MathildeChapitre 6 SarahAprès la soirée riche en rebondissements d’hier, j’eus beaucoup de mal à me lever. Seb dormait toujours à côté de moi. Je filai sous la douche puis revins dans la chambre vingt minutes plus tard. Mon coquin se réveillait seulement. A ma tenue d’Eve, il sourit et souleva le drap pour me montrer son érection matinale. Dommage qu’il fut une heure déjà bien avancée, car je me serais fait un plaisir d’y goûter dès le matin. Je m’habillai des mêmes vêtements que la veille et après un long baiser langoureux, je filai dans sa cuisine me préparer un café. Le temps qu’il coula, j’en profitai pour descendre à la cave, voir si Mathilde dormait toujours. Elle dormait du sommeil du juste. Je déposai un baiser sur ses lèvres et pressai l’un après l’autre ses seins qui étaient certes plus petits que les miens mais tout aussi désirables. Lorsque je remontai, mon café m’attendait. Je le bus rapidement et partis au bureau.La matinée fut ponctuée de réunion avec la direction et avec la clientèle puis à la pause du midi, je rejoignis mon amie Lucille. Elle m’attendait toujours à la même place dans notre petit coin de la cafétéria. Je lui fis la bise à la commissure des lèvres comme toujours et je m’installai devant elle. — Comment s’est passée la soirée d’hier ? me demanda-t-elle— J’ai rejoint Seb chez lui et j’ai rencontré ta sœur. Quand elle n’est pas flippante, c’est une fille charmante.— Et ça s’est bien passé ? s’inquiéta-t-elle.— Oui sans soucis. On a mangé à trois et beaucoup discuté. Elle a compris où était sa place désormais.— Et ensuite ?— Ensuite nous sommes allés nous coucher et j’ai baisé avec Seb. Mais pas que…— Roh ! Aller donne-moi des détails.— Coquine va, lui répondis-je avec un clin d’œil. En arrivant dans la chambre, on s’est embrassé tout en s’effeuillant mutuellement. Une fois nus on s’est mis sur le lit et il a commencé à jouer avec mes seins, les léchant et les suçant. Puis il est descendu le long de mon ventre, jusqu’à ma chatte où il a commencé un léger massage du bout des doigts de mes grandes lèvres et de mon clitoris. Il m’a fait mouiller comme la veille, jusqu’à ce qu’il se mette à me lécher avec avidité. Je me suis mis à gémir avec grand bruit, mais cela faisait partie d’un plan que nous avions concocté avec Seb. Mathilde était restée dormir et nous voulions voir si elle viendrait.— Et ?— Et elle est venue. Elle nous a regardés pendant un moment tout en se caressant. Quand j’ai jugé qu’elle était à point, je l’ai faite se débarrasser du grand tee-shirt qu’elle portait et l’invitai à nous rejoindre sur le lit. Elle est restée à se caresser pendant que je suçais Seb et quand il m’a prise en levrette, j’étais à quelques centimètres de son corps. Au bout d’un certain temps, il m’a averti qu’il allait venir et il lui a ordonné de m’aider à le sucer jusqu’à ce qu’il jouisse.— Rah la chaudasse ! Vous en avez fait une libertine.— Je ne sais pas. Mais ce matin je suis allé la voir dans sa cave et je l’ai reluquée et caressée. Elle est super mignonne ta sœur. Mais pas autant que toi, ma chérie, ajoutai je avec un clin d’œil. Mon téléphone vibra et je regardai le MMS de Seb. Je faillis m’étouffer en buvant mon verre d’eau. Les photos montraient Mathilde nue sur la table de cuisine et un gros plan sur sa chatte où je distinguai quelques gouttes de cyprine, en légende le texte de Seb. « Elle me dit qu’en tant que libertin convaincu, je devrais la prendre. Tu en penses quoi ? »« Baise là, elle en crève d’envie. Envoie-moi son numéro et dis-lui que je l’appellerai plus tard pour avoir les détails. »
Je montrai à Lucille le MMS et elle aussi faillit s’étrangler. Malgré cela je vis à ses yeux que la situation en plus de mon récit l’avait chauffé. Je me levai de ma chaise pour venir murmurer à son oreille.
