J’avais vingt-cinq ans à cette époque. J’ai découvert un site Internet qui m’a conduit vers d’autres sites Internet de femmes matures et j’ai rapidement commencé à développer mes fantasmes et voir la beauté et la sexualité des femmes plus âgées. Le fantasme total pour moi était des femmes mûres dans la cinquantaine qui aimaient porter des escarpins à talons hauts, des bas en nylon noirs maintenus par un porte-jarretelles sexy et qui posaient avec une attitude taquine, jambes croisées, montrant le haut en nylon. Étant en voyage d’affaires, j’ai décidé de faire quelque chose pour mon fantasme. J’aime flirter et , j’ai parfois de la chance. J’ai pensé que les femmes plus âgées qui sont seules et qui aiment flirter pourraient aussi... eh bien, vous voyez l’image. J’ai élaboré un plan, qui impliquait de passer du temps à l’épicerie du quartier pour voir si je pouvais aller trouver une femme pour mon fantasme. Je me suis posté près de la section bière et vin et j’ai essayé de donner l’impression que j’étais occupé à déterminer quel fromage allait avec un Chardonnay que j’avais sélectionné. Mon attente a vite été récompensée car une femme sexy qui semblait avoir la cinquantaine est passée par la section des vins et s’est arrêtée juste en face de moi. Je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer qu’elle était fantastique et qu’elle était la parfaite représentation de mes fantasmes de femmes mûres. Elle portait des bas en nylon noirs, des talons hauts, une jupe moulante et un chemisier moulant qui dessinait bien sa silhouette. Le destin était de mon côté alors qu’elle était à faire un choix de vin blanc et sélectionnait exactement la même bouteille de vin californien que j’avais précédemment sélectionnée.
Peut-être avait-elle vu ma sélection. Essayant d’avoir l’air confus, je me suis excusé et lui ai demandé si elle pouvait avoir une suggestion quant à un fromage pour accompagner mon achat de vin. Sans aucune hésitation, elle m’a dit qu’elle préférait le cheddar fort pour accompagner le vin. Comme pour faire la conversation, je lui ai dit que je n’étais en ville que pour la soirée, et en voyage d’affaires et que j’avais l’intention d’apporter mon vin, mon fromage et saucisson dans ma chambre d’hôtel et de regarder des films jusqu’à ce que le vin m’aide à dormir.
Elle m’a dit qu’il était dommage de boire une si bonne bouteille de vin seule, mais qu’elle aussi avait prévu une soirée singulière puisqu’elle était veuve et ses enfants ont tous grandi et vivent dans d’autres villes. Elle m’ouvrait la porte à une invitation. J’ai expliqué que je comprendrais sûrement si sa réponse était non, mais je lui ai demandé si elle aimerait m’accompagner dans ma chambre pour partager le vin et le fromage et juste parler. J’étais seul dans cette ville et j’ai expliqué que mes réunions m’avaient épuisé, et je crois qu’il pourrait être agréable de partager et passer la soirée en bonne compagnie. Elle m’a regardé et a hésité un moment en me détaillant. À ma grande surprise, elle accepta volontiers. Je lui ai suggéré de laisser son panier là où il se trouvait, de m’accompagner jusqu’à la caisse et de me suivre jusqu’à sa voiture puis jusqu’à mon hôtel situé à environ un kilomètre de route. Elle m’a accompagné sans hésiter. J’ai acheté plusieurs articles de toilette tels que du rince-bouche et du fil dentaire. Elle n’a pas hésité à me suivre de là jusqu’à la caisse, puis jusqu’à nos voitures respectives.
Elle m’a suivi sur la courte distance jusqu’à l’hôtel et s’est garée à côté de moi sur le stationnement. Il était presque dix-neuf heures. Nous nous sommes dirigés vers les ascenseurs et jusqu’au quatrième étage et ma chambre. J’ai pu remarquer que les employés de la réception ont observé notre passage dans le hall, mais ils ont sûrement dû penser que nous étions mère et fils. Dans l’ascenseur je la tenais par la main. Une fois dans la suite, je me suis mis à la tâche de mettre notre nourriture et d’ouvrir la bouteille de vin. La suite avait une sorte de cuisine équipée de verres à vin, d’un ouvre-bouteille, d’assiettes et de pratiquement tout ce dont le voyageur fatigué peut avoir besoin. Alors que je me lançais dans cette tâche, ma nouvelle amie dont j’avais appris le nom, Sarah, elle s’excusa pour aller aux toilettes pour se rafraîchir. Quand elle est sortie, j’ai remarqué qu’elle avait appliqué une épaisse couche de rouge à lèvres sur sa bouche sexy et mon cœur a bondi alors que ma bite se mettait au garde-à-vous.
