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Mathilde, son fils et son amant.

Chapitre 3

Les aveux de Mathilde

Inceste
Après avoir passé quelques jours particulièrement chauds à Honfleur avec Marc, mon collègue devenu mon amant depuis quelques mois, j’ai réintégré le domicile conjugal le samedi en début de soirée. Alors que mon mari se trouvait au stade pour assister à un match du PSG, j’ai eu une entrevue avec mon fils Arnaud. Et celle-ci a largement dérapé.
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Je viens de sortir de la douche et je passe une culotte, un redresse-sein, une petite robe courte et mes mules à talons avant d’aller affronter Arnaud en me demandant dans quel état il se trouve après l’épisode survenu il y a moins d’une heure. La porte de sa chambre est fermée et je frappe doucement. — Coucou mon chéri ! Tout va bien ? Tu veux qu’on parle de ce qui s’est passé tout à l’heure ? Aucune réponse ne me parvient. Je n’insiste pas et change de sujet.
— Bon, je vais préparer un dîner léger. Si tu as un petit creux, rejoins-moi.
Je me rends à la cuisine et confectionne une salade, et un plateau de viande froide et de fromages. Puis je coupe quelques tranches de pain avant d’apporter le tout sur la table de la salle à manger et de mettre le couvert pour deux au cas où Arnaud déciderait de me tenir compagnie. Alors que je viens de boire une gorgée du verre de vin que je me suis servie, mon fils apparaît dans l’encadrement de la porte. Il a les yeux baissés, reste immobile et n’ose rien dire. Je l’invite à se joindre à moi. — Viens mon chéri, je ne vais pas te manger. Installe-toi pendant que je te sers un peu de Bordeaux.
Après une hésitation, Arnaud entre dans la pièce et va s’assoir en face de moi. Il boit la moitié de son verre avant de s’exprimer. — Je suis désolé maman, lâche t-il d’une voix faible. Je ne sais pas ce qui m’a pris. — N’en parlons plus. Je peux comprendre que ma liaison extra-conjugale te perturbe mais je te rassure, je n’ai nullement l’intention de quitter ma famille. J’ai beaucoup de tendresse et de respect pour ton père qui a toujours été à mes côtés depuis que je l’ai épousé. Et comme il ne me fait ni remarque ni reproche sur mes absences répétées, je n’ai aucune raison de lui tenir rigueur de quoi que ce soit.
Arnaud esquisse un sourire. — C’est vrai que papa est une crème. Soit il est complètement naïf, soit il se fout que tu ailles te faire sauter par un autre... Je termine la phrase d’Arnaud. — Et mon mari est un brave type mais pas complètement naïf n’est ce pas ? Tu as discuté avec lui de mes absences des derniers temps. — À chaque fois que je lui demande où tu es lorsque tu découches, il répond invariablement que tu passes la nuit chez ta copine Laura qui habite en grande banlieue.
— Et bien sûr, c’est faux. Il y a en effet pas mal de chances que je me fasse sauter par Marc au moment même où tu poses la question car nous baisons beaucoup et Marc est très endurant.
Ma révélation fait rougir Arnaud dont la main vient de passer sous la table. — Tu le suces ? Demande-t-il d’une petite voix après un moment de silence.
Je regarde mon fils avec étonnement et décide finalement d’être cash avec lui. — Bien sûr! J’adore ça. En fait, j’adore tout ce qui a trait au sexe. Et j’avais presque oublié comme c’est bon pendant ces vingt dernières années car ton père n’est vraiment pas porté sur la chose. Mais c’est comme le vélo, ça revient vite, surtout avec un partenaire aussi doué que Marc.
Le bras d’Arnaud s’agite légèrement. Mon fils est visiblement en train de se toucher pendant que je lui parle de ma relation avec mon amant. — Est-ce qu’il a une grosse... — Une grosse bite ? En effet, Marc est très bien monté et surtout il sait très bien utiliser son engin pour donner du plaisir à une femme. — Plus ou moins de vingt centimètres ? Insiste Arnaud. Je souris. — C’est sûrement plus mais je ne l’ai pas mesurée si c’est ça qui t’intéresse. Et surtout sa queue est très épaisse. Pour moi, c’est le plus important. J’adore être bien dilatée.
Les yeux d’Arnaud se révulsent et il fait une grimace. Je comprends qu’il est en train d’éjaculer dans son pantalon. De mon côté, ma chatte est toute mouillée car ce que je viens de raconter à mon fils m’a énormément excitée. À bientôt quarante-trois ans, je prends conscience de toutes ces années de baise perdues et je dois avouer que j’ai une furieuse envie de rattraper tout le retard accumulé. Finalement, en y repensant, avec Marc on s’envoie en l’air pratiquement tous les jours de la semaine et au moins un week-end sur deux. Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de couples - légitimes ou pas - qui baisent autant que nous.
