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Mathilde

Chapitre 8

Hétéro
Mathilde chapitre 8
Seb :
Je passais le reste de la semaine à travailler comme un forcené. N’hésitant à bosser même le soir chez moi. Je ne voulais pas décevoir notre nouveau client. Le jeudi matin, me réveillant, tout aussi fatigué que la veille au soir, je décidai de fermer l’entreprise le vendredi. Mes collaborateurs accueillirent la nouvelle avec plaisir et je les comprenais. Un week-end de trois jours, ça ne se refusait pas. Et me concernant, ça me permettrait de me reposer toute la journée pour la soirée prévue chez Arnaud et Lucille. Il fallait dire que toutes les femmes qui gravitaient autour de moi depuis quelques jours m’avaient fait des demandes. Lucille souhaitait que je la prenne au minimum deux fois dans la soirée. Sarah voulait une double pénétration et Mathilde voulait que je m’occupe d’elle pendant qu’elle s’occuperait de ma copine.
Sarah vint le jeudi soir pour dormir à la maison. Nous restâmes sages, préférant en profiter le lendemain et nous reposer. Elle avait, elle aussi, posé sa journée du lendemain, de ce fait, nous nous étions accordé une grasse matinée, le vendredi. Quand je me levai, le réveil affichait déjà dix heures du matin. Je me sentais parfaitement reposé après avoir effectué un tour d’horloge. Le soleil avait décidé de revenir aujourd’hui après les derniers jours maussades. Je me fis un café et constatai que mon paquet clope était vide. N’étant ni douché ni habillé, je devais m’abstenir de ma dose de nicotine. En même temps, Sarah avait émis l’idée que j’arrête. Elle n’avait pas tort. Je décidais donc que ce serait mon premier jour d’arrêt.
J’en informai ma cher et tendre lorsqu’elle se leva dix minutes plus tard. Elle accueillit l’information fraichement, me disant que j’allais certainement devenir insupportable. Sur ce coup, je pouvais la contredire. La dernière fois que j’avais arrêté, j’avais compensé en faisant beaucoup de sport. Je lui proposai d’aller courir.
Comme elle avait commencé à laisser quelques affaires chez moi, je ne fus pas étonné de la voir redescendre en brassière et legging de sport. Je me changeai à mon tour et aussitôt les baskets de mises, nous partîmes pour courir en direction de la plage. Après une heure de course le long de la grève, nous rentrâmes tout transpirant à la maison. Bien évidemment, nous prîmes notre douche ensemble. Je ne pus réprimer l’envie de la caresser. Caresses auxquelles, elle répondit favorablement, car j’eus droit à une fellation sous la douche.
Après le déjeuner, nous nous installâmes pour une sieste. L’après-midi passa ainsi très rapidement. Lorsque nous nous réveillâmes, il était déjà dix-sept heures. Nous passâmes près d’une heure dans la salle de bain à nous préparer pour la soirée. Je me rasai de frais aussi bien en haut qu’en bas. Sarah en fit de même en s’épilant les jambes, le maillot et les aisselles. Même son sillon y eut droit.
J’optais pour une tenue décontractée : chemise ouverte sur un t-shirt, bermuda ample et sans sous-vêtements. Sarah avait opté pour une petite robe d’été, blanche à motif rouge, aux fines bretelles. Je savais pour l’avoir vue s’habiller que ses magnifiques formes n’étaient entravées ni écrasées par un quelconque sous-vêtement. Nous prîmes la voiture vers dix-neuf heures en direction de chez nos amis. Sur la route, nous croisâmes Mathilde, qui nous suivit jusque chez eux. Une fois garés dans l’allée de la maison, nous nous embrassâmes tous les trois à pleine bouche avant de contourner la maison pour nous retrouver dans le jardin.
L’ambiance était au naturisme. Lucille et Arnaud se baladaient nus. Lucille me déposa un baiser sur les lèvres, elle en fit de même à Sarah et fit la bise à sa sœur. Arnaud me serra chaleureusement la main, déposa un baiser sur les lèvres de Sarah, puis hésita quand il vit Mathilde. Celle-ci ne se démonta pas et prit les devants. Elle l’embrassa à pleine bouche sous l’œil amusé de sa sœur. Restaient trois autres personnes que nous ne connaissions pas. Xavier, un ami d’Arnaud et Lucille, la quarantaine, plutôt grand et baraqué. Le gourdin qui se balançait entre ses jambes en disait long. Sa femme, Chloé, la quarantaine également, grande blonde aux seins refaits. Et enfin leur nièce, Marion, la vingtaine, petite brune aux formes généreuses qui n’étaient pas affectées par la gravité. Nous nous conformâmes tous les trois à la tenue de nos hôtes. Lorsque Sarah et Mathilde se retrouvèrent nues, je vis le regard avide de Xavier sur elles, mais aussi celui de Marion.
Quelque chose me disait que la petite devait s’amuser aussi bien avec sa tante qu’avec son oncle. Chloé prit un air hautain en voyant mes deux nymphes attirer les regards des hommes. Décidément, son côté « bourgeoise blonde, siliconée » ne me convenait pas.
Lucille nous montra le coin « sexe » comme elle l’appelait. Arnaud et elle avaient installé un barnum dans la pelouse. Directement posés sur celle-ci, des matelas, des coussins. Je vis aussi des godes, des capotes dans un bocal et du lubrifiant. Puis elle nous emmena à la table du salon de jardin où il y avait de quoi boire et manger.
La soirée commença calmement. Tout le monde prit l’apéro, faisant connaissance. Xavier était chef de son agence immobilière et Chloé travaillait avec lui. Marion, du haut de ses vingt ans, était étudiante en droit. Nous apprîmes qu’ils avaient connu Lucille et Arnaud via un site de rencontre spécialisé. Tout se passait bien pour le moment. Très vite, les choses s’accélérèrent. Marion se leva et emmena sa tante sous le barnum. Nous les suivîmes du regard. Chloé s’allongea sur un matelas pendant que sa nièce vint lui brouter le minou. Nous avions tous une vue sur la chatte de chacune d’elle. N’étant pas fait de bois, je me mis à bander. Lucille s’en aperçut et me prit par la queue pour aller observer les deux femmes en train de se donner du plaisir. Au moment où nous arrivâmes, Marion se positionna en soixante-neuf sur Chloé. Subjugué par ce spectacle, je ne m’étais pas aperçu que Lucille s’était mise à genoux pour me prendre en bouche.
Arnaud nous rejoignit quelques secondes plus tard. Il me fit un sourire et se positionna derrière Marion. Il lui caressa d’abord les fesses, attendant son consentement. La jeune fille hocha de la tête. Mon ex-beau-frère prit une capote, l’enfila puis positionna son gland à l’entrée de la chatte de notre étudiante.

