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Massouana

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Une fée apparut. Grande, élancée, le visage d’un ovale parfait cerclé de longs cheveux blonds plus bouclés encore que les miens. Oh non! Pas elle! Pas dans ces circonstances! Je ne l’avais jamais observée autrement qu’en training. Elle était super belle dans sa mini-robe en coton qui enveloppait à grand peine son arrogante poitrine dont la naissance débordait copieusement de son décolleté. L’inconnue, c’était Elisa, ma prof de gym, qu’Anne, la directrice de ma future école, bécotait depuis qu’elles avaient passé, enlacées, le seuil de la porte. Elle s’approcha d’Aisha qui me servait toujours de siège et l’embrassa sur la bouche. — Je vois que cela te fait toujours autant d’effet d’avoir quelque chose entre les jambes pour te frotter.— Où étais-tu partie, toi? J’ai essayé mille fois de te contacter.— En stage de naturisme à Massouana. Au départ, je me suis laissée séduire par ma copine Anne qui me parlait de cette île comme d’un paradis sexuel pour femme libérée. Finalement, je ne te conseille pas. Les résidentes ne se tiennent plus dès qu’une jolie fille passe à proximité de leurs mains, à fortiori si elle est nue. — Ne me dis pas que tu te laissais toucher par toutes ses femmes!— Évidemment que non! Uniquement par celles qui me désiraient et qu’Anne me désignait. C’est cela la liberté sexuelle, façon amazones. Une sorte de tradition qu’il est très malpoli de refuser mais c’est épuisant à la longue, je ne te dis pas.— Dis, c’est chelou ta relation avec la directrice!Anne avait abandonné la taille de son amante pour glisser sa main sous sa robe qu’elle retroussa comme pour me montrer que ma prof avait oublié sa culotte en Afrique. Instinctivement, Elisa, couverte de honte, resserra les cuisses.— Anne! Non! Pas maintenant! — Tu ne l’as pas encore fait aujourd’hui. C’est très mauvais de se retenir. Et puis, une prof doit montrer l’exemple à ses élèves, non?Aisha en profita pour me faire glisser sur sa jambe de sorte que mon genou entre en contact avec son pubis. Elle entama une danse lascive en vantant le velouté de ma peau. — Ah! Petite garce, comme tu es bonne. Tu ne pourras pas éternellement recevoir sans rien donner.Obnubilée par le désarroi d’Elisa que Myriam et Agnès prenaient maintenant d’assaut, je ne me rendis pas compte que Charles venait de descendre ma valise. Je me demandais avec une crainte mêlée d’excitation jusqu’où elle irait pour plaire à Anne. Ses yeux pétillentEt le temps s’arrêteJe me sens vacillerJe ne peux plus parlerElle était tellement belleQue je ne voyais qu’elleMon sang se glaceJe m’imagine à sa placeJe jouis sur la cuisse rondeEt de mes sucs, je l’inonde
Aisha, électrisée par ma jouissance, se frottait comme une démente contre ma rotule. Quand elle cria son plaisir, j’ai cru qu’elle allait m’arracher les seins. D’un bond, je me débarrassai de l’emprise de la Libyenne frustrée pour libérer ma chérie.
— Elisa! Ne te laisses pas faire! Tout est filmé dans cette maison. Trop tard! La prof de gym venait de succomber au plaisir sous le regard amusé de l’horripilante Anne qui remit une couche sur ma confusion.— La petite pisseuse serait-elle jalouse ou possessive?— Une fille possessive et jalouse est juste une fille amoureuse.Elisa avait repris ses esprits et terminait de se rhabiller.Promenant ses longs doigts fins sur ma poitrine, elle me remit directement sur orbite.— Tu viens de me faire une déclaration d’amour là ou je me trompe.Je rentrai la tête dans les épaules, honteuse de devoir dire tout haut ce que j’avais encore avait du mal à m’avouer.— C’est un peu ça, oui. Tu m’as beaucoup manquée.— Ce n’est pas l’impression que m’a laissée la vision de ton album de photos souvenirs. Regarde-moi! Nos visages étaient très prés l’un de l’autre. Mon dieu ! Son visage, son joli visage avec ses yeux noirs qui me regardent et sa bouche qui s’entrouvre. Je vais craquer ! Un simple mot et tout peut basculer. Elle me désire et je le sens. Je ne sais pas encore à ce moment là si je souhaite vraiment qu’elle me prenne.
— N’aies pas peur, je ne vais pas te bouffer !