C’était maintenant mon tour, j’avais mis la table et versé nos premiers verres de vin. Alors que je m’excusais pour aller aux toilettes, je lui ai demandé si cela la dérangerait terriblement si j’enlevais mon costume d’affaires pour enfiler quelque chose de moins formel et de plus confortable. J’ai pris une douche rapide pour me laver du travail de la journée. Laissez-moi vous décrire Sarah. Elle avait cinquante-quatre ans, mesurait environ un mètre soixante et ne pesait pas plus de cinquante-cinq kilos. Elle avait des cheveux blonds courts, qu’elle portait en torsion. Elle portait un chemisier blanc moulant et une jupe noire moulante, qui tombait juste au-dessus de son genou. Son visage était sexy et sa tenue m’a donné une indication de ce à quoi ressemblait sa silhouette. Je pouvais voir le contour de ses seins contre le chemisier soyeux. Elle était très attirante et sexy pour son âge, et paraissait aussi très instruite et aisée par l’apparence de ses vêtements et par le contenu de sa conversation. Je peux aussi vous dire qu’elle sentait bon, son parfum m’enchantait.
Elle était juste assez maquillée, et je l’ai de nouveau remarquée des lèvres rouges humides Ses ongles étaient peints et faits à la perfection. Lorsque je suis revenu dans la pièce, j’ai rapidement remarqué que Sarah s’était installée sur le canapé, les jambes croisées, ce qui faisait remonter sa jupe le long de ses cuisses, exposant légèrement ses hauts en nylon. Elle avait déjà bu presque son premier verre de vin. Alors qu’elle était assise sur le canapé. Je me suis assis dans le fauteuil rembourré à côté du canapé, j’ai fait tourbillonner mon vin et j’ai senti son arôme, il était agréable, et je l’ai goûté à ma satisfaction. Mes yeux se sont promenés sur ses jambes sexy et j’admirais la partie visible de ses cuisses. J’ai rejoint Sarah sur le canapé pour grignoter du fromage et des craquelins pendant que nous parlions de tout et de rien et que nous terminions lentement la première des deux bouteilles de vin. Sept heures étaient passées à huit et il était facile de dire que Sarah et moi ressentions l’impact de la longue journée et du vin doux.
Me sentant enhardi par le vin et l’ambiance, je me suis levé pour changer de chaîne de la télé pour une chaîne pour adultes de fin de soirée et je me suis rassis sur le canapé à quelques centimètres de Sarah. Elle ne parut pas s’inquiéter de ce changement de position. En fait, elle a tourné son corps vers moi pour que nous puissions converser plus facilement. Comme elle l’a fait, son genou droit en nylon s’est posé contre mon genou gauche. Nous avons parlé de la vie et des expériences, et comme nous l’avons fait, j’ai tendu la main et lui ai touché le bras. Elle ne recula pas, mais sembla plutôt se rapprocher de moi. Nous avons continué à boire et à parler jusqu’à ce que je décide que le moment était venu pour la prochaine phase de cette romance. Je me suis tourné pour regarder la télévision, il y avait beaucoup de baisers et de tâtonnements et j’ai passé mon bras autour d’elle et l’ai attirée plus près de moi. Elle glissa facilement vers moi et laissa son bras droit se poser sur mes genoux. À ce moment-là, mon esprit s’emballait avec des pensées agréables et mon érection était presque complète. Je devenais plus audacieux à chaque instant qui passait et elle s’est blottie sur mon torse, doucement et lentement, mes lèvres contre son cou. Elle ne recula pas mais gémit de plaisir apparent et accepta mon avance. J’ai commencé à caresser son cou et j’ai commencé à utiliser ma langue pour lécher de haut en bas puis jusqu’à son oreille.
Elle gémit à nouveau et elle a pressé son oreille contre ma langue pour encourager mes avances. À la fois, elle a placé sa main directement sur ma bite maintenant bombée et se déplaçait lentement de haut en bas me causant un grand plaisir et intensifiant mon érection. Elle se retourna sans parler et soudain nos lèvres se sont rencontrées. Nous nous sommes embrassés tendrement, elle a légèrement ouvert la bouche et a encouragé nos langues à se rencontrer. Son rouge à lèvres était si bon et dans mon état d’excitation, j’ai commencé à déboutonner lentement son chemisier de soie blanche sans rencontrer de résistance. J’ai supposé, à juste titre, que nous nous dirigions vers une soirée de plaisir explicite.
