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Master of Puppets

Chapitre 1

Un message inattendu

Erotique
Ce midi encore, le soleil illumine les rues Saint-Loises et moi, je n’entends rien de plus qu’un bourdonnement de la discussion qui se tient à ma table alors que mon regard et mon esprit divaguent. En attendant que le serveur nous ramène, à mes collègues et moi, nos boissons et notre planche de saucisson récemment commandées, je ne peux m’empêcher de régulièrement détourner mon regard sur une des tables voisines.
Alors que nous étions attablés en terrasse avec notre petit noyau dur de collègues, après avoir décidé dans la journée de venir boire un coup au Castel après notre journée de travail, mon attention s’est machinalement posée sur cette jolie brune à quelques tables de nous. Elle était de trois quart, face à celui qui devait être son petit copain, et portait une robe dont la luminosité soulignait le rouge vif, suffisamment courte pour laisser apparaître un petit triangle de dentelle blanche entre ses cuisses.
Ses fines cuisses étaient parallèles et loin d’être ostensiblement ouvertes. Mais j’avais la chance d’avoir une place qui permettait un angle de vue sur une partie de son sous-vêtement qui semblait plutôt sexy et d’un blanc qui ressortait du rouge qui l’entourait. Je ne pouvais me permettre de garder la vue sur cet entrejambe mais ne pus non plus m’empêcher de régulièrement ramener mon regard à cet endroit.
Mon attention se détourne encore une fois lorsqu’avant de descendre plus bas, il me semble croiser son regard et distinguer sur ce joli minois encadré de mèches brunes un léger sourire. Je détourne immédiatement les yeux, me demandant s’il m’était destiné avant de la regarder de nouveau, essayant d’être plus discret que la fois précédente. Elle semble cette fois absorbée dans une discussion avec son compagnon mais je peux voir ses cuisses maintenant bien plus entrouvertes.
Je peux maintenant voir la quasi entièreté de ce qui semble être un string mais malgré les parties de dentelle en transparence, d’où je suis, je ne peux pas plus distinguer ce qu’il cache vraiment. Je sens alors mon sexe gonfler et me demande si cela fait suite au sourire et si là encore, cela m’est destiné.
— "Bruno, tu en dis quoi toi ?" me demande brusquement Patricia, me sortant de mon rêve éveillé.— "Hein ?! Je… De quoi ?" réponds-je sans avoir écouté un mot de la discussion.— "La note de service qu’ils nous ont encore pondu aujourd’hui, t’en penses quoi ?"— "Ah ! Bah je ne sais pas trop, faut voir à l’usage." balbutié-je, pas du tout intéressé par cette discussion.
Je regarde alors de nouveau sur le côté et voit cette belle brune se relever et se retourner pour partir. Je ne vois alors plus que du rouge et je crois encore deviner un regard de sa part à mon encontre au moment de se retourner. La déception de ne plus pouvoir assister à ce spectacle me gagne, tout comme le fait de me dire que je ne saurai jamais si ces sourires, regards et invitations étaient bien pour moi, comme ce fut le cas pour l’autre sujet qui me tracasse l’esprit.
En effet, si mon regard divaguait sur ce string blanc qu’il m’était offert de voir, mon esprit était lui préoccupé par le message que j’avais reçu hier soir très tard. J’espérais que cette petite soirée entre collègues me viderait la tête mais je me retrouve finalement à être parmi eux sans réellement être présent. Heureusement, le serveur me sort à nouveau de ma léthargie.
— "Le coca avec glaçon ?"— "Oui, c’est pour moi !"— "Ah ! Ça écoute du metal et ça boit du coca ! Tu pourrais prendre une Queue de Charrue comme nous !" me chambre encore mon collègue David.— "Allez ! À la nôtre !" lancé-je alors en levant mon verre glacé et en prenant deux rondelles de saucisson au camembert.
Je me décide à essayer de me concentrer sur mes collègues et y arrive finalement, profitant du reste de la soirée, au rythme de mes verres de soda américain, des chambrages de David et des différentes sortes de saucisson que chacun paie à tour de rôle. Les rires et la bonne ambiance me vident un peu la tête. Après tout, j’aurais bien le temps de repenser plus tard à tout ça…

"Tout ça" a commencé il y a un petit mois. Nous étions invités un dimanche midi chez les grands-parents de ma femme Estelle. Je n’étais pas motivé à l’idée de ce repas de famille sachant que si elle était toujours ma femme, nous savions déjà tous deux que cela ne durerait pas. J’avais en effet découvert à ma grande surprise qu’elle m’avait trompé avec celui qu’elle disait être son meilleur ami, et même plusieurs de ses copains.
