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Mathilde

Chapitre 4

Hétéro
MathildeChapitre 4
Comme un automate, je posai mon téléphone sur la table basse du salon et j’allai me faire un café. Je sortis sur la terrasse et je le bus tout en fumant, les mains et les jambes tremblantes de cette montée d’adrénaline. Plusieurs questions se bousculaient dans ma tête : pourquoi n’a-t-elle pas attendu que je me réveille pour que nous discutions ? Comment savait-elle pour ma partie de jambe en l’air avec sa sœur ? Et surtout pourquoi était-elle partie ?Je m’aperçus que j’en étais à la troisième que j’allais allumer lorsque la sonnerie de mon téléphone retentit. Etait-ce elle, qui me rappelait ?C’était le numéro de Sarah. Je ne m’attendais pas à son appel.

— Salut, bien dormi ? me demanda-t-elle.— Oui très bien. J’avais la tête pleine d’image de toi. Et toi, bien dormi ?— Très bien mais il me manquait quelque chose.— Ah bon, quoi donc ? répondis-je en jouant son jeu.— Ai-je besoin de préciser ?— La vie est une question de précision.— Il me manquait un homme dans mon lit. Qu’est-ce que tu fais aujourd’hui ?— Rien de particulier. Je pensais venir te voir, par exemple. A moins que tu ne viennes chez moi.— Les deux me vont. Disons dans une heure chez toi dans ce cas.— Super. Le temps de prendre une douche dans ce cas et de me faire beau pour toi.— J’ai hâte. A tout à l’heure.
Je filai aussitôt à la douche. Je pris le temps de rafraîchir une fois de plus mon rasage d’hier. Il faudrait que je demande à Lucille son épilateur laser. Ce serait vraiment plus simple. Tout en me séchant je lui envoyai un SMS.
« Sarah vient aujourd’hui à la maison. »« Cool. Ça sent la baise à des kilomètres. »« On verra. J’espère encore avoir assez de ressources avec les deux derniers jours. Tu m’as vidé hier. »
« Et ce n’est que le début. Vendredi prochain, on fait une soirée libertine à la maison. Tu es le bienvenu avec ou sans Sarah. »« J’y serai. Mais il faudra que tu me prêtes ton épilateur laser. »« Ok je passerai dans l’après-midi, te le ramener et te montrer comment on s’en sert. Bisous mon étalon. »« Bisous ma coquine ».
Je terminai le message en lui envoyant une photo de moi nu que je pris dans le miroir. Elle me répondit avec un smiley tirant la langue. Sacrée coquine que cette fille.
Je rangeai un peu plus la maison et l’aérais. Ça sentait toujours le sexe d’hier. Je fis aussi un brin de ménage.Vers onze heures, on toqua à la porte. J’ouvris et je fus estomaqué. Sarah était devant moi. Elle était sublime. Les photos ne lui rendaient pas justice. Elle devait faire un bon mètre soixante-quinze pour soixante kilos, les yeux bleus, une longue chevelure rousse, des seins magnifiques et bien ronds, une cambrure de reins terrible et un fessier qui devait être bien ferme. Elle portait une petite robe noire d’été et aux pieds de fines chaussures ouvertes. Lorsqu’elle me sourit, j’étais aux anges. Au-delà des messages et des photos d’hier, je me voyais bien passer du temps avec elle. Mais comme on dit : chi va piano, va sano.Elle entra de sa démarche souple et nous allâmes sur la terrasse prendre un café. Contrairement à moi, elle ne fumait pas, mais ne s’en offusqua pas. Nous parlâmes de tout et rien. En plus d’être belle, elle était intelligente, avait de l’humour et savait écouter les autres. J’en vins à oublier le SMS que j’avais reçu ce matin.Pour le déjeuner, je préparai plusieurs salades et j’allumai le barbecue. Nous prîmes l’apéro pendant que les brochettes cuisaient. Sarah m’interpella sur une chose.— J’ai appris par Lucille que tu étais célibataire depuis quelques mois maintenant. Tu veux m’en parler ?— Il n’y a pas grand-chose à dire. La sœur de Lucille, Mathilde, et moi vivions dans cette maison. Tout allait bien lorsqu’elle a décidé de me quitter. J’ai bien essayé de comprendre mais son silence n’a fait que m’enfoncer un peu plus. C’est grâce à Lucille et Arnaud que je remonte la pente à plein régime.— Je ne doute pas que Lucille t’ait bien aidé, s’exclama-t-elle en me faisant un clin d’œil. Hier sur la photo de ton sexe que tu m’as envoyée, j’ai remarqué une paire de fesses que je connais.— Je ne m’en cache pas. Je prends un certain plaisir à baiser avec Lucille. Mais comment as-tu reconnu ses fesses ?— On va souvent au sport toutes les deux, donc après l’effort, nous prenons une douche.— Ah ! Intéressant, dis-m’en plus.— Je vois où tu veux en venir. Si tu veux tout savoir, il nous est déjà arrivé de nous caresser sous la douche. Le vieux fantasme de tous les mecs, deux nanas se savonnant et se caressant dans les vestiaires.
