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Mathilde, son fils et son amant.

Chapitre 2

Début de liaison.

Inceste
Je suis étendue sur le grand lit du pied à terre parisien de Franck, l’ami niçois de mon collègue Marc.
Le déjeuner passé en compagnie de mon amie Laura, une semaine plus tôt, m’a poussée à réfléchir à mes désirs profonds, et j’ai compris qu’il fallait absolument que je profite des quelques années qui me restent avant que mes charmes s’étiolent. C’est pourquoi j’ai finalement décidé de céder aux avances de Marc qui me drague depuis des mois.
Couchée sur le dos, parée d’un porte jarretelle, de bas opaques noirs et d’escarpins vernis noirs à talons aiguille, je ronronne aux côtés de Marc qui a joui trois fois en moi remplissant successivement chacun de mes orifices avec son dard imposant. Ainsi, après m’être délectée en avalant la sève abondante qu’il a libérée au fond de ma gorge, j’ai connu un fabuleux orgasme lorsqu’il m’a possédée fougueusement en levrette, s’extirpant de mon con juste avant de répandre son jus dans la raie de mes fesses. Il a ensuite utilisé sa semence pour huiler mon oeillet qu’il a patiemment assoupli et préparé avant d’y planter son cep noeux gorgé de sang. J’ai alors renoué avec les délices d’une sodomie lente et sauvage à la fois, plaisir auquel je n’étais plus habituée depuis que je partage la vie et le lit de Pierre, mon mari bien trop sage.
Tout en enserrant dans ma main le membre orgueilleux de l’étalon allongé à mes côtés, je profite de la plénitude de l’instant faisant fi des remords qui pourraient venir hanter mon esprit. Et je pressens que cette première soirée à vibrer dans les bras virils de mon amant n’est que le début d’une longue série. C’est pourquoi en quittant le fougueux Marc, j’ai le coeur léger et l’esprit empli du sentiment de satisfaction propre à la femelle comblée.
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Marc est un amant exceptionnel mais c’est aussi un dominant très exigeant avec ses maîtresses. Et j’avoue que je ne peux pas lui refuser grand chose tant il a su établir son ascendant sur moi depuis que je me suis donnée à lui. Désormais, nous nous retrouvons quasi-quotidiennement dans le deux pièces de Franck qui est de facto la garçonnière dans laquelle Marc convie ses conquêtes depuis qu’il travaille dans le quartier de la Défense.Et il y en a eu quelques unes avant moi. Notamment, Maud la responsable RH du service qui ne digère pas d’avoir été évincée par le mâle Alpha à mon profit et me présente désormais en privé comme la "Chienne de Marc". Mon amant m’a avoué que lors de leur liaison, Maud lui était complètement soumise et qu’elle n’avait guère apprécié d’être remplacée.Il m’a aussi expliqué que c’est Maud qui lui avait permis de se faire embaucher dans ma société pour l’avoir plus près d’elle. Malheureusement pour Maud, dès que Marc m’a vue, il a eu envie de me posséder et de faire de moi sa nouvelle favorite. Néanmoins, Marc ne désespère pas d’obliger Maud à participer à nos ébats lorsqu’elle aura digéré son éviction.
Je n’ai jamais été attirée par les femmes et je l’ai dit à Marc qui en a aussitôt déduit que je n’aurais rien contre un trio avec un autre homme. C’est vrai qu’avant de rencontrer Pierre, mon mari, je pratiquais volontiers la double pénétration et la perspective de retrouver le plaisir d’être remplie simultanément par deux belles queues m’émoustille beaucoup.