Un soir où elle était en stage pour le travail, je suis tombé sur son ancien téléphone que j’ai essayé de faire redémarrer pour avoir un téléphone de secours. Il a fini par se mettre en route et avec la synchronisation des messages, je suis tombé malgré moi sur tous leurs échanges et j’ai pu ainsi tout découvrir avec la plus grande stupeur. Elle n’était évidemment pas réellement en stage et les jours qui ont suivis ont été très compliqués.
Outre le fait de me sentir le roi des cocus alors que je ne l’aurais jamais soupçonnée, j’enrageais également de savoir qu’elle puisse se donner à d’autres alors qu’elle n’acceptait pas certaines de mes envies, certains de mes désirs, qui restaient donc des fantasmes pour moi par respect pour elle. Cela avait déjà créé certaines tensions entre nous et je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’elle avait peut-être assouvi ces mêmes choses avec d’autres…
Malgré tout, après de longues discussions, je lui ai pardonné, nous nous sommes redonnés une nouvelle chance mais après un début prometteur, nous nous sommes aperçus que tout cela avait trop cassé notre relation et qu’il était mieux pour tout le monde que nous poursuivions chacun de notre côté. Le fait de ne pas avoir d’enfants facilitait aussi la chose mais nous n’en avions encore parlé à personne, cherchant toujours le meilleur moyen de le faire.
Je n’avais donc pas forcément envie de ce grand repas alors que ça n’allait bientôt plus être ma belle-famille. Je me décidai finalement à accompagner ma future ex-femme malgré tout. Sur place, il y avait une grande tablée dont la moitié était ombragée par un gros arbre et la plupart des invités étaient déjà présents, à discuter par petits groupes autour de l’apéritif déjà à disposition. Je pouvais voir que le soleil et l’alcool avaient déjà un peu fait effet.
Je connaissais bien sûr ses grands-parents, ses parents, certains de ses oncles et tantes mais pas tous, ainsi que certains cousins que je n’avais jamais vus. Elle fit les présentations et finit par me présenter son cousin Jérôme qu’elle n’avait pas vu depuis de longues années. Il nous présenta à son tour sa femme Odile et sa fille Louane qui n’avait pas l’air plus ravie que moi d’être là, surtout quand son père insista et se vanta sur le fait qu’elle avait eu son bac cette année et qu’elle intégrait l’université à Caen à la rentrée.
Nous nous installâmes ensuite à table et je me retrouvai en extrémité de tablée, en plein soleil. J’avais l’insupportable tonton Bernard à ma droite, Estelle à ma gauche, Jérôme en bout de table entre ma femme et Odile qui avait sa fille à sa gauche. Et ce fut le début d’une très longue liste d’anecdotes sur leur jeunesse.
— "Oh ! Et tu te rappelles de la fête qu’on avait faite dans le champ de René, le voisin ! C’était quelque chose !" lança-t-il à un moment— "Oh que oui, je m’en souviens !" ricana Estelle— "C’était autre chose que les fêtes de maintenant ! Louane a fêté ses 18 ans il y a 15 jours, elle a invité une bande de copains à la maison et je ne suis pas sûr qu’ils aient fait autre chose que boire !" ajouta-t-il en regardant sa fille, timide et qui ne parlait quasiment pas, pour la taquiner lourdement.
Elle ne prit même pas la peine de répondre, fit la moue en soufflant et levant les yeux d’exaspération. Son regard vert translucide se plongea alors dans le mien et un frisson me parcourra alors l’échine sans trop comprendre pourquoi. J’avais remarqué qu’elle avait pu regarder de temps en temps dans ma direction mais j’avais l’impression que c’était plus vers mon maillot City Edition des Miami Heat floqué du numéro 22 que vers ma personne.
Son regard m’avait transpercé et me rappela qu’il était en accord avec son visage et sa plastique que j’avais pu admirer lors des présentations, sans plus m’y attarder vu mon âge comparé au sien. Elle était assez grande, dans les 1m78, le visage fin, doux et parfaitement proportionné. Des cheveux châtains assez raides, mi long, et avec quelques mèches blondes finissaient de le mettre en valeur.
Sa poitrine moyenne, peut-être un 85C, semblait aussi ferme que son âge le laissait imaginer et était parfaitement mise en valeur dans son petit haut moulant blanc qui laissait apparaitre le bas de son ventre. Une longue jupe assez serrée aux motifs et teintes bleus et des petites chaussures ouvertes blanches complétaient sa tenue. Mais bien que jolie et charmante, je ne m’appesantis pas dessus, de part sa jeunesse, jusqu’à ce regard transperçant.
Les anecdotes du passé reprirent entre Estelle et Jérôme et le regard de Louane se posait maintenant plus souvent sur moi, et pas sur le maillot, et avait surtout l’air d’avoir changé. De mon côté des idées me traversèrent la tête et je fis en sorte de vite les oublier, même si l’intensité des coups d’œil que pouvait me lancer parfois cette jeune fille me donnait des sensations et des visions en moi que je ne pouvais avoir.
