Arrivés chez Chantal, elle sortit une bonne bouteille de vin blanc fruité et vif bien froide comme j’aime le boire. Après une heure à jaser, elle me dit qu’elle allait se rafraîchir sous la douche et que je pouvais la suivre si je voulais. Aussitôt dit, aussitôt fait! Il faisait chaud et rien de tel pour enlever la transpiration sur nos corps qu’une bonne douche à température tiède. Je regardais ses seins devant moi avec ses mamelons invitants pendant qu’elle savonnait son corps. Après s’être rincée elle passa derrière moi pour me laver le dos et se frôler sur mon corps nu. Je sentais le bout de ses seins qui montaient et descendaient pendant que ses mains massaient mes fesses et glissaient dans mon entre jambes jusqu’à mes testicules et ma verge qui était à nouveau bien dressée. Le savon qui la recouvrait permettait à Chantal de la masser comme si elle était imprégnée d’huile de massage. Elle prit alors le gland de mon pénis entre les doigts de l’une de ses mains. Elle les faisait tourner en cercle pour faire monter l’excitation encore plus dans ce bout de verge qui était de plus en plus bandée. J’entendais Chantal éjaculer sur le plancher de la douche malgré le jet d’eau qui nous arrosait à ce moment-là. La femme fontaine, inépuisable en elle, laissait échapper et manifester son désir avide de sexe en projetant son liquide libidinal hors de cette vulve dont les lèvres étaient à nouveau prêtes à emprisonner goulûment mon pénis. Je me retournai vers elle et saisis sa bouche pour l’embrasser et la serrer très fort dans mes bras pour sentir toutes les courbes de son corps sur les miennes sous cette pluie qui se déversait sur nous. Sa langue se mêlait à la mienne et faisait monter ce désir de ne faire qu’un avec nos deux corps encore une fois. Bien rincés, Chantal me remit une serviette pour m’assécher. Je pris la sienne pour l’assécher moi-même en la passant doucement sur ses seins où je m’attardai un peu plus longtemps. Elle souriait en me regardant profiter de cet instant magique. Elle me dit, retourne au salon, je vais préparer notre couchette pour ce soir. Pendant ce temps je terminai ce qui restait de vin dans la bouteille en relaxant sous une musique douce comme celle que l’on entend lors d’une séance de massothérapie. Chantal est alors apparue en jaquette blanche très ample et mi-longue. Un joli morceau de vêtement provenant d’Indonésie, je crois. Elle avait pris le temps d’assécher ses longs cheveux noirs et elle était resplendissante. Elle prit ma main pour m’inviter à la suivre. J’avais gardé ma serviette de bain autour de moi mais le devant quelque peu soulevé ne pouvait nier que mon pénis était en érection. En entrant dans la chambre, je remarquai qu’elle avait recouvert le lit de plusieurs serviettes de bain. Cela en disait long sur ses intentions et la manière qu’elle utilisait pour protéger son matelas considérant ses éjaculations féminines fréquentes et abondantes. Elle me demanda de m’étendre sur le dos. En s’approchant de moi, elle ouvrit ma serviette pour découvrir mon pénis en passant son visage près de lui pour ensuite monter plus haut et s’asseoir sur moi. Elle avait pris soin de placer ma verge entre ses jambes près de son clitoris. Elle descendit sa bouche sur mon torse en le recouvrant de nombreux baisers. Son bassin bougeait pendant qu’elle se rendit jusqu’à ma bouche en continuant de me couvrir de baisers. Elle mordilla mes lèvres en gémissant. Les sons qui émanaient de sa bouche berçaient nos sens et invitaient de plus en plus à un échange mutuel de désir amoureux et sensuel. L’ampleur de sa jaquette me permit de passer mes mains en dessous, le long de ses cuisses jusqu’à ses fesses que je caressais en les ouvrant comme pour offrir son anus à la bouche de quelqu’un qui aurait participé à notre plaisir. Le majeur de l’une de mes mains s’arrêta sur ce bourgeon pour le masser et s’introduire dans la petite ouverture qui s’offrait à lui. Chantal bougeait langoureusement et m’embrassait à pleine bouche pendant que je prenais plaisir à doigter son entrée anale. C’était excitant! Je remontai ensuite mes mains jusqu’à ses seins là où l’espace de cette robe me permettait de les prendre tous les deux, de presser ces mamelons à ma guise jusqu’à ce qu’elle décide de la retirer complètement au-dessus de sa tête. Chantal aimait frôler ses seins sur ma poitrine de gauche à droite et de bas en haut. Sa vulve se mouillait et je pouvais percevoir les lèvres de sa chatte qui s’ouvraient sur ma queue. En descendant son bassin pour appuyer son clitoris sur ma verge, elle m’arrosa une fois de plus de son fluide sexuel en tremblotant de tout son corps. Un nouvel orgasme venait de se manifester en elle. Cela me comblait de la voir jouir de cette façon. Elle se redressa et descendit son corps jusqu’à ce que sa bouche se retrouve au niveau de mon pénis imprégné de ce jus de jouissance qu’elle avait projeté sur moi. En moins de deux ma queue était disparue, engloutie dans la bouche de Chantal. Je me cambrai pour que mon gland ressente le fond de cette gorge profonde et qui allait mener à l’orgasme à mon