut en bas était alors plus d’avant en arrière. Tout doucement, il écartait mes fesses et me massait alternativement l’anus avec un pouce, avec l’autre, et avec son gland. Je gémissais sous ce traitement, je me cambrais, surtout lorsque je sentais son gland s’approcher. Pour l’appeler plus loin, je me forçai à me détendre au maximum comme avant pour laisser passer son pouce, en reculant le bassin, jusqu’à sentir enfin son sexe chaud presser, et rentrer à l’intérieur de moi. Je l’encourageais en gémissant d’envie. Il s’allongea alors sur moi et fit pression de plus en plus insistante, jusqu’à ce qu’il soit complètement à l’intérieur. Il ne bougeait plus, je sentais ses couilles chaudes reposer sur moi, sentiment très étrange et excitant. Il bandait son sexe par à-coups et je le sentais, je contractai aussi l’anus en réponse tout en continuant d’onduler pour sentir du mouvement.
Il commença alors à faire des aller-retours à mon rythme, sans trop bouger, seulement un petit déplacement et une pression dans un sens, dans l’autre, qui me fit perdre le contrôle. J’intensifiai mes mouvements. Je n’étais plus moi-même, je me cambrais, je gémissais, et malgré le manque de lubrification son sexe glissait en moi en douceur par ses gestes heureusement retenus. Il ne lui fallut pas longtemps pour jouir à l’intérieur, en s’allongeant sur moi et en pressant mes épaules, et je sentis alors les contractions de son sexe en moi. Il gémit très fort et je l’accompagnai aussi, en espérant plus tard que nous n’étions pas entendus... Mais notre esprit était déjà ailleurs !

Epilogue
Les jours qui suivirent, je pris aussi sa place et il découvrit d’autres sensations, en sautant l’étape du massage pour des plaisirs assumés.

FIN
Si ce texte vous a plu, j’écrirai peut-être un autre fantasme de massage homme-femme ou entre deux femmes :)
Diffuse en direct !
Regarder son live