— Je n’ai pas peur !
— Menteuse ! Regarde-moi dans les yeux ! Mieux que ça! Tu es constamment en chaleur ! Une vraie truie ! Avoue!
Je ne savais pas trop à quoi elle voulait jouer, je ne savais pas trop non plus si j’allais accepter de le lui répondre. Tant pis.
— Oui Lisa, tu as raison. Je suis une truie en chaleur.
Et voilà ! L’estocade. Elle sape toutes mes défenses. Je fonds. Sa bouche cherche la mienne. Je n’offre aucune résistance et je l’accueille. Ses lèvres rencontrent es lèvres. Sa langue se mélange à la mienne. Quelle drôle de fille cette Lisa! Elle est capable de rouler une pelle à deux filles dans la même minute. Je m’en fous. Je me sens toute vibrante et j’ai envie de vivre ce moment à fond, de le faire durer toute ma vie.
— Tu mouilles vraiment beaucoup, ma chérie. Mon petit doigt me dit que tu serais partante pour corser un peu le jeu, non? — Ca dépend! Dis toujours!Quand elle me demanda pour l’accompagner à Massouana pour devenir ni plus ni moins que son esclave sexuelle, je fus prise d’un vertige qui aurait pu me conduire à la syncope si je ne réagissais pas immédiatement.— Tu blagues. C’est méchant de faire des promesses pareilles. Je suis toute trempée maintenant. — Ce n’est pas une blague, Laure. J’ai une envie folle de bien m’occuper de toi, là-bas mais hélas pour toi, je ne suis pas la seule à être animée de ce désir. Tu as pu remarquer qu’Anne et moi sommes très liées. Il est indispensable qu’elle marque son accord. Cela vaut également pour toutes les filles qui habitent sur l’île.
Aisha devait être sous alimentée de longue date. Elle avait attaqué méchamment le buffet et un morceau de feuille de salade lui collait aux dents. Elle trouva marrant de se joindre à Anne pour participer à mon humiliation.
— Personnellement, je ne serais pas opposée à l’idée de dresser cette emmerdeuse. Un petit stage chez nous lui ferait le plus grand bien. Tout dépend d’elle, maintenant. Tu as entendu, larve baveuse? Demande-nous gentiment si nous t’acceptons dans notre communauté!
Anne m’attrapa par les couettes et m’obligea à plier les genoux. Perdue, comme une petite fille prise en faute, je me retrouvai à quatre pattes, le front collé contre le carrelage.
— Voulez-vous de moi dans votre école? J’aimerai tellement devenir votre amie.— L’amitié ne marche chez moi qu’avec les filles moches. Les gros bébés comme toi, je n’y peux rien, je ne pense qu’à les torturer. J’ai remarqué que tu étais choquée par ma façon de me divertir avec ta jeune enseignante. Si tu préfères prendre sa place, je n’y verrai aucun inconvénient.— Anne, tu exagères.
— Je suis d’accord si c’est pour que vous la laissiez tranquille.
— Tu vois comme elle t’aime. Laisse-moi faire, Lisa! Je sais que tu rêves de brouter son petit minou. Plus tu seras sévère et exigeante, et plus Laure t’adorera et te vénéra. Donne-lui ton papier!— Laure! Si tu tiens à moi, lis ceci à haute voix! Je veux que la quarantaine de filles qui nous regardent sous les tropiques comprennent clairement ta motivation.— Oh Lisa! Pour toi, je sauterais à l’élastique sans élastique mais lire ce truc là, je ne peux pas, vraiment pas...— Et pourquoi pas ?
— Je ne les connais pas.
— Ce n’est pas grave, vous ferez connaissance.
— Y pas que ça. Je te l’ai dit déjà mais tu ne m’as pas écoutée. Tout est filmé ici et Charles envoie les images à qui il veut.
— Raison de plus! Je n’ai pas honte d’avoir fantasmé sur tes fesses quand j’étais à Massouana. Écarte tes cuisses ! J’en connais qui s’impatientent de revoir ta petite chatte. Ne joue pas la mijaurée de service! Quand on jouit sur la cuisse d’Aisha, rien n’est impossible.— Laisse tomber, Lisa. Si ça l’embête, nous partirons sans elle. Moi, j’en ferai pas une maladie mais je m’inquiète pour toi. Je crois que les amazones vont t’en faire baver grave pour ne pas être parvenue à la convaincre. Allez viens ! On s’en va.
