Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 60 J'aime
  • 0 Commentaire

Massothérapie avec Chantal

Chapitre 6

Erotique
Tel que promis, suite à mon invitation, Chantal était au rendez-vous que je lui avais envoyé. Soit de passer une journée complète à naviguer seuls, tous les deux, sur le lac Des Deux Montagnes à bord de mon voilier.
À son arrivée, je pris bien soin de la serrer dans mes bras pour sentir la courbure de ses seins et de son pubis à la hauteur du mien. Avant de quitter la maison pour le club de voile, j’avais avalé un comprimé de Viagra provenant d’une petite boîte d’échantillons que mon urologue m’avait remis lors de ma dernière visite à son cabinet. Je voulais être à la hauteur de mes attentes sexuelles avec celle qui m’en avait fait voir de toutes les couleurs par le passé.
Mon invitation incluait évidement le petit déjeuner qui était servi au restaurant du club de voile où un charmant traiteur nous faisait l’honneur de louer l’endroit chaque année. Le restaurant était situé à l’intérieur d’une maison centenaire où le décor et l’ambiance étaient tout à fait propice à la détente et aux conversations sur les plaisirs de la pratique de la navigation à voile. Tous les membres le fréquentaient.
Chantal observait les gens et était anxieuse de pouvoir manœuvrer mon voilier qui n’attendait que nous. Je préparai le tout et lui expliquai sommairement ce qu’elle aurait à faire quand j’allais le lui demander pour bien profiter de cette journée. Les vents étaient juste parfaits pour sa première expérience, de 10 nœuds environ.
Pendant que je quittais le quai et que je me dirigeais dans la baie pour mettre les voiles, Chantal entra dans la cabine et commença à se dévêtir pour enfiler son bikini. Je voyais ses seins volumineux sur sa poitrine et sa chatte légèrement velue et bien taillée. Elle se rendit compte que je la regardais, fit semblant d’être gênée et se retourna dos à moi. Quand elle se pencha pour mettre la culotte de son maillot, sa vulve se présenta à moi, aussi belle et désirable que lors de nos ébats des années antérieures. Elle fit exprès pour remonter sa culotte bien tranquillement et écarta ses fesses de ses mains pour aussi ouvrir les lèvres de son vagin et que j’aperçoive son anus où un plug anal rose brillant prenait déjà place.
Il n’en fallait pas plus pour que mon pénis entre en érection qui sous l’effet du Viagra me semblait encore plus forte que d’habitude. Chantal avait finalement remonté sa culotte à la hauteur de ses hanches. Je lui demandai de bien vouloir monter les voiles pendant que je naviguais face au vent. Elle s’en tirait fort bien. Je pris le temps de retirer la balancine et de remonter le moteur hors-bord pour pouvoir maintenant naviguer au vent.
J’étais debout tenant la barre et Chantal vit que j’étais en érection sous mon bermuda. Elle s’approcha, s’accroupit devant moi et commença à défaire ma ceinture et le bouton qui retenaient mon pantalon court à la hauteur de ma taille. Elle descendit ma fermeture éclair et eut un commentaire à l’effet qu’elle reconnaissait ce sous-vêtement de couleur qu’elle avait déjà vu sur certaines photos que je lui avais envoyées par sextos.
Elle massa mon pénis en le pressant pour bien le voir se découper sur mes boxers, Elle glissa une main sous l’élastique à la hauteur de ma cuisse pour le prendre et continuer à le caresser tout du long en approchant sa bouche qui l’embrassait et le mordillait par-dessus mon sous-vêtement. Son autre main avait ouvert le dessous de sa culotte et elle se masturbait en même temps. Ses gémissements dévoilaient toute l’excitation qui l’habitait et les miens tout autant.
Elle réussit à descendre le haut de mes boxers avec sa bouche et mon pénis à l’air libre, plus bandé que jamais, se retrouva avec le gland au fond de sa gorge bien profonde. Elle y mettait toute la vigueur d’une femme assoiffée de sexe et le dévorait insatiablement pour faire sortir le nectar de ses testicules. Elle sentit que l’orgasme était proche et retira le haut de son bikini pour diriger ma queue entre ses seins et lui permettre une branlette espagnole. Elle me demandait de jouir sur ses seins, qu’elle voulait tout mon sperme sur sa poitrine dénudée. En un rien de temps, un orgasme délirant traversa tout mon être et mon foutre se déversa où elle le souhaitait pendant que la femme fontaine en elle éjaculait aussi sur le plancher du cockpit où nous étions. Chantal frottait ses seins avec le sperme que j’avais déversé sur eux tel une crème solaire qu’on applique sur la peau. De mon côté je m’étais assis sur le banc du cockpit pour reprendre mes esprits.
Elle ne voulut pas perdre une goutte de mon éjaculat et vint ensuite lécher le bout de mon gland pour bien goûter et nettoyer ce qu’elle avait réussi à accomplir avec tout son appétit sexuel. La matinée avançait et la chaleur augmentait avec la présence du soleil à son point médiant. Chantal me demanda de l’arroser pour la rafraîchir. Je remplis une chaudière d’eau du lac et la déversai partout sur elle. Assise devant moi, nous étions aussi à l’abri des regards et assez loin de la rive. Elle enleva son bikini et était maintenant complètement nue assise, les jambes ouvertes, et commença à se masturber et se caresser les seins devant moi. L’effet du viagra se manifesta à nouveau dans ma queue et je commençai à me masturber également devant elle.
