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Massothérapie avec Chantal

Chapitre 3

Erotique
Arrivés au restaurant, nous nous sommes assis dans un coin, sur des banquettes, l’un en face de l’autre. Nous voulions être seuls et à l’abri des regards. La commande passée, notre discussion évidemment porta sur ce que nous venions de vivre et de ce que j’avais réveillé en elle qui semblait dormir depuis un certain temps. Quelle extraordinaire sexualité elle avait en elle et pourquoi hésitait-elle à s’ouvrir librement à de tels plaisirs ? Par principe qu’elle disait. Évidemment, elle ne voulait pas se donner à n’importe qui.
Pendant que nous attendions notre commande, Chantal enleva une de ses chaussures et commença à glisser son pied le long de mes jambes croisées sous la table. Je portais des bermudas et elle raffolait des poils sur toutes les parties du corps d’un homme. Les bancs étaient assez rapprochés pour que son pied monte et rejoigne la fermeture éclair de mon pantalon court. Mon pénis avait eu le temps de reprendre de la vigueur et elle le sentait gonfler sous ses orteils et son pied pendant qu’elle le massait discrètement par-dessus mon pantalon.
La serveuse approcha avec la commande et Chantal retira momentanément son pied pour mieux le remettre là où ma verge avait retrouvé son érection quand elle nous quitta. Chantal me demanda alors de bien vouloir détacher ma ceinture, déboutonner mon pantalon et descendre ma fermeture éclair pour donner libre cours maintenant à ses deux pieds sur ma queue bien droite et dure sous mes sous-vêtements. Habilement, elle réussit à dégager mon gland et ma verge hors de mon slip et la manipulait entre ses pieds sous la table.
Chantal portait une jolie robe soleil avec les épaules dénudées et qui descendait jusqu’au niveau de ses genoux. Ses seins étaient retenus par un bustier et pendant qu’elle jouait avec ma queue, elle passait ses doigts sous ce bustier pour aller chatouiller ses mamelons. J’entendis un jet accompagné d’un léger murmure de sa part. Elle venait encore d’éjaculer sur le plancher. Elle prit un de mes pieds pour retirer ma chaussure et le plaça sur son pubis poilu entre ses cuisses toutes mouillées. Elle ne portait pas de petites culottes et heureusement qu’elle avait relevé le derrière de sa robe pour que ses fesses soient directement assises sur le banc en cuir. Mes orteils bougeaient sur ce buisson ardent de sa chatte et elle continuait de masser ma bite avec ses pieds pendant qu’elle savourait les ailes de poulet qui lui étaient servies.
Elle les trempait dans une sauce blanche avant de les déguster, et me regardait quand elle les portait à sa bouche en les léchant comme si elles étaient enduites de sperme. J’étais de plus en plus excité et ma verge me le prouvait tellement elle était bandée.
Chantal retira l’un de ses pieds sur mon pénis pour mieux ouvrir ses jambes et avancer son cul sur le banc. Cela permit à mes orteils de se rapprocher de sa vulve où ses lèvres étaient bien ouvertes et son clitoris à ma portée. Elle dirigea une main vers mes orteils pour qu’ils fassent contact avec son clitoris et au bout de quelques instants gicla sur mon pied en riant de manière à cacher la jouissance qu’elle venait d’atteindre.
La serveuse vint voir un instant si tout était correct. Ma chemise hors de mon bermuda réussit à cacher ma verge et le pied de Chantal pour le temps qu’elle prit pour s’informer de notre satisfaction du lunch servi. Chantal n’avait quand même pas arrêté son petit manège pendant sa présence et je sentais que l’orgasme était proche. Quelques secondes après le départ de la serveuse, je glissai une main sur le pied de Chantal comme pour ralentir la cadence sur cette bite prête à faire jaillir le foutre qui l’habitait. En serrant un peu mon pénis de l’autre main, je réussis à retarder momentanément l’éjaculation. Chantal laissait échapper de petits rires moqueurs tellement elle semblait s’amuser. Moi j’étais à la limite du supportable avant de jouir.
Elle fit un mouvement comme pour se glisser sous la table pour venir terminer le travail avec sa bouche. Je la retins un instant en regardant si personne ne voyait ce qui allait se passer au cours de la prochaine minute. En nous déplaçant au fond de nos banquettes, nous étions moins visibles. L’idée d’inonder sa bouche de tout ce sperme emmagasiné dans mes testicules avec les sensations que cela allait me procurer dans tout mon être était plus forte que moi que je la laissai prendre l’initiative qu’elle voulait. En moins de deux, elle était sous la table avec son visage à la hauteur de ma queue. Elle descendit mes bermudas et mes boxers sous mes fesses jusqu’aux genoux pour avoir libre cours à cette verge et à mes testicules. Satisfaire son appétit de tout avaler ce qui allait sortir de là. Elle libéra aussi ses seins de son bustier, je pouvais sentir le bout de ses mamelons sur mes cuisses. Elle cracha sur mon gland et lubrifia mon pénis de sa salive.
Elle l’enfouit jusqu’au fond de sa gorge en le tenant d’une main pendant que l’autre massait mes testicules. Toute la vigueur d’une femme assoiffée de foutre y était. Il n’en fallait pas plus pour que je doive retenir mon souffle pour ne pas crier de plaisir dans cet endroit inusité pendant qu’un orgasme démesuré me fit éjaculer dans cette bouche qui avalait tout et faisait en sorte de ne rien perdre de ce liquide chaud sortant directement de mon corps en extase. Je lui tenais la tête avec mes mains crispées au point où elle faillit s’étouffer avec mon gland bouillant qui atteignait le fond de sa gorge. Heureusement, je relâchai juste à temps pour éviter un tel dénouement. Elle léchait chaque pouce de cette queue avant de s’arrêter plus longuement sur mon gland qui n’en pouvait plus, étant devenu très sensible à la moindre caresse.
Chantal se releva rapidement de sa position et reprit position sur sa banquette. Elle léchait ses doigts de ce qui restait de sperme qui avait un peu débordé de sa bouche en me regardant pour mon montrer son appréciation du moment. Moi j’avais relevé mon sous-vêtement et mes bermudas. Il y avait heureusement plusieurs serviettes à mains sur la table compte tenu des ailes de poulet que nous mangions avec nos mains. Ce qui permit d’essuyer et de nettoyer ce qui était plus apparent suite à nos ébats aussi discrets que possible, mais combien excitants et satisfaisants.
Le lunch terminé et de retour à l’extérieur du restaurant, Chantal me fit une proposition difficile à refuser. Elle m’invitait à passer la nuit avec elle à la maison. Hmmmm ! Allais-je être à la hauteur de ses attentes après ces deux séances d’érotisme à couper le souffle ?
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