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Masturbation avec maman

Chapitre 2

Inceste
C’était devenu une petite habitude que l’on prit : quand il n’y avait rien à la télé le soir, on se proposait parfois de se faire un petit porno, comme on aurait proposé un jeu de société ou un film. Sauf que notre jeu, avec maman, était bien plus amusant. Nous nous masturbions, chacun de notre côté, avec encore moins de gêne que la première fois, n’hésitant pas à jeter quelques coups d’œil sur ce que faisait l’autre et dans quel état il était. Je pouvais facilement savoir lorsque ma mère appréciait particulièrement une vidéo à la vitesse de sa main sur son sexe, main qu’elle ne cachait plus, enfouie dans son pantalon, non, celui-ci était maintenant un peu baissé, j’avais ainsi une vue lointaine sur la touffe de ma mère. Elle, elle pouvait facilement deviner qu’une vidéo me plaisait en regardant mon sexe bandé, gorgé de sang, sur le point d’exploser, dans ces moments-là, je me branlais lentement, me focalisant sur mon gland ; j’avais l’impression que c’est aussi à ces instants-là que ma mère me zieutait le plus.
Puis une idée me vint à l’esprit, je la gardais en tête pendant quelques jours, espérant que cela me passe, mais ce ne fut pas le cas. Je pris alors mon courage à deux mains, un soir où nous nous masturbions à deux :
« C’est devenu si banal ce qu’on fait là… ! Commençai-je.– Comment ça ?– Eh bien, pour beaucoup, ce serait quelque chose de bizarre, mais pas pour nous, c’est devenu presque normal !– Tu trouves ça, bizarre, toi ?– Je ne sais pas, mais ça me plaît en tout cas !– À moi aussi, mon cœur ! »
La conversation s’arrêta là, ma mère poursuivit ses caresses, mais moi, n’étant pas arrivé à dire ce que je voulais, je repris :
« Je veux dire… – ma mère fronça les sourcils, comprenant que je voulais lui dire quelque chose et s’arrêta de se toucher pour m’écouter – je veux dire : pour les autres, c’est quelque chose de bizarre parce qu’ils accordent trop d’importance à ce qu’est la masturbation, mais pas nous !.. On fait ça, comme on pourrait faire toute autre chose ! Moi, je vois ça comme un massage, et il n’y a pas de honte à se faire un massage, pas vrai ?– Non, acquiesça ma mère, il faut se faire un peu de bien dans la vie, c’est toi qui me l’as dit, et on ne fait rien de mal à le faire en même temps, selon moi ! »
Elle me sourit et la conversation retomba encore une fois, je n’avais plus le choix, il fallait que je tente le coup :
« Mais tu dois savoir aussi bien que moi que les massages, lançai-je alors timidement, c’est quand même mieux quand on les reçoit, plutôt que de se les faire nous-mêmes… ! »
Ma mère se mit à rire :
« C’est donc là où tu voulais en venir…, Il faut que j’y réfléchisse… ! »
Elle se tut alors et je pensai que c’était peine perdue, que j’étais allé et voulais aller trop loin. Mais après une minute à paraître pensive, ma mère dit alors à voix haute :
« C’est vrai que si l’on considère ça comme un massage mutuel, il n’y a pas vraiment de mal…, mais il faut que ça reste de l’ordre du massage alors, tu comprends ?.. On utilise que nos mains et rien d’autre… !– Moi, ça me va…, je n’avais que ça en tête, de toute façon !– Bien sûr…, me répondit-elle, espiègle, pour me faire rougir. Et…. tu veux le faire maintenant ?– Pourquoi pas…, et toi ?– Je veux bien…, comment se met-on ? »
J’ai alors proposé que l’on s’asseye l’un à côté de l’autre, en face de la télévision, où le film tournait toujours. Nous avons mis, par pudeur, quelques coussins entre nous, comme pour instaurer une limite. Pour ne rien cacher, nous étions plutôt mal à l’aise et timides, malgré notre envie. Ma mère était encore en train de se positionner quand je lui ai mis la main au panier : pour la première fois, j’ai pu toucher son mont de Vénus. Elle fut un peu surprise et lâcha un petit « hou ! » et se mit tout de suite à me caresser à son tour, comme si elle était en retard. La position n’était pas parfaite, mais je n’en demandais pas plus, nous n’aurions d’ailleurs pas osé nous mettre dans une autre posture, cela aurait paru trop « sexuel ».
