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Mathilde

Chapitre 3

Hétéro
MathildeChapitre 3
Trois mois plus tôt…
« C’est fini. J’en ai assez. Je quitte Seb. Je n’en peux plus de cette vie monotone. »
Ce fut sur cette pensée que je décidais de partir. Seb avait été super avec moi. Il m’avait donné un certain confort de vie dont plus d’une femme rêverait. Il était attentionné, faisait toujours en sorte que je me sente bien. Mais parfois j’avais l’impression d’étouffer. Alors quand il m’a proposé en début de matinée d’aller faire cette promenade sur la plage pour ensuite manger au restaurant, j’ai décidé que ce serait la dernière journée que nous passerions ensemble.
La promenade était sympathique tout autant que le restaurant où nous nous étions arrêtés. Quand il me proposa de renter à la maison pour prendre notre dessert préféré, je compris aisément l’allusion. Il était vrai que côté sexe, c’était le meilleur amant que j’avais eu jusqu’à présent. Il savait écouter mon corps et réagir en conséquence pour me donner du plaisir. Mais parfois j’avais l’impression que c’était au détriment du sien. J’aurai aimé qu’il soit parfois plus bestial.Sur la route du retour, nous en profitions pour nous arrêter sous des porches ou à l’ombre d’entrées de garage pour nous embrasser langoureusement. Nos mains se baladaient sans cesse sur le corps de l’autre. J’aimais le sentir chercher l’entrée de mon intimité. Il me faisait mouiller comme une folle. Son sexe bien gonflé dans son jean me faisait me languir de rentrer.
Lorsque nous passâmes le seuil de notre entrée, nos bouches se collèrent instantanément. Je lui retirai son maillot et déboutonnai son pantalon, sortant son sexe bien gonflé de désir. Je le masturbais doucement pendant qu’il me retirait mon short. Je mouillai toujours autant, il savait y faire. Pour une fois je ne voulais pas qu’il commence son petit jeu habituel, à savoir me faire un cunni. Je l’emmenai, le tenant par la verge, jusque dans le salon. Je le poussai avec force dans le canapé et finis de lui retirer son pantalon. J’en profitai pour lui donner un striptease maison, me débarrassant par quelques gestes élégants et sensuels de mon short et de mon maillot. Ne gardant que mes ballerines et les bas que j’avais mis ce jour-là. Même si je n’en portais pas souvent, je savais qu’il aimait la lingerie. Il me disait ces jours-là que j’étais d’autant plus désirable. Je me mis à genoux devant lui et recommençais ma lente et précise masturbation. A ses soupirs je savais qu’il appréciait. Mais je n’en avais pas terminé. Si c’était notre dernière fois, je voulais qu’elle soit mémorable autant pour lui que pour moi. Je collais sur chibre sur mon visage puis descendis au niveau de ses testicules. Je les léchai et les gobai l’une après l’autre. Puis du bout de ma langue, je remontai tout le long de ce bâton de chaire jusqu’à son gland gros violacé. Je le pris en bouche, faisant tourner ma langue autour. A ses râles de plaisir, mon coquin prenait son pied. Je m’activais comme une affamée sur son sexe, le faisant de plus en plus gémir. Mais je voulais qu’il soit un peu plus bestial aujourd’hui, alors je pris ses mains et les posai sur ma tête. Il comprit où je voulais en venir et il accompagna mon mouvement de tête en appuyant sur mon crâne lorsque je redescendais vers la base de son sexe. Il me baisait littéralement la bouche et je prenais un pied d’enfer moi aussi. Je me caressai le clitoris en m’introduisant un ou deux doigts dans la chatte. Mes cuisses et le tapis sous mes genoux étaient trempés du jus de mon désir. Il me prévint rapidement qu’il allait jouir. Je continuai ma fellation tout en aspirant un peu plus fortement. Il jouit une quantité de sperme non négligeable. Ce début de domination l’avait plus excité que je n’avais osé l’espérer. Je recrachai le tout dans un mouchoir qu’il me donna, puis je me mis à genou sur le canapé, mes seins fièrement dressés appuyés sur les coussins de dos. Je me penchai et de mes deux mains, j’écartai mes fesses. Le message était clair. Je voulais qu’il me prenne et vite. Je sentis son sexe glisser sur le mien puis s’insérer dans mon vagin. J’étais tellement excitée qu’il n’eut aucun problème pour me pénétrer. Il commença doucement et accéléra au fur et à mesure. Je venais à sa rencontre et je sentais tout en entendant le son de ses testicules claquer sur ma vulve trempée.