Elle décrocha même son premier sourire lorsque son père racontait qu’elle faisait du basket depuis 3 ans et qu’elle était, évidemment, la meilleure de son équipe. Elle prit alors une attitude gênée mais me lança paradoxalement un regard plutôt coquin qui allait et venait entre mon maillot et mon visage. Je compris alors pourquoi ma tenue l’intéressait depuis le début du repas mais toujours pas pourquoi ces tels regards.
Jérôme et sa famille durent partir assez tôt et saluèrent tout le monde de loin. Louane fit de même mais j’eus l’impression que son regard était de nouveau appuyé envers moi lorsqu’elle lança un "au revoir" lancinant avec un sourire en coin accompagné d’un petit signe de la main. Je me dis alors que je serais maintenant peut-être plus à l’aise, tout en admirant ce fessier rebondi qui faisait danser la jupe bleue au rythme de ses pas.
La semaine qui suivit, je ne pus contrôler quelques rêves érotiques avec cette fille à peine majeure dont je ne connaissais quasiment que le prénom. Cela s’éroda bien évidemment avec le temps et à part quelques flashs de son regard et de son corps qui me revenaient malgré moi, je n’y pensais plus jusqu’à ce que je reçoive ce message, environ un mois après, peu avant minuit.
[SMS,Numéro Inconnu,Bruno]< Bonsoir,< C’est Louane, je ne sais pas si vous vous rappelez...< J’ai longuement hésité avant d’écrire ce message, j’ai déjà failli plusieurs fois l’envoyer avant de me raviser. J’ai récupéré votre numéro dans le téléphone de mon père, vu que vous lui aviez envoyé une photo que vous aviez et qu’Estelle voulait que vous lui transmettiez lors du repas de famille.< En fait je ne pense qu’à vous depuis ce repas… Vous occupez toutes mes pensées, même les plus inavouables.< J’ai un petit copain, j’en ai eu quelques autres, mais je ne prends aucun plaisir et j’aimerais le découvrir avec une personne d’expérience. Et vous êtes séduisants, vous aimez le basket comme moi et vous m’avez gentiment ramené une canette de coca frais lorsque vous êtes allé en chercher une pour vous. < Et j’ai entendu mon père dire que vous alliez vous séparer de votre femme.< J’imagine que vous ne devez pas comprendre ma démarche, ou penser que c’est une mauvaise blague mais c’est totalement sincère… Je ne me l’explique pas moi-même.< Vous pouvez bien sûr ne pas me répondre, je comprendrais, mais sachez que dans tous les cas, je compte vous prouver à quel point je suis sérieuse…
Il est près de 23h, nous vidons nos derniers verres et nous souhaitons un bon week-end avant de nous retrouver lundi. Je repars de mon côté et ce message revient immédiatement me hanter. Je n’y ai toujours pas répondu, je ne sais pas trop quoi répondre, des sentiments différents s’entrechoquent et le mieux et peut-être de le laisser s’oublier, nous ne nous reverrons certainement jamais de toute façon.
Je reçois alors une notification de nouveau message qui me sort de ma réflexion. C’est un nouveau message de Louane, un MMS pour être plus précis. Une partie de moi hésite à l’ouvrir alors qu’une autre ne demande qu’à découvrir cette probable photo. Après quelques secondes de réflexion, je finis par ouvrir le message. La photo s’affiche et je ne peux m’empêcher d’appuyer dessus pour la passer en plein écran.
Le haut du visage est hors cadre mais je peux la reconnaître à ses lèvres légèrement charnues et finement dessinées. C’est bien elle, allongée sur un lit surmonté d’une couette blanche, sûrement le sien, appuyée sur ses coudes et les jambes largement écartées. Elle porte une culotte de coton arc-en-ciel et un top rose avec une tête de panda cartoonesque en son centre, comme pour accentuer un peu plus sa jeunesse.
Son haut est suffisamment court pour que je revois son ventre plat et suffisamment tendu pour que je découvre la naissance du bas de ses seins fermes qui pointent comme des cathédrales, déformant de la pointe de ses tétons la tête du pauvre ursidé de l’empire du milieu dessiné dessus. Le tissu rose tendu est surmonté d’un sourire coquin avec le coin de la lèvre inférieure légèrement mordu.
Je reste totalement incrédule et bouche bée devant cette photo d’une intensité sexuelle rare, surtout depuis quelques temps pour moi… Cette position, ce sourire, ce corps, tout transpire la luxure devant mes yeux ébahis. Je reste ainsi sur le trottoir du chemin du retour, sans bouger, le temps s’est comme arrêté et je ne sais comment réagir, au contraire de mon sexe qui se sent d’un coup à l’étroit dans mon boxer.
Je reçois alors un nouveau message qui me permet enfin de me reprendre.
[SMS,Louane,Bruno]< Je t’avais prévenu que je te prouverai à quel point j’étais sérieuse… 😋
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