J’ai déboutonné le dernier bouton de son chemisier et l’ai ouvert pour révéler un soutien-gorge noir en dentelle, attaché à l’avant, et j’ai pris la liberté de soulever ses seins et d’exposer ses mamelons hors du soutien-gorge. Ses mamelons étaient durs comme si elle avait froid. J’ai soulevé son sein droit à deux mains et je l’ai porté à mes lèvres. Elle se pencha en arrière dans l’anticipation et l’excitation. Elle s’est volontairement donnée à moi. Alors que j’embrassais, léchais et suçais ses mamelons elle frissonnait et gémissait de plaisir, ma langue aspirant son mamelon gonflé. Alors que j’embrassais et suçais ses seins, elle commença à soulever mon tee-shirt au-dessus de ma tête. J’ai fini de déboutonner son chemisier et après l’avoir enlevé, j’ai dégrafé son soutien-gorge noir pour libérer ses seins appétissants. Maintenant, nous étions tous les deux torse nu, je l’ai tenue près de moi et j’ai embrassé à nouveau ses lèvres rouges et humides, ouvertes et avides. La sensation de ses seins touchant ma poitrine juste au-dessus de mes propres mamelons était fantastique. Elle n’était certainement pas gênée par son corps et semblait déterminée à tirer autant de plaisir de cette rencontre qu’elle en donnait. Alors que nous nous étreignions et nous embrassions, j’ai déplacé ma main droite de derrière son dos jusqu’à ses jambes recouvertes de bas en nylon noir et lentement mais sûrement, j’ai remonté sous sa jupe, et entre ses jambes maintenant écartées et jusqu’à sa cuisse. J’ai découvert que ses bas en nylon étaient maintenus par un porte-jarretelles, un fait qui a fait grossir encore plus ma bite.
Je remontais lentement le long de sa cuisse, elle déboutonna le seul bouton de mon short et elle a descendu lentement la fermeture éclair. Comme elle l’a fait, je dois avouer que ma bite a sauté hors de mon short et dans sa main qui l’attendait. J’ai une bite de bonne taille. Sarah a pris ma bite bien dure dans sa main droite. Elle était si douce mais si ferme dans ses mouvements que j’ai trouvé le plaisir assez intense. Alors qu’elle me serrait et me caressait, elle écarta les jambes m’encourageant à l’explorer davantage. J’ai inséré mes doigts au-delà de la bande de jambe élastique de sa culotte et je découvrais le buisson velouté entourant sa chatte qui attendait avec impatience. J’ai séparé les lèvres de sa chatte avec le pouce et le majeur et j’ai commencé à frotter mon index de haut en bas de sa fente. Je l’ai trouvée mouillée, beaucoup plus mouillée que quiconque avec qui j’avais été en contact intime auparavant. J’ai trouvé son clitoris et j’ai commencé à le frotter dans un mouvement circulaire. Elle a retiré beaucoup de plaisir de cela manifesté par de courts gémissements. Je lui ai demandé si je pouvais retirer sa jupe et sans hésiter, elle a soulevé ses hanches pour me permettre de la faire glisser. Elle se leva pour faire glisser sa jupe à ses chevilles. Sa culotte, son porte-jarretelles, ses bas en nylon noirs et ses talons hauts noirs étaient tout ce qu’elle portait. Je suis descendu du canapé et me suis repositionné et je me suis agenouillé pour embrasser son entre-jambe. Elle les a écarté largement. J’ai pris son pied gauche dans ma main et j’ai retiré sa chaussure à talon haut, j’ai déplacé ma bouche le long de sa cheville, jusqu’à ses orteils. J’ai pris son gros orteil dans ma bouche, puis son deuxième tiers et ainsi de suite jusqu’à son petit orteil. Je pouvais la sentir frémir d’excitation. Son pied recouvert de nylon avait un goût sucré à ma bouche.
