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Mathilde dans tous ses ébats

Chapitre 1

Trash
Mathilde est une petite rousse, 1m68, les yeux verts clairs, plutôt fine et bien proportionnée. Elle vient de fêter ses 22 ans et on ne peut pas dire que la fête ait été très sympa. Pourtant, tout s’annonçait super : les parents de sa copine d’enfance, Julie, lui ont prêté leur maison de campagne pour organiser la soirée. C’est plutôt un petit manoir d’ailleurs. Mathilde et Julie ont passé les 2 jours précédents a tout préparé et le résultat était très loin des attentes de Mathilde. Julie a bien entendu monopoliser l’attention. Pour oublier un peu ce demi-échec, Mathilde est allée marcher dans le parc toute seule aux aurores.
    Elle n’a pas dormi de la nuit et le jour n’est même pas encore levé. Au bout de la pelouse, il y a une petite forêt qui n’est pratiquement pas entretenue. Le sous bois est dense et il est facile de s’y perdre mais Mathilde vient ici depuis toujours. Elle prend à gauche et arrive à la petite écurie des parents de Julie. Il y a 2 pensionnaires : le vieux poney que Julie et Mathilde montaient quand elles avaient 10 ans et le nouveau cheval que Julie a reçu pour ses 20 ans.    Quand elle rentre dans l’écurie, les deux animaux qui la connaissent bien sortent la tête de leur box pour quémander des caresses ou une friandise. Julie s’approche du petit poney, Salty, et lui flatte l’encolure. Elle a fait tellement de balades sur son dos. Elle a du mal à croire que c’était il y a presque 10ans. Aujourd’hui, la tête du poney arrive juste à son épaule.    Derrière elle, dans l’autre box, Balsan s’impatiente. C’est un jeune étalon, superbe, avec une robe d’un marron intense aux reflets chocolat. Typique d’un caprice de Julie. Elle s’approche de Balsan qui pince son épaule entre ses dents. Un signe d’affection chez lui. Il vient chercher les caresses. Même si Julie ne l’a jamais laissé monté Balsan, elle connaît bien l’animal. Nerveux, il est néanmoins très affectueux.
    Mathilde a toujours eu envie de monter Balsan et l’occasion de se venger de Julie après son sabotage de sa soirée d’anniversaire est bien là. La sellerie est fermée. Tant pis, elle montera à cru.    Docilement, Balsan la suit hors de l’écurie et se servant d’une pierre comme appui, elle saute sur le dos de l’étalon. Au petit trot, elle traverse le sous bois et arrive à la vieille barrière en bois qui marque le bout de la propriété. Elle ne veut pas prendre le risque de faire sauter Balsan et décide de longer la barrière. Un gros clou qui en dépasse lui déchire son pantalon et lui entaille la cuisse.
    Mathilde s’arrête tout de suite et descend de Balsan. Le clou est rouillé, exposé aux intempéries. Elle retire son pantalon et en déchire un bout pour le tremper dans le petit ruisseau qui longe une partie de la barrière. Avec ce bandage improvisé, elle essuie le sang qui coule. Assise par terre, en petit boxer à dentelle au lever du soleil, elle trouve tout ça très romantique et sexy. Il ne manquerait plus qu’un beau mec arrive pour la soigner et le tableau serait parfait.    Mais personne n’arrive. Mathilde imagine ce qui pourrait arriver et commence à se caresser à travers son petit boxer. Balsan vient lui pincer l’épaule et Mathilde, sans réfléchir, lui caresse le museau de la même main. Balsan renifle à plein naseaux. Presque instantanément, ses instincts d’étalon semblent se réveiller et sa verge commence à sortir, encore molle.
    Même si elle avait déjà vu la queue de Salt, celle de Balsan est tout simplement formidable en comparaison. Elle ne peut s’empêcher de se demander quelles sensations une queue pareille lui procurait. Et pour la première fois, elle fait plus attention à la taille des couilles du cheval. Si tout est en proportion, la bite de Balsan doit être énorme en érection. Dans le même temps cette idée l’écœure. Et pourtant, plus elle caresse Balsan, plus ce sexe grandit. Et toujours pas en érection.
    Elle n’y tient plus, elle veut savoir. Se penchant sous Balsan, elle attrape cette verge, grosse comme son poignet. Le membre est chaud et doux. Au contact, presque similaire à la queue d’un homme. Balsan est nerveux mais ne s’agite pas. Doucement, elle commence des va et vient. Le sexe gonfle mais la forme du bout du sexe ne ressemble à rien à la queue d’un homme, s’élargissant un peu comme un champignon. La queue de Balsan semble devoir toujours grandir. Malgré elle, Mathilde est terriblement excitée. Une bite comme ça dans la chatte, ça doit être incroyable, si ce n’est impossible.
    Elle sent qu’elle mouille de plus en plus. N’en pouvant plus, elle plonge sa main entre ses cuisses et trouve sa petite chatte inondée de cyprine. Même son boxer est humide. Comment peut-elle être dans cet état avec un cheval ? Mais l’excitation efface toute inhibition et la taille de cette bite la fascine. Elle a envie d’aller jusqu’au bout de cette expérience même si elle ne sait pas vraiment ce qu’elle entend par là.
    Se mettant à genoux, elle approche son visage de ce membre immense. Elle caresse son visage avec, ses joues, son cou, ses lèvres. Elle l’embrasse, presque avec amour. Elle n’est plus écœurée du tout et elle tend la langue. Elle lèche cette bite géante. Intriguée, elle essaye de la lécher sur toute longueur. Impossible, elle manque de salive. Elle tâte les couilles qui sont énormes. Elle arrive à peine à faire le tour de la queue avec sa main maintenant.
    Elle n’en peut plus. Elle lèche maintenant le bout de la bite de Balsan. Elle essaye d’en faire le tour avec ses lèvres. La bite lui tire sur la commissure des lèvres mais elle arrive à glisser le bout dans sa bouche. Mais c’est trop gros, elle ne peut pas le faire aller et venir et se contente d’en lécher le bout activement. Balsan semble adorer ce traitement et henni doucement. Mathilde se caresse furieusement. Elle martyrise presque sa petite chatte.
    Soudain, sans prévenir, Balsan éjacule au fond de sa bouche en une explosion de foutre. Alors que cette queue énorme occupe déjà toute sa bouche, le sperme éclabousse son petit débardeur, trouvant le moyen de gicler en dehors de ses lèvres distendue. Mais la bite de Balsan a encore grossi sous l’effet du plaisir et Mathilde sait qu’elle ne peut pas la faire sortir de sa bouche sans se faire mal. Pourtant, elle adore cette sensation. Sa bouche se rempli à chaque giclée de Balsan. Elle n’a plus le choix, elle avale ce sperme chaud. Comment peut-il y en avoir autant. Elle a l’impression de boire au biberon. Le sperme est assez épais et le gout est fort mais Mathilde se sent salope. Malgré ses efforts, le sperme continue de couler le long de son menton sur sa poitrine, tachant son débardeur.
    Elle pince désormais son clitoris de toute ses forces et joui comme une furie. La bite de Blasan ayant un peu dégonflée, elle penche la tête en arrière et crie son plaisir. A genoux dans la forêt, sa cyprine coule abondamment sur ses chevilles, à travers son petit boxer détrempé.
    Éreintée, elle se laisse tomber sur le sol. Balsan semble beaucoup plus serein. Regardant le ciel à travers les arbres, Mathilde regarde les nuages défiler.
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