Surveillant les brochettes, je lui annonçai que nous allions passer à table. Nous continuâmes notre discussion qui dériva sur les pratiques sexuelles de chacun. Elle me raconta sa première fois avec un cousin éloigné. Elle n’en gardait pas spécialement un bon souvenir. Il avait été brutal avec elle lors des préliminaires et de la pénétration. Puis elle m’expliqua qu’en devenant étudiante, elle avait vécu pendant un an avec un homme marié qui n’hésitait pas à la partager avec ses potes. C’était ainsi qu’elle connut la pluralité et sa première double pénétration. Les études terminées, elle avait rencontré chez des amis celui qui allait être son mari pendant sept ans, jusqu’à ce qu’ils divorcent l’année dernière. Ils avaient pourtant une vie de couple, tout ce qu’il y avait d’extraordinaire : complémentaires, complices et très ouverts sur le sexe. Ils avaient commencé l’échangisme ensemble, participé à des soirées orgiaques et filmé certains de leurs ébats pluralistes pour les mettre sur internet. Mais tout se dégrada quand ils apprirent la stérilité de Sarah. Son mari souhaitait des enfants et elle ne pouvait pas. L’adoption avait été une piste qu’elle lui proposa mais qu’il refusa. Les tensions et les non-dits s’ajoutèrent chaque jour jusqu’au point de rupture. Il la quitta, préférant aller avec une autre femme qui pouvait lui donner des enfants.S’ensuivit pour la malheureuse Sarah, une dépression, que Lucille remarqua. Les deux femmes devinrent amies alors qu’elles ne s’étaient jamais parlé dans la société où elles travaillaient. Elles passèrent beaucoup de temps ensemble et ce fut ainsi qu’elles découvrirent leurs goûts pour le sexe. Elles couchèrent ensemble une fois pour connaître, l’une avec l’autre, l’amour saphique puis Sarah participa à quelques soirées échangistes.Alors quand Lucille lui parla de moi, il y a deux mois, Sarah voulut en savoir plus. Mon amante lui expliqua ma soudaine rupture avec Mathilde et l’état lamentable dans lequel je m’étais retrouvé. Ne voulant pas passer pour une profiteuse, Sarah attendit patiemment que je veuille la rencontrer. Elle se réjouit de recevoir un SMS de Lucille lui demandant des photos pour moi. Elle m’expliqua que c’était avec une grande excitation qu’elle les prit pour me les envoyer. Et son excitation grandit, lorsqu’elle reçut les miennes.L’entendre m’expliquer tout cela m’avait excité à mon tour mais je me sentais également triste pour elle. Je voyais aussi que ses yeux avaient rougi lors du passage de son divorce.Nous continuâmes sur d’autres sujets pendant encore deux heures, lorsque mon téléphone sonna. C’était un SMS de Mathilde.