Ma main venait frotter son entrejambe, je pouvais toucher ses poils et descendre jusqu’en bas de sa fente humide. Petit à petit, j’essayai d’y aller plus profondément : ses lèvres s’écartaient chaque fois que mes doigts passaient sur sa vulve. Par moment, je m’attardais sur son clitoris. Je ne savais pas du tout si je m’y prenais bien, non pas que ce fut ma première fois, mais on ne sait jamais tout de suite de quelle façon une femme aime être caressée. Puis, ma main a glissé vers le bas, et deux de mes doigts sont entrés en elle. Je pouvais sentir sa tendre chair et à quel point elle était trempée, j’en bandais encore plus. Je suis ressorti de son trou, je suis remonté vers le haut de cette pente du paradis et j’ai de nouveau caressé son petit bouton, m’aidant cette fois de sa mouille comme lubrifiant. Nous ne faisions pas de bruit, nous n’osions pas, nous avalions juste notre salive ou prenions une inspiration lorsque ce que l’autre nous faisait était trop bon pour y résister. Ce fut le cas pour ma mère lorsque mes doigts osèrent fouiller en elle, ses petites joues étaient devenues un peu rouges et je l’ai même vu se mordre la lèvre inférieure, était-elle excitée à l’idée que ce furent les doigts de son propre fils qui étaient en elle et qui lui faisaient du bien ? C’était le cas pour moi, même si je n’osais pas me l’avouer à l’époque, quand elle bougeait sa main en rythme et venait tendrement caresser le bout de mon gland, avec son pouce, d’un geste circulaire.
Je sentais l’intérieur de son vagin se contracter sur mes doigts, j’essayais désespérément de trouver son point G. Elle relâcha ma queue une seconde, la repoussa sur mon ventre pour mieux me caresser la tige de tout mon long, jusqu’à arriver à mes bourses. Elle lâcha un léger gémissement quand elle les prit en main. Je n’en pouvais plus et elle le savait, elle se remit donc à me masturber encore plus vigoureusement. Je fis la même chose avec mes doigts. Je pense que nous aurions tous deux aimé utiliser nos deux mains pour le coup, mais nous devions nous contenter que d’une seule. Tous deux sur le point de jouir de nos caresses incestueuses, nous ne pouvions plus nous empêcher de gémir et surtout de montrer notre plaisir. C’en était trop pour moi, je ne pus tenir et j’ai alors joui entre les mains de ma mère. Nous n’avions toujours pas prévu de quoi limiter les salissures, mais nous n’en avions rien à faire à ce moment-là : j’éjaculai tout ce que j’avais, mes premiers jets partirent vers le plafond, pour retomber sur mes jambes ou mon t-shirt et les quelques dernières décharges coulèrent sur la main maternelle. Ma mère me suivit de près dans son orgasme : peut-être était-ce à la vue de la jouissance de son fils que son corps se contracta et elle serra mon poignet de son autre main pour que je reste là, en elle, et elle bougea ses hanches machinalement, se branlant elle-même sur mes doigts.
Après que nous ayons tous les deux joui, nous sommes restés plantés là, sans rien faire, sans un mot, savourant notre orgasme. Mais il fallut bien bouger à un moment ou un autre, et surtout il fallait que je me nettoie ; maman aussi, sa main était souillée de mon sperme. Nous n’avons échangé aucune parole après ça et je me suis alors demandé si c’était parce que ma mère était pleine de regrets ou parce qu’elle pensait vraiment, comme moi, que nous n’avions rien fait de mal et qu’il n’y avait donc rien à dire.
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