J’ai fait de même avec son autre pied, en enlevant son talon haut, en suçant chacun de ses orteils recouverts de nylon. J’ai ensuite continué à lécher sa jambe en nylon jusqu’à l’intérieur de sa cuisse. Alors que ma langue passait le haut du bas et atteignait l’intérieur de sa fente, elle commença à gémir un peu plus fort. J’ai déplacé ma langue jusqu’à sa chatte et léché l’extérieur de sa culotte. Encore une fois, elle frissonna au contact de ma langue. Ses mains étaient au-dessus de ma tête et m’encourageaient à prendre mon temps et à rester où j’étais.
Avec ma main gauche et j’ai écarté doucement sa culotte, révélant à ma vue pour la première fois sa belle chatte. Ses poils étaient blonds, bouclés autour de ses lèvres. J’ai léché de haut en bas l’extérieur de ses lèvres puis les ai séparés avec ma langue. Alors que ma langue passait le haut du bas et atteignait l’intérieur de sa fente, elle a commencé à gémir beaucoup plus fort. J’ai mouillé ma langue et léché l’intérieur des lèvres de sa chatte et de son clitoris . Son arôme était enivrant pour moi. J’ai commencé à passer rapidement ma langue sur son clitoris. Je pouvais la sentir commencer à se presser contre ma bouche et bientôt elle a laissé échapper un profond gémissement attirant ma tête plus profondément en elle alors qu’elle jouissait. Son jus inondait ma bouche à chaque poussée de ses hanches. J’ai ensuite pris une seconde pour retirer mon pantalon et mon slip afin que je sois nu, ma bite sortant tout droit devant en attendant un soulagement.
Je léchais mon chemin de sa chatte à ses seins et les embrassais et les caressais pendant un certain temps, puis redescendais jusqu’à sa chatte. Je suis alors revenu brusquement à ses lèvres et j’ai inséré ma langue qui avait été dans le jus de sa propre chatte quelques secondes auparavant. Cela l’excitait, et elle a pris avec empressement la longueur de ma langue dans sa bouche et l’a aspirée de son jus de femme. Nous avons continué dans ce type d’étreinte, me déplaçant encore et encore entre sa chatte, ses seins et sa bouche. Tirant sa culotte plus loin, j’ai placé ma bite jusqu’à sa chatte. J’ai continué à embrasser sa bouche pendant que je la pénétrais lentement. Je me sentais sur le point de perdre le contrôle et j’ai décidé que je voulais prolonger le moment. Je me suis levé, j’ai pris Sarah par la main pour l’amener vers le lit.
J’ai tiré le couvre-lit du lit et, alors qu’elle était encore debout, j’ai retiré sa culotte, laissant le porte-jarretelles, les bas en nylon. Je l’ai allongée sur le lit et j’ai lentement glissé ma bite à l’intérieur de sa chatte maintenant bien lubrifiée. Elle a attrapé mes fesses avec les deux mains et m’a forcé tout le chemin à l’intérieur d’elle. Elle me serra fort et frissonna dès le début de ce qui allait s’avérer être de nombreux orgasmes . Elle m’a brièvement relâché et j’ai commencé à me glisser lentement dans et hors de sa chatte maintenant enflammée.
J’étais sur le point de jouir, mais je voulais à nouveau prolonger mon extase alors je me suis retiré et j’ai déplacé ma bite maintenant tremblante jusqu’à sa bouche. J’ai toujours trouvé que lorsque je me faisais sucer, je contrôlais mieux l’envie immédiate de jouir, et Sarah était vraiment à la hauteur. Elle produisait des bruits de succion bruyants, elle bavait sur ma bite bien dure qu’elle aspirait avec enthousiasme.
-Humm qu’elle est savoureuse cette bite!
Sarah a continué et a pris avec empressement ma bite dure profondément dans sa bouche et m’a sucé, léché, léché et embrassé. Lentement, j’ai retrouvé mon calme et après quelques minutes de son exploration orale experte, je me suis de nouveau senti prêt à ramener ma bite dans sa chatte espérant ensuite inonder sa bouche de mon sperme. J’ai pris ma bite rigide de sa bouche et l’ai remplacé par ma propre bouche et ma langue. . Je me suis repositionné sur sa chatte humide, elle était encore plus humide qu’avant. Je l’ai facilement pénétrée à nouveau et je suis entrée et sorti aussi longtemps que j’ai pu jusqu’à ce que je ne puisse plus tenir. J’ai explosé avec un orgasme aussi intense que tout ce que j’avais jamais ressenti dans ma vie.