— Plus fort, lui ordonnais-je
Il accéléra le rythme.
— Plus fort, je te dis. Je veux que tu me défonces la chatte.
Ces mots me surprirent autant que lui, mais c’était ce que je voulais. Alors il attrapa mes hanches et se démena à me labourer la chatte comme je lui avais demandé. Malgré l’échauffement que je commençai à ressentir, il me faisait un bien fou. Je jouis rapidement sous ses coups de butoir. Mais j’en voulais toujours plus.
— Maintenant, prends-moi le cul, lui ordonnais-je.— Tu es sure ? me demanda-t-il. Car nous ne l’avons jamais fait.— Oui j’en suis sure. Prépare-moi comme tu me l’as déjà décrit et ça devrait aller.

Il se retira de ma chatte et de son index entreprit de m’enduire mon petit trou de ma mouille. Il glissa un doigt, phalange après phalange dans mon anus. Mon sphincter se contracta au départ puis je le sentis s’ouvrir petit à petit. La pénétration était étrange mais pas désagréable, lorsque je me rappelai qu’il ne m’avait pas encore pénétré avec son sexe. Quand il jugea que j’étais suffisamment prête, il présenta son gland à l’entrée et poussa doucement. Pour le coup j’étais contente qu’il soit délicat avec moi, car cela faisait mal. Et centimètre après centimètre, poussant toujours plus loin et doucement, je sentis enfin son bas ventre contre mes fesses. A partir de ce moment, il entama des vas et vient toujours plus longs et profonds. C’était une autre forme de plaisir pour moi. Non pas que je n’aimais pas, mais j’espérais pouvoir le refaire avec mon prochain copain. Je devais être bien étroite car il jouit rapidement, me remplissant de sa liqueur.A la suite de ça nous avons pris une douche ensemble, profité d’un apéro sur la terrasse et quand vint le moment de se coucher, j’attendis qu’il s’endorme profondément. Je sortis du lit, partis dans le dressing pour prendre la valise que j’avais déjà préparée du matin. Dedans de quoi tenir plusieurs jours et mon nécessaire à peinture. Je descendis au rez-de-chaussée, notai sur un papier que je le quittai et je disparus dans la nuit.
Le premier mois j’avais élu domicile chez mes parents. Ils avaient eu la gentillesse de ne pas me demander pourquoi je quittai Seb et l’avaient éconduit quand il avait demandé s’ils avaient de mes nouvelles. J’avais aussi beaucoup pleuré durant ce mois. Le second mois je partis voir un ex dans le sud de la France. Monsieur avait cru que j’étais venue là pour me faire sauter tous les jours. Il est resté sur la béquille tous les soirs pendant un mois, même s’il essaya à plusieurs reprises de me faire boire pour profiter de moi. Lasse de son petit jeu, je le quittai pour cette fois-ci passer un mois loin de tout dans le Vercors. Trois mois, ce fut le temps qu’il me fallut pour m’apercevoir que je pensais toujours à lui et que je l’aimais. Mais lui, avait-il tourné la page ? M’aimait-il toujours ?
Pour en avoir le cœur net, je décidai de reprendre contact avec ma sœur.
— Lucille, c’est Mathilde.— Tiens ! Salut lâcheuse, commença mon aînée. T’as changé de numéro.— Je vais rentrer dans la région. Tu as des nouvelles de Seb ?— Non je ne l’ai pas vu depuis un moment. Mais tu l’as laissé dans un sale état.— Je sais…Ecoute, je ne t’ai pas appelé pour avoir un sermon mais pour savoir si tu penses qu’il voudrait encore de moi.— Je ne sais pas. Reviens et on verra ensuite.