Nous terminons notre repas en silence et Arnaud s’esquive discrètement dans sa chambre juste après. Il essaie de masquer le devant de son pantalon mais je remarque malgré tout la tache bien visible au niveau de son entrejambe. Après avoir débarrassé la table, je m’installe dans le salon pour regarder la télévision. Mais toutes ces parties de jambes en l’air des derniers jours avec mon étalon m’ont bien crevée et je m’endors rapidement dans le canapé.
C’est Pierre qui me réveille en rentrant du stade. Il est plus de minuit. — Ah tiens! Tu es là ? Lâche t-il d’une voix traînante qui me laisse penser qu’il a un peu trop bu. — Tu en as eu marre de te faire sauter pendant trois jours entiers. Alors tu as décidé de rentrer.
Je me réveille d’un coup et ne peux empêcher les battements de mon coeur de s’accélérer. Puis je me tourne vers Pierre. Il a l’air ivre et me lance des propos hargneux. — Tu croyais quoi? Espèce de salope! Que tu allais te faire défoncer le cul tous les jours de la semaine et que je ne me rendrais compte de rien. Pauvre conne! Il n’y a pas que ton fils qui vérifie le fond de tes culottes, enfin quand il t’arrive d’en mettre une pour sortir. Je sais pas si tu baises avec un régiment complet ou un éléphant, mais le type qui te fourre, il doit avoir des couilles comme des melons vu la quantité de foutre qu’on retrouve collée à l’entrejambe de tes slips.
Je suis complètement tétanisée. C’est la première fois que Pierre se met dans un état pareil et je suis totalement incapable de réaction. — Tu sais ce qu’on a fait après le match, espèce de pute? Je me recroqueville un peu plus. — Et bien, avec Dédé, on est allé au bois de Boulogne pour voir si on allait pas trouver une nana qui voudrait bien nous sucer mais malheureusement pour nous, elles toutes bien moins salopes que toi.
Alerté par les vociférations de son père, Arnaud nous rejoint dans le salon.
— Calme toi papa, s’il te plaît. Tu as beaucoup trop bu. Tu ne te contrôles plus et tu dis n’importe quoi ! — Moi! je dis n’importe quoi ! C’est ta salope de mère qui me raconte n’importe quoi avant d’aller se faire baiser. Je vais la dérouiller cette pute.
Bouleversée par cette scène inattendue, j’éclate en sanglots alors qu’Arnaud s’approche de son père pour tenter de le calmer. — Papa je t’en prie. Reprends toi. La violence ne résoudra rien. — Peut-être, mais je me sentirai mieux quand j’aurai mis une bonne branlée à cette salope. Arnaud devient très énervé à son tour et menace son père. — Si tu ne te calmes pas, c’est moi qui vais le faire.
Pierre devient fou de rage. — De quoi? Tu prends le parti de cette pute? Mon mari se rue alors sur mon fils mais il trébuche sur le tapis et s’étale de tout son long en tapant sa tête sur le coin de la table basse. La peau du front éclate et le sang se met à couler abondamment. Pierre tâte le haut de son visage et il devient blême en découvrant sa main toute rouge. — Bordel ! C’est quoi cette merde!
Je ne sais plus que faire et c’est Arnaud qui prend les choses en main. Il attrape une serviette de table qu’il applique sur le front de son père. Puis il s’adresse à moi. — Maman, va chercher du coton de l’alcool et du strip! Il faut qu’on suture la plaie. Je fais ce que me demande Arnaud et dix minutes plus tard, Pierre est allongé sur le canapé avec un magnifique pansement sur le front. Il a dessoûlé d’un coup et semble complètement abattu.
Je me tiens en face de lui, assise sur la table, et je le regarde avec humilité. Mon mari est visiblement gêné. Et puis soudain, il me tend la main. Je m’en saisis et m’approche pour la porter à ma bouche avant de déposer un baiser sur le revers. Rassuré sur l’évolution de la situation, Arnaud retourne dans sa chambre.
Je souris à mon époux et l’embrasse sur son front avant de murmurer. — Si on allait se coucher. Pierre se redresse doucement et se lève en me tenant la main. Une fois dans la chambre, je me déshabille rapidement et m’allonge toute nue sur le lit les jambes écartées. Je fais face à Pierre et m’adresse à lui d’une voix douce. — Mets-toi nu et viens me lécher, lui dis-je. Mon mari retire ses vêtements. Sa queue est fièrement dressée. Évidemment, elle ne peut rivaliser avec le membre majestueux de Marc mais j’apprécie de la voir au garde à vous. Pierre éteint la lampe et vient s’installer entre mes cuisses qu’il saisit fermement avant d’approcher son visage de mon sexe. Puis je ferme les yeux en posant mes mains sur mon ventre pendant que les premiers coups de langue lapent délicatement ma vulve. Pierre alterne léchages et succions et les mouvements légers sur mon clitoris le font sortir de sa coquille. J’apprécie la caresse en respirant fort et en poussant de petits gémissements. Puis après quelques minutes de ce délicieux traitement, je me tends et je crie en atteignant l’orgasme.