La plupart du temps, mes étreintes avec Marc ont lieu à l’heure du déjeuner, sauf le mercredi où je profite de la soirée tarot de mon époux pour m’envoyer en l’air avec mon collègue après la fin de ma journée de travail.Ce jour là, nous commençons généralement par une petite séance de baise apaisante jusqu’à 19h30 avant d’aller dîner dans un bistrot du quartier. Puis nous retournons dans notre antre pour remettre le couvert jusqu’à épuisement. Pour plaire à mon étalon, je me rends désormais au travail avec comme dessous bas et porte jarretelles, et ce coquin ne m’autorise à enfiler que des strings minimalistes, et les slips fendus qu’il m’offre de temps en temps. Bien sûr, ce que Marc préfère c’est quand j’exauce sa demande d’aller au bureau sans culotte et sans soutien-gorge ou avec des modèles sans bonnets qui maintiennent mes seins tout en laissant libres mes aréoles et mes beaux gros tétons.
Lorsque j’ai commencé à troquer mes collants contre des bas et des dessous afriolants, je ne l’ai pas caché à mon mari et, passée la surprise initiale, Pierre a vite cessé d’y prêter attention. Contrairement à mon fils Arnaud, si j’en juge par les nombreuses taches que je découvre sur ma lingerie lorsque je dois faire une lessive.
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Évidemment, la première fois que jai revu mon amie Laura, après avoir entamé ma relation torride avec mon fougueux collègue, je ne lui ai rien caché. Elle s’est déclarée ravie pour moi et même un peu jalouse lorsque je lui ai avoué que non seulement Marc avait une très grosse bite mais qu’en plus il était extrêmement endurant. — C’est mon fougueux étalon qui a exigé que je ne porte plus de collant, ai-je expliqué à Laura qui s’étonnait de me voir arborer des dessous de courtisane. Je lui ai aussi déclaré que j’appréciais la sensation procurée par l’étoffe sur mes fesses nues. — J’adore aussi quand Marc me pelote discrètement lorsque nous nous croisons au travail, ai-je enfin ajouté. — J’ai l’impression que ton étalon à fait de toi sa soumise, m’a déclaré mon amie à la fin du déjeuner. — Tu as peut-être raison, mais je me demande si ce n’est pas ce dont j’ai besoin en ce moment. C’est tellement agréable de ne pas avoir à prendre de décision tout en sachant que ton mâle te comblera de plaisir.
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Cela fait près de trois mois que je suis devenue la maîtresse de Marc. Arnaud a été reçu au concours après les épreuves du deuxième semestre et il intégrera donc la deuxième année de médecine à la rentrée. L’été approche et je passe officiellement au moins une nuit par semaine et un week-end sur deux avec mon amie Laura. C’est en tout cas le discours que je tiens à ma famille car c’est bien sûr avec Marc que je partage ces moments.Mon amant a exigé il y à deux mois que je m’épile la minette et j’ai bien sûr accédé à sa requête. Marc souhaite maintenant que je me fasse poser des piercings dans les tétons. Je suis d’accord pour le satisfaire mais je dois d’abord trouver une explication à donner à Pierre avant d’entreprendre cette démarche.
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Avec Marc, nous avons posé deux jours de congés pour passer un long week-end ensemble à Honfleur. J’ai prétendu à Pierre que j’étais conviée à un séminaire organisé par la boîte. Mon amant a réservé un coquet deux pièces sur Airbnb et nous passons une bonne partie de notre temps à faire l’amour sans nous soucier de l’heure ou de quelque contrainte que ce soit. C’est Marc qui choisit mes tenues lorsque nous sortons, et comme il fait très beau, je porte exclusivement des jupes très courtes et des tops très décolletés dont certains dévoilent mon nombril. Et mon chéri m’interdit le moindre sous-vêtement à part un string de bain minimaliste réservé pour la plage.
Lorsque nous ne baisons pas, nous passons de longs moments à discuter de divers sujets et j’apprécie que Marc s’intéresse à autre chose que mon cul.
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Me sentant de plus en plus en confiance avec mon fougueux étalon qui vient de me faire jouir intensément une nouvelle fois, je me blottis dans ses bras et je prends l’initiative de lui parler de la sexualité de mon fils. — Arnaud est tout le contraire de toi mon chéri. Il a beaucoup de mal à aborder les filles. De plus, il n’a pas encore évacué son complexe d’Œdipe.