« Elle te plait, avoue ! Personnellement je ne la trouve pas assez bien pour toi. »
Sarah vit à ma tête que quelque chose n’allait pas. Je lui montrai mon téléphone. Elle ouvrit grand ses yeux et me regarda. Je me mis à lui parler dans le langage des signes qu’elle comprenait également.
— Ça te dérange si nous allons chez toi ? lui demandais-je— Non pas du tout, me répondit-elle.
Nous débarrassâmes la table et je mis la vaisselle dans le lave-vaisselle. Nous fîmes tout cela dans le plus grand silence. Je montai dans le dressing, pour me prévoir quelques affaires de rechange, au cas où, puis nous partîmes chez elle.
— Tu crois qu’elle était chez toi à nous espionner, me demanda Sarah inquiète.— C’est ce que je pense, c’est pour ça que j’ai signé ensuite. Elle ne comprend pas le langage des signes.— Ca fait flipper quand même. Comment a-t-elle pu rentrer ?— Je n’ai pas fait changer les serrures quand elle est partie. J’avais espéré qu’elle reviendrait. Merde mais quel con je fais.— Ne te rabaisse pas. J’aurai fait pareil. Elle serait là depuis quand ?— Je pense depuis hier après-midi. Elle m’avait envoyé un autre SMS hier soir, me disant qu’elle m’avait vu coucher avec Lucille. Sur le coup je pensais qu’elle avait vu au travers des rideaux du salon mais en y réfléchissant elle devait être dans la maison. Je pense même savoir où elle se cache depuis. A la cave. Elle a tout pour dormir. D’ailleurs en parlant de Lucille, il faut que je l’appelle, elle doit passer à la maison cet après-midi pour me rapporte un truc.
Je sortis mon mobile de ma poche et composai le numéro de Lucille. Ce ne fut qu’au bout de la troisième sonnerie qu’elle décrocha.
— Excuse-moi, je n’avais pas fait attention. Qu’est-ce qui se passe ?— Ne vient pas chez moi, je serai chez Sarah, il s’est passé un truc bizarre à la maison tout à l’heure.— Tu m’inquiètes. Rien de grave j’espère.— Je pense qu’il faut s’inquiéter. Si tu veux toujours venir cet après-midi, Sarah me fait savoir qu’elle sera contente de te voir.— D’accord. Je serai chez elle dans une heure.
Nous arrivâmes dix minutes plus tard devant une belle maison de campagne. Suite à son divorce, Sarah avait souhaité la garder moyennant le rachat des parts de son ex-mari. Elle me fit passer par-derrière et je vis une magnifique piscine et un grand jardin sans vis-à-vis. Le voisin le plus proche étant à cinquante mètres de là. Elle entra dans la maison et je la suivis. La pièce de vie était grande et agréable. Le poêle à bois posé dans un coin de la pièce donnait un air chaleureux à l’ensemble. Les meubles et la décoration avaient été choisis avec goût. Nous passâmes ensuite à l’étage où il y avait trois grandes chambres, l’une était vide, une autre servait de bureau et la dernière était la chambre à coucher qui disposait de sa propre douche directement dans la pièce et au centre un lit king size. Nous redescendîmes sur la terrasse pour nous installer chacun dans un bain de soleil. J’entendis une voiture se garer dans l’allée de garage et moins de deux minutes après Lucille apparaissait vêtue d’une robe d’été blanche qui la mettait très en valeur. Je compris aisément qu’elle ne portait pas de sous-vêtements. La climatisation de sa voiture devait être assez fraîche, car ses tétons pointaient fièrement. Elle nous embrassa à pleine bouche l’un après l’autre puis s’installa sur le dernier bain de soleil restant.