Mon conjoint ne bouge plus jusqu’à ce que je m’adresse à lui. — Viens en moi maintenant mon amour. — Pierre remonte le long de mon corps jusqu’à ce que je puisse saisir son membre pour l’introduire dans ma chatte. L’engin rentre comme dans du beurre et je pense alors à l’épaisseur du calibre de Marc tandis que Pierre se met à me limer. Il lui faut peu de temps pour jouir en moi.
Le lendemain, nous émergeons vers dix heures du matin. Je me blottis contre Pierre qui me sert dans ses bras en me donnant de petits baisers. — Comment va ton front, mon chéri ? — Ça va. Je n’ose aborder les événements de la fin de soirée. Pierre rompt le silence. — Alors... Peux tu me dire qui est ton amant et depuis combien de temps dure cette liaison ? Je ne cache rien à mon mari qui comme son fils m’interroge sur la taille des attributs sexuels de mon collègue. De nouveau, je réponds avec franchise. — Marc a une très grosse bite et il est très endurant. Il me donne énormément de plaisir et si tu me le demandes, je ne souhaite pas rompre avec lui. J’ai besoin de t’avoir dans ma vie mais j’ai aussi besoin de Marc et pas seulement pour le sexe. J’espère que tu accepteras de me partager pendant le temps qu’il faudra.
À la fin de ma déclaration, j’ai le coeur qui bat la chamade. Pierre se lève et au moment de quitter la chambre me dit. — Je ne sais pas où va nous mener cette histoire... Puisque tu sembles vouloir camper sur tes positions, je vais réfléchir de mon côté à la meilleure option pour notre famille. En attendant je vais préparer le petit déjeuner.
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Le lendemain, lorsque je me retrouve avec Marc dans le deux pièces de Neuilly, je lui relate les événements du week-end avec mon fils et mon mari. — Que comptes-tu faire ? Me demande mon amant. — Pour le moment, me faire sauter par mon étalon. Marc me prend alors vigoureusement et me fait jouir intensément avant de me sodomiser.
En fin d’après-midi, mon amant m’invite à le rejoindre dans son bureau. Une fois la porte fermée, il se lève et vient contre moi me rouler une pelle et me peloter le cul. Puis il soulève ma jupe sous laquelle je porte un slip fendu.Il m’assied sur son bureau puis extirpe sa grosse queue de son pantalon, et me la plante d’un coup dans la chatte. J’ai l’impression que son engin est encore plus épais que d’habitude et je ne peux étouffer un cri de douleur malgré le jus gluant qu’il y a déversé à l’heure du déjeuner. Marc commence à me limer doucement et peu à peu des ondes bienfaisantes se diffusent dans mon bassin. Je me mets à gémir lorsque mon étalon accélère le rythme et une dizaine de minutes plus tard, un flot de sperme inonde ma chatte alors que je suis submergée par un puissant orgasme. — Lorsque tu rentreras, tu demanderas à ton mari de nettoyer ta chatte avec sa langue, m’ordonne-t-il. Tâche de garder le maximum de foutre entre tes cuisses.
Quand Pierre rentre du travail, il me trouve allongée sur notre lit portant un top moulant et décolleté ainsi que des escarpins à hauts talons et la chaîne de cheville en or qu’il m’a offerte il y a quelques années. Je suis nue de la taille aux pieds et j’ai les jambes écartées. — Déshabille-toi et viens me lécher! Je lâche d’un ton sec. Malgré sa surprise, mon mari s’exécute et je constate qu’il bande avant de venir entre mes cuisses. L’odeur forte de ma chatte semble l’indisposer mais j’appuie sur sa tête pour qu’il plante son nez dans ma fente. — Allez ! Dépêche toi de bien nettoyer le sperme que Marc a libéré dans mon intimité avec son énorme bite. Pierre s’applique et je trouve la caresse délicieuse. Je l’encourage en gémissant. — Vas-y chéri ! Avale la sève de mon étalon. N’en laisse pas une goutte. La langue de Pierre virevolte et je crie de plus en plus fort en fermant les yeux.
Lorsque je les ouvre après avoir joui intensément, je découvre Arnaud debout sur le seuil de la porte. Il a sorti sa queue et il se masturbe doucement. Je repense à ce que m’a dit Marc à Honfleur et je m’adresse à mon garçon. — Déshabille toi mon chéri et viens prendre la place de ton père. Pierre se redresse d’un coup et aperçoit son fils en train de retirer ses vêtements. Il devient tout rouge. — Non mais qu’est ce que c’est que ce nouveau délire! Tu veux qu’Arnaud te suce à ma place? Je prends un ton autoritaire pour répondre. — Tu as bien compris! Laisse ta place maintenant ! Pierre est estomaqué et il ne sait plus que penser. Mais il finit par se lever et quitter le lit.
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