Chantal se mit à quatre pattes dos à moi dans le cockpit du voilier. Elle prit ma queue et la glissa entre les lèvres de son vagin jusqu’à son clitoris. Les mouvements de va et vient continuels et de plus en plus rapides de son bassin provoquèrent, chez elle, une fois de plus une forte éjaculation hors de sa chatte. Cette lubrification soudaine permit à ma verge de s’enfouir dans son antre jusqu’au col de son utérus que je sentais chatouiller l’extrémité du gland de mon dard. Je portai deux doigts sur le plug de son anus pour effectuer sensiblement le même mouvement d’entrée et de sortie que mon pénis dans son vagin. Son plaisir était indéniable. Je lui tirai les cheveux pour ramener sa tête vers l’arrière comme pour la dominer complètement. L’excitation était à son comble et mena à un autre orgasme mutuel délirant.
Après avoir navigué une bonne partie de l’après-midi, l’heure du retour au quai sonna. Plusieurs bateaux étaient déjà rentrés. Chantal encore nue dans le cockpit se mit debout un pied sur le banc et l’autre un peu plus haut sur le pont tout en s’appuyant sur la bôme pour ne pas tomber. Elle commença à se masturber et à caresser ses seins et me demanda de lécher sa chatte qui s’ouvrait devant moi. Sa légendaire lubrification naturelle ne mit pas de temps à se manifester et elle voulut que je la pénètre une dernière fois avant d’accoster. L’effet du Viagra sur ma verge me permit encore d’assouvir nos instincts sans que Chantal ne sache que j’avais avalé un comprimé de ce médicament très tôt pour m’assurer de bien profiter de sa présence cette journée-là!
Un petit repos s’imposait et je l’amenai partager une bonne bouteille de vin blanc bien froid à la terrasse du club de voile, là ou plusieurs marins avaient déjà pris place avant l’heure du dîner. Elle était resplendissante et semblait fort heureuse du déroulement de cette journée. Je lui offris de venir dîner au restaurant en ma compagnie et un couple d’amis avant son retour à la maison. L’ambiance était relaxe et Chantal s’accommoda très bien de la présence de gens qu’elle ne connaissait qu’à peine tout au long du repas. Son tempérament et sa large expérience avec le public y étaient pour beaucoup dans la facilité qu’elle avait à échanger avec tout le monde. Elle portait une petite robe soleil avec des manches descendues en bas des épaules et bien échancrée au niveau du buste. Mon ami et moi n’avions d’yeux que pour ses seins chaque fois qu’elle se penchait légèrement, laissant ouvrir le haut de sa robe devant nous.
La conjointe de mon ami avait deviné qu’il était en érection et ne se gêna pas pour enlever ses sandales et lui masser le pénis au travers ses bermudas avec ses pieds sous la table du restaurant. Elle savait très bien quel genre de faveur elle obtiendrait de lui à son retour à la maison.
Après le repas, les Au revoir se succédaient d’un ami à l’autre. Je regardai partir mon couple d’amis en voiture et à peine après avoir franchi quelques mètres vers la sortie du stationnement, je ne voyais déjà plus la tête, de la conjointe de mon bon copain de voile, dépasser la hauteur des vitres de l’auto en marche. Les seins de Chantal y étaient sûrement pour quelque chose.
Je la pris dans mes bras pour lui souhaiter un bon retour à la maison. Elle passa une main autour de mon cou pour m’embrasser et glissa l’autre le long de la fermeture éclair de mon pantalon. Pendant qu’elle m’embrassait je descendis aussi une main sous son legging et commençai à lui doigter la chatte. Elle se lubrifiait instantanément et accélérait le mouvement de sa main sur ma queue redevenue en érection. Nous devions baiser une dernière fois avant son départ, mais où?
Chantal m’avoua qu’elle pouvait aménager une couchette en rabaissant les sièges arrière de sa mini van. Après avoir placé sa voiture un peu à l’écart et loin des curieux, elle s’exécuta et nous voilà nus tous les deux couchés l’un sur l’autre prêts à faire l’amour à nouveau. Elle prit bien soin de s’assurer de sucer ma queue avant de se placer en position levrette pour que je puisse l’enculer comme elle le souhaitait. Elle ne portait plus son plug anal qui avait semble-t-il effectuer son travail de dilatation tout au long de la journée. Elle sentit chaque centimètre de ma verge pénétrer son rectum jusqu’à ce que mes testicules atteignent les lèvres de son vagin. Elle se masturbait et se doigtait pour aller chercher toute la jouissance qu’elle désirait pour nous deux. Je l’entendais gémir à tout rompre et crains quelque peu qu’on nous surprenne dans nos ébats.
Quelques minutes suffirent pour nous faire monter une fois de plus au septième ciel avec chacun notre éjaculation de liquide orgasmique.Des serviettes eurent tôt fait de nous éponger un peu après cette merveilleuse baise une fois de plus, si courte soit-elle. Ce n’était pas de gaieté de cœur que nous devions nous quitter pour rentrer chacun chez soi mais avec la promesse de garder contact pour longtemps encore. Plus tard, Chantal m’envoya un message texte pour me dire qu’elle était bien rendue chez elle, saine et sauve avec photo à l’appui. Hmmmmm! Je fus rassuré!
Diffuse en direct !
Regarder son live