— J’ai envie de toi, ça te dit d’aller dans la salle de la photocopieuse ?— Avec plaisir, me répondit-elle. Nous prîmes nos plateaux puis partîmes dans les couloirs de la société qui étaient déserts. Arrivées à notre étage, nous regardâmes de tous les côtés puis entrâmes dans la salle de la photocopieuse. Lucille ferma la porte à clef et se jeta sur moi. Elle m’embrassa avec force et désir puis passa ses mains sous ma jupe pour me retirer le tanga que je portai. Elle déboutonna ensuite mon chemisier et dégrafa mon soutien-gorge pour avoir accès à mes seins. Elle les caressa tout en m’embrassant dans le cou et descendit jusqu’à mes tétons. Elle les lécha et les mordilla chacun leur tour. Je tenais sa tête collée contre mon buste. Sa main droite passa sous ma jupe et vint caresser l’intérieur de mes cuisses jusqu’à mon bouton d’amour. Elle me fit mouiller abondamment, j’avais envie de plus. Je descendis la fermeture de ma jupe, puis je la laissai tomber au sol tout en écartant les jambes. Elle comprit le message et se mit à genoux pour me lécher. Sa langue experte savait comment me faire grimper au rideau rapidement. Elle commença par lécher mes grandes lèvres avant de se servir de sa langue comme d’un pénis pour me pénétrer. J’étais aux anges mais j’en voulais toujours plus et nous n’avions pas beaucoup de temps. Je la relevai et lui retirer son maillot, laissant apparaître ses seins à mes désirs affamés. Je déboutonnai son pantalon et lui retirai. Je lui réservais le même traitement qu’elle m’avait servi et ce fut un concert de gémissements qui résonna à mes oreilles. Je m’allongeai au sol et elle comprit ce que je voulais. Nous nous positionnâmes en ciseaux, joignant nos sexes dégoulinants de désir puis nous ondulâmes du bassin cherchant la jouissance et l’orgasme. Nous étions tellement excitées par la situation que l’orgasme arriva rapidement. Nous posâmes l’une et l’autre une main sur nos bouches pour que cela ne s’entende pas.
Après cette baise éclair, nous nous rhabillâmes tout en continuant de nous embrasser. J’essuyai ma chatte baveuse avec mon tanga et le lui donnais pour qu’elle pense à moi cet après-midi. Nous quittâmes chacune notre tour la salle, puis je regagnais mon bureau, l’esprit léger. En consultant mon téléphone, je découvris deux nouveaux clichés de Seb avec Mathilde. ____________________________________________________________________________________________________ Lucile La pause repas avait été fort agréable. J’envoyais un SMS à Sarah pour la remercier du merveilleux dessert qu’elle m’avait donné. C’était la première fois que nous baisions au boulot. Et j’espérais que ce ne serait pas la dernière. En réponse elle me transmit, toutes les photos de ma sœur avec Seb. Voir le gourdin de monsieur me fit mouiller aussitôt. Heureusement que j’avais un bureau pour moi toute seule, car on aurait remarqué que je me tortillais sur ma chaise. Je décidai d’appeler Seb pour avoir des détails même si les images étaient sans équivoque.
— Tu as remis le couvert avec Mathilde, d’après ce que j’ai vu.— Oui et elle est toujours aussi chaude sur ce point. Elle y a eu droit deux fois. C’est parce que je devais retourner travailler, sinon je lui prenais son cul pour la troisième fois.— Et les photos ont tellement émoustillé Sarah, qu’elle m’a proposé de coucher elle.— Ah ! Des détails s’il te plaît. Je lui racontai l’intégralité de ce qui s’était passé dans la salle. Durant mon récit, je portais à mon nez la lingerie de mon amante encore bien humide de ses sécrétions. J’en profitai pour déboutonner mon pantalon et y passer une main pour me caresser. Seb reconnut à ma voix, le plaisir que je me donnais.