Dans la conversation qui suit, j’expose toutes les circonstances à Marc, qui à la fin en tire une conclusion qui me sidère. — Tu n’as pas le choix Mathilde. C’est à toi d’initier ton fils au plaisir du sexe. Il ne se sentira pas homme tant qu’il n’aura pas baisé sa mère. — J’imagine que tu plaisantes! Dis-je quelque peu interdite. — Je ne pense pas que les difficultés d’un jeune homme à nouer des relations soient un sujet de plaisanterie.
Je regarde Marc les yeux ronds. — Enfin, reconnais que ce que tu me dis est quand même particulier. — Je ne pense pas, et puis qu’importe. Puisque nous sommes en veine de confidences, sache que ce sont deux amies de ma mère qui ont fait mon éducation sexuelle. — Ok. Mais je suis la mère d’Arnaud. Tu n’as pas sauté ta mère toi!
C’est la première fois que je sens que Marc est troublé. Jusqu’à présent, il m’a toujours impressionnée par son assurance et la maîtrise de ses émotions. Ce sont deux des raisons principales pour lesquelles, je réponds favorablement à la plupart de ses requêtes.
— Et bien si! Lâche soudainement mon amant. L’année de mes vingt ans, mon père a quitté ma mère pour une femme plus jeune. Évidemment maman était effondrée et j’ai fait en sorte de la réconforter par tous les moyens. Et une chose en amenant une autre je suis devenu l’amant de ma mère jusqu’à que ce qu’elle rencontre quelqu’un.
Je comprends que Marc a dû faire un gros effort pour se confier ainsi et je le sers dans mes bras et l’embrasse tendrement avant d’attraper sa belle queue que je branle doucement. Lorsque son engin a retrouvé son imposant volume, je me déplace lentement le long de son corps pour aller l’emboucher. Mon étalon se laisse faire les yeux fermés pour mieux profiter de la caresse experte que je lui prodigue.
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Lorsque je retrouve l’appartement familial, le samedi soir, Arnaud m’apprend que son père est au Parc des Princes pour assister à un match du PSG avec quelques copains.En me voyant en talons aiguille, vêtue d’une jupe courte et d’un chemisier blanc légèrement transparent sous lequel je ne porte qu’un soutien-gorge sans bonnets, mon fils rougit légèrement. Je décide de m’entretenir avec lui dans le salon. — Sers nous donc quelque chose à boire mon chéri. J’ai envie d’avoir une petite discussion avec toi.
Arnaud me prépare un verre de porto puis il va chercher une bière dans le frigo avant de s’asseoir dans le fauteuil en face du canapé où je suis installée. En croisant les jambes, je lui dévoile le minuscule triangle de mon string et son regard s’attarde quelques secondes sur mes cuisses appétissantes.
Nous trinquons avant que je lance la conversation. — Alors mon chéri. Tu as brillamment réussi ton année scolaire. Il est temps que tu souffles un peu. Qu’as tu prévu pour les vacances ? — Rien de spécial. Je suppose qu’on va partir tous les trois à la mer avec papa à partir de la mi-juillet. Et que comme d’habitude on y passera un peu moins de trois semaines. — En effet. Mais tu n’as pas envie de faire un truc avec tes copains ? Tu devrais profiter des congés pour te trouver une petite amie, tu ne crois pas ?
Arnaud se rembrunit un peu. Je décide néanmoins de lui parler de ma lingerie. — J’ai l’impression que tu continues à te masturber dans mes dessous. À chaque fois que je fais une machine, ils sont couverts de taches blanchâtres. — Peut être, mais à mon avis, toutes les taches ne sont pas de mon fait. J’ai remarqué qu’avant que je les utilise, l’entrejambe de tes culottes est souvent couvert d’un épais liquide visqueux et odorant.