tour. Mais Chantal ne le voyait pas de cette façon. Ayant dégusté cette verge, la voilà qui remonta en selle sur moi pour l’enfouir dans son vagin brûlant. Les mouvements de son bassin sur ma queue faisaient en sorte que mon gland allait s’accoter sur le col de son utérus au fond de son vagin. Comme une femme en phase d’ovulation ce col semblait s’ouvrir et se refermer sur mon gland à chaque fois qu’il atteignait le bout de ce tunnel. Chantal gémissait et éjaculait sur moi pendant que j’avais de la difficulté à retenir mon éjaculation tellement mon gland était excité et prêt à exploser de jouissance. Je me suis un peu relevé pour empêcher ce col de l’utérus de masser le gland de ma verge de cette façon. Chantal avait saisi ma bouche et m’embrassait éperdument pendant que je passais mes mains dans sa chevelure devenue toute emmêlée. Je retirai momentanément mon pénis de l’intérieur de son vagin pour reprendre mes esprits et, je l’espérais, faire durer le plaisir plus longtemps. Chantal avait profité de ce petit moment de répit pour glisser une main sous l’oreiller qui était libre pour y trouver des jouets sexuels et une petite bouteille de lubrifiant. L’un d’eux était un manchon anal qu’elle voulait que j’introduise dans son rectum. Après lubrification, elle me le remit et écarta ses fesses avec ses deux mains. De ma position je réussis à rejoindre son anus en pointant le jouet vers l’ouverture. Chantal relâchait ses muscles fessiers pendant que je titillais son anus en mouvements de va et vient continus tout en laissant pénétrer doucement cet objet dans ce trou qui l’attendait. D’un mouvement d’abandon le manchon se retrouva soudainement englouti dans son tunnel anal. La respiration de Chantal s’était accentuée et elle appréciait chaque sensation que cet intrus lui procurait. L’autre objet avait la forme d’un œuf. J’étais curieux de savoir de quoi il s’agissait. Après l’avoir ouvert il y avait à l’intérieur une gaine en silicone très élastique et un tube de lubrifiant. Chantal s’occupa de préparer le tout et enveloppa ma verge en étirant ce genre d’étui extensible jusqu’à sa base. J’avais l’impression de vivre une fellation en gorge profonde tellement la pression qu’elle exerçait avec sa main sur ce jouet masturbateur était parfaite. De l’autre main Chantal masturbait son clitoris et gémissait en continuant de contracter son anus sur le manchon que je lui avais inséré. Son éjaculation avait à ce moment été au-delà des serviettes de bain sur le lit et une partie de son liquide charnel se retrouva sur le plancher. Je voulais pénétrer Chantal par derrière en position levrette mais clairement en sodomie. Je lui fis comprendre de s’installer à quatre pattes au milieu du lit pendant que je pris place derrière elle. J’ouvris ces fesses pour bien voir le bouton d’arrêt de son manchon anal et approcha ma bouche. Je léchai tout autour du bouton avant de le retirer avec ma bouche. Ma langue avait désormais pris la place de cet objet et Chantal semblait ravie de cette action. Elle bougeait son cul au rythme de ma bouche et de ma salive que je déversais sur son anus pour bien le mouiller. Elle était prête à accueillir mon pénis dans son antre anal et se retourna le visage pour m’embrasser et me donner son accord. Pour faciliter la pénétration Chantal me donna le tube de lubrifiant à appliquer sur l’ouverture de son couloir anal. Ce que je fis en prenant bien soin d’en introduire à l’intérieur. Pendant ce temps elle prit un autre jouet sous l’oreiller et l’inséra dans le majeur de l’une de ses mains. C’était un petit objet vibrant qui ressemblait à un bec de dauphin. Je dirigeai alors le gland de ma queue vers son anus. Elle releva sa tête en fermant les yeux. Elle se concentrait sur le geste qui allait suivre. Le manchon anal avait fait son travail puisque mon gland avait facilement traversé le sphincter et se retrouvait désormais à l‘intérieur de son rectum. Elle avait activé son vibrateur et le portait à son clitoris. Alors qu’en petits mouvements d’allers et retours, je réussis à enfoncer ma verge complètement dans ce couloir serré qui faisait monter mon excitation, Chantal se lamentait et criait en bougeant de plus en plus fort son bassin sur mon pénis. Elle était semi-assise et y allait de va et vient soutenus en quête d’un orgasme hors du commun. J’empoignai ses seins en pinçant ses mamelons et tous deux ensembles, nous avions déversé notre éjaculation au fil d’un orgasme mutuel sans nom. Les serviettes de bain étaient détrempées, comme nous nous l’étions tout autant. Une autre douche s’imposait. Quelle sensation je ressentais d’avoir fait l’amour avec une femme dotée d’une telle sensualité et ouverture d’esprit. J’avais l’impression que je vivais les mêmes émotions des meilleurs acteurs pornos qui réussissent à nous transmettre la même envie qu’ils ont envers leurs partenaires sexuels. Chantal et moi avons revécu à l’occasion nos ébats à en perdre l’âme, tout aussi bons les uns que les autres. Le destin a fait en sorte que chacun de notre côté, nos vies ont pris d’autres chemins et ce, depuis quelques années déjà.