— Je t’ai rapporté l’épilateur laser, mais je ne pense pas que ce soit le bon moment pour t’expliquer comment il fonctionne. Dis-moi ce qui se passe, me demanda-t-elle.— Hier soir j’ai reçu un SMS de ta sœur. Elle nous a vus coucher ensemble. Je pensais juste que c’était un SMS isolé, car elle aurait pu nous voir au travers des rideaux du salon. Mais j’ai commencé à flipper quand j’en ai reçu un second tout à l’heure alors que nous étions sur ma terrasse.— Montre-moi ça, s’il te plait.— Tiens, lis-les, lui dis-je en lui tendant mon téléphone.— Oui en effet c’est flippant.— Il pense qu’elle serait dans la maison, en ce moment même, intervint Sarah.— Tu veux en avoir le cœur net, me demanda Lucille.— Oui ce serait bien. Mais quand j’appelle, elle ne répond pas.— Moi je vais le faire. Elle décrochera sûrement.
Lucille composa le numéro de sa sœur et mit son téléphone sur haut-parleur. Deux sonneries retentirent avant d’entendre Mathilde. Mon cœur s’accéléra une nouvelle fois. Sarah sentant mon désarroi, vint s’installer à côté de moi et prit ma main dans la sienne.
— Qu’est-ce que tu me veux, espèce de salope ? commença Mathilde.— Bonjour à toi aussi. Rien de particulier. Juste te dire que les parents te cherchent depuis hier soir. Et merci aussi pour salope.— Ben quoi c’est ce que tu es, quand tu te tapes mon copain.— Faux. Ton ex-copain. Je te rappelle que tu l’as quitté. Quoi qu’il en soit, Papa est furax et souhaiterait que tu rentres à la maison, illico presto.— Dis-leur que je rentrerai ce soir pour le dîner.
Elle raccrocha aussitôt.
— Je vais demander à un copain qui n’habite pas très loin, s’il ne peut pas se planquer devant chez toi pour vérifier si ce que tu penses est vrai.— Non laisse tomber. Si elle a dit qu’elle rentrait chez tes parents pour le dîner, il suffira d’appeler chez eux à ce moment-là. Ne va pas déranger l’un de tes sexfriends pour ça, ajoutai-je avec un clin d’œil.— Si tu es sûr de toi, dans ce cas, faisons comme ça. J’espère qu’elle n’a pas interrompu quelque chose.— Non, pas du tout, intervint Sarah. Nous discutions de nos goûts et de nos dégoûts, comme lors d’un rendez-vous. Même si j’aurais apprécié qu’il soit entreprenant.— Ah, mais je peux l’être, m’exclamai je.— Prouve-le, m’ordonna Lucille.
Je la pris au mot et ma main libre se posa sur la cuisse de Sarah qui était toujours à côté de moi. De mon autre main je lui saisis le visage et approchai mes lèvres des siennes. Ce baiser fut tendre et passionné. Je sentis ses lèvres s’ouvrir et nos langues entrèrent en contact l’une avec l’autre. La main sur sa cuisse remonta vers l’intérieur puis passa sous sa robe où elle rencontra un boxer en dentelle. De mon pouce je touchai son clitoris au travers de ce morceau de tissu que je sentis s’humidifier. Nos langues jouaient toujours le même ballet. De mon autre main je massai au travers de la robe ses seins l’un après l’autre. Sarah se dégagea de notre baiser pour souffler un peu.
— En effet il sait être entreprenant. Voyons voir cette queue.
Elle me repoussa dans le bain de soleil et se dégagea de mon étreinte. Elle retira mon tee-shirt puis déboutonna mon jean. Elle exclama une surprise en s’apercevant de mon absence de sous-vêtement. Mon sexe surgit en claquant contre mon ventre, bien bandé mais pas tout à fait à son paroxysme.
— Elle est belle, me sourit-elle en la caressant doucement et en imprimant de légers va-et-vient.— Content qu’elle te plaise. Tu ne l’embrasserais pas par hasard ?— Quels sont les mots magiques ?— Suce-moi, s’il te plait.— Avec plaisir.