Elle raccrocha me laissant dans le doute. Le lendemain je repris le chemin de la maison familiale. Il faisait beau et chaud. Je partis profiter de la plage, traînant dans le coin où nous avions l’habitude d’aller. La rentrée scolaire étant déjà passée, il n’y avait personne mis à part les locaux. Je me mis en bikini que j’avais acheté pour l’occasion. Je marchais sur la plage quand je remarquai un homme qui ressemblait fort à Seb. Je m’en approchai de plus en plus. Pas de doute, c’était bien lui. Il prenait le soleil. Il avait minci et son corps était plus sculpté que la dernière fois que je l’avais vu. Il était sexy. Je sentis aussitôt ma fente s’humidifier. L’ombre de mon corps le fit relever ses lunettes de soleil.
— Je savais que c’était toi, lui dis-je en préambule. Comment vas-tu ?— Euh…ça va. Mieux qu’il y a trois mois. Que fais-tu ici ?— Je fais comme toi, je profite du soleil et de la plage. Tu es seul ?— Oui, répondit-il froidement. Que veux-tu ?— Rien de particulier. Juste savoir si je peux m’installer avec toi.— Ecoute, Mathilde, si tu viens là à côté de moi, c’est à tes risques et périls. Tu m’as brisé le cœur du jour au lendemain alors que nous avions tout pour être heureux. Maintenant on est dans un pays libre, tu peux t’installer où tu veux.
Je m’allongeai à côté de lui et il reprit sa place. Le bermuda qu’il portait attirait irrémédiablement mes yeux au niveau de son entrejambe. Je posai une main sur sa cuisse puis je remontais doucement. Le vêtement se déforma sous cette caresse. Il bandait encore pour moi. Je défis délicatement les boutons du bermuda et passai ma main sous le vêtement. Je saisis sa queue dans ma main et commençais à le masturber doucement. Je sentis à sa respiration qu’il se détendait, voire même un peu trop. Je reconnus lorsqu’il s’endormit. Je reboutonnai son bermuda puis portai à ma bouche les quelques gouttes de liquide séminal que son sexe avait sécrété. Je partis aussitôt, le laissant dormir et je pris la route de notre maison. Avais-je encore le droit de dire notre ? Peu importe. J’allais l’attendre là-bas, prête à me donner à lui. Ce serait ma manière de me faire pardonner.En arrivant devant la maison, je sortis les clefs espérant qu’il n’avait pas changé les serrures. Par chance il avait été négligent sur ce point. J’entrai rapidement et veillai à bien fermer la porte. Je passai de pièce en pièce, admirant le fait que la maison était toujours bien entretenue. Puis je me dirigeai vers le dressing. Les vêtements et sous-vêtements étaient toujours à leurs places. Je descendis à la cave, là aussi rien n’avait changé. Mon atelier de peintre avec son clic-clac était dans le même état que le jour de mon départ. Je sursautai quand j’entendis la porte d’entrée. Seb était rentré. Il était apparemment avec quelqu’un au téléphone puis j’entendis les marches de l’escalier. Il se dirigea certainement vers la salle de bain. A pas feutrés, je remontai de la cave et je montai à l’étage. Au bruit que j’entendais, il prenait une douche. Je poussai doucement la porte et je pus admirer son corps sous la douche. Il était de côté, me laissant le loisir de voir ses fesses et son sexe. Subjuguée par ce spectacle, je passai une main sous ma robe et caressai mon clitoris au travers de mon bas de bikini. Quand il eut terminé, je descendis à nouveau à la cave, attendant le moment propice pour lui sauter dessus. Par l’entrebâillement de la porte je le vis nu, aller ouvrir à quelqu’un. Ma surprise fut complète lorsque je reconnus ma sœur. Ils allèrent dans le salon et moi je quittai ma cachette pour en choisir une autre. Lorsque je les vis à nouveau, Lucille entamait une fellation. La salope. Elle savait ce que je ressentais encore pour lui. J’étais prête à lui sauter dessus quand je remarquai que cette scène m’excitait beaucoup. Je retirai mon bas de bikini et me remis à me caresser la vulve. Je les vis ensuite changer de rôle. Seb lui dévorant la chatte et Lucille semblant apprécier ce traitement. Je compris aussi qu’il lui doigtait aussi bien la chatte que le cul. Quand finalement ils se mirent à baiser, j’ai vite compris que mon coquin était devenu un bestial. Il lui lima la chatte en levrette, tout en lui disant des mots obscènes et lui claquant les fesses. Et finalement, après ce qui me sembla une éternité, il lui envoya sa purée au visage. Je m’éclipsai rapidement vers la cave où je finis de me masturber.