Je repris illico ma position, front collé au sol et cuisses à l’équerre. Me dominant de toute sa hauteur, Elisa sauta sur mes reins.— Je te remercie pour ton sacrifice, mon bébé. Tu viens de m’épargner de longues heures dans la chambre des tortures en prenant ma place.
— Pardon! Explique-moi!
— Tu comprendras plus tard. Ces pauvres filles meurent de faim là-bas sur leur île. Elles tirent leurs seuls revenus de films euh...Tu comprendras plus tard. Elles étaient à la recherche d’une jeune actrice à martyriser et les prétendantes n’étaient pas légion. Je suis très heureuse que le rôle principal te revienne. Tu es bien meilleure que moi devant la caméra. Alors, tu lis ta bafouille maintenant.— Je peux te poser une question ?
— Pose toujours!
— Tu me fais marcher ou quoi ? Des fessées, des pinces, des trucs comme ça, d’accord ! Et encore sans exagération. Mais si c’est pour m’abîmer ou me défigurer...
— Abîmer une petite frimousse comme ça, il faudrait être folle ! Il est tout à fait possible de faire torturer une fille sans la démolir.
— Dis-moi tout de suite ce qu’elles vont me faire et combien de temps cela durera !
— Je n’ai rien à te cacher. Elles vont te faire du mal et te faire du bien ! Personne ne pourrait t’en dire plus à l’heure actuelle. Disons que c’est surtout une question d’argent! Le scénario sera choisi au jour le jour en fonction des desiderata des plus offrants.
— Du plus vicieux, tu veux dire! Comme dans les films que Charles me passe tous les soirs...
— Non! Des plus vicieux. Et ne me fusille pas avec tes yeux verts, l’idée n’est pas de moi, tu t’en doutes!
— Et de qui s’il te plaît? J’ai un mot à lui dire.
— C’est une émanation du cerveau de ton tuteur qui, couplée au carnet d’adresses de Madame Rose, devrait permettre de récolter pas mal d’argent si ton corps inspire de généreux donateurs.
— CHARLES !!!
Charles et Maitre G s’extirpèrent de leurs fauteuils clubs. La conseillère de mon beau-père me tendit un bic, quelques feuilles dactylographiées et me pria de m’asseoir à la table.— Je préfère être franche avec toi. Ce que tu risques de subir est sans commune mesure avec ce que tu as vus dans les films de Mr Charles. Je ne tiens pas à être complice du calvaire qui t’attend à Massouana. Je vais t’offrir une possibilité unique de prendre ton destin en main et de te libérer de la tutelle légale de Mr Charles. Ainsi, tu seras complètement libre de tes agissements.— Pour ça, je ne vais pas dire non. Je signe où?— Il te suffit d’apposer une petite signature là, tout en bas, pour clôturer ta procédure d’émancipation...Voilà! Maintenant tu est légalement majeure et libre de faire ce que tu veux de ta vie.— Et gestionnaire de la fortune de ma mère biologique.— Ah non! Pas encore! Tu devras encore attendre deux ans, Laure. Regarde! C’est inscrit là en petits caractères.Charles jubilait.— Donc, Maître, nous sommes d’accord. Je deviendrai de fait son seul héritier si un malheur arrivait avant ses dix huit ans.— Parfaitement!Un accident! Il en avait parlé à Liliane. C’est exactement ce que projetait mon beau-père pour se débarrasser de moi. — Je ne veux plus rester une seconde de plus dans cette maison. Ce monstre est capable de m’égorger ou de me jeter sous le train.— Alors il te suffit de signer là, tu vois, et tu poursuivras une scolarité bien encadrée au soleil des tropiques.— Vous permettez que je lise votre feuille ce coup-ci?Scolarité garantie avec obtention d’un diplôme d’études secondaires à la fin de la première année de cours...formation à l’art théâtral...pension complète, cours de sport, logement, habillement, soins médicaux et matériel scolaire compris dans le minerval...Ah! Attention. Les petits caractères. La direction décline toute responsabilité...bla bla bla. Elles ne se mouillent pas. C’est quoi ça...La candidate s’engage à respecter strictement le règlement de l’établissement sous peine de sanctions qui seront définies, en temps opportun, par le conseil de discipline. Les dites sanctions ne seront pas opposables au conseil et constitueraient une rupture de contrat dans le chef de la candidate.
— Je peux le voir ce règlement, surtout les sanctions.
— C’est inutile. Ce genre de règlement est strictement pareil dans toutes les écoles. Tu le respectes et tout se passera bien.
