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Masseur un vrai job d'été

Chapitre 1

Je débute

Erotique
En ayant assez de me voir ne rien faire pendant ces vacances d’été, ma mère rentra un jour du marché triomphante en disant :
— J’ai parlé avec mon amie Hélène, tu sais la gérante de l’institut de massage et elle cherche quelqu’un pour l’aider, tu es embauché. Tu as rendez-vous avec elle cet après-midi.
Je me défendais, disant que je n’y connaissais rien, que j’étais en vacances mais rien n’y fit !
— Tu commences tes études de kiné à la rentrée, c’est la bonne occasion pour t’entraîner, file !
Rien à faire je ne la ferais pas changer d’avis.Dépité, je me traînais vers l’institut en milieu d’après-midi en me demandant qui était cette Hélène. Ouvrant la porte, je tombais sur une femme d’une petite quarantaine d’années, plutôt bien faite avec un sourire charmeur et un corps... difficile à lâcher des yeux depuis de jolis seins bien perchés et un cul bombé sous la blouse visiblement taillé pour être caressé.
— Bonjour, tu dois être David, je t’attendais ! Eh bien, on peut dire que ta mère n’a pas menti, tu es un bien beau jeune homme.
Du haut de mon 1m85 et ma stature de rugbyman, je devenais comme un petit garçon et le rose me montait aux joues.
— Et timide avec ça, viens beau brun, je vais t’expliquer.
Et Hélène me prit la main pour me conduire dans un des salons de massage.
— En fait c’est très simple, les femmes adorent se faire chouchouter pendant leurs vacances et viennent ici pour se faire masser. Pas de massage médical, de la musique douce, des bougies parfumées pour l’ambiance et un massage du corps avec des huiles parfumées pour les détendre. Je dois vérifier que tu sauras faire, tu vas essayer sur moi.
Et elle ôta sa blouse pour se retrouver en slip et soutif devant moi, s’allongea sur le ventre sur la table de massage et dégrafa le soutien-gorge. A voir ma bouche ouverte et mes yeux ronds, Hélène dit en riant
— On dirait que tu n’as jamais vu un corps de femme, ferme la bouche et prends de l’huile pour ton massage .
J’étais abasourdi ! Moi qui pensais m’ennuyer en vacances, me voilà engagé pour voir des femmes quasi nues et les caresser. Mon esprit tournait à 100 à l’heure autour de corps sensuels et une bosse se formait dans mon pantalon. Je voulais éviter que cela ne se voie et me tournait de son regard pour prendre l’huile et me placer sur son côté.
— Voilà, tu mets l’huile dans tes mains et tu les frottes pour ne pas imposer un contact froid à mes clientes.
Ce que je fis avant de poser mes mains à plat sur son dos.
— Très bien David, tu as les mains chaudes c’est très agréable, maintenant tu gardes les mains bien à plat et en restant ferme mais doux, tu fais des petits cercles sur mon dos pour détendre les muscles en descendant vers le bas du dos.
Mon pantalon devenait de plus en plus étroit et je m’appliquais à mon massage. Je faisais des petits cercles symétriques sur son dos tout en descendant doucement. Je sentais qu’Hélène appréciait car elle se détendait tout en faisant de grognements de contentement.
— C’est bien David, tu es très doué, c’est très agréable, continue en descendant vers le haut des fesses, tu baisseras la serviette sans l’enlever.
Je poursuivais l’exploration du corps d’Hélène. Mon massage faisait maintenant varier la douceur et les pressions, mes mains que j’avais re huilées glissaient sur toute la largeur de son dos et en arrivant à ses fesses, je ne m’arrêtais pas, massant ses deux globes en les écartant au gré des mouvements et en faisant des mouvements pour les remonter. J’imaginais qu’en tirant ainsi les fesses vers le haut, j’étirais la vulve et son petit trou.Mon massage prenait pour moi une tendance très érotique.
— Mmmhh David c’est trop bon, continue, descend un peu, tu fais ça très bien.
Toujours à l’étroit dans mon pantalon mais poussé par cette chance qui semblait s’offrir à moi, je continuais à descendre doucement tout en jouant de plus en plus sexuellement avec ses fesses. La serviette avait maintenant disparu. Hélène avait ouvert un peu plus les jambes. Je remettais de l’huile sur mes mains et prenais maintenant une fesse dans chacune, tirant et ouvrant un peu plus son entrejambe, je voyais sa culotte qui avait changé de couleur car elle mouillait.
— Je me permets d’enlever votre culotte, elle gêne le massage, et sans attendre sa réponse, la tirait vers le bas. Fais-le mon chéri, masse-moi bien... oups pardon de t’appeler ainsi, dit-elle en se retournant.
Nos yeux étaient fixés dans ceux de l’autre et elle décrocha son regard en disant :
— Mais... David ! C’est moi qui te fais un effet pareil, en regardant la bosse de mon pantalon.
Sans attendre elle ajouta
— Mets-toi à l’aise, tu ne dois pas être gêné dans tes mouvements
Et elle ouvrit mon pantalon puis, sans s’arrêter, descendit mon caleçon en libérant délicatement ma queue totalement bandée.
