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Matin calin

Chapitre 1

Inceste
Carole et Laurent sont en couple depuis vingt ans. Elle a trente neuf ans, un corps encore superbe. Lui, a quarante et un ans, aime les virées en boites entre amis, la chasse. Bon, passons. Ils ont un fils, Rémi, qui reçoit un copain de lycée à passer quelques jours à la maison.-Tu connais mes parents, présente Rémi. Laurent, mon père, et ma mère Carole.-Merci de m’accueillir, dit poliment Hervé.Il toise Carole. Il est scotché devant tant de classe et de beauté. Elle fait mine de l’ignorer. Si elle prend un amant, ce ne serait pas son genre. Rémi a tout vu. Aussi, propose-t-il des rafraîchissements pour étancher la soif sous cette chaleur caniculaire.Les deux copains fêtes leurs examens de fin d’année. Le soir, une petite soirée est organisée avec quelques amis. Vers minuit, Laurent s’approche de son épouse.-On monte se coucher chérie, il se fait tard.-De suite, répond Carole, je mets un peu d’ordre et j’arrive.Seul Hervé, déjà en caleçon pour la nuit, se propose à l’aider. Le rangement prend un quart d’heure.-Voilà, c’est fini, dit Hervé. A deux, çà va plus vite.-Je te remercie, répond Carole. On peut aller se coucher maintenant.-Cà mérite une bise, dit Hervé, en s’approchant de Carole.Elle s’avance est l’embrasse sur la joue.-Merci, répète-t-elle, et bonne nuit.Hervé, déçu, monte à sa chambre. Carole aussi, regagne son lot de solitude. Son couple n’est plus ce qu’il était. Laurent a tendance à la délaisser au lit. Pas qu’elle soit une chaude lapine, mais elle aimerait un peu plus d’affection. A-t-il une maîtresse? Elle n’en sait rien. Les rêves les plus fous défilent dans sa tête. Elle a bien eue quelques touches, mais çà ne l’intéresse pas. Puis elle n’a pas un caractère à se donner facilement. Elle veut rester fidèle, respecter son engagement qu’elle a passé devant le maire. Donc, dans les soirées, elle se contente danser, de rire, de se laisser séduire, par jeux. Laurent n’est pas jaloux. Il ne l’a surveille même pas.Un soir, elle a failli avoir une aventure hors du commun. C’était il y a environ un an, pour les dix huit ans de Rémi. La soirée était copieusement arrosée. Ils se rencontrent à la cuisine.-Bon anniversaire encore mon amour, rit-elle.Elle lui donne un baiser torride sur la bouche, auquel Rémi répond, osant même passer une main sous le pull de sa mère, et lui caresser les seins libres de tout vêtement.-Waouaou maman, qu’ils sont beaux.Doucement, les corps se séparent. Carole a les larmes aux yeux.-Restons en là, s’il te plait. Je ne suis pas pour l’inceste. Je suis ta mère mon chéri, tu comprends.-Rémi l’a prend dans ses bras.-Excuse moi maman, çà ce reproduira plus.Tout le reste de la soirée, leurs regards vont se chercher. Ils vont s’envoyer des sourires coquins, des petits mots vicieux quand ils se croisent. Mais, çà s’arrête là. Pendant longtemps, Carole à regretter d’avoir repousser son fils. Elle aurai bien aimer tenter l’expérience. Elle y pense souvent, et chaque fois, elle ressent une agréable chaleur au creux de son ventre.
Il est sept heures du matin, le soleil commence à filtrer à travers les persiennes. La chambre est dans une semi obscurité. Carole est allongée sur le dos, la jambe droite repliée à l’équerre, le genou qui dépasse du drap. Soudain, elle sent une main qui se pose sur sa cuisse. Elle se tourne vers son mari, mais çà ne peut pas être lui, il est trop loin. Puis, de petits ronflements s’échappent de sa bouche. Elle ne veut pas allumer, de peur de le réveiller. Elle est curieuse de connaitre la suite. La main caresse délicatement la cuisse de Carole, remonte doucement vers l’entre jambe. Un doigt effleure la fente, vite rejoint par un second, qui écarte les lèvres devenues humides. En coeur, les deux doigts font des va et vient, jusqu’à atteindre le clitoris, qu’ils décalotte. Séduite par la caresse, Carole ne repousse pas les doigts qui jouent avec elle. Cà lui plait. Elle cambre légèrement les reins, et écarte ses cuisses pour s’offrir totalement.L’intrus, certainement masculin, est à genoux sur la moquette. A tâtons, Carole avance son bras. L’intrus est vêtu d’un long tee short. Elle glisse une main entre les jambes écartées, et rentre en contact avec des bourses pleines et dures. Elle fait rouler les testicules entre ses doigts. Puis, elle remonte, et saisit une queue magnifique, en pleine érection. Elle fait coulisser le prépuce, et décalotte le gland. Elle entreprend de lents mouvements de masturbation. Pendant ce temps, les doigts s’activent dans sa chatte toute mouillée. Carole mord le drap pour étouffer ses gémissements. Mais l’orgasme est là. Elle se lâche. Tant pis pour les draps, on verra demain. Elle entend le souffle de son visiteur qui s’accélère. Les dégâts risques d’être plus visible. Aussi, place-t-elle sa tête hors du lit, et la penche dans le vide. Ses lèvres sont en contact avec le gland en pleine vibration. L’éjaculation est proche. Elle avale le membre jusqu’aux couilles, et le stabilise. La queue, immobilisée, a tout son temps pour se vider dans la gorge de Carole. Et son temps, elle le prend. Elle va rester encrée dans la bouche jusqu’à ce qu’elle soit crachée tout son jus. Après avoir avaler la semence jusqu’à la dernière goutte, Carole suce le gland, et le nettoie à coup de langue. Un visage se penche sur elle, et lui donne un langoureux baiser. Elle prend l’inconnu par la nuque. Furtivement, une ombre s’éclipse de la chambre. Carole se retourne vers son mari qui dort les poings fermés.
Carole arrive dans le salon vers neuf heures. Elle aperçoit Rémi qui bronze sur la terrasse. Il est vêtu d’un caleçon. Elle se pose des questions. C’est sur, elle n’a pas rêver. Elle s’est faite doigter ce matin. C’est sur aussi, l’intrus portait un tee short.Hervé se pointe à son tour, la gueule enfarinée.-Je t’ai entendu ce matin quand tu as reposé mon tee short. Tu pourrais faire moins de bruit.Carole met sa main devant sa bouche, et va à la salle de bain. A peine rentrée, la porte s’ouvre, c’est Rémi.— Maman, çà ne va pas? Qu’est-ce qu’il t’arrive.-Pourquoi, mais pourquoi tu m’as fais çà, dit-elle en larmes. J’ai sucé mon propre fils. Tu te rends compte que je pourrai plus te regarder en face. Mais qu’est ce qu’il t’a pris.-Mais maman, tu ne pas repoussé, je te croyais consentante.-Mais je ne savais pas que c’était toi, répond Carole toujours en pleurs.-Alors tu pensais que c’était Hervé. Ben...excuse moi man, répond-il tristement.Rémi se dirige vers la porte.-Non, ne pars pas supplie-t-elle. Je préfère que se soit toi mon chéri. Mais ne me prend pas pour celle que je ne suis pas. Et puis, il faut que çà reste entre nous, d’accord?-T’inquiète pas maman, je veux pas que tu soit malheureuse. Allez, je te laisse te doucher.— Tu ne m’embrasses pas avant de partir mon amour.Rémi se retourne, et saisit sa mère par la taille. Le baiser est fusionnel. Le peignoir s’ouvre et glisse sur le sol. Il sort de la salle de bains.
Carole a franchi le pas. Aujourd’hui, elle a des relations régulières avec son fils. Au fil du temps, il a acquis de l’expérience. C’est devenu un vrai amant.
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