— Soit, je serai obéissante ! Je continue.
La candidate s’engage à renouveler pour vingt ans le bail de location en cours qui s’achèvera le 31/12/2002. Si par défaut, la candidate sus nommée est dans l’impossibilité de signer en personne ce nouveau bail dans la semaine précédant la date convenue, par défaut, elle sera considérée comme actant une rupture de contrat.Si la candidate ne mène pas sa scolarité à terme, la rupture de contrat sera également patente et la candidate propriétaire s’engage également à rétrocéder sa propriété de Massouana, en ce y compris son patrimoine mobilier et immobilier, à l’ASBL "Hakim Invest ", actuel locataire de l’île de Massouana.
Pour accord entre les parties cosignataires...blablabla
— Tu signes ici, en bas de chaque page à côté de la signature d’Aisha...Lu et approuvé...Parfait!Charles se régalait. Il venait de se débarrasser des deux objets les plus encombrants de son patrimoine. L’île et sa pupille.
— Prends grand soin de toi! Imagine un instant que tes études t’épuisent au point de ne pouvoir signer le bail! Aisha deviendrait de fait propriétaire de l’île. Je compte sur toi Aisha pour ne pas trop abuser de sa jeunesse. Désolée, miss belles cuisses, mais telle est prise qui croyait prendre.Maitre G s’éclipsa discrètement après m’avoir remis un double de ses précieux contrats.Madame Rose gloussait en confiant à Aisha la super connerie que je venais de signer sur la deuxième page.
— Non! Inutile de l’embarrasser davantage en l’obligeant à lire en public la page de Lisa. Elle vient de de la signer sans s’en rendre compte.
— Comment ça ? Où ça?
— En bas de la deuxième page, stupide limace! Ton statut d’adulte légal n’a pas l’air de t’avoir développé le cerveau.

"Plusieurs médecins ont diagnostiqué chez moi un syndrome persistant de l’excitation sexuelle (PSAS). Je m’engage à subir un traitement expérimental dans le but de gérer cette excitation sexuelle constante qui ruine ma vie et rend impossible une scolarité normale. J’ai pleinement conscience des exigences et des risques de ce traitement pour ma santé mentale et physique. J’accepte d’être filmée et renonce à mon droit à l’image pour que l’expérience puisse servir la science. Maître G a reçu et acté mon consentement éclairé. Mes professeurs ne sauraient donc être tenus responsables de mettre ma vie en danger en me confrontant à la souffrance physique qui est inhérente à l’efficacité de la thérapeutique".

— Je ne suis qu’une conne.
— Non! Une truie en chaleur, une petite gouine, une salope, une cochonne, une pute et tu seras traitée comme telle. Pour commencer, remets-toi à quatre pattes et baisse les yeux! Tu es notre pute et tu offriras ton cul à la demande. Ta chatte ainsi que tous tes orifices nous appartiennent, et tu n’auras plus jamais à te soucier de ta destinée. Un bon conseil! Fais en sorte que je ne doive jamais te le rappeler! Rampe jusqu’au buffet maintenant! Je veux voir tes loches lustrer le parquet. Fais un effort! Cambre-toi plus et montre-nous comment tu remues tes fesses! Lisa, fais-lui faire une dizaine de tour de table en marquant un temps d’arrêt devant chacune de nous pour que nous commencions immédiatement le dressage.Elisa s’amusait à me tourner autour, me frappant avec son martinet avant de me caresser tendrement de la main. Comme préconisé, je la remerciais pour chaque coup. Les convives dévastaient le buffet sans se préoccuper de la chienne qui, ventre à terre, offrait sa croupe en slalomant entre elles.