Sarah approcha son visage de mon chibre et le prit aussitôt en bouche. Je la regardai faire tout en soufflant de plaisir sous ses coups de langue. Elle s’y prenait aussi bien que Lucille voir même mieux. Elle me regarda droit dans les yeux, mon sexe en bouche. Je trouvais cela fortement érotique.Lorsque je relevai la tête, je vis que Lucille avait remonté sa robe au-dessus du nombril et qu’elle avait les jambes écartées. Une main posée sur sa chatte, elle se masturbait en nous regardant. J’arrêtai Sarah et lui fis remarquer ce que notre amie faisait. Elle se leva et retira sa robe. Son soutien-gorge et son boxer suivirent le vêtement. Elle resta en chaussure d’été. Elle était divinement belle. Sa longue chevelure rousse rehaussait la blancheur de sa peau. Je voyais aussi quelques taches de rousseur par-ci par-là qui ne dénaturaient pas sa beauté. Son sexe glabre et ses seins lourds et fermes respiraient la féminité dans toute sa splendeur.C’était à cet instant précis que je réalisai la chance que j’avais eue lorsque Mathilde m’avait quitté. Je n’aurai jamais connu Sarah sans cet événement.Ma belle écarta ses jambes et les posa de chaque côté du bain de soleil dos à moi. J’avais le visage à quelques centimètres de ses fesses fermes et rebondies. Je me dépêchai de déposer un baiser sur chacune d’elles, avant qu’elle ne penche en avant, gobant ma queue et me présentant son abricot luisant de mouille. Je mis à le lécher comme s’il s’agissait de mon dernier repas. Je caressai son clitoris de ma langue tout en lui introduisant un doigt puis deux dans son vagin. Il était tellement lubrifié que mes doigts la pénétrèrent sans difficulté. Elle lâcha quelques gémissements et moi quelques râles sous nos coups de langues expertes. Lucille ne ratait rien du spectacle qui s’offrait à elle, mais elle resta à sa place. Je l’en remerciai mentalement, j’espérai profiter seul de ma nouvelle copine. Je la sentis se crisper sous mes doigts, elle allait avoir un orgasme. Mais je décidai que ce n’était pas tout. Je me relevai un peu et écartai ses fesses. Je lui léchai son petit trou et elle poussa un cri de surprise.
— Je ne m’y attendais pas, ça fait tellement longtemps qu’on ne m’a pas fait ça !! Mais continue, j’adore.
Et je me remis à la tâche, passant de son clitoris, à l’entrée de son vagin que je pénétrai de ma langue, à sa rondelle. Je poussai un doigt à l’entrée de son conduit étroit. Elle soupira sous cette intromission puis la première phalange de mon index entra. Rapidement le doigt entra entièrement. Je lui pris sa chatte et son cul avec mes doigts et j’achevai mon traitement par son clitoris sous ma langue. Elle jouit dans un orgasme puissant. Des jets de cyprine m’aspergèrent le visage. Ma Sarah venait d’avoir une éjaculation vaginale et cela sembla la surprendre. Elle s’affala sur moi, mon sexe toujours en bouche. Elle continua de le sucer et de l’astiquer sans vergogne jusqu’à ce que je jouisse à mon tour. Elle le garda en bouche avalant la moindre goutte de semence. Elle me nettoya puis vint me donner un baiser avant de s’allonger dans mes bras. Nous étions tout sourire l’un et l’autre. Lucille n’en avait pas perdu une miette. Elle n’avait pas joui mais s’en moquait. Arnaud allait la satisfaire en rentrant.Elle prit le temps de m’expliquer comment fonctionnait l’épilateur, tout en faisant un test sur mes poils pubiens déjà bien courts. Elle précisa aussi à Sarah que malheureusement pour elle, c’était déconseillé. Ma belle lui indiqua qu’elle continuerait à aller chez l’esthéticienne.Lucille nous quitta quelques minutes plus tard, nous laissant profiter du soleil, nus l’un contre l’autre. Nous nous embrassions souvent, heureux de nous être trouvés. Nous discutâmes jusqu’au moment où la température commença à baisser. Nous rentrâmes pour nous installer devant la télé dans le canapé, l’un au-dessus de l’autre. Nous avions encore envie l’un de l’autre mais il fallait d’abord tirer l’histoire de Mathilde au clair.
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