— Tu as beaucoup de boulot, cet après-midi ?— Non, pourquoi ?— Ça te tente de passer à la maison pour une baise rapide. La proposition était alléchante, mais je la déclinais, préférant rentrer chez moi retrouver mon mari. Je terminai ma conversation et me rhabillai convenablement. Je posai une demi-journée de RTT et repris la route de chez moi. Sur le chemin j’appelai Arnaud pour lui dire combien j’avais envie de sa grosse queue et que si ça l’intéressait, il devait rentrer dès maintenant. Monsieur ne se fit pas prier et me précisa qu’il prenait la route aussitôt.J’arrivai à la maison la première. Je partis dans notre chambre, sortis la lingerie de Sarah que je mis bien en évidence sur mon oreiller et je filai sous la douche. Je l’entendis arriver quelques minutes après. Il m’appela pour savoir où j’étais quand je l’invitai à me rejoindre. Quand il me vit sous la douche, il se déshabilla rapidement et me rejoignit, le sexe bien au garde à vous. La décision de faire monter une douche à l’italienne n’avait pas été mauvaise, tant elle était spacieuse. Je me mis aussitôt à genoux pour lui tailler une pipe bien baveuse comme il les aime. Je lui léchai le gland et descendis vers ses boules, parfaitement épilées, que je gobais l’une après l’autre. De ma main droite, je me titillai le clitoris et les grandes lèvres pour prendre mon plaisir.Quand mon homme en eut assez de se faire sucer, il me releva, me retourna et me fit m’écraser la poitrine contre la vitre. Je cambrai mon cul au maximum à la recherche de son bâton de chaire qui trouva de lui-même l’entrée de ma chatte. Arnaud ne dut pas forcer pour me pénétrer tant j’étais toujours excitée par ma pause déjeuner. Il me pilonna comme un forcené. J’haletais sous ses coups de butoir tout en cherchant ses lèvres. Nous échangeâmes un baiser langoureux plein de désir. J’en voulais toujours plus et je voulais qu’il soit d’autant plus en rut. Je me retirai de son mandrin et éteignis l’eau. Nous nous séchâmes avec des baisers puis partîmes dans la chambre. Il remarqua tout de suite le tanga.
— C’est à qui ça ?— A Sarah. Elle me l’a donné après que nous ayons baisé ce midi. Sens comme elle sent bon. Il porta le morceau de tissu au nez et inspira fortement. Il hocha de la tête et je vis son sexe grossir un peu plus. Je le repris en bouche, le temps de quelques vas et vient, puis m’allongea sur le dos, jambe grande ouverte. Il vint se placer entre elles et son pénis retrouva le chemin de ma grotte d’amour. Cette fois ci il fut plus doux, prenant le temps que nous sentions nos deux sexes ne faire qu’un. Il buta à l’entrée de mon utérus et repartit tout aussi doucement vers l’entrée de mon vagin. Son sexe ressortit pour entrer à nouveau, trois fois de suite. J’aimais quand il me faisait ça. Je savais que les coups allaient accélérer de plus en plus. Et je ne fus pas déçue.Nous fîmes l’amour pendant le reste de l’après-midi. Arnaud m’avait fait jouir plusieurs fois et lui ne fut pas en reste. J’attendais maintenant que Sarah me raconte son appel avec Mathilde. ____________________________________________________________________________________________________ Sarah
Dix-sept heures enfin. Je n’en pouvais plus de cette journée, entre les réunions et les réclamations clientèle. Heureusement la pause du midi avait été bonne et salutaire. Lorsque je sortis de l’entreprise, la pluie avait fait place au soleil. Le vent s’en mêlait également et une bourrasque souffla, je sentis l’air s’insinuer entre mes jambes venir chatouiller mon sexe. Ce fut en courant que je rejoignis ma voiture et m’y engouffrai. Je roulai pendant une vingtaine de minutes pour arriver jusque chez moi. Le temps de la route, la pluie avait redoublé d’intensité et sur les quelques mètres qui me séparaient de l’entrée de ma maison, je fus trempée de la tête aux pieds.A peine entrée, je me déshabillai totalement et mis mes vêtements à sécher. Pour la détente et la piscine, je devrai attendre certainement le lendemain. Qu’à cela ne tienne, j’avais un autre projet. Je devais appeler Mathilde pour avoir des détails sur ses relations sexuelles avec Seb.Je composai son numéro et j’attendis jusqu’à tomber sur la messagerie. Par deux fois je répétai l’opération sans succès. A la quatrième elle décrocha enfin.
— Allo ? Qui est-ce ?— C’est Sarah. Comme prévu je t’appelle pour que tu me racontes, ce qui s’est passé avec Seb.— Désolée, je ne peux pas tout de suite. Est-ce que je peux te rappeler d’ici heure ?— On fait comme ça. A tout à l’heure. Afin de tuer le temps, je pris quelques photos que j’envoyai à Seb, tout en l’invitant à venir me faire ma fête. Le beau mâle me répondit rapidement qu’il serait là d’ici deux heures, le temps de finir avec une livraison. J’étais assez frustrée. Je pensais qu’il sauterait aussitôt dans sa voiture. Je continuai de le chauffer avec des SMS coquins, tous accompagnés de photos de ma plastique. Excitée et à la fois frustrée, je me mis un film pour adulte sur mon ordinateur. Mais les scènes toutes plus ou moins convenues, ne convinrent pas. Sauf une scène où deux mecs prenaient une nana en double. Cela me rappela un souvenir de ma première double pénétration. J’espérai y avoir droit, vendredi chez Lucille.Mon téléphone sonna me sortant de ma rêverie. C’était Mathilde qui me rappelait.