En tournant la tête vers Sarah et Mathilde, je vis que cette dernière s’était penchée sur le gourdin de Xavier. Elle le suçait avec autant d’avidité qu’elle le faisait avec moi. Sarah n’était pas en reste et s’était mise à genoux derrière Mathilde pour la lécher.
Le jardin fut vite rempli de gémissements, de soupirs ou de halètements. Arnaud besognait sans retenue Marion. Mathilde avait délaissé la queue de Xavier pour s’empaler dessus. Sarah m’avait rejoint pour s’occuper de Lucille, et Chloé alternait entre la chatte de sa nièce et la queue du beau-frère.
Lucille, Sarah et moi allâmes nous installer sur l’un des matelas. Je m’allongeai pendant que Lucille guidait mon sexe vers le sien. Elle s’empala d’un coup et commença ses mouvements de haut en bas avec fougue. Sarah l’embrassait, jouait avec ses seins et lui titillait la rondelle. Rapidement, ma maîtresse monta au plaisir et jouit. Cette belle quadra savait vous faire savoir que vous lui donniez du plaisir. Elle céda sa place à Sarah qui s’empala à son tour. Elle se pencha vers moi et m’embrassa pendant que je lui faisais l’amour. J’y allais doucement, profitant de ce moment, certes lubrique. Elle se crispa soudainement et je compris en regardant derrière elle. Xavier nous avait rejoints et présenté sa queue à l’entrée du petit trou de ma copine. Elle se tourna vers lui et acquiesça silencieusement. L’homme mit une capote et lui mit doucement son mandrin. Nous nous sommes mis à la limer en alternance. Ma belle avait obtenu sa double pénétration comme elle voulait.
Malgré cela, je voyais à son visage qu’elle ne prenait pas de plaisir et moi non plus.C’était la deuxième fois que je pratiquais. La première fois avait été douce et j’avais pris énormément de plaisir à sentir le sexe de ma partenaire se contracter au rythme de la pénétration anale. Mais cette seconde fois ne me plut guère. Xavier était trop brutal. Ses mouvements saccadés m’empêchaient de savourer ce moment de partage. Lassé de ce jeu, je l’interrompis et l’envoyai voir ailleurs si nous y étions.
Sarah m’avouera sur le chemin du retour qu’elle n’avait pas pris autant de plaisir que lors de sa première fois. Elle avait même ressenti d’abord une gêne puis ensuite une douleur.
De nouveaux seuls, je me remis à la tâche avec tout le savoir-faire dont je disposais et ma jouissance arriva rapidement. Je me vidai dans le fruit juteux de ma bien-aimée. Un peu repus, nous nous installâmes tous les deux nus dans les fauteuils. Elle en profita pour se nettoyer. Nous observâmes les autres continuer à s’amuser. Personnellement, je ne pris pas autant de plaisirs que je ne l’avais espéré.
— Qu’est-ce qui ne va pas mon chéri ?— Finalement, ça m’amuse moins, que je ne le pensais, lui répondis-je. — Ça ne t’a plu, de nous baiser Lucille et moi ?— Si, bien sûr, mais je préfère lorsque je vous ai, rien que pour moi.— Tu ne serais pas un peu jaloux, par hasard ? me demanda-t-elle avec amusement.— J’avoue oui, répondis-je, penaud.
Sans que je m’y attende, elle vint s’installer sur mes genoux. Elle m’embrassa tendrement et me posa une question que je me posais maintenant depuis deux jours.
— Est-ce que tu m’aimes ?— Ça fait deux jours que j’y pense. Quand on y réfléchit, ça ne fait que quelques jours que nous sommes ensemble...— Tu ne réponds pas à ma question, m’interrompit-elle.— Oui je t’aime, mais c’est insensé, m’exclamai-je— En quoi est-ce insensé d’éprouver de l’amour pour quelqu’un ? Même si cela ne fait que quelques jours.— Tu marques un point, approuvai-je. C’est juste que ça ne m’était jamais arrivé aussi vite.— Sache, mon chéri, qu’avec moi, tout arrivera plus vite, me sourit-elle. Et une dernière chose, moi aussi je t’aime.
Nous nous embrassâmes une fois de plus. Cette soirée venait de toucher à sa fin pour nous. Nous partîmes le plus discrètement possible pour nous retrouver chez moi. Cette nuit-là, nous fîmes l’amour tendrement, intensément. Et malgré la douleur qu’avait ressentie Sarah lors de la sodomie pratiquée par Xavier, elle m’offrit ses fesses.
Toutefois une chose vint me faire réfléchir. L’attirance que j’avais eue pour Émilie n’était pas feinte. Cette femme me plaisait et j’avais du désir pour elle. Je devais rapidement mettre les choses au clair dans ma tête.
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