Je masque tant bien que mal mon trouble. - Et alors ? Tu en déduis quoi ? Ton père et moi faisons l’amour comme tous les couples et il arrive que son sperme s’écoule dans mes slips. — Peut être. Mais à mon avis ce n’est pas la seule raison.— Je t’écoute. — J’ai fini par trouver bizarre que tu rentres tard tous les mercredis soir lorsque papa joue aux cartes chez ses copains. Alors je suis allé t’attendre à la sortie du bureau. Et je t’ai vu sortir avec un grand type brun. Je vous ai suivis de loin et lorsque vous avez quitté le métro à Neuilly, j’ai vu que vous vous embrassiez avant de rentrer dans un immeuble assez proche de la station.
Voyant mon air interdit, Arnaud croit bon de préciser :— Mais rassure-toi, je n’ai rien dit à papa.
Je ne peux que confirmer la découverte de mon fils. — Bon, je ne vais pas te raconter d’histoires. J’ai en effet une liaison depuis quelque temps avec Marc, un collègue de bureau et nous nous retrouvons le mercredi soir dans l’appartement d’un de ses amis qui vit habituellement dans le sud. J’ai cédé aux avances de Marc parce que ton père ne me touche presque plus et que contrairement à lui, j’ai besoin de faire l’amour pour me sentir bien. Ce n’est pas très glorieux mais cette relation m’apporte énormément de plaisir et pas uniquement sur le plan physique. — Je ne te juge pas maman. Moi, à la place de papa, j’aurais envie de te faire l’amour tous les jours. Tu es vraiment magnifique.
La confidence d’Arnaud me fait légèrement mouiller.
— Écoute mon chéri: tu auras vingt ans en début d’année prochaine. Il serait temps que tu arrêtes de te masturber dans mes culottes.
Arnaud se lève alors et s’approche de moi. Il tend la main vers le haut de mon buste et défait les boutons du haut de mon chemisier. — C’est à cause de Marc que tu portes tous ces dessous érotiques? J’ai découvert tes slips fendus. C’est drôlement pratique. Ton amant peut te sauter sans te retirer ta culotte.
Bien qu’abasourdie, je reste sans réaction laissant Arnaud finir de déboutonner mon chemisier. Il en ouvre largement les pans dévoilant l’absence de bonnets de mon soutien-gorge. La découverte de mes tétons gorgés de sang lui file la trique et je vois apparaître une bosse au niveau de sa braguette.
— Enlève ton slip maman s’il te plaît! lâche mon fils sur un ton dur que je ne lui connais pas. Machinalement, je me lève pour m’exécuter. Le triangle de tissu est maculé du sperme de Marc et de la cyprine qui s’écoule de ma chatte. Je soulève les jambes l’une après l’autre et me retrouve avec le string ficelle dans la main. Arnaud s’en saisit et le porte à ses narines. — Renifle maman ! M’ordonne-t-il en l’approchant de mon nez. Tu sens cette bonne odeur de salope en chaleur ?
Le comportement et le ton agressif d’Arnaud commencent à m’inquiéter et pourtant ma chatte ne cesse de lubrifier. Arnaud enroule le string autour de deux de ses doigts avant de les enfoncer lentement dans ma chatte bien élargie par les nombreux coïts du séjour à Honfleur. Arnaud a les yeux mi clos et il pose sa main gauche sur sa braguette pour masser sa queue qui ne tarde pas à tressauter alors qu’il se met à éjaculer. Ses couilles vidées, il devient rouge de honte et retire ses doigts de ma chatte avant de quitter la pièce.
Je reste un petit moment sous le choc prenant le temps de digérer ce qui vient de se passer. Et je dois avouer que je suis un peu désemparée. Enfin, je quitte à mon tour la pièce pour regagner ma chambre dont je verrouille la porte avant d’aller prendre une douche dans la salle de bains parentale.
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