— Oh David, je suis flattée de faire un tel effet à un jeune homme comme toi, elle est très belle et si grosse, mmmhhh j’en ai très envie
Et elle se pencha pour engloutir mon sexe dans sa bouche et commencer une fellation comme jamais. Sa bouche était tantôt serrée sur mon gland, tantôt douce, elle titillait de la langue le bout de ma queue, descendait le long du membre et prenait les bourses dans sa bouche pour les aspirer
— Viens mon chéri, jouis dans ma bouche je sens que tu vas venir
J’étais aux anges, la sève montait en moi en bouillonnant à toute vitesse, ma queue était bandée et dure et d’un coup, un long jet en sortit, jaillissant dans sa gorge, encore et encore. Hélène me gardait en elle, continuant à me branler de sa main le long de mon sexe et de ses lèvres doucement pour accompagner ma jouissance jusqu’au bout et avalait toute ma semence en léchant le bout de la queue maintenant repue de plaisir.
— J’ai adoré te faire jouir mon chéri et son jus a très bon goût, il faudra recommencer... pour le moment, j’aimerais que tu me fasses jouir si tu veux bien.
Bien sûr que je voulais, cette femme venait de m’offrir sa bouche et je savais dans quel état j’avais mis son entrejambe. Hélène s’allongea sur le dos sur la table de massage et je prenais un tabouret pour m’asseoir en bout de table, comme un gynéco, avec une vue impudique et tellement sensuelle sur chatte épilée en ticket de métro. Ma main caressait la vulve qui n’en avait pas vraiment besoin puis mes gestes devinrent plus précis... mes doigts écartèrent les lèvres pour découvrir sa fente qui coulait et son bouton, déjà gonflé et rouge. Je le titillais du bout des doigts en le faisant rouler. Je sentais qu’il prenait de la vigueur.
— Oui c’est bon, continue, dit Hélène les yeux mi-clos.
Toujours en écartant les lèvres, je posais ma bouche sur sa fente et commençais à la lécher de haut en bas, plongeant ma langue dans sa chatte ouverte puis remontant vers le clito que j’aspirais, faisais rouler entre mes lèvres et mordillais. L’effet sur Hélène fut immédiat
— Aaahhh ouiii... Continue comme ça, doigte-moi en même temps, mmmhhh j’adore ce que tu me fais
Et je continuais de plus belle à sucer son bouton gonflé et plein d’envie. Je plongeais 1 doigt puis deux dans sa grotte et commençais en même temps un lent va-et-vient pour aller de plus en plus profond en elle. Sa tête roulait, son souffle s’était accéléré, elle avait pris ses seins à pleines mains et excitait les tétons dressés. Je voyais son ventre onduler comme une vague et sentais le plaisir qui montait en elle
— Oui oui encore, branle-moi.
Je lui dévorais la chatte, deux doigts en elle et de l’autre main, posait un doigt sur son petit trou pour le caresser aussi
— Aaahhhhh trop bon, salaud tu vas me faire jouir, arrête, pas par-là
Mais elle écartait un peu plus les jambes pour me faciliter le passage et mon pouce qui lui caressait l’anus entra d’un coup comme happé en glissant aidé par l’huile de massage. J’avais mes doigts dans sa chatte, mon pouce dans son cul et je lui bouffais le clito, son corps se soulevait à toute vitesse et tout d’un coup il s’arqua dans un cri
— Aahhhhhh ouiiiiiiiiii je jouiiiiis... Encore... ne t’arrête paaaaaas.
J’avais la langue explosée par cette performance mais fier de ce plaisir que je venais de donner.Ma queue avait profité que je la branlais pour reprendre sa forme et repoussant le tabouret, je me mettais debout entre ses jambes et plongeais en elle d’un seul coup de reins. Son cri dut s’entendre depuis le trottoir.
— Baise-moi, baise-moi... c’est trop bon... encore... je veux ton sexe ouiii.
Mes mains lui tenaient fermement les hanches en passant sous ses jambes et je la bourrais sauvagement en y mettant toute mon ardeur. Hélène était comme une noyée... ses bras battaient l’air et tapaient la table, son corps entier était pris de secousses et j’accélérai jusqu’à ce que je sente que je ne tiendrais pas longtemps. Ma coquine expérimentée dut le sentir
— Ahhh ouiiiii bourre moi, jouis en moi, je viens je viens ahhhhh
Et dans sa jouissance renouvelée je jouissais pour la deuxième fois de l’après-midi dans un cri de mâle et lâchais un long jet de foutre puis, épuisé, m’effondrais sur elle. Moment de tendresse, Hélène me caressait le dos moite de sueur, m’embrassait la bouche, le visage, le cou.
— Merci mon cœur, c’était merveilleux, j’ai adoré tout ce moment avec toi.
Je n’avais pas envie ni de sortir d’elle ni d’interrompre ce moment.
— Je crois que tu es embauché mais... seulement en période d’essai et interdiction de faire aux clientes ce que tu viens de me faire... je te veux pour moi toute seule, dit-elle en riant.
J’étais sur un nuage... j’avais un job, une maîtresse extraordinaire et peut-être, plein de possibilités, l’été s’annonçait merveilleusement mais, c’est une autre histoire.
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