J’entendis encore le son de la douche et je remontai une nouvelle fois. Je me cachai une fois de plus lorsque je les entendis descendre. Ils allèrent tous les deux sur la terrasse et se mirent à discuter d’une certaine Sarah que ma sœur voulait lui présenter. A ses dires, c’était une chaudasse de première. Alors je me dis que le reconquérir allait devenir de plus en plus difficile. Seb devait se taper ma sœur depuis un moment avec le consentement du mari de cette dernière. Et maintenant elle allait le mettre entre les griffes d’une autre salope avide de sexe.En parlant de salope avide de sexe, Lucille ne semblait pas rassasiée. Je la vis se remettre à lui tailler une pipe après l’avoir bien chauffé. Et lui était en train de prendre des photos. J’étais éberluée par la situation. Il avait beaucoup changé en trois mois. Et là il était en train de la prendre en levrette, tout en continuant les photos. Je compris aussi qu’il devait la sodomiser quand l’expression de ma sœur changea. J’en avais assez vu pour aujourd’hui. Je me retirai dans le dressing et pris des sous-vêtements et des vêtements de rechange. J’étais prête à partir lorsque je les entendis en bas dans le salon, occupées à discuter. Pas de bol je devais attendre. Lucille partit vers vingt heures, le félicitant de ses performances. Je ne pouvais toujours pas partir mais je m’intéressai à ce que faisait Seb. Il mangea et passa la soirée sur son téléphone à envoyer des textos. Vers vingt-trois heures, il partit de coucher, laissant son mobile dans le salon. J’attendis un peu et me jeta sur l’objet. Je le déverrouillai et inspectai les messages. Il en avait échangé beaucoup avec Arnaud, mon beau-frère dont notamment les photos qu’il avait prises de ses ébats avec Lucille. Il y avait aussi des sextos de ma sœur lui racontant comme elle aimerait qu’il la baise la prochaine fois. Et enfin des photos et des sextos de la dénommée Sarah. Les photos étaient très osées pour une première conversation et les dialogues très crus. Mais je devais le reconnaître, cette fille était super mignonne. Des seins plus gros que les miens, pourtant déjà généreux. Des fesses bien rebondies. Bref le genre de nana avec qui il prendrait aisément son pied.C’était frustrée que j’allais partir quand me vint une idée. Je pris mon téléphone et lui envoyai un message.
« Dommage que tu te sois endormi, j’aurais bien voulu continuer à jouer avec toi sur la plage. Mais au moins tu t’es rattrapé avec ma sœur. »
J’espérais en faisant cela, suffisamment le troubler pour le récupérer plus tard. Je poussai mon coup de folie en allant m’installer à la cave pour dormir. Ainsi demain matin je pourrais voir son expression au lever et voir ses réactions.Le lendemain je fus réveillée par les vibrations de mon téléphone. C’était Seb qui essayait de me joindre. Il répéta l’opération trois fois quand l’icône de messagerie vocale apparut sur mon mobile. J’appelai le répondeur afin d’entendre ce qu’il avait à me dire.
« Mathilde, c’est Seb. Rappelle-moi quand tu auras ce message, s’il te plait. Il faut qu’on parle. »

Ce fut avec un grand sourire que je raccrochai.
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