Chantal ne donna pas signe de vie pendant bon nombre d’années. Les souvenirs de nos ébats sexuels qui habitaient mes pensées continuellement me permirent des séances de masturbation et de jouissance solitaires pendant longtemps. Je pensais souvent à ses seins qu’elle laissait glisser sur mon torse quand elle descendait sa bouche vers mon pénis en érection à partir de mon front à la tête de la table de massage. Sa chatte toute mouillée apparaissait, elle, à la hauteur de mes yeux et son clitoris proéminent, de ma bouche. Le moindre toucher buccal de ses organes génitaux laissait échapper une giclée de liquide chaud de son vagin sur mon visage et mon cou. À chaque fois que cela se produisait, elle engloutissait ma verge jusqu’au fond de sa gorge ou le ressenti de mon gland devenait de plus en plus sensible à ce petit manège plus qu’excitant. Elle réussissait tellement bien à me faire éjaculer dans sa bouche et à avaler tout mon sperme en tournoyant sa langue que je n’en pouvais plus tellement la sensation était forte. Mes jambes se repliaient et mes bras la prenait par la taille comme pour me dégager de cette emprise orgasmique devenue trop intense. Un jour je reçus un courriel que je n’attendais pas. Chantal m’écrivait qu’elle pensait souvent à moi et qu’elle avait envie de me revoir. Qu’elle s’ennuyait de ma grosse queue bien dure qui l’avait pénétrée au lever du jour quand j’avais passé une nuit chez elle. Elle me racontait qu’elle avait désormais fait l’acquisition d’une maison bien à elle avec un spa et piscine creusée dans la cour arrière. Elle prenait plaisir à se masturber dans son spa en pensant à ma verge bien bandée et que ça la faisait jouir et éjaculer à chaque fois. Elle avait joint une photo au courriel. Un selfie qui montrait un de ses magnifiques seins pendant qu’elle avait simplement un bras appuyé sur le rebord de son spa. À la lecture de ce courriel, je sentis comme un courant électrique descendre directement vers mon pénis qui banda spontanément dans mes boxers. Il n’en fallait pas plus pour que j’aille me masturber dans les toilettes les plus proches d’où je me trouvais à ce moment-là. Je pris soin de prendre une photo de mon pénis en érection afin de la lui envoyer et en à peine 1 minute je déchargeai mon sperme dans un orgasme qui me fit presque perdre l’équilibre de ma position. Hmmmmm!! Au fil des jours et des semaines qui passèrent nous échangions des sextos tous plus excitants les uns que les autres. J’inventais toutes sortes de situations de baise intense pour l’exciter jusqu’à mouiller sa chatte sous ses vêtements. Des sextos accompagnés évidemment de photos de ma queue prises même en pleine éjaculation. Mon petit côté exhibitionniste se révélait à elle, elle adorait et en redemandait. Chantal m’invita chez elle lors d’un week-end où ses enfants allaient chez leur père. J’avais apporté du poisson, que j’avais pêché pendant les vacances estivales, et du vin pour le dîner. Elle me fit visiter sa nouvelle résidence et arrivés à la chambre à coucher, elle m’entraîna sur le lit et m’embrassa à pleine bouche avec des gémissements d’une femme assoiffée de sexe. Elle portait des leggings noirs et un gilet qui descendait jusqu’au bas de ses fesses. L’une de mes mains glissa vers son entre jambes et massait sa chatte au travers ses vêtements, Je sentais la chaleur qui s’en dégageait. Elle me retourna sur le dos, retira la ceinture et baissa la fermeture éclair de mon pantalon pour me le retirer rapidement. Ma queue et mon gland se découpaient au travers de mes boxers et elle ne mit pas de temps à s’asseoir toute habillée avec son clitoris bien appuyé sur cette verge. Ses mouvements de va et vient rapides semblaient la rendre folle de jouissance non assouvie depuis trop longtemps. Elle éjacula comme jamais et se laissa retomber sur ma poitrine encore sous l’effet de cet orgasme délirant. Elle reprit doucement ses sens, replaça sa longue chevelure décoiffée et se releva pour sortir du lit. Elle me sourit et me dit qu’elle allait à la cuisine pour préparer le dîner. La soirée était bien entamée et s’annonçait torride à souhait. Je remis mon pantalon en me disant que c’était partie remise pour moi. J’avais quand même apprécié ce moment plutôt intense. Pendant que je l’aidais avec la préparation du repas, je nous servis un bon verre de vin bien froid. J’avais les testicules en feu et remplis de sperme prêt à exploser hors de cette queue qui avait maintenu son érection depuis cette séance trop courte au lit. Il ne nous restait plus qu’à attendre que tous les ingrédients soient cuits. Chantal s’approcha de moi et mis sa main où mon pénis bien bandé créait un certain relief sur le devant de mon pantalon. Elle se mit à genoux et me fit appuyer les fesses sur le rebord de la table de cuisine. Elle avança sa bouche pour mordiller cette queue en maintenant une pression de sa main pour bien reconnaître sa position et continuer cette manœuvre des plus excitantes pour nous deux. Quelques secondes plus tard, elle détacha ma ceinture à nouveau, dégrafa et ouvrit mon jeans pour aller chercher cette queue qui ne demandait que d’être engloutie dans sa bouche pour libérer sa semence emprisonnée dans les couilles. Chantal y mettait toute l’ardeur nécessaire pour me faire éjaculer rapidement, ce qui fut inévitablement le cas. Un torrent de sperme chaud se déversa dans cette bouche dans un orgasme irréel et bienfaiteur. Elle prit son verre de vin et le porta à sa bouche pour ensuite laisser s’écouler mon éjaculation et le mélanger au vin. Elle me fit un clin d’œil et ingurgita ce nectar improvisé d’un seul coup. Je lui souris en lui émettant un commentaire grivois, la traitant de pure salope. Elle le savait trop bien et elle aimait ça! Le repas se passa comme je l’avais imaginé. Avec des caresses de pieds appuyés sur nos organes génitaux sous la table, des sourires et des rires gênés parfois, des gémissements de satisfaction mutuels. Enfin tout ce qu’il fallait pour maintenir l’excitation au paroxysme de nos désirs sexuels les plus fous. À un certain moment je me levai pour aller derrière sa chaise et dégager sa blouse échancrée de ses épaules. Les embrasser doucement en descendant mes mains vers ses seins qui étaient libres de tout soutien sur son torse. Je pinçai délicatement ses mamelons et entendit sa vulve se mouiller de son liquide libidinal. Sa petite culotte était détrempée. Je me glissai sous la table pour la lui enlever et découvrir ses lèvres vaginales bien ouvertes et rougies de plaisir et son clitoris bien gonflé qui trônait tout en haut vers son pubis. Ma bouche n’allait pas refuser un tel dessert naturel et ma langue lécher ce bouton de jouissance qui n’attendait que ça. J’offris à Chantal un cunnilingus à la hauteur de ce qu’elle méritait et fut récompensé par un orgasme à un tel niveau d‘éjaculation féminine qu’elle seule pouvait m’offrir.Elle reprit ses esprits et m’aida à remonter de ma position un peu précaire de sous la table. En prenant ma main, elle se leva et se dirigea vers l’extérieur. Elle sauta directement dans la piscine en m’emportant avec elle. La tête hors de l’eau, elle posa sa bouche sur la mienne et m’embrassa passionnément en retirant mes vêtements mouillés et les siens jusqu’à ce que nous soyons corps à corps complètement nus dans l’eau. Elle se souleva et entoura mon bassin de ses jambes et ses bras autour de mon cou. Mon pénis en érection se trouvait tout juste vis à vis l’entrée de vagin et d’un coup de hanches, elle l’enfonça au fond de ce puits pourvu de parois de chaleur charnelle. Mon gland devenait surexcité chaque fois que j’atteignais le fond de son vagin où le col de son utérus semblait s’ouvrir et se refermer sur lui pour augmenter mon plaisir jusqu’à ce que je déverse ma semence dans un courant électrique qui traversa tout mon corps pour se terminer en force dans mon organe génital. Par la suite, nous passions du spa à la piscine et de la piscine au spa en ne limitant aucunement nos ébats pour ainsi maintenir l’excitation au maximum dont nous nous étions privés depuis trop longtemps. Dans le spa, Chantal prenait plaisir à placer son clitoris vis-à-vis un jet d’eau pendant qu’elle dévorait mon pénis de sa bouche. Elle gémissait et jouissait à en perdre la tête tellement elle appréciait et que je lui tire les cheveux délicatement pendant cette manœuvre euphorisante. Elle m’invita par la suite à me donner un bon massage comme elle savait si bien le faire. Je me rappelais ces séances toutes plus enivrantes les unes que les autres et la manière dont je baladais mes mains sur ses jambes et ses cuisses jusqu’à son entre-jambes lorsqu’elle m’avait avoué qu’elle était femme fontaine et toute l’excitation que cela avait déclenché en moi. Chantal était égale à elle-même. Elle me massait en laissant échapper quelques éjaculations sur le plancher de la pièce chaque fois que je la touchais. Ses seins frôlaient mon corps à répétition et sa vulve bien humide me permettait de doigter son point G, ce qui la faisait trembler de tout son être. Elle me faisait revivre chaque moment du passé vécu dans la salle de massage de sa clinique de massothérapie. Cunnilingus, pénétration, orgasmes étaient encore tous au rendez-vous! Quelle soirée nous avions passée. Nous nous sommes endormis, rassasiés de débats amoureux et de jouissances sexuelles complices.Avant de quitter le lendemain matin, je promis à Chantal de l’inviter sur mon voilier très prochainement. Elle en était ravie……………..!