— Excuse-moi pour tout à l’heure, mais j’étais avec ma mère. Pas facile d’aborder ce genre de sujet en sa présence.— Pas de soucis. Alors, je t’écoute. Et je veux tous les détails. — Par où commencer. Tout d’abord, après ce qui s’était passé hier soir, j’étais très excitée et je voulais savoir s’il serait intéressé. Alors je l’ai allumé en me déshabillant devant lui… Pendant qu’elle me racontait en détail comment il l’avait prise ou comment il lui avait envoyé son sperme en plein visage, je me mis à me masturber en m’imaginant à sa place. Je m’aidais aussi des diverses photos de mon homme et de son ex que j’avais dans mon téléphone pour faire monter la pression. Le récit dura en tout et pour tout, une dizaine de minutes et durant ce temps j’avais eu le temps d’avoir un nouvel orgasme aujourd’hui. Orgasme que je fis entendre à mon interlocutrice. J’entendis dans sa voix le trouble que je lui procurai. A la suite de ça, je voulus connaître tout de ses pratiques sexuelles. Elle m’apprit qu’avant que Seb ne la rencontre, il était plutôt sage. Ce ne fut qu’au bout de quelques semaines, qu’il accepta de se lâcher un peu. Au fur et à mesure des mois, ils testèrent plusieurs choses : les vidéos, les photos, le sexe en plein air et le naturisme. J’ajoutai à cela qu’avec Lucille et moi, il s’était enfin totalement lâché, pour notre plus grand bonheur.J’étais encore au téléphone quand Seb entra. Il me découvrit dans le canapé, totalement nue, en train de me caresser. Il me demanda en signant qui était-ce et je lui répondis que c’était Mathilde. Il s’assit à côté de moi, prenant mes jambes sur les siennes, et se mit à me frôler la peau, du haut du mollet jusqu’à mon mont de Venus. J’en eu la chair de poule tant ça m’excitait et me donnait froid. Mes tétons pointèrent aussitôt et il s’en aperçut. Il se rapprocha un peu plus de mes fesses et put se pencher pour venir me sucer les seins et me mordiller les tétons. Mathilde sentit encore un changement dans ma respiration et me demanda s’il était présent. Je lui répondis par l’affirmative. Elle me demanda les détails de ce qu’il me faisait et je lui dis au fur et à mesure. Quand Seb approcha sa bouche de mes grandes lèvres, il me prit le téléphone des mains et raccrocha. J’allais protester quand il me dit, qu’ils voulaient que nous profitions de ce moment, seuls. Il se mit à me lécher doucement et patiemment, prenant le temps de faire chaque pli de ma vulve. Avec son pouce il titilla mon clitoris qui durcit. Puis il enfonça sa langue dans mon vagin, le faisant s’ouvrir doucement. Ses doigts ne m’avaient pas encore pénétré. Il se déshabilla à son tour et plaça sa tête entre mes jambes. Il prit soin de me lécher du haut de mon vagin jusqu’à mon petit trou. Ce que c’était bon. J’en avais eu des amants depuis mon divorce mais pas un comme lui. Il savait donner du plaisir.Finalement il quitta cette zone de mon corps, et entreprit de lécher chaque parcelle de ma peau jusqu’à ma bouche. Puis son sexe, perlant de liquide séminal, se présenta à l’entrée de mon vagin. Il poussa doucement pour bien me sentir, me dit-il, et entama de douces et profondes pénétrations. Le plaisir m’emporta plus vite que je ne l’avais espéré et quand vint son tour, je fus heureuse et comblée de recevoir en moi son sperme chaud et abondant. Seb resta à la maison. Il nous prépara un rapide repas mais délicieux et pendant ce temps je passais une heure de plus au téléphone avec Lucille pour lui donner les détails de Mathilde mais aussi écouter comment elle avait passé son après-midi.