— Je te trouve que tu as une voix bizarre. Tu me remercie avec trop de conviction quand je te fustige. Ose seulement jouir sans ma permission!La jeune brunette prit tout son temps, explorant de son martinet et de sa bouche le corps entier de sa coquine. Je sentais les lanières fouetter mes seins, mes cuisses, mon dos. Ma maîtresse dosait avec art la puissance de ses coups, certains échauffaient à peine sa peau alors que d’autre me mettaient au supplice. Je n’avais aucune chance de résister longtemps à pareil traitement. Quand Elisa me mordilla l’épaule en me pinçant les fesses, un torrent d’émotions s’empara de moi et me submergea. Elisa écarta mes fesses et s’amusa avec son anus, tout en caressant ma poitrine de son autre main. Je suis fière de toi. Tu résistes assez bien au plaisir. Pour l’instant, je veux dire. Concentre-toi! Plus que neuf tours à tenir!— Oh Elisa! Pourquoi m’allumer comme ça ?Je venais de terminer le deuxième tour quand je finis par jouir sous les lanières de cuir. Mes écluses s’ouvrirent en grand et un cri effrayant accompagna l’orgasme le plus violent de ma vie.Anne récolta ma liqueur dans un tube à essai et le mit dans un bac à glace.— Merci, Elisa! J’espère que tu ne m’en veux pas d’avoir crié aussi fort. — C’était un régal pour nos oreilles. S’il ne tenait qu’à moi, je t’obligerais à récidiver tout de suite. Mais tu es probablement trop fatiguée pour recommencer.Madame Rose semblait d’un avis différent.— Pas du tout, mais alors là, je ne suis pas du tout fatiguée. Votre doigt dans mon vagin, c’était magique. C’est la première fois qu’un orgasme partait de l’intérieur. J’ai cru mourir mais je veux bien recommencer tout de suite.— Je me demande finalement si ce serait une bonne idée. Les filles qui peuvent jouir plusieurs fois de suite sont certes des amantes très recherchées. Hélas, la plupart des femmes deviennent hypersensibles après un orgasme et ne se laissent plus toucher. Tu ne dois pas échapper à la règle.— Non, non, non! Chez moi, c’est tout le contraire qui se produit. Souvent vers la quatrième ou la cinquième fois, mon clitoris devient plus gros et il est tellement douillet et sensible que je suis capable de partir toutes les deux minutes. — Tu veux me faire croire que tu as déjà joui plus de cinq fois de suite? A ton âge! C’est très vilain de mentir.— Mais si, c’est vrai...Charles, dis-lui! Même que tu m’as dit que je mouillais beaucoup plus quand mon Titi grossissait. Mais si! Même que tu n’as plus voulu me toucher après pour me punir d’avoir trempé ton pantalon. M’enfin, souviens-toi! Tu m’as même dit que mon clito était tout ressorti et que tu avais peur de lui faire mal. Moi, j’avais trop envie que tu lui fasses mal dans ces moments là.— Peut-être pas comme j’avais envie de te faire mal.— Ne cherche pas d’excuses! Tu as arrêté trop vite. Je sentais que cela allait devenir géant. Tu t’arrêtes toujours trop vite d’ailleurs. Cela ne vous dérange pas si je me regarde un peu dans le miroir. Je ne me suis jamais vue toute nue en escarpins.— Dépêche-toi! Nous allons te préparer une petite surprise dans la dépendance. J’ai fait installer une caméra que les filles qui t’attendent à Massouana pourront contrôler à distance. Je dois encore la tester. La dépendance! Cet endroit m’attirait tel un aimant. Depuis peu, Charles s’était découvert une passion pour le bricolage. Il y passait tout son temps à scier, clouer et forer.— Chouette! C’est hyper excitant. J’arrive tout de suite.— Non! Toi, tu restes ici sagement avec Lisa qui te surveillera. En attendant, je te laisse le plaisir de déballer le cadeau que ta directrice t’a apporté.— C’est gentil, ça. Merci! Fallait pas!Tout le monde avait quitté la pièce, pour discuter de mon cas certainement. Je restai seule avec Elisa et le miroir.— Tiens! Ma poitrine a encore grossi. Dommage que mes tétons soient aussi longs et se raidissent dès qu’on les touche. Enfin, avec un peu de chance, si tes amies sont comme Agnès, elles préféreront aussi les voir bander" comme elle dit.— Tu parles toute seule, maintenant? Laisse-moi te faire un gros clitoris! Tu m’as mis l’eau à la bouche.— Comment tu me trouves? Oh non! Tu exagères. Attend encore un peu, Elisaaaaa! Le plaisir fut d’une intensité extrême et d’une longueur inattendue. Elisa me maintint au sommet de la courbe durant plusieurs minutes qui me parurent des heures. Une véritable révélation. Quand je redescendis sur terre, j’eus la surprise de la voir déballer un bien curieux vêtement.— Zut! J’avais oublié le cadeau de Madame Rose. Que fais-tu?— Je suis toujours filmée là? Oui! O.K. Je prends des poses sexy devant le miroir, comme dans les films de Charles. Non mieux! Moi, je suis capable de tenir sur une jambe en coinçant ma cheville derrière ma nuque. Regarde! Que dois-je faire avec ce bout de tissu?
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