Elle aussi est venue avec moi dans ce qui semblait être des explosions de plaisir. Elle me tenait fermement à l’intérieur d’elle pendant que je déchargeais ma charge chaude de sperme dans sa chatte. Je fixais le plafond haletant de plaisir et d’épuisement. J’ai regardé Sarah et elle aussi était essoufflée et souriante. Notre nuit de plaisir s’est poursuivie pendant des heures, jusqu’à ce que nous soyons tous les deux épuisés. À ce moment-là, il était bien plus de minuit et trop tard pour que Sarah puisse rentrer chez elle. Elle n’avait pas besoin de demander pour passer la nuit à côté de moi, et nous avons répété nos ébats amoureux plusieurs autres fois au cours de cette nuit et jusqu’au lendemain matin. Sarah n’a jamais enlevé ses bas en nylon ou son porte-jarretelles avant que nous ne nous endormions dans un sommeil réparateur.
Lorsque nous nous sommes réveillés et avons pris une douche le lendemain matin, et après s’être habillé, Sarah, sans un soupçon de gêne, m’a remercié pour cette soirée chaude, érotique et sexuellement épanouissante, m’a donné son numéro de téléphone et son adresse si jamais je revenais en ville en affaires. Je lui ai dit que j’avais du temps jusqu’à tard dans l’après-midi. Elle compris que je voulais de nouveau la baiser. Elle m’a sourit. Elle s’est mise à genoux, a descendu mon pantalon jusqu’au sol. Je l’ai t’attrapé par l’arrière de sa tête et j’ai poussé son visage sur ma bite et lui demandant de lécher ma bite et de sucer mes couilles. J’allais maintenant la baiser plus sauvagement. Avec envie elle aspirait ma queue et par moment sa bouche léchait mes testicules. J’ai forcé ma bite dans sa gorge, elle bavait abondamment, s’étouffant pendant que je baisais ta bouche avec énergie. J’allais bientôt jouir dans sa bouche.
Pris d’une soudaine envie d’uriner, j’ose lui demander si elle avait déjà fait de l’uro. Elle m’a regardé en souriant et me faisant un signe de tête, j’ai pris son bras et je l’amène dans la salle de bain. Elle a retiré ses vêtements et s’est agenouillée sur le côté de la toilette. Je me suis placé, dirigeant mon sexe vers sa bouche. Elle attendait et j’ai commencé à pisser abondamment dans sa bouche ouverte. J’ai ensuite dirigé le jet vers sa poitrine et de nouveau sur son visage. Elle a avalé les derniers jets qui sont sortis saccadé. J’ai approché ma bite à ses lèvres et lui ai demandé de la lécher et de l’embrasser. Ses lèvres étaient si douces et humides. J’ai exigé qu’elle ouvre plus grand sa bouche et j’ai poussé ma bite. -Baises-moi la bouche!Elle m’a supplié de baiser son visage pendant que je poussais vers l’intérieur et lui ai dit de la prendre jusqu’au fond de sa gorge. Je serrais le dos de sa tête et j’enfonçais jusqu’à la garde, son nez appuyé sur mon pubis. Je baisais sa bouche avec une vigueur sauvage en empêchant vicieusement sa tête de reculer. Après quelques minutes, au fond de sa bouche, j’ai jouit et elle a avalé tout mon jus encore une fois. Ayant toujours une érection, je me suis agenouillé derrière elle et j’ai enfoncé ma bite dans sa chatte la faisant gémir. Elle a marmonné :
-Putain que c’est bon.
J’ai commencé à lui doigter son petit trou, je n’en avais pas encore profité mais cela n’allait pas tarder. J’ai attrapé un savon pour la lubrifier, j’ai craché sur son cul tout en la baisant. J’ai enfoncé un puis deux et trois doigts que je lubrifiais de savon. Doucement, j’ai appuyé ma bite sur son cul et je l’ai enfoncé au complet. J’ai de nouveau jouis après quelques minutes à la malmener et la faire crier! Elle disait à nouveau :
-Putain que c’est bon!
Puis nous avons repris une douche. Je l’ai raccompagnée à sa voiture et après quelques baisers profonds et humides, elle est partie. Moi aussi, je souriais et j’ai continué à le faire le reste de la journée et pendant le long trajet pour retourner dans ma ville natale. Mon fantasme s’était réalisé et était meilleur que je n’en avais jamais rêvé. Je suis revenu pour voir Sarah aussi